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  • Noël, la beauté dans la vie

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    Nous approchons des fêtes de Noël (l’autre nom du Solstice d’hiver). Associée au sapin toujours vert, Noël a toujours été célébrée dans le pays d’Europe depuis des temps immémoriaux comme la grande fête présageant le renouveau de la Nature et de la vie après la dormition de l’hiver. On ne peut s’empêcher de penser que l’Europe, elle aussi, sortira un jour de son actuelle dormition, même si cela est plus long que dans le cycle de la Nature.

    Noël est la fête des enfants. C’est aussi une fête où la beauté a toute sa place. N’est-ce pas l’occasion de réfléchir sur cette notion vitale, l’une des trois composantes de la « triade homérique » : « la Nature comme socle, l’excellence comme but, la beauté comme horizon » ?

    Plutôt qu’une dissertation sur la beauté, j’ai envie d’offrir à ceux et celles qui me lisent quelques conseils pratiques, sans oublier cependant une réflexion a méditer : l’esthétique fonde l’éthique (le bien est défini par ce qui est beau) tout comme l’éthique fonde l’esthétique (le bien est inséparable du beau).

    Cultivez la beauté (sens esthétique) pour vous-même et pour vos proches. La beauté n’est pas affaire d’argent et de consommation. Elle réside en tout, principalement dans les petits détails de la vie.

    Elle est offerte gratuitement par la nature : poésie des nuages dans un ciel léger, crépitement de la pluie sur une toile de tente, nuits étoilées, couchers de soleil en été, premiers flocons de neige, couleurs de la forêt en hiver, premières fleurs du jardin, hululement de la chouette dans la nuit, odeur d’un feu de bois au-dessus d’une chaumière dans la campagne…

    Si la beauté de la nature nous est donnée, celle que nous créons dans notre vie demande efforts et attention.

    Se souvenir qu’il n’y a pas de beauté (ni de joie) sans harmonie des couleurs, des matières, des formes et des styles. Cela est vrai pour la maison, les vêtements et les petits accessoires de la vie. Proscrire par exemple les matières synthétiques et le plastique au profit des matières naturelles.

    Il n’y a pas non plus de beauté sans courtoisie dans les rapports avec les proches et moins proches (hormis les butors).

    Je notais que l’esthétique fonde l’éthique. En effet, il n’y a pas de beauté sans tenue au moral et au physique. Par exemple, gardez pour vous peines et tracas, ceux du cœur, du corps, du travail ou des fins de mois difficiles. Vous y gagnerez de l’estime pour votre discrétion et la réputation d’une sociabilité heureuse. Vous y gagnerez aussi de l’estime pour vous-même.

    Par avance, joyeux Noël à tous !

    Dominique Venner

    Source: http://www.dominiquevenner.fr/2012/12/noel-la-beaute-dans-la-vie/

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • L'UE distribue des millions au lobby LGBT

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Comme pour nous montrer, quelques mois avant les élections européennes, qu’elle est irrécupérable, l’Union européenne s’est engagée le 11 décembre dernier et dans l’indifférence générale, grâce à un vote du Parlement européen, à verser 1,332 milliard d’euros entre 2014 et 2020 à un programme pluriannuel, en novlangue, de promotion des droits humains et de la démocratie à travers le monde. Il a été mis en place par l’Instrument européen pour la démocratie et les droits de l’homme, l’IEDDH, qui dépend de la Commission européenne. Un plan qui ne connaît pas la crise, lui, puisque la somme votée entre 2007 et 2013 s’élevait déjà à 1,103 milliard ! D’ici la fin du mois de mars 2014, quelques 5 millions d’euros doivent être distribués au lobby homosexuel un peu partout dans le monde – une dizaine d’associations vont bientôt être sélectionnées, affirme le site communautaire Yagg qui cite « une porte-parole de la Commission européenne »."

    Michel Janva

  • Présence de José Antonio

    Créateur de la Phalange, condamné à mort pour rébellion militaire, José Antonio Primo de Rivera (1903-1936) est une figure incontournable du nationalisme espagnol.

