Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire

    Par Renaud Camus, écrivain et militant politique français ♦ L’écrivain et essayiste Renaud Camus a décrit magistralement ce phénomène historique majeur qu’est le Grand Remplacement. Grand Remplacement ethnique. Grand Remplacement civilisationnel. Il poursuit ici son propos. Et a lancé à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre 2017, l’idée d’un CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE EUROPÉENNE. Voici le texte de son allocution (les intertitres sont de Polémia). Un texte fort qui dit fortement des vérités fortement déplaisantes.
    Polémia

    La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

    L’armée de la conquête, ce sont les délinquants

    Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants, petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

    La substitution ethnique est l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe

    Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe puisque, avec un autre peuple, l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être ; elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom et une méconnaissance totale de ce qu’est un peuple pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.

    Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés

    Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

    On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas – bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

    Pas d’autre issue que la remigration !

    On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors : ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

    2022 est trop loin

    L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé ; les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas : ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

    Transferts sociaux ? Non : transferts ethniques !

    Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous : demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

    Un spectre hante l’Europe et le monde, c’est le remplacisme

    Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissances par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

    Le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète

    De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

    Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

    Nous voulons sortir de la politique par l’histoire

    Macron sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles De Gaulle – que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe pour l’anniversaire de sa mort –, Charles De Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

    Le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine

    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas d’un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil national de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

    Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi-même, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

    Arrêter le balancier fou des colonisations et contre-colonisations

    Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

    Vive la France libre ! Vive la civilisation européenne !

    Renaud Camus 10/11/2017

    https://www.polemia.com/limmigration-est-devenue-invasion-linvasion-submersion-migratoire/

  • Les banques flinguent le FN, par Caroline Parmentier

    banques-flinguent-fn.jpg

    8995-20171125.jpgHaine médiatique, harcèlement judiciaire et maintenant bannissement bancaire, le Front national est mis au ban d’un système qui s’emploie à sa liquidation.

    Après la demande de clôture par la Société Générale de tous les comptes du FN, c’est la banque HSBC qui demande à Marine Le Pen d’aller domicilier ses comptes personnels ailleurs. Une « fatwa bancaire » selon la présidente du Front national qui a tenu une conférence de presse jeudi : « Avec plusieurs dizaines de milliers d’adhérents, des ressources stables et sans connaître le moindre incident de compte, le Front national s’est vu signifier, sans aucune raison, un bannissement bancaire de la part de la Société Générale qui était sa banque depuis de très nombreuses années. »

    Concrètement, il s’agit de priver de toute capacité de fonctionnement un parti qui a fait 11 millions de voix à la dernière présidentielle. Saisie par le Front national, la Banque de France a désigné le Crédit du Nord et l’a enjoint d’ouvrir un compte au bénéfice du Front national. Obligé de s’exécuter, le Crédit du Nord a bien ouvert le compte mais refuse au Front national l’usage des chèques et l’encaissement par cartes bleues des dons et des adhésions ainsi que la mise en place des prélèvements pour l’encaissement de la contribution des élus. Comme tous les partis politiques le Front national a l’interdiction (par la Commission de contrôle des partis politiques) d’utiliser de l’argent liquide.

    Privé désormais de la capacité d’utiliser des chèques, des cartes bleues et d’encaisser des recettes par CB, c’est une mise à mort financière à très court terme.

    « Scandaleuse démocratie où les banques ont droit de vie ou de mort sur les partis politiques », a réagi Nicolas Dupont-Aignan. Marine Le Pen est passée à l’offensive. Elle a déposé une plainte contre la Société Générale et HSBC, pour discrimination. Elle a communiqué aussi à la presse le verbatim de son échange téléphonique avec le directeur d’HSBC.
    Balance ton banquier

    Au cours de cet entretien hallucinant avec le dirigeant d’HSBC, Thomas Vandeville, ce dernier, poussé dans ses retranchements, lui explique qu’il n’a pas les informations suffisantes la concernant (elle est cliente depuis 25 ans) pour l’autoriser à conserver son compte. Et qu’elle aille se faire voir ailleurs (il y a sûrement des raisons pour l’éjecter, dit-il, mais il ne les connaît pas !).

    Il invoque le fait que Marine Le Pen est une « personne politiquement exposée » ainsi que « le libre arbitre de la banque ». « Vous arrêtez votre cinéma et vous m’expliquez que politiquement, la HSBC ne veut plus de Marine Le Pen », lui rétorquera notamment Marine Le Pen.

