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  • Le prix de la Carpette anglaise a été remis à Anne Hidalgo

    Le prix de la Carpette anglaise distingue tous les ans un membre de l’élite française qui promeut la langue anglaise plutôt que le vocabulaire français dans ses allocutions publiques. Cette année, il y avait au rang des nominés, entre autres, le chef de l’état, Emmanuel Macron qui emploie régulièrement des mots anglais dans ses discours.

    C’est finalement Anne Hidalgo qui a remporté le prix pour son slogan des Jeux Olympiques : « Made for Sharing ».

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  • Changement de nom du FN : Marine est pour. Les adhérents sont contre.

    Plus de père fondateur, plus de flamme, et bientôt plus de Front national ? C’est ce que préconise une Marine Le Pen qui s’échine à renier ses origines pour entrer de plein pied dans la cour des « grands » du système répoublicain !

    Dimanche dernier, lors d’une conférence de presse à Alençon, l’actuelle présidente du Front National a affirmé :

    « Si nous changeons le Front national, alors il faut aussi changer l’appellation. »

    « Si un nom contient une charge qui puisse susciter des craintes, ou une charge émotionnelle qui soit trop forte, et il semblerait que ce soit quand même le cas du Front national, alors il ne faut pas hésiter à se donner les moyens de la victoire. »

    L’utopie de Marine : en changeant de nom, incarner  un parti « de gouvernement » !

    Pourtant, d’après certaines informations parues sur le web, 80 % des adhérents sont opposés à un changement de nom ! « Le FN est une marque solide », explique un cadre du parti.

    A l’heure où la pensée unique s’efforce de détruire toute identité, les militants du FN restent attachés à cette identité politique vieille de plus de 40 ans et synonyme d’amour de la Nation, de combats pour la patrie et les Français de souche… Mais sont-ils encore les combats de Marine Le Pen ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/changement-de-nom-du-fn-marine-est-pour-les-adherents-sont-contre/85896/

  • Jean-Michel Blanquer s’attaque à la maternelle

    Blanquer-600x393.jpg

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En terme d’annonce, Jean-Michel Blanquer est sans aucun doute l’un des ministres les plus actifs du gouvernement. Après avoir annoncé avant l’été un certain nombre de mesures concernant l’école, le ministre de l’éducation nationale s’attaque désormais à la réforme de la maternelle.

    L’ancien directeur de l’ESSEC a annoncé vouloir faire de la maternelle je cite « l’école de l’épanouissement et du langage »

    Avec cet objectif en tête, le ministre a confié une mission à Boris Cyrulnik, un neuropsychiatre. Des assises de la maternelle devraient être tenues prochainement pour établir les mesures à mettre en place.

    Monsieur Blanquer a assuré que ces assises devraient prendre en compte un grand nombre de facteurs en compte.

    La formation des instituteurs et de l’ensemble des intervenants sera bien évidemment le point central des discussions lors de ces assises. Les formations initiales et continues, la création de nouveaux outils pédagogiques dont certains à l’adresse des parents sont autant de sujets qui pourraient être transformés sous l’ère Blanquer.

    Mais le ministre souhaite aussi modifier d’autres aspects touchant moins directement à l’enseignement.

    Tout ce qui touche à l’environnement de l’école pourrait être amené à évoluer : salles de classe, cantine, toilettes etc.

    Après ces annonces, reste à voir quelles mesures seront effectivement prises et menés à leur terme.

    https://fr.novopress.info/

  • La démocratie est confisquée et personne ne dit rien ?

    La démocratie n’est certainement plus qu’une coquille vide. Parmi les mutations en cours, nous avons précédemment constaté que le politique tend à s’effacer au profit d’un juridisme contractualiste en pleine expansion. Autrement dit, faisant la part belle aux accords entre personnes (physiques ou morales) et réduisant ipso facto le contrôle de l’État (et ses immixtions autoritaires) sur les transactions privées. En fait, c’est tout l’esprit du droit anglo-saxon moderne qui contamine notre système juridique et, par voie de conséquence, bouleverse nos institutions et l’esprit de nos lois… ainsi que des structures mentales héritées du monde romain et presque inchangées depuis vingt siècles. Comprenons que cette configuration inédite modifie en substance notre rapport au monde et la perception que nous en avons (le filtre idiosyncrasique). Le gouvernement des juges (ceux d’instances arbitrales séparées du domaine régalien) annonce ainsi un changement de nature du pouvoir.

    Maintenant, il est d’autres manifestations du dépérissements du politique beaucoup plus immédiatement appréhensibles et préexistant à l’élection fracassante de M. Macron… mais que celle-ci a mises à nu. À commencer par la dislocation des partis traditionnels de gauche et de droite et celle du Front national qui – normalement – ne devrait pas survivre à son effondrement d’entre les deux tours. Maintenant, reste à savoir si les morceaux peuvent être encore recollés et si les partis décomposés sont susceptibles de resurgir de leurs cendres. Ceci pourrait être effectivement envisageable si ces éclatements n’étaient, en réalité, les révélateurs d’un vide préexistant. En témoigne la disparition déjà ancienne des lignes de démarcation entre gauche et droite, confusion des genres qu’ont épinglée des formules comme l’UMPS ou la drauche (*).