    Le personnage central de ce Présence de José Antonio, c’est José Antonio Primo de Rivera y Saenz de Heredia, né à Madrid en 1903. Aîné d’une famille de cinq enfants, il choisit la profession d’avocat après avoir étudié le droit à l’université centrale de Madrid. Fils du général Miguel Primo de Rivera, le dictateur qui gouverne l’Espagne de 1923 à 1930, il se tient à l’écart de la vie politique jusqu’au décès de son père. Il adhère à l’Union monarchique nationale, une organisation éphémère. Son rejet du système droite-gauche le conduit a fonder le Mouvement espagnol syndicaliste (MES), qui entre en contact avec le Front espagnol (FE), qui regroupe les disciples du philosophe José Ortega y Gasset. Il réunit des personnalités venues de droite ou de gauche et fonde un nouveau mouvement : la Phalange espagnole (FE). En février 1934, FE fusionne avec les Juntas de ofensiva nacional-sindicalista (JONS) et devient FE de las JONS. L’organisation est alors dirigée par un comité directeur, qui prend la forme d’un triumvirat constitué par José Antonio Primo de Rivera, Ramiro Ledesma et Julio Ruiz de Alda.

    « Dieu veuille que mon sang soit le dernier versé dans des discordes civiles »

    Plusieurs procès

    José Antonio s’impose comme le principal représentant de FE de las JONS, dont il devient chef national en octobre 1934. Un temps tenté par une sorte de "facisme à l’espagnol", José Antonio trouve une voie propre à l’expression du nationalisme espagnol. Comme député, il dénonce les véritables causes de la révolution d’octobre 1934, et s’oppose à la contre-réforme agraire projetée par les conservateurs ; il critique durement la corruption des politiciens radicaux. Pour s’opposer aux marxistes et aux "vendus" de la droite, José Antonio propose la création d’un Front national. Aux élections de février 1936, la Phalange n’obtient aucun député. Le 14 mars 1936, José Antonio est arrêté avec les principaux dirigeants phalangistes, pour constitution et appartenance à "association illégale". Cette accusation est rapidement abandonnée, mais les dirigeants de la FE de la JONS restent incarcérés sur ordre des autorités gouvernementales du Front populaire. Ils doivent affronter plusieurs procès et ne retrouveront jamais la liberté. Le 5 juin 1936, José Antonio est transféré à la prison d’Alicante.

    Offre de médiation

    Désireux de mettre fin à la tragédie de la guerre civile, il offre sa médiation dans l’espoir de constituer un gouvernement de concentration nationale. Les républicains refusent. Il sera jugé pour rébellion ; condamné à mort, il est fusillé le matin du 20 novembre 1936. Quelques heures avant de mourir, il écrit dans son testament : « Dieu veuille que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles. » Sur sa pierre tombale figure le prénom avec lequel il est entré dans l’Histoire : José Antonio.

    Un livre collectif qui regroupe de nombreuses interventions d’historiens (Philippe Conrad, Arnaud Imatz, Jean Claude Valla, Arnaud Guyot-Janin...) permet de redécouvrir cette haute figure nationaliste espagnole.

    François-Xavier Présent - L’AF 2876

    ✓ Olivier Grimaldi, Présence de José Antonio, Synthèse nationale, 160 p., 18 euros.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Presence-de-Jose-Antonio

  • Le meilleur des monde de Taubira et Vallaud-Belkacem

  • 2014 : déjà 3 manifestations. Et combien de matricules ?

    A partir du 1er janvier, les policiers devront porter un matricule, qui permettra de les identifier plus facilement en cas d'abus d'autorité, de violence ou d'ordre illégal. Les policiers, qui avaient pris l'habitude d'agir en toute impunité, comme nous avons eu l'occasion de le dénoncer à maintes reprises, avalent mal cette nouvelle règle, qu'ils dénoncent.

    Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur, indique :

    « Le matricule assurera la transparence de l'action des forces de sécurité. Ceux qui respectent la loi et le règlement déontologique n'ont par définition rien à craindre. L'idée est de restaurer le lien de confiance avec les citoyens. »

    Inscrite en noir sur une bande de couleur gris perle, cette combinaison aléatoire de sept chiffres apparaîtra sur la boutonnière des policiers.

    Amis manifestants, n'hésitez pas photographier avec vos portables ces chiffres, en cas d'abus avéré de la police lors des prochaines manifestations.