    La présidente du FN a saisi le gouverneur de la Banque de France tout comme Emmanuel Macron, qu’elle a rencontré mardi à l’Elysée. Gardien des institutions, le président de la République doit veiller au libre exercice de l’activité des partis politiques. Il a assuré qu’il allait « se pencher sur la question ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 24 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration / Clandestins : le temps de l’occupation - Journal du Vendredi 24 novembre 2017

  • Marine Le Pen dénonce une « fatwa bancaire »

     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Société Générale vient d’annoncer la clôture des comptes du Front national. Dans le même temps, HSBC a décidé de fermer le compte de Marine Le Pen, où elle est pourtant cliente depuis plus de 25 ans.

    Les banques nient toute considération politique

    Lors de sa conférence de presse du 22 novembre, Marine Le Pen n’a pas manqué d’évoquer un « scandale démocratique », annonçant porter plainte pour discrimination contre la Société Générale et HSBC. Le député Gilbert Collard a quant à lui résumé l’ensemble des commentaires émis par les élus du parti populiste. Selon lui, c’est une « décision qui est purement politique, qui a pour but de gêner le Front national. Il y a une volonté dans ce pays aujourd’hui de ne pas avoir d’opposition réelle ».

    Des accusations fermement démenties par la Société Générale et HSBC, qui invoquent des considérations purement formelles et économiques. Dans une discussion rendue publique par Marine Le Pen, HSBC explique ainsi manquer d’informations sur l’origine des fonds sur le compte de l’élue ; lesquels proviendraient exclusivement « de l’Assemblée nationale et des allocations familiales ».

    Quelles solutions pour le Front national ?

    Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a demandé à connaître l’intégralité des éléments du litige, en particulier ceux censés justifier l’attitude de la Société Générale. La mise en place d’une « banque de la démocratie » évoquée durant l’été par François Bayrou, alors en charge de la moralisation de la vie publique, a pour le moment été repoussée. Compte tenu des « très grandes difficultés » rencontrées par plusieurs candidats pour lever des fonds, y compris par le président du MoDem, Bercy annoncerait cependant prochainement des mesures. En attendant, le Front national aurait trouvé une autre banque.

  • Michel Houellebecq envisage que le catholicisme redevienne religion d’Etat, un point essentiel du programme de Civitas…

    Refaire du catholicisme la religion d’Etat en France ? L’idée a de quoi surprendre en 2017, alors que francs-maçons et autres ayatollahs de la laïcité traquent tout signe chrétien sur l’espace public.

    Sur l’échiquier politique, seul Civitas a l’audace de l’avoir inscrit à son programme et de le revendiquer haut et fort.

    Mais ce qui est impensable aujourd’hui, le sera-t-il encore demain ? Du côté des sympathisants du FN, les crises internes à répétition et l’évidence que Marine Le Pen ne conduira pas son parti au pouvoir amènent beaucoup à envisager l’hypothèse catholique sous un nouveau jour, comme en témoignent les réseaux sociaux.

    Mais la surprise vient de Michel Houellebecq. Le voilà qui évoque très ouvertement l’idée que le catholicisme redevienne religion d’Etat. 

     

    Michel Houellebecq : « L’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État »

  • Face aux éoliennes, dans l'Aude comme à Bruxelles, la résistance s'amplifie

    Eoliennes-.jpg

    Sur les communes de Bourriège et de Toureilles (Aude), la population se mobilise depuis des années contre les projets de construction d’éoliennes.
    2017 12 BXL ALBAN.jpg

    Lire le livre choc d'Alban d'Arguin cliquez ici 

  • La police politique de Macron perquisitionne la secrétaire de Vigilance Halal avec le RAID !

  • Jean-Michel Blanquer et l'Agrif vont déposer plainte contre Sud-Education

    6a00d83451619c69e201bb09d99e32970d-800wi.jpgLe ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer a décidé de porter plainte contre Sud Education 93, qui organise un atelier interdit aux Blancs :

    "On parle de 'non-mixité raciale', de 'blanchité', de 'racisés' [...] les mots les plus épouvantables du vocabulaire politique sont utilisés au nom soi-disant de l'antiracisme alors qu'ils véhiculent évidemment un raciste. C'est pourquoi, puisque ce syndicat a décidé de parler aussi de racisme d'Etat, que j'ai décidé de porter plainte pour diffamation à l'encontre de Sud Education 93". 

