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  • Quand la Commission européenne s'en prend au "protectionnisme" de M. Macron.

    Dimanche soir, toute l'Europe (du moins les gouvernements européens de l'Union et ses institutions) était « macroniste » : l'ancien ministre de l'économie de François Hollande était celui que tous semblaient espérer et tous voyaient en lui le nouveau sauveur de la construction européenne, et le disaient, le clamaient à l'unisson. Mais, une fois les lampions précocement éteints, l'Union européenne, comme dégrisée, dénonce la volonté affirmée dans son programme d'une certaine régulation de la mondialisation, ce qui est tout de même fort de café au regard de la situation actuelle, en particulier de l'usine Whirlpool et de la délocalisation spéculative pratiquée par la multinationale états-unienne, opération qui laisse plus de 280 personnes sur le carreau, sans compter les intérimaires et les sous-traitants.

    Dans son édition du mercredi 10 mai et en ses pages économiques, Le Figaro (sous la plume de Jean-Jacques Mével) évoque de quoi il retourne, sans donner tort à M. Macron dans ce qui s'annonce comme l'un des premiers bras de fer du nouveau président avec Bruxelles et, peut-être, Berlin : « Emmanuel Macron jure qu'il ne soutient ni « la mondialisation naïve », ni le libre-échange à tout va. Et c'est un projet littéralement protectionniste du président élu qui commence à semer le trouble à Bruxelles, à Berlin et dans d'autres capitales du nord de l'UE : réserver les marchés publics du Vieux Continent aux entreprises qui localisent la moitié au moins de leur production sur le sol européen. » Fichtre ! Le grand mot est lancé, celui que M. Hollande vouait l'autre jour aux gémonies : protectionnisme.

    En fait, ce « protectionnisme » évoqué par Le Figaro n'est pas un protectionnisme national mais bien plutôt un protectionnisme européen, que le journal rebaptise, comme pour enfoncer le clou, « patriotisme économique », formule jadis utilisée par M. de Villepin, aujourd'hui soutien du nouveau président. Mais, européen ou non, c'est toujours un sacrilège économique pour les grands prêtres de la mondialisation, qui voit dans cette proposition de M. Macron « une solution de facilité d'inspiration populiste », selon la formule lâchée, à en croire le quotidien de droite, « au plus haut de la Commission » (Juncker ? Moscovici ?). « C'est surtout le credo libéral que suit rigoureusement la Commission Juncker, en publiant ce mercredi ses « Réflexions sur une reprise en main de la mondialisation » (…).

    « Le document (…) reconnaît que « le revenu réel des classes moyennes a stagné dans l'UE durant la dernière décennie », avec un risque réel que « les inégalités s'accroissent encore, en même temps que la polarisation sociale ». La mondialisation et l'accélération technologique ne sont pas des mutations de tout repos. »

    Ainsi, la Commission, dans sa grande bonté, « reconnaît » les conséquences sociales ennuyeuses de la mondialisation mais, surtout, pas question de toucher à ce tabou des temps (et des élites, ou supposées telles ?) contemporains : le dogme avant tout, l'idéologie d'abord, et tant pis pour les nouveaux « vaincus de l'intégration mondiale », qui pourront toujours se recycler dans une profession uberisée ou numérisée... Ce cynisme fait froid dans le dos, et il prépare les colères de demain, que cette même Commission qualifiera, avec une moue dégoûtée, de « populismes ».

    Les dirigeants des institutions de l'Union européenne affirment ainsi que les évolutions en cours, y compris dans leurs aspects les plus socialement injustes, « ne peuvent être ni stoppées, ni inversées », ce qui me semble faire preuve d'un grand fatalisme et d'une absence de volonté (et de courage) dont, pourtant et a contrario, les mêmes n'hésitent pas à faire montre quand il s'agit d'appeler les États (dont, au premier rang, la France) à mener les fameuses « réformes » qui doivent libéraliser un peu plus la vie économique et sociale, au risque de créer de nouveaux déséquilibres et de nouveaux drames sociaux sur nos territoires.

    Le texte de la Commission poursuit : « Si nous fermons nos frontières, les autres feront de même et tout le monde se retrouvera perdant », argument désormais classique des libre-échangistes et qui semble oublier que, hors d'Europe, la plupart des pays protègent leurs industries et leurs marchés des intrusions qui leur semblent menacer leurs propres populations et souveraineté économique. C'est ce dernier point que, d'ailleurs, souligne le journaliste : « L'idée, inscrite noir sur blanc dans le programme du candidat à l’Élysée, n'est pas nouvelle. L’État chinois et d'autres géants pratiquent le patriotisme économique sans arrière-pensée. Les États-Unis appliquent leur Buy American Act depuis 1933, quand l'instauration de barrières commerciales devait accélérer la sortie de la Dépression. Lors d'un autre passage à vide, un demi-siècle plus tard, le président Reagan a élargi la préférence nationale à l'industrie du transport de masse.(...)