    Michel Janva

  • « Agatha Christie » de Camille Galic

    Agatha Christie, « la plus belle enquête » : Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic
    L’excellente collection « Qui suis-je ?» des éditions Pardès, qui aux côtés de la collection BA-BA conforte une approche encyclopédique non conformiste thématique et biographique, vient de s’enrichir d’un titre qui fera date, l’« Agatha Christie » de Camille Galic. « L’indétrônable impératrice du crime » a trouvé en fait sa biographe sœur. En effet il y a bien des points communs entre « la duchesse de la mort » et la grande dame de la presse qu’est Camille Galic.
    Camille Galic a toujours traité l’actualité comme on mène une enquête. Elle a toujours cherché la vérité derrière les apparences et le vrai criminel derrière la présentation officielle. Un style impeccable, une plume affinée comme un scalpel, Camille Galic a été la référence d’un journalisme de l’investigation de l’intelligence, la référence des journalistes de combat, et elle continue à exercer ses talents sur le site Polémia qui dénonce avec force et pertinence le « totalitarisme médiatique ».
    On peut facilement l’imaginer, d’ailleurs, dégustant un thé au côté d’Agatha dans un lodge de cette Rhodésie où « les Anglais étaient heureux » devisant autour d’une intrigue  de la fin annoncée d’un certain ordre du monde. Comme Agatha, Galic analyse avec un esprit de déduction rationaliste les passions humaines criminelles ou politiques. C’est ce qui fait de cette biographie une biographie de référence, classique dans la forme mais à jamais unique dans le fond. Elle va au-delà de l’œuvre, elle dévoile les secrets de la pensée d’Agatha. Alors, bien sûr, il y a tout, sa vie privée, ses maris, sa disparition mystérieuse, un événement people parmi les premiers médiatisés, ses livres bien sûr, sa passion pour l’archéologie, ses enquêteurs Miss Marple ou Hercule Poirot, son théâtre, etc.
    Agatha Christie est, en effet, l’un des écrivains les plus connus au monde si l’on considère le nombre de langues dans lesquelles son œuvre a été traduite (plus de 7.135 traductions, ce qui en fait l’auteur le plus traduit en langues étrangères selon l’Index Translationum), et l’importance des tirages de ses romans qui en fait la romancière la plus vendue au monde selon le Livre Guinness des records.
    Agatha Christie a écrit 67 romans (dont 6 romances sous le pseudonyme de Mary Westmacott qui correspond à ses écrits les plus personnels), 190 nouvelles réunies en une quinzaine de recueils, 18 pièces de théâtre (+ 5 adaptations par d’autres auteurs), quelques poèmes et une autobiographie. Une grande partie de ses romans et nouvelles a été adaptée au cinéma ou à la télévision (20 films et plus de 100 téléfilms, en particulier Le Crime de l’Orient-Express, Dix petits nègres, Mort sur le Nil et Le Train de 16h50. La BBC a également produit des téléfilms et des émissions radiophoniques de la plupart des histoires qui mettent en scène Hercule Poirot et Miss Marple. L’une de ses pièces de théâtre, The Mouse Trap (La Souricière), a été présentée pour la première fois à Londres en 1952 au St Martin’s Theatre, et détient, depuis, le record de la pièce jouée le plus longtemps sans interruption.
    Le 3 décembre 1926, très affectée par la mort de sa mère et l’infidélité de son mari (amoureux de Nancy Neele, dactylo dans la compagnie d’assurance pour laquelle il travaille, il lui a annoncé son intention de divorcer), Agatha Christie disparaît. Le lendemain, la police retrouve sa voiture, abandonnée près de l’étang de Silent Pool. La presse britannique s’empare alors de l’affaire : suicide d’une femme délaissée, meurtre commandité par son époux voulant retrouver sa liberté, coup de publicité d’une romancière voulant renforcer le succès de ses livres… Les hypothèses ne manquent pas. Elle est retrouvée douze jours plus tard dans le Swan Hydropathic Hotel, hôtel de la station balnéaire d’Harrogate, ayant tout oublié. Agatha devait en retirer à jamais une aversion pour la presse, une crainte panique des journalistes et de la foule  qui la poursuivent tel « un renard traqué dans son terrier par une meute de chiens hurlant sans cesse à ses trousses ». Elle avait bien décrit la chasse à courre médiatique, avant l’heure.