    Il regrette également que le syndicat national ne se soit pas désolidarisé de la section de Seine-Saint-Denis.

    L'Agrif également :

    "L’organisation par le syndicat de gauche Sud-Éducation d’un stage soi-disant « antiraciste » mais d’apartheid anti-blanc révèle combien il n’est plus désormais qu’une courroie de transmission du PIR (Parti des Indigènes de la République) d’Houria Bouteldja et de son conseiller idéologique Saïd Bouamama. Ce stage a pour but essentiel « la lutte contre l’islamophobie ». On sait ce que cela recouvre en réalité : une active propagande d’islamophilie. Sud et le PIR assortissent cela de la provocation délibérée d’une « formation » d’un apartheid séparant les enseignants blancs des non-blancs.

    Depuis bientôt 10 ans (première plainte le 13 février 2008), l’AGRIF a été la seule association à porter devant la justice les propos racistes d’Houria Bouteldja, traitant les Français de « sous-chiens », et les écrits de son mentor Saïd Bouamama ainsi que les paroles de son rappeur Saïd Saïdou sous les titres de « Nique la France ». Tous ceux qui, ministres et députés, sous les gouvernements de messieurs Sarkozy et Hollande, avaient juré de ne pas laisser passer pareilles éructations racistes, n’ont finalement rien fait. Seule l’AGRIF a agi et attend pour le 10 janvier 2018 l’arrêt contre « Nique la France » de la Cour d’appel de Lyon devant laquelle la Cour de cassation a heureusement renvoyé l’arrêt cassé de la Cour d’appel de Paris.

    Le « stage » Sud-PIR d’apartheid raciste montre combien madame Bouteldja, devant les tribunaux, se moquait cyniquement du monde en osant prétendre que ses catégories de « blancs » et de « non-blancs » ne correspondaient pas du tout à la réalité d’une discrimination raciale que la loi devrait punir mais à une classification idéologique. Tout simplement, dans sa dialectique islamo-gauchiste elle n’a cessé à la fois de classifier tous les musulmans dans les « non-blancs » et de ranger avec ces derniers les non-blancs non-musulmans.

    Le pire, c’est que le PIR a désormais noyauté et dirige des syndicats et autres associations avec l’appui politique de la mouvance mélenchonienne. On est là devant l’aveuglante évidence de ce que l’AGRIF n’a cessé la première de formuler et de clamer : « L’idéologie antiraciste n’est qu’un racisme en sens contraire »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avec ou sans Merkel, l'Allemagne ...

    Rien de ce qui se passe en Allemagne n'est sans conséquences pour la France et pour l'Europe. Ce fut le cas dans le passé et l'est toujours aujourd'hui.

    La stabilité politique allemande a été telle depuis l'après-guerre, que l'on avait sous-estimé les difficultés qui attendaient Angela Merkel après les élections de septembre en République fédérale, qui ont amené au Bundestag une majorité introuvable. Après 12 ans passés à la chancellerie sans que lui manque jamais le soutien de l'opinion, d'avis quasi unanime Angela Merkel était en bonne position pour égaler la longévité politique d'Helmut Kohl, chancelier pendant seize ans. L'on s'est trompé. L'Allemagne a changé.

    Les dernières élections ont modifié la donne, renversé l'équilibre usé établi par la chancelière et débouché sur une de ces crises politiques dont nul ne sait si elle sera rapidement surmontée par l'émergence in extremis d'une nouvelle coalition, voire par de nouvelles élections, ou si elle ira en s'amplifiant.

    On sait qu'Angela Merkel (CDU) gouvernait ces quatre dernières années en coalition avec les socialistes du SPD. Et que ces derniers sortant affaiblis des dernières élections - échec qu'ils attribuent à leur cohabitation minoritaire avec la CDU - ont signifié à Angela Merkel leur refus de participer à une nouvelle coalition CDU-SPD.

    Quant à la CDU elle-même, qui a réalisé comme le SPD, son plus bas score depuis 1949, elle apparaît désormais en déclin, Merkel en tête.

    Les 13% de voix et les 94 sièges au Bundestag obtenus par l'AfD sont surtout importants par la crainte qu'ils inspirent d'une poussée ultérieure de ce parti, et d’une tout autre ampleur. A cet égard l'opinion allemande - et européenne - a en tête des références historiques dont la seule évocation, fût-elle fort anachronique, inquiète le monde politique allemand.

