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  • Beaucoup de gilets jaunes voudraient vivre normalement de leur travail plutôt que de l’assistance

    Beaucoup de gilets jaunes voudraient vivre normalement de leur travail plutôt que de l’assistance

    Lu sur le site de l’IREF à propos des gilets jaunes :

    C’est l’occasion de remettre à plat un système déboussolé qui a encore créé 11 taxes, pour plus de 11 Md€, depuis le début de ce mandat et qui continue. L’opposition de droite n’est pas en reste : dernièrement Gilles Carrez a demandé l’augmentation de la taxe de bureau et de la taxe de séjour pour financer le budget du Grand Paris Express et le Sénat a voté ces derniers jours, à la demande du groupe Les Républicains (LR), le relèvement, repoussé à l’Assemblée par la majorité LREM, de 13,27 % à 18,02% en 2019 de la taxe sur les complémentaires santé, ce qui aurait pesé sur les assurés pour 1,5Md€. Mais de son coté l’Assemblée nationale dévouée au président de la République a voté l’augmentation de la taxe générale sur les activités polluantes qui passera de 450 millions d’euros en 2017 à environ 800 millions en 2025. Et plus les impôts augmentent, plus il faut créer de dérogations pour en atténuer les effets avec des crédits pour ceux qui payent trop de CSG ou de TICPE ou qui accueillent des migrants… Ce qui n’empêche pas les parlementaires de s’adonner à des futilités pour interdire les fessées, pourchasser les éventuelles fake news qui les gênent, imposer l’égalité hommes/femmes de manière artificielle, mais sonnante et trébuchante, dans les entreprises…

    Il serait peut-être temps de simplifier la vie de tous et de permettre à tous de la reprendre en mains. C’est aussi ce que demandent à juste titre beaucoup de gilets jaunes qui voudraient vivre normalement de leur travail plutôt que de l’assistance. Pour ce faire, il faut libérer l’emploi de trop de contraintes, simplifier et abaisser à un taux unique les impôts sur le revenu et sur les bénéfices débarrassés de leur foultitude de niches, permettre à chacun de s’assurer librement pour sa maladie, son chômage ou sa retraite, délivrer à chaque famille un bon scolaire pour chacun de ses enfants, à remettre à l’établissement de son choix.

    Mettre en concurrence ces services, c’est à la fois en rendre responsables ceux qui les choisissent et réduire le poids des prélèvements publics et des charges des foyers. L’enseignement privé, du primaire au supérieur, coûte environ deux fois moins cher que le même enseignement public. La liberté donnée à chacun de s’assurer pour la maladie/maternité/vieillesse auprès de compagnies ou mutuelles de son choix permettrait aux assurés d’obtenir des baisses significatives du prix de leurs assurances, de la même manière que pour ceux qui négocient leurs assurances automobiles. Il en serait de même pour les assurances retraite qui en outre protégeraient mieux ceux qui opteraient, du moins en partie, pour la capitalisation : les pensions pourraient doubler à terme si les cotisations étaient placées dans des fonds de capitalisation, ou les cotisations pourraient baisser.

    Il ne s’agirait pas d’imposer un nouveau modèle, mais d’en laisser le choix à ceux qui le voudraient. Le marché ferait le reste, orientant rapidement chacun vers le meilleur rapport qualité/prix. Chacun pourrait être obligé de s’assurer, comme en matière d’assurance automobile, pour éviter que certains se retrouvent ensuite à la charge des autres. Et l’autorité publique garderait un rôle pour veiller à ce que les écoles ne soient pas dévoyées par de quelconques fanatismes ou pour que les contrats d’assurance proposés soient loyaux et respectent un cadre minimum de protection.

    Toutes ces mesures permettraient d’augmenter le niveau de vie des Français, mais aussi de leur apprendre à vivre avec moins d’Etat, à construire leurs vies eux-mêmes plutôt que de tendre la main pour recevoir toujours plus d’aides publiques. Cet apprentissage de la responsabilité serait aussi le moyen de redonner du sens à la vie de chacun et de la dynamique à toute la société. Ce serait sans doute la meilleure réponse, et la plus positive à cette marée jaune.

    https://www.lesalonbeige.fr/beaucoup-de-gilets-jaunes-voudraient-vivre-normalement-de-leur-travail-plutot-que-de-lassistance/

  • Le Pacte Mondial sur les migrants : l’analyse du Rassemblement National

    Conférence de presse de Marine Le Pen au sujet du Pacte Mondial sur les migrations.