    Dans cette biographie de Camille Galic, on est aux sources des inspirations de l’auteur et on a les explications pour tout comprendre de son œuvre restituée magistralement dans sa diversité.
    Mais il y a plus, bien plus. Derrière une petite jeune fille à la jeunesse dorée d’un autre temps, jusqu’à l’écrivain  britannique la plus connue au monde et anoblie par la reine, il y a une vision du monde qui, pour les tenants du politiquement correct, la classerait dans les vieilles dames indignes. Galic a su le comprendre et le révéler.
    Agatha est une suprématiste anglaise. Traditionaliste mais libre, femme la plus connue du monde mais antiféministe, elle est une femme de velours au mental de fer. Elle est un produit de la fierté impériale d’un pays qui devait gouverner le monde. Elle éprouvera pour le nazisme une fascination-répulsion partagée par bien plus d’Anglais que la version officielle de l’histoire ne le laisse entendre. C’est un volcan maîtrisé, cette femme… une criminelle née devenue enquêtrice pour peut-être dominer ses pulsions.
    Agatha n’a pas toujours été une vieille lady, elle a été une femme amoureuse, jalouse et exceptionnelle. Cela, on le retrouve dans ses romans. Elle n’a aucun complexe du colonisateur, bien au contraire. Elle met l’Anglais au sommet de la chaîne de la civilisation. On tente maintenant de dénaturer parfois son œuvre dans des adaptations pour la faire coller avec le monde d’aujourd’hui, qu’elle aurait méprisé au-delà de l’imaginable. Quand on pense que son livre le plus connu  Les 10 petits nègres a vu son titre changé en S’il n’en restait qu’un on voit en effet qu’il ne reste pas grand-chose de l’univers qui a inspiré Agatha ni de ses valeurs hiérarchisées, un univers où la cruauté et le crime cheminent avec la classe en habits de soirée, où l’on tue en restant un gentleman et une lady dans la fierté de l’empire. La gentry n’est jamais bien loin, l’exotisme non plus, ni l’insolite. L’échec de son premier mariage et la passion réussie avec son second mari font croire qu’un long calme a succédé à une tempête, mais cette biographie montre que l’on peut être l’image de la dignité en étant une rebelle jamais vraiment apaisée.
    C’est une criminelle de papier qui reste d’actualité, jamais démodée, un style qui ne prend pas d’âge tout en nous parlant d’un autre monde où les choses étaient à leur vraie place, même les armes du crime. Il y avait de l’aventurière dans cette femme des salons « cosy » bien ordonnés. Ses voyages, sa passion de l’archéologie en sont des exemples frappants. Avant Indiana Jones, il y eut  Meurtre en Mésopotamie et La Mort n’est pas une fin, une curiosité d’enquête historique qui nous a donné la passion des romans historiques dans l’Egypte antique.
    Demain l’œuvre d’Agatha sera sans doute récupérée et transformée dans des adaptations couleur de notre époque. La récupération chemine avec la trahison. Heureusement il restera ce Qui suis-je de Camille Galic pour ceux qui veulent connaître la vraie personnalité à travers l’œuvre incomparable de l’indétrônable Agatha Christie. Toute vie est une intrigue, toute biographie est une enquête et celle de Camille Galic est fidèle à la lettre et surtout à l’esprit de la Kipling du crime.
    Jean Ansar, 17/12/2013
    http://www.polemia.com/agatha-christie-de-camille-galic/
    Camille Galic, Agatha Christie, Editions Pardès, Collection « Qui suis-je », décembre 2013, 128 pages.