    « La classe politique française, à défaut de maîtriser la mondialisation, se remémore à chaque élection qu'elle pourrait user de la commande publique comme un bras armé, notamment dans les transports et les chantiers d'infrastructure. » Cette proposition, si elle ne peut assurer à elle toute seule une stratégie économique face à la mondialisation, a au moins le mérite de remettre le politique et l’État au cœur du jeu, permettant la préservation des intérêts de l'économie nationale et des salariés français, ce qui n'est tout de même pas négligeable, me semble-t-il !

    En tout cas, ce qui est certain, c'est que le nouveau président va devoir batailler ferme pour tenir ce qui n'était jusqu'alors qu'une promesse de campagne : si le protectionnisme européen n'est pas la solution idéale (et les salariés de Whirlpool en sont bien conscients, puisque le pays, la Pologne, qui va accueillir leurs machines et leurs emplois délocalisés appartient à l'Union européenne...), il peut apparaître comme une première protection utile pour maintenir une part du travail en France et garantir des règles sociales un peu plus favorables aux ouvriers français qu'aujourd'hui.

    A l'inverse, si M. Macron cède aux oukases libre-échangistes de Bruxelles (et de Berlin ?), son quinquennat ne sera que la triste continuation du précédent et il n'aura aucune excuse à mes yeux et à mon cœur de royaliste social. Le test est d'importance : au-delà du président fraîchement élu, il concerne l'avenir économique et, en particulier, industriel de la France pour les décennies à venir.

    Mais, il faudra sans doute penser plus loin que ce protectionnisme-là, pas totalement satisfaisant, et, dans le même temps, produire et consommer plus local...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1416:quand-la-commission-europeenne-sen-prend-au-qprotectionnismeq-de-m-macron&catid=51:2017&Itemid=62

  • Le Phénix Grec renaît de ses cendres

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    La chronique de Philippe Randa

    Source EuroLibertés cliquez ici

    Son arrestation avait été relayée sur toutes les télévisions du monde en 2013… Le gouvernement grec, à la demande d’autres puissances étrangères, avait été contraint de mettre au point un plan pour jeter en prison celui qui était devenu le symbole de la Résistance grecque face aux plans d’austérité imposés par les banquiers du FMI, de la BCE et de l’Union Européenne.

    Mais comment jeter en prison un député grec qui est protégé par son immunité parlementaire? Les juristes d’Athènes ont trouvé la solution, un petit texte qui permet d’arrêter un député lorsque celui-ci est impliqué dans des affaires criminelles.

    Ni une, ni deux, les politiques ont trouvé une juge complaisante et aussitôt dit, aussitôt fait, l’Etat Major d’Aube Dorée, le seul qui se soit opposé à ce que le peuple grec soit mis en esclavage par les banquiers étrangers, a été arrêté à l’aube, et jeté en prison avec une mise en scène médiatique copiée en tous points sur l’exhibition de Dominique Strauss-Kahn, effectuant son « prep walk » menottes aux mains, devant les caméras de la presse mondiale à New York.

    Le chef d’accusation de la juge fut simple: appartenance à une « organisation criminelle ». Le pouvoir pro-Bruxelles de l’époque pensa que cela suffirait pour effacer Aube Dorée de la scène politique grecque.

    Cinq ans plus tard, par manque de preuves, le procès n’a pas avancé. Nikos Michaloliakos et ses hommes purgèrent 18 mois de préventive, le maximum selon la loi, et furent remis en liberté sous contrôle judiciaire. L’affaire pourra être relancée opportunément juste au moment des élections législatives afin de dissuader les Grecs de voter pour Aube Dorée.

    Entre temps, les gouvernements successifs ont voté des lois spécialement taillées pour le parti nationaliste: une pour l’empêcher de nourrir les pauvres (et s’attirer ainsi la sympathie du peuple), une autre pour le priver des financements publics auxquels il a droit comme les autres partis politiques, et enfin une troisième (non dite, non écrite) pour empêcher la télévision nationale de diffuser les interventions des députés d’Aube Dorée au parlement.

    Ça, c’est de la démocratie… ou plutôt les actes d’une vraie dictature, pour empêcher l’opposition d’être entendue, mais chuuuut, il ne faut pas le dire. Au début de son règne, le communiste Tito avait ainsi mis en prison tous ses opposants yougoslaves. Plus d’opposants, plus d’opposition à sa dictature…

    Nikos Michaloliakos est aujourd’hui entre deux eaux : soit il gagne les élections, et dans ce cas Angela Merkel (qui contrôle le pays) sera obligée de le libérer définitivement des charges qui pèsent sur lui, soit il perd, et dans ce cas il risque de passer encore quelques années de plus derrière les barreaux.