    Depuis longtemps, les factions politiques dominantes sont paradoxalement minoritaires (La République en marche écrase l’Assemblée de tout son poids avec seulement 14,5% des inscrits !). Le condominium sur les affaires publiques socialistes et républicains n’est, en fait, parvenu à se maintenir pendant un demi-siècle que grâce à de tortueuses politiques d’alliance, de redistribution de la manne des postes et des prébendes, et de découpages électoraux ad hoc. En un mot, la dichotomie droite/gauche non seulement a vécu, mais elle était devenue depuis belle lurette une fiction que seule masquait l’inertie du système. Les arbres vermoulus et creux peuvent rester debout indéfiniment en dépit des bourrasques jusqu’à ce qu’un souffle indu les mette à bas !

    Or, il ne s’agit pas d’une simple reconfiguration du paysage politique mais bien d’un phénomène dont il n’est pas certain que les observateurs aient bien mesuré toute la portée. Alors, quelles leçons tirer de la débâcle structurelle des partis ?

    La première est que la démocratie n’est certainement plus qu’une coquille vide. On en est à stigmatiser ceux qui (par exemple la Manif pour tous) s’insurgent contre des lois jugées scélérates au motif qu’il serait antirépublicain (illégal) de contester des textes adoptés par les assemblées. Mais qui compose le Parlement ? Les votes y sont-ils à ce point légitimes qu’il devienne interdit de les contester ? Car par quels mécanismes d’exclusion des partis plus ou moins fantoches sont-ils parvenus à un tel degré de monopole législatif ? Peut-on, en effet, prendre au sérieux une représentation du peuple interdisant à un quart de l’électorat toute voix au chapitre ? Cela commence à se voir et certains, d’ailleurs, font mine de s’en émouvoir. Le plus surprenant, dans l’affaire, n’étant pas que la démocratie soit confisquée mais que se soit tissé un tel consensus du silence autour de ce déni de démocratie – une forfaiture avérée. Que les bénéficiaires se taisent, soit, mais les autorités morales, les intellocrates, les juristes ? Personne ne s’indigne et tous cohabitent jusqu’à présent dans le meilleur des mondes politiciens en négation du principe de souveraineté populaire… réduite à n’être plus qu’un savant criblage de toutes les impuretés électorales qui pourraient gripper une machine à produire une forme molle de goulag consensuel. Il était temps que cela s’arrêtât.

    (*) Expression que vulgarise Benoît Hamon en décembre 2012 alors qu’il est ministre de l’Economie sociale et solidaire, pour désigner « les politiques dites sociales mais tout à fait libérales ».

    Jean-Michel Vernochet

    Note:

    (*) Expression que vulgarise Benoît Hamon en décembre 2012 alors qu’il est ministre de l’Economie sociale et solidaire, pour désigner « les politiques dites sociales mais tout à fait libérales ».

    Source : Boulevard Voltaire

    https://www.polemia.com/la-democratie-est-confisquee-et-personne-ne-dit-rien/

  • La mairie de Beaucaire propose à nouveau du porc à la cantine et supprime les repas de substitution

    6a00d83451619c69e201b8d2cdba74970c-320wi.jpgCette simple décision de bon sens est bien évidemment présentée par les médias encadrants comme une discrimination. Julien Sanchez, le maire FN de Beaucaire, explique sa décision dans les colonnes de Valeurs actuelles :

    Pourquoi avez-vous décidé, au premier janvier, de supprimer les repas de substitution dans vos cantines ?

    Comme toute municipalité, nous sommes soumis aux règles de la commande publique et nous sommes donc tenus de mettre en concurrence les entreprises quand un type de dépense représente plus de 25.000 euros. Notre marché des denrées alimentaires arrivait à échéance et il fallait donc le relancer pour quatre ans, ce qui nous a amenés à nous poser un certain nombre de questions sur la consommation dans les cantines et sur le marché des fournisseurs. S’est forcément posée la question des repas de substitution. J’ai souhaité mettre fin à cette pratique parce que je précise qu’à Beaucaire, nous n’avions pas deux choix chaque jour, mais seulement les jours où du porc était servi. J’ai trouvé cela anormal pour une raison simple : c’est une intrusion du religieux dans l’enceinte des établissements scolaires.