  • Farida Belghoul lance une action nationale pour l’interdiction de la théorie du genre à l’école

    Laurence Rossignol, sénatrice PS, déclarait le 5 avril 2013, sur le plateau de l’émission Ce soir ou jamais : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’État. » Affirmation hallucinante qui va totalement à l’encontre de la déclaration des Droits de l’homme, dont la sénatrice se réclame par ailleurs et qui stipule à l’article 26.3 : « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. »

     

    L’heure est grave...

     

    Le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Châtel, veut généraliser et officialiser l’enseignement de la « théorie du genre » dans les écoles publiques et privées sous contrat à partir de la rentrée 2014.

     

    Vincent Peillon nie totalement l’existence de ce prétendu projet pédagogique. Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, prétend elle aussi que la « théorie du genre » n’existe pas.

     

     

     

    En réalité, cette théorie contre nature, sous des formes diverses, intégrera définitivement les programmes officiels de l’Éducation nationale à partir de la rentrée 2014 avec la complicité de plusieurs syndicats d’enseignants.

     

    Des centaines d’écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental.

     

    Sous couvert de « lutter pour l’égalité et contre les discriminations homophobes », l’Éducation nationale considère que ces questions sont des priorités. C’est pourquoi désormais, enseignants et militants LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transsexuels) abordent en classe l’homosexualité, la bisexualité et la transsexualité.

     

    La pudeur et l’intégrité de nos enfants sont profondément attaquées par « la théorie du genre ».

     

    Cette théorie prétend que nous ne naissons pas homme ou femme mais que nous le devenons à cause des pressions sociales. À leurs yeux, c’est la société qui « construirait » le genre masculin ou le genre féminin, la nature n’y serait pour rien.

     

    Cette théorie dissocie ainsi notre corps sexué de notre identité de genre. Un homme qui se sent femme est du « genre féminin » peu importe son sexe... Une femme qui se perçoit homme est du « genre masculin » indépendamment de son corps. Pour les tenants de la « théorie du genre », on peut être par exemple de sexe masculin et de genre féminin ! Ce ne serait au fond qu’une question de choix personnel !

     

    Toutes les institutions sont touchées. Même l’école ! Surtout l’école ! Le pouvoir actuel prévoit de véritablement rééduquer nos enfants en les « arrachant au déterminisme familial » c’est-à-dire à leurs parents.

     

    D’ores et déjà, des militants du lobby LGBT s’invitent en classe et font la leçon à nos enfants, qui sont accusés d’être porteurs de stéréotypes de genre.

     

    Que sont ces « stéréotypes de genre » ? Ce sont les réactions ou les penchants naturels de nos garçons et de nos filles. Si une fille aime jouer à la poupée, pour le lobby LGBT c’est un stéréotype de genre qu’il faut combattre en la conduisant plutôt à jouer aux petites voitures. Si un garçon veut jouer aux petites voitures, le lobby LGBT l’incitera alors à jouer à la poupée.

     

     

     

    Les collégiens et les lycéens eux-mêmes sont encouragés à douter de leur identité sexuelle sous prétexte qu’ils doivent être libres d’user de leur corps. Ainsi, pour les inciter à explorer de nouvelles pratiques sexuelles, l’école les dirige vers la Ligne Azur, numéro de téléphone et site Internet à destination des adolescents, pour parler d’homosexualité, de bisexualité et de transsexualité... Allez voir ce site recommandé à nos enfants : www.ligneazur.org...

     

    L’Éducation nationale entend mettre les parents devant le fait accompli.

     

    Nous, Pères et Mères, sommes ainsi déclarés incompétents pour éduquer nos propres enfants. L’État veut s’en charger à notre place. Allons-nous accepter que l’école nous dépossède de ce qui nous appartient en premier lieu, à savoir l’éducation ? Nous devons protéger nos enfants. Coûte que coûte.

     

    Une action nationale pour sauver nos enfants

     

    Le gouvernement a méprisé totalement nos manifestations et nos pétitions lorsque nous avons fait la lumière sur ce projet, qui vise à déstabiliser la famille et la société tout entière. Il nous a ignorés, humiliés.

     

    Aujourd’hui, il nous faut donc envisager une action inédite qui touche le cœur du système : une journée sans école par mois pour montrer au ministre de l’Éducation nationale que l’éducation de nos enfants nous appartient, n’en déplaise à Laurence Rossignol. 

    Journée de retrait de l’école
    pour l’interdiction de la théorie du genre
    dans tous les établissements scolaires

     

    À partir de janvier 2014, retirons nos enfants de l’école un jour par mois : choisissez ce jour en concertation avec le comité local dont vous dépendez sans prévenir les enseignants. Vous justifierez l’absence de votre enfant le lendemain par le motif suivant : journée de retrait de l’école pour l’interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires.

     

    Ce symbole est fort : il dit clairement que nous sommes prêts à tout pour empêcher l’Éducation nationale de désorienter, de traumatiser et de déstructurer nos enfants.

     

    Organisons-nous pour faire de cette journée un moment privilégié entre parents et enfants, entre voisins, entre amis : libre à nous de concevoir maintes activités en ce jour de retrait ! En se regroupant, tout est envisageable : spectacles pour enfants, sorties, rencontres, débats, ateliers créatifs...

     

    Le gouvernement ne nous laisse pas le choix, avec l’introduction à notre insu de la « théorie du genre » en classe : en retirant nos enfants de l’école une journée par mois, nous affirmons nos droits fondamentaux et nous passons à la vitesse supérieure.

