10 000 euros par mois pour sauver des migrants. Faire le volontaire en Méditerranée rapporte gros pour les bobos humanitaristes !
Ils appelaient les migrants à sauver «la chose » et ils encaissaient des salaires mirobolants. Les révélations sur le bateau Iuventa, appartenant à l’ONG allemandeJugend Rettet, mettent à jour un business bien rodé des débarquements. Comme le rapportent différents quotidiens italiens des écoutes, désormais publiques, de deuxmembres du navire Vos Hestia de l’ONG Save the Children, il ressort que l’engagement de certaines ONG est tout autre que désintéressé. L’un demande à l’autre :
« Quelles étaient selon toi les choses étranges que tu as vues ? »
Et l’autre de répondre :
« Avant tout, le fait qu’ils étaient si bien payés, le fait qu’ils nous faisaient faire ses c… de photos comme… »
L’ami l’interrompt :
« Parce que eux, ils étaient payés avec un salaire ? »
Et la réponse surprenante :
« Ben oui ! c’est-à-dire que celui qui fait le volontaire peut gagner jusqu’à 10 000€ par mois me semble-t-il... »
Une autre conversation entre les deux est tout aussi éclairante sur la moralité de ces ONG :
«Des genre de types, ceux-là, c’étaient des bandits des mers et non des secouristes, hein ? Ceux-là c’étaient vraiment des bandits ! Vraiment cela a été scandaleux… ils ont fait plus de morts eux tout seul que les bateaux pneumatiques ».
Les témoignages des deux hommes auprès des autorités italiennes chargées de l’enquête sur les activités probablement illégales de la Iuventa révèlent également l’entente entre les membres activistes de l’équipage du navire de l’ONG allemande et les passeurs :
« Au cours d’un sauvetage du 10 septembre 2016 nous avons noté que durant le transbordement de la Iuventa à notre bateau de 140 migrants secourus par cette embarcation, un bateau pneumatique s’éloignait en se dirigeant vers les côtes libyennes avec à son bord deux hommes. Cette circonstance nous faisait penser que l’équipage de la Iuventa avait transbordé les 140 migrants du pneumatique qui rentrait sur la côte avec à son bord les passeurs. »
L’entente entre humanitaristes activistes genre no-border présents sur la Iuventa a été telle que le 26 juin dernier à la proue du navire de l’Ong Jugend rettet « a été hissé le drapeau libyen ».
Quant activisme gauchiste rime avec business, c’est l’argent qui coule à flot sur le dos de miséreux clandestins qui se noient pour de faux !
Francesca de Villasmundo