    Mais vu le désastre total de la politique de Syriza, auquel il faut ajouter tous les attentats islamistes en Europe, Aube Dorée risque en effet de réaliser un score mirifique. Dans tous les cas, emprisonné ou pas, criminel ou pas, Nikos Michaloliakos est considéré par tous les Grecs (même si une partie ne l’apprécie pas) comme le seul homme politique qui défend les intérêts du peuple grec face aux banquiers de la Banque Centrale Européenne, du FMI et de Bruxelles.

    Lire l'entretien en cliquant sur le lien ci-dessous 

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  • Voilà où les ONG vont récupérer les migrants clandestins lors de leurs "sauvetages"

    A diffuser sans modération pour éviter que les journalistes aux ordres disent au 20h que c'est à proximité des côtes italiennes ! Les ONG sont complices du grand remplacement et peuvent être désormais assimilées à des passeurs...

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    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Etats-Unis : un partisan de Bernie Sanders tire sur des élus Républicains

    6a00d83451619c69e201b7c902dc31970b-250wi.jpgJames Hodgkinson, 66 ans, partisan de l’ancien candidat démocrate à la présidentielle Bernie Sanders, militant de gauche et farouche opposant à l’actuel président américain Donald Trump, a mené plusieurs semaines d’observations avant de passer à l’acte. Ainsi, il s’est rendu très régulièrement, au cours des deux derniers mois, dans une salle de sport située à proximité directe du terrain de sport visé par la fusillade de mercredi. Equipé à chaque fois d’un ordinateur portable et d’un sac de sport, il ne faisait pourtant jamais de sport. De là, il pouvait observer les membres de l’équipe républicaine de baseball, composée d’élus du Congrès qui s’entraînaient quasi-quotidiennement depuis deux mois pour une rencontre prévue ce jeudi.

    La fusillade a donc eu lieu sur le terrain de sport fréquenté par des élus du Congrès américain. Il y a cinq blessés. Steve Scalise, 51 ans, un chef de file du parti républicain à la Chambre des représentants, fait partie des victimes. Il a été touché à la hanche et emmené à l'hôpital MedStar de Washington. 

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/06/etats-unis-un-partisan-de-bernie-sanders-tire-sur-des-%C3%A9lus-r%C3%A9publicains.html

  • En attaquant le Bastion social, le nouveau pouvoir se dévoile...

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  • Bruno Bilde, conseiller de Marine Le Pen : « Nous serons des députés de combat »

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    Bruno-Bilde-Marine-Le-Pen-300x246.jpgBruno Bilde, adjoint à la mairie d’Hénin-Beaumont, est arrivé en tête dans la 12e circonscription du Pas-de-Calais avec le meilleur score de France (35,53 %) juste après Marine Le Pen. Selon [les] pronostics [de Présent], il est l’un des trois députés FN qui peuvent entrer à l’Assemblée nationale dimanche soir.

    — Vous affrontez Coralie Rembert, candidate de la République En marche qui est loin derrière vous avec 20,85 %. Vous êtes l’un de ceux qui peuvent y croire bien que les réserves de voix essentiellement socialistes semblent plus favorables à votre adversaire. Où allez-vous prendre vos voix au deuxième tour ?

    — Je suis confiant mais vigilant. Nos réserves de voix sont essentiellement constituées d’un électorat de gauche certes, mais hostile à la politique ultralibérale de Macron. J’en veux pour preuve qu’entre le premier et le deuxième tour des élections présidentielles, Marine Le Pen sans aucune réserve de voix, a gagné 18 points. Elle est passée de 42 % au premier tour à 60 % au second tour. Je pense qu’il y a dans cette circonscription une profonde volonté de changement et de rupture avec le système actuel. Je suis donc assez confiant.

    — Avez-vous des craintes à propos des consignes de vote contre vous ?

    — Ce sont des consignes d’appareils politiques totalement déconnectés des électeurs et du terrain. Le maire socialiste de Liévin par exemple, que La Voix du Nord décrivait comme une machine à gagner, n’a pas fait 17 % des voix. Il a été éliminé alors que c’est le maire de la plus grosse ville de la circonscription. Ces élus-là se sont beaucoup décrédibilisés. Les consignes de vote ne sont pas forcément entendues. C’est le vieux monde politique tout ça.

    — Sur quelles thématiques avez-vous axé votre campagne ?

    — Sur la défense du monde ouvrier avant le premier tour. Nous sommes ici dans une circonscription ouvrière de tradition qui a toujours été socialiste ou communiste mais qui n’a jamais connu d’alternance. Entre les deux tours, j’ai fait campagne sur la défense de la démocratie parce qu’il serait incroyable de donner les pleins pouvoirs à Macron à hauteur de 450 ou 500 députés.