    Une analyse pertinente, très critique envers cette nouvelle volonté onusienne d’imposer aux nations le Grand Remplacement. D’autres ont déjà fait cette autopsie mais elle vaut la peine d’être écoutée à nouveau.

    A retenir cette argument des immigrationnistes : offrir un statut aux 225 millions des migrants qui bénéficieraient ainsi d’une protection du droit international.

    Ce texte pose « la première pierre d’un droit à la migration, un droit reconnu comme un droit de l’homme et mis en œuvre par le droit international. »

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-pacte-mondial-sur-les-migrants-lanalyse-du-rassemblement-national/101921/

  • "GILETS JAUNES EN MARCHE! EN MARCHE! EN MARCHE!"

    On ne lâche rien et Macron en prison.....

  • Gilets Jaunes : le gouvernement recule – Journal du mardi 4 décembre 2018

    Politique / Gilets Jaunes : le gouvernement recule

    Trois semaines après le début de la mobilisation des gilets jaunes, le gouvernement annonce des gestes en faveur des plus modestes… Un geste qui arrive un peu tard pour endiguer la crise.

    Union Européenne / Westminster face au Brexit

    Près d’un an et demi après le référendum sur le Brexit, le premier ministre Theresa May présente un texte de sortie de l’UE aux parlementaires. Un exercice périlleux et qui pourrait ébranler la locataire du 10 Downing Street.

    International / Pacte sur les migrations : J-6

    A 6 jours du sommet intergouvernemental de Marrakech, le flou plane toujours autour de la ratification du pacte sur les migrations. Alors que de nombreux pays européens ont déjà affiché leur refus, Marine Le Pen tente de faire fléchir Emmanuel Macron. Un premier défi avant les élections européennes de mai prochain.

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-le-gouvernement-recule-journal-du-mardi-4-decembre-2018

  • Paris : des centaines d'ambulanciers bloquent la place de la Concorde (PHOTOS, VIDEOS)

    Paris : des centaines d'ambulanciers bloquent la place de la Concorde (PHOTOS, VIDEOS)
    © @FabienRivesRTFr
    Les ambulanciers bloquent la place de la Concorde, le 3 décembre 2018 au matin.

    Plusieurs centaines d'ambulanciers convergent en direction de la place de la Concorde à Paris et doivent ensuite rejoindre le boulevard périphérique pour bloquer les voies. Ils manifestent contre la loi de Finances 2019. 

    Ce 3 décembre au matin, plusieurs centaines d'ambulanciers ont bloqué la place de la Concorde à Paris dans le cadre d'une manifestation sauvage. Une mobilisation des ambulanciers était prévue dans le courant de la journée, mais l'élément de surprise a visiblement été privilégié, de sorte que ce rassemblement compte de très nombreux véhicules, gyrophares allumés et sirènes hurlantes.

    Un reporter de RT France est sur place.

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  • Les populistes accèdent au parlement régional d’Andalousie

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    Le parti de droite populiste Vox a obtenu 12 sièges au Parlement régional d’Andalousie ce dimanche, avec plus de 10% des votes. Ce parti prône la souveraineté espagnole, défend les valeurs de la famille traditionnelle et s’oppose à l’immigration.

    Son entrée au parlement d’une région gouvernée par le socialisme depuis plus de 30 ans est d’autant plus symbolique qu’elle s’accompagne d’un échec majeur des partis de gauche. Le parti socialiste ouvrier espagnol a en effet connu un recul lui aussi historique, et ne pourra donc pas obtenir la majorité, même en s’alliant à son homologue d’extrême gauche.

    Alors que l’Espagne était devenue le nouveau point d’entrée privilégié des clandestins suite à la nouvelle politique anti-immigration de l’Italie, il semblerait que la réaction du peuple ne se soit pas fait attendre.