    On vous répondra que ces enfants ne mangent pas de porc, et qu’il faut bien qu’ils mangent pourtant…

    Je vous le disais à l’instant, les impératifs religieux n’ont pas leur place dans un établissement scolaire. C’est une revendication purement communautariste : le porc n’est quand même pas connu pour être un aliment particulièrement allergène me semble-t-il. Les enfants qui, pour des raisons religieuses, n’en mangent pas peuvent évidemment déjeuner ailleurs qu’à la cantine.

    Je refuse d’assister au grand-remplacement du porc à la cantine. Parce que je me suis bien rendu-compte que d’année en année, de moins en moins de porc était servi. C’est une viande qui est souvent produite en France et il est également normal que nous choisissions de soutenir l’agriculture française. Ce n’est pas mon rôle d’y renoncer pour des raisons religieuses.

    J’insiste sur cette raison parce qu’elle me semble suffisante et fondamentale. Mais il y en a d’autres, comme l’apartheid que cela engendrait de fait. Je me suis aperçu que depuis la mise en place de ces repas de substitution par l’ancienne municipalité (en 2008), les enfants musulmans mangeaient sur des tables à part. Sans doute par souci d’organisation, ces enfants étaient séparés des autres et c’est inacceptable là encore, dans une école publique (...)

    Cette décision a-t-elle également une motivation financière ?

    Evidemment ! Il ne faudrait quand même pas oublier le tarif des cantines. 2,40 euros pour les catégories les plus faibles en terme de revenus, et jusqu’à 4,70 euros pour les plus élevés. Le coût d’un repas est plutôt autour de 10 euros si l’on prend en compte le personnel nécessaire et la nourriture elle-même. C’est donc déjà un tarif social et sympathique pour les familles, il ne faut peut-être pas trop exagérer non plus.L’autre possibilité, nous dit-on, serait le self-service avec plusieurs repas proposés chaque jour. Mais là encore, le coût est impossible à assumer. Ce sont plusieurs centaines de milliers d’euros nécessaires, que nous n’avons pas (...)"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/01/la-mairie-de-beaucaire-propose-%C3%A0-nouveau-du-porc-%C3%A0-la-cantine-et-supprime-les-repas-de-substitution.html

  • Comment répondre aux mensonges sur la bataille de Poitiers ? (argumentaire des Identitaires)

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    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un nouveau document qui propose de répondre aux mensonges autour de la bataille de Poitiers.

    Ils disent souvent : « La bataille de Poitiers n’a pas eu lieu et si elle a lieu ce n’était pas à Poitiers et ce n’était en aucun cas pour arrêter une invasion mais tout au plus pour mettre un terme à une razzia. ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Si la négation de l’existence de la bataille de Poitiers est confidentielle et peu sérieuse, nombreux sont ceux qui cherchent à relativiser son importance. Il s’agit de nier qu’il ait pu exister une invasion planifiée de la part des troupes arabo-berbères. Les Européens doivent être les seuls, et les premiers, à qui l’on puisse reprocher une opération de conquête comme on le fait régulièrement pour les croisades dont on occulte par ailleurs complètement l’importante vocation défensive. Dans la société du « vivre-ensemble » où la question de l’islamisation inquiète le plus grand nombre, il est gênant qu’une des batailles les plus prestigieuses de l’histoire de France soit celle qui ait mis un terme à la conquête musulmane de l’Europe.

    Pourquoi c’est faux ? La bataille de Poitiers a bien eu lieu et s’inscrit dans un conflit de plusieurs décennies qui s’est achevé par la victoire définitive des Francs sur les envahisseurs arabo-berbères.

    Découvrir cette fiche-argumentaire :

    « La bataille de Poitiers n'a pas eu lieu. »

    COMMENT RÉPONDRE AUX MENSONGES SUR LA BATAILLE DE POITIERS ?

    Quatorzième argumentaire @les_ids :https://t.co/tDXhTHhccc

    — Les Identitaires (@les_ids) 27 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Notre-Dame-des-Landes, le “feuilleton qui ridiculise la République”

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    Sur RTL, Olivier Mazerolle revient sur l’imminence de la décision du gouvernement quant à la construction – ou non – de l’aéroport controversé.

    L’heure de la décision approche pour Notre-Dame-des-Landes. Édouard Philippe a entamé les ultimes discussions avec les responsables locaux, politiques et économiques concernés par la construction de l’aéroport controversé. Quelle que soit la décision du gouvernement, on sait qu’elle sera vigoureusement contestée, tant le dossier est brûlant.

    Il n’y a pas de bonne décision possible“, commente Olivier Mazerolle, pour qui il “y a tout de même une bonne nouvelle : la décision va mettre fin à l’invraisemblable feuilleton qui ridiculise la République française depuis 50 ans”.

    Le projet d’aéroport a été initié au milieu des années 1960. “Nous voilà donc 50 ans plus tard, en janvier 2018, dans l’attente de la décision, ouf !“, commente l’éditorialiste.

    https://fr.novopress.info/209006/notre-dame-des-landes-le-feuilleton-qui-ridiculise-la-republique/