    C'est donc avec les Verts écologistes immigrationnistes et avec les Libéraux qui pensent avoir tout à gagner à de nouvelles élections, qu'Angela Merkel a recherché une nouvelle coalition.  Faut-il s'étonner qu'elle ait échoué ?

    Son échec provisoire ou définitif est en effet plus intéressant dans ses causes que dans ses circonstances. Quelles sont-elles ? 

    Avec les Libéraux, qui pensent pouvoir amplifier leurs résultats en cas de nouvelles élections, ce sont donc, semble-t-il, surtout des considérations électorales qui ont bloqué les négociations pour une nouvelle coalition. Les libéraux n'en sont pas moins très critiques sur la gestion de la zone euro et très hostiles à tout effort de solidarité financière envers les pays du Sud.

    Réticents aux engagements financiers de l'Allemagne en Europe, ils représentent un courant largement répandu Outre-Rhin, qui, en gros, ne veut pas payer pour « les pays du Club Med ». La solidarité européenne n'est pas leur fort. Angela Merkel serait-elle plus généreuse ? 

    Avec les écologistes, le conflit vient des migrants. Les Verts prônent une politique de large regroupement familial et exigent l'accueil de toujours plus de réfugiés, fussent-ils simplement économiques. Or c'est notoirement de sa politique d'accueil des migrants que provient surtout l'affaiblissement de la CDU comme d'Angela Merkel et l'entrée en force d'AfD au Bundestag ... Sans compter que la CSU, l'aile bavaroise conservatrice de la CDU, est-elle aussi très opposée à l'arrivée massive de migrants, dont le land de Bavière a d'ailleurs été le premier à faire l'expérience de première ligne. De première victime.

    L'engagement européen d'Angela Merkel a-t-il joué en sa défaveur ? 

    Après le désastre politique, militaire et moral de 1945,  le projet européen a longtemps été pour le peuple allemand un moyen privilégié de réinsertion. Dans sa très grande majorité, ce projet il l'a partagé et l'a fait sien, comme une nécessité et, pour lui, comme une évidence.  Les Allemands se sont sentis Européens. D'autant plus aisément d'ailleurs qu'au fur et à mesure que leur sentiment de défaite, voire de culpabilité, s'éloignait, s'estompait, la renaissance puis la nette prééminence de l'économie allemande les y plaçaient de plus en plus en position de supériorité dominante. Comme une revanche sur l'Histoire, par une sorte de victoire économique compensatrice ... Ceci à deux remarques près. Primo, l'Allemagne a longtemps été plus atlantiste encore qu'européenne. A l'époque où cela se justifiait, pouvait se comprendre et, peut-être encore aujourd'hui, cela reste à voir. Secundo, elle a su saisir sans complexe l'occasion de précipiter sa réunification et de l'accomplir avec toute sa volonté et toute sa puissance. Son nationalisme ne s'était pas évanoui. 

    Les choses changent et évoluent aujourd'hui. L'Allemagne est réunifiée et riche de ses colossaux excédents. Mais elle est aussi face à la perspective de ses problèmes et de ses contradictions. Notamment son terrible déclin démographique. 

    Si l'Europe signifie désormais pour l'Allemagne solidarité financière avec les pays les plus pauvres du continent, elle se retrouvera probablement assez unanime pour mesurer ou refuser son concours. Avec ou sans Angela Merkel, le Bundestag et la Cour Constitutionnelle de Karlsruhe - en charge de la défense des intérêts du peuple allemand - y veilleront scrupuleusement.

    Si l'Europe signifie d'autre part l'accueil et la répartition des migrants, l'unanimité sera moins large car le patronat allemand, petit ou grand, est désormais en difficile recherche de bras pour travailler, de préférence à bon marché. Mais comme en témoigne l'avancée de l'AfD, notamment dans les länder de l'Est, le sentiment anti-immigration grandit en Allemagne et avec lui un nouveau patriotisme décomplexé.

    Zemmour a raison d'expliquer qu'avec ou sans Merkel la puissance allemande restera inchangée. Dans l'un ou l'autre cas, l'Allemagne ne cédera rien de ses intérêts. Et si la politique européenne d'Emmanuel Macron persiste à se définir comme un fédéralisme, il nous paraît très probable qu'elle butera contre le mur de la ferme volonté de l'Allemagne de conserver pleine et entière sa souveraineté.   

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien ci-dessous

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/11/22/avec-ou-sans-merkel-l-allemagne.html