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  • L’arnaque du réchauffement climatique et de la transition écolo

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    L’émission qu’anime André Bercoff sur Sud Radio avait, la semaine dernière, pour thème « Le réchauffement climatique, info ou intox ? » Il est fort dommage que notre mal-aimé président de la République (24 % des sondés) n’ait pas écouté l’invité du jour, le professeur François Gervais, directeur de recherche au CNRS et qui vient de publier un livre explosif, L’urgence climatique est un leurre.

    Un livre qui vient à point nommé avec le lancement de la nouvelle lubie présidentielle qu’est le Haut Conseil sur le climat et qui a donné l’ubuesque one-man-show de mardi matin sur la manière de réaliser la transition écologique, à des années-lumière de la préoccupation immédiate des gilets jaunes, c’est-à-dire du peuple d’en bas !

    Car François Gervais, qui a consacré sa vie aux problèmes engendrés par l’écologie, démontre, point par point, que le réchauffement climatique qui entraîne cette transition écologique est l’arnaque du XXIe siècle, une véritable intox. Et, personnellement, je ferais plus confiance à un savant qu’à un jeune homme issu de la haute finance.

    Le professeur Gervais se bat contre des idées préconçues qui semblent être la bible de l’Élysée. Il affirme que la pollution a grandement diminué. Le climat change tous les trente ans, mais pas toujours dans le même sens. En 1945, par exemple, lorsque les émissions de gaz carbonique (CO2) se sont accélérées, la température a baissé pendant trente ans… pour remonter de 0,4 % depuis, mais nos experts occultent la variabilité du climat.

    « Il est un fait avéré que le CO2 est un bienfait, car c’est la nourriture indispensable et irremplaçable de la végétation. Sans gaz carbonique, nous n’aurions plus de végétation et la planète mourrait. » François Gervais affirme que le CO2, cause première de la hausse des taxes, est passé de 0,03 % à 0,04 % en un siècle sur la planète Terre, ce qui a permis aux récoltes et à la biomasse végétale d’augmenter de 20 %, conduisant, selon un savant américain, à un gain de trois mille milliards d’euros !

    Un autre chiffre relevé par François Gervais : « Si l’on réduit de 20 % le CO2 d’ici 2020, on éviterait à la planète de se réchauffer de moins de 1 millième de degré pour un coût exorbitant puisqu’au niveau de l’Europe, il s’agit de 20 % du budget européen. »

    Si, donc, la transition énergétique est nécessaire car les ressources fossiles ne sont pas inépuisables, il faut travailler sur l’énergie de substitution et faire le contraire de ce que notre Président préconise, lui qui veut des moyens intermittents comme l’énergie solaire ou l’éolien qui ne produisent de l’énergie, comme l’aurait écrit M. de La Palice, que s’il y a du soleil et du vent !

    Alors, oui, la COP21 ne sert à rien. Selon le MIT, en 2100, on aurait gagné 0,2 °C si tous les pays signataires respectaient les objectifs de la COP. Alors que l’on constate que, grâce au CO2, en 33 ans, la planète verte s’est agrandie de 18 millions de km². Elle a reverdi !

    Il faut donc, selon ce professeur émérite, développer des énergies nouvelles renouvelables non intermittentes, comme les micro-algues qui, à partir de CO2 récupéré, par exemple, auprès de cimenteries voisines, permettent de refabriquer un carburant. Comme, aussi, la fusion nucléaire qui, avec le projet ITER, en construction depuis 2010 à Saint-Paul-lez-Durance, permettra d’utiliser sur Terre la même énergie que celle qui alimente les étoiles.

    Alors, le prétexte des taxes est fallacieux. Car la pollution atmosphérique du CO2 n’a aucune influence mesurable sur le climat. Le professeur Gervais est formel.

    Voilà de quoi rassurer le combat des gilets jaunes !

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/larnaque-du-rechauffement-climatique-et-de-la-transition-ecolo/

  • LA PAROLE AUX GILETS JAUNES

  • Un samedi à Paris : le témoignage d'un spectateur engagé. Partie 2 : "Paris brûle-t-il ?"

    Voici la deuxième partie de mon témoignage sur les événements du samedi 1er décembre à Paris. Une fois sorti des Champs Elysées, on entre dans une autre dimension de la manifestation... 