     

    - Nous, Pères et Mères, sommes les garants de l’innocence de nos enfants. Leur pudeur et leur intégrité sont leurs biens les plus précieux.
    - Nous, Pères et Mères, sommes les protecteurs de nos enfants. Nous en sommes les seuls responsables.
    - Nous, Pères et Mères, sommes les authentiques éducateurs de nos enfants, seuls légitimes à décider pour eux en attendant leur maturité.
    - Nous, Pères et Mères, aimons nos enfants et nous nous sacrifions chaque jour pour eux.
    - Nous, Pères et Mères, organisons une Journée de retrait de l’école (JRE) une fois par mois pour sauver nos enfants.

     

    Farida Belghoul , Pour le Comité national JRE , 18 décembre 2013

     

    Pour suivre l’action menée par Farida Belghoul : jre2014.fr

     

    Voir aussi, sur E&R : « Ligne Azur : quelle approche de la sexualité M. Peillon propose-t-il à nos enfants ? »

    Videos et source=> http://www.egaliteetreconciliation.fr/Farida-Belghoul-lance-une-action-nationale-pour-l-interdiction-de-la-theorie-du-genre-a-l-ecole-22191.html

  • Règle de Volcker : Un grand flou à exploiter pour les banques

    La règle de Volcker, adoptée cette semaine, limite en théorie la prise de risque des banques et leurs opérations en propre, mais elle ne devrait en réalité pas les affecter beaucoup car les exceptions et possibilités d’en contourner la lettre sont légion.

    La règle de Volcker, dont les règles d’application ont été finalement adoptées cette semaine par les agences de régulation financière trois ans et demi après le vote de la loi de réforme financière, vise à limiter les activités spéculatives des banques dont les investissements massifs dans des produits dérivés risqués ont entraîné la faillite de Lehman Brothers et la pire crise financière depuis 1929. Les grandes banques de Wall Street ont dû faire l’objet d’un plan de sauvetage bancaire de dizaines de milliards de dollars du gouvernement américain.

    La règle de Volcker, qui n’entrera totalement en vigueur qu’en juillet 2015, impose essentiellement une limite aux activités de dérivés et interdit aux banques assurées par la banque centrale (Fed) et la FDIC, l’un des organismes de réglementation bancaire, de faire du courtage pour leur propre compte (proprietary trading).

    Mesure inspirée par la baleine de Londres

    Le texte d’application de la loi stipule que les banques doivent justifier leurs “opérations de couverture” (hedging), les opérations de marché visant à contre-balancer une autre opération pour limiter les risques. Ce chapitre a été inspiré par l’affaire dite de la “Baleine de Londres”, qui s’est traduite par une perte de courtage massive de 6 milliards de dollars en 2012 pour la première banque américaine, JPMorgan Chase.

    Des traders du bureau de Londres de la banque avaient acheté des dérivés de crédits européens, affirmant qu’il s’agissait d’achats de couverture, alors que la taille énorme de ces positions très risquées ressemblait plus à de la spéculation. La plupart des banques n’ont pas fait des commentaires sur l’adoption finale du texte d’application de la loi, le PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, se contentant de dire que sa banque allait “s’ajuster” et qu’elle serait “à même de gérer la règle de Volcker“.

    Pour Michael Wong, analyste bancaire au centre de recherche Morningstar, le texte final a plutôt rassuré le secteur bancaire. Les actions de Goldman Sachs et Morgan Stanley ont d’ailleurs progressé après son adoption.

    “Le texte final ressemble au code fiscal américain: on est sensé payer des impôts sur tout mais il y a des tonnes d’exceptions”, indique cet expert. “Là c’est pareil: on n’a pas le droit de faire du courtage en propre sauf pour les bonds du Trésor, pas le droit d’investir dans des fonds spéculatifs sauf si ça pèse moins de 3% des fonds propres, etc.”.

    Michael Wong souligne que la plupart des grandes banques, comme Goldman Sachs, “ont déjà cédé ou fermé leurs activités de courtage en propre les plus visibles” depuis trois ans. Morgan Stanley a même profondément changé son modèle d’activité, réduisant la part du trading pour s’assimiler de plus en plus à un gigantesque gestionnaire d’actif.

    Les inquiétudes bancaires levées

    Au final, le “texte aurait pu être beaucoup plus strict” car le secteur craignait qu’il interdise les activités de teneur de marché (market making) ou les opérations