    Je dis qu’un député macroniste de plus ou de moins ne change strictement rien alors qu’en revanche un député FN de plus, c’est essentiel.

    — Mais que peuvent faire deux ou trois députés FN isolés à l’Assemblée nationale ?

    — Nous sommes des combattants et nous serons des députés de combat.

    A l’Assemblée nationale que nous soyons, deux, trois ou cinq, nous nous ferons beaucoup plus entendre que cette armée de godillots qui ne feront absolument rien. Grosso modo l’Assemblée sera pour eux une simple chambre d’enregistrement.

    Un certain nombre de candidats macronistes ont déjà annoncé que le temps parlementaire allait être réduit, bel aveu, ça veut dire que tout va être réglé par ordonnance et par décret. Nous, nous serons là pour nous opposer à cela et dénoncer cela.

    — Quelle est l’explication de la désertion des urnes dimanche et de la vague abstentionniste selon vous ?

    — Pour moi il y a deux explications. D’abord, nos électeurs ont été déçus et découragés que Marine Le Pen n’ait pas été élue présidente de la république. L’autre cause, selon moi, est liée à la saturation. Les élections ont commencé en novembre 2016 il y a huit mois avec les primaires de la droite, puis il y a eu les primaires de gauche, une campagne interminable puis le premier et le deuxième tour de la présidentielle. Les Français sont saturés. Or, avec les résultats du premier tour des législatives qui risquent de donner à Macron un pouvoir absolu, il est capital que les abstentionnistes reviennent aux urnes.

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Entretien paru dans Présent daté du 17 juin 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Les terroristes de Marseille visaient bien Marine Le Pen

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    Au plus fort de la campagne présidentielle, la police a annoncé l’arrestation à Marseille de terroristes alors qu’ils étaient sur le point de commettre un attentat. Les journaux ont complaisamment affirmé que M. Fillon était visé (soi-disant que son programme de fermeté faisait peur aux islamistes !). Cette annonce, que le camp républicain a essayé de mettre en avant pour booster leur candidat (c’était de bonne guerre !) n’a pas suffi à renverser une tendance qui était mal partie. Il n’y a pas eu de réflexe de solidarité autour de l’élu LR.

    Or, dès le départ, on évoquait une autre cible potentielle : Mme Le Pen. Selon Libération du 16 juin, c’était bien cette dernière qui était visée. En étudiant les allées et venues des terroristes, les policiers ont dû rapidement déterminer l’objectif des poseurs de bombes. Pourquoi cette information n’arrive-t-elle que maintenant dans la presse alors que tous les jeux électoraux sont faits ? A-t-on caché cette nouvelle au départ car on redoutait, chez les bien-pensants, que Mme Le Pen en profite ? Sans doute ! On a eu peur qu’elle ne grignote 1 ou 2 pourcents. 

    Tout est bon pour contrer la finaliste du second tour. Si elle affirme qu’il fait beau, on prétendra aussitôt le contraire. Pour faire taire un contradicteur, on lui assène que ses arguments sont les mêmes que ceux du Front national. Ce réflexe conditionné et stupide des médias bien-pensants a conduit le FN aussi haut. Si Marine Le Pen ne s’était pas accrochée à l’euro, si elle n’avait pas montré d’indéniables lacunes lors du débat d’entre-deux-tours, ce serait peut-être elle, actuellement, à l’Élysée, qui sait… La politique française est si bouleversée…

    Que se serait-il passé, sur le plan électoral, si les terroristes n’avaient pas été arrêtés à temps ? Rien n’est plus difficile que de mesurer l’impact d’un attentat. Les bombes déposées par les islamistes irakiens en Espagne pendant les législatives ont permis, en 2004, au PSOE de gagner les élections, mais, sans doute, la maladresse du Premier ministre conservateur qui s’est obstiné au-delà du raisonnable à attribuer l’action aux séparatistes basques et le fait que les socialistes prônaient le retrait de Mésopotamie ont détourné nos voisins du gouvernement sortant.

    De même, l’assassinat d’une députée britannique pro-européenne n’a pas empêché le Brexit de triompher dans les urnes, malgré ce que certains médias (indécents !) espéraient. Et l’attaque au couteau sur les Champs-Élysées n’a pas modifié le score des candidats.

    Néanmoins, si des islamistes avaient blessé (ou tué) un responsable politique ou si des citoyens étaient morts en faisant leur devoir civique, il est probable que les partis les plus à droite de l’échiquier en auraient bénéficié et la présidentielle aurait été bouleversée car la symbolique aurait été bien plus forte.

    Mais ne refaisons pas l’Histoire. Dieu merci, la police a réussi à neutraliser à temps ces terroristes !

    http://www.bvoltaire.fr/terroristes-de-marseille-visaient-bien-marine-pen/

  • Têtes à Clash n°8 : Retour sur le 1er tour des législatives | Une MacronMania des Français ?