    Quelques minutes après, j'entreprenais de descendre l'avenue de Friedland, puisque l’Étoile nous était interdite. C'est un spectacle de désolation qui m'attendait : le trottoir disparaissait sous les gravats, les éclats de verre, les débris métalliques, et des grappes de manifestants s'agglutinaient le long des murs, semblant attendre une charge policière qui ne venait pas. Des voitures immatriculées « CD » étaient retournées ou éventrées : un riverain en pyjama, hilare, m'explique alors que ces véhicules appartiennent à des diplomates chinois, tandis que des badauds photographient la scène. Ce qui me surprend alors et me surprendra encore plus quelques heures après, c'est l'apparente indifférence des propriétaires de ces récentes épaves : elles resteront dans la même posture et à la même place des heures durant, bien au-delà de la nuit tombée. D'autres, sans plaque diplomatique et beaucoup moins rutilantes dès l'origine, elles aussi endommagées, seront incendiées par des casseurs même pas encagoulés et, pour au moins deux d'entre elles, bien des heures après leur première dévastation. 

    Un peu plus bas, d'énormes fumées envahissent la rue et surplombent les toits : « Paris brûle-t-il ? ». Aux carrefours, des voitures achèvent de se consumer, et il n'est pas quinze heures... D'autres s'enflamment encore, et les manifestants y semblent presque indifférents, dans une sorte de mélange de colère et de résignation devant ce qui se passe autour d'eux. Les gilets jaunes s'époumonent, et, dans le même temps, applaudissent les camions de pompiers qui arrivent parfois difficilement. Dans une rue, j'aperçois une petite Peugeot blanche qui commence à s'embraser, et je me précipite vers le camion rouge le plus proche pour prévenir de l'incendie qui commence juste, mais une barricade de bric et de broc flambe tout à côté tandis que de la banque voisine (une agence LCL) sortent aussi d'immenses flammes. Les forces de l'ordre prennent prudemment position tandis que les slogans hostiles à M. Macron se succèdent, parfois mêlés à d'autres appelant la police à rejoindre l'émeute... Étonnante situation, qui peut paraître assez paradoxale, de ces foules qui veulent changer de gouvernement et en appellent aux forces de l'ordre pour mener cette « révolution » ! Difficile ensuite de les traiter de « factieux », car ils ne remettent pas vraiment en cause « l'autorité » en tant que telle mais bien plutôt la légitimité de l'actuel locataire de l’Élysée.

    Je rejoins un fort groupe de manifestants, de vrais gilets jaunes et quelques jeunes « anarchistes » avec qui je discute sans cacher mon royalisme : cette sorte de discussion impromptue se reproduira près d'une vingtaine de fois dans l'après-midi et la soirée, et cela avec des gens très divers, des Bretons anciens Bonnets rouges au royaliste quinquagénaire sans étiquette partisane, des retraités (il y en avait beaucoup ce jour-là) de l’Éducation nationale aux mères célibataires et femmes de ménage, des jeunes militantes d'extrême-gauche aux vieux routards des combats syndicalistes, du partisan du Frexit opposé aux onze vaccins à ces couples d'amoureux qui cherchaient juste à échapper au désordre pour continuer leur promenade romantique... Les plus jeunes et les plus novices en manifestation croient que « c'est la guerre », et s'effraient en même temps qu'ils s'enivrent de la situation, revivant ce qu'ils ont vu à la télévision sous l'estampille « Mai 68 », entre autres. Non, ce n'est pas la guerre ; non, ce n'est pas la révolution, mais cela ressemble de plus en plus à une insurrection... 

    Dans une petite rue non loin de la barricade enflammée, des centaines de manifestants se réfugient après une charge des forces de l'ordre en criant des injures moins aimables à l'égard de celles-ci. Un jeune père de famille veut traverser le cortège avec sa petite fille, au moment où les grenades claquent au bout de la rue : je le lui déconseille avec le sourire, et je l'accompagne vers un endroit plus calme où il pourra attendre que les esprits se refroidissent un peu... Quelques minutes plus tard, dans cette rue étroite, se construit une barricade avec une baraque de chantier et du matériel hétéroclite, des planches, des tôles, etc. Mais la charge viendra d'ailleurs, de l'autre rue d'à côté : les manifestants refluent en désordre tandis que les riverains regardent et parfois filment la scène avec leur téléphone. Quelques explosions assourdissantes retentissent, et un épais nuage de fumée incommodante envahit les lieux, de celle qui fait fortement tousser et cracher, tandis que les yeux se mettent à piquer (et un peu plus, même) et à ruisseler. Je ferme la marche, marchant du pas lent de ceux qui n'aiment pas courir (ce qui m'est, d'ailleurs, impossible en ce moment), et tout d'un coup, je vois surgir du brouillard lacrymogène deux motos dont je discerne d'abord seulement les phares. Des motos ! Mais cela ne se peut pas, ou plus ! Depuis la mort de Malik Oussekine, en décembre 1986, et la dissolution des « voltigeurs », il n'y a plus, officiellement, de charges à moto, comme celles que j'avais connues en mai 1983, rue de Rennes, non loin de Montparnasse, lors des manifestations étudiantes (de droite...) contre la réforme universitaire du nom d'Alain Savary. Et pourtant, même si cela n'a été qu'une vision fugace, elle était bien réelle ! En fait, c'est de ces motos que semblent avoir été lancées les dernières grenades assourdissantes.

    Un peu plus loin, sur les marches d'un immeuble, un couple de jeunes manifestants, à mon avis plus « gauchistes » que « gilets jaunes », est recroquevillé, étouffant et pleurant. Je m'approche d'eux, et je pense qu'ils sont à peine sortis de l'adolescence : c'est leur première manifestation, et c'est leur baptême du feu, mais elle en est plus énervée que lui, moins virulent, presque timide. Visiblement, ils reviendront... Je les reverrai quelques heures après, marchant avec d'autres manifestants, jeunes aussi, et possiblement radicaux, mais pacifiques. Mais ils font partie de ces jeunes qui sont plus révoltés que révolutionnaires, et à qui notre société de consommation ne convient plus, et j'avoue partager leur dégoût de cette société-là qui, en définitive, n'est rien d'autre qu'une « dissociété » hautement discutable et contestable qui privilégie la quantité plutôt que la qualité et qui sacrifie l'avenir à l'immédiate jouissance éphémère et addictive. Ont-ils lu Illich, connaissent-ils Bernanos, et Georges plutôt qu'Antonin ? Je n'en sais rien, mais je constate que le vieux royaliste que je suis ne semble pas trop les effrayer, peut-être parce que je crois les comprendre et que, d'une certaine manière, je retrouve en eux, et sous d'autres atours (vestimentaires et sans doute idéologiques), ce que j'ai été jadis, jeune...

    (à suivre)

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Emmanuel Macron abandonné par sa propre majorité ?

    Emmanuel Macron abandonné par sa propre majorité ?

    Dans l’angoisse d’un 4e samedi de manifestations des gilets jaunes, c’est une ambiance de sauve-qui-peut qui commence à régner chez les élus LREM.

    Plusieurs élus de la majorité confient leurs inquiétudes et attribuent le mouvement à l’attitude méprisante du chef de l’État :

    « La peur prend le pas sur tout. Même si la force du vent est forte, il faut trouver des solutions qui ne doivent pas être celles de l’ancien monde »

    « Si on maintient le cap, il va y avoir des manifestations partout. On ne pourra pas jouer le pourrissement. Il faut répondre précisément au problème du pouvoir d’achat, que les ‘gilets jaunes’ voient sur leur fiche de paie une véritable augmentation».

    « Je nierai vous l’avoir dit mais voilà ce que je pense: 80 % du bordel des ‘gilets jaunes’ est le résultat des petites phrases du chef de l’État depuis six mois »

    Le député pointe les séquences des « Gaulois réfractaires » et de « traverser la rue pour trouver un job »…

    Mais attribuer la colère à un défaut de communication du président, c’est n’avoir rien compris au ras-le-bol de la France périphérique, considérée comme une vache à lait, corvéable à merci

    Un député LREM très inquiet :

    “j’ai réuni hier soir mon comité de quartier. Ils étaient 70 au lieu de 20 et tous m’ont demandé : mais que fait le gouvernement pour régler la crise ? Même notre noyau dur s’alarme”.

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-abandonne-par-sa-propre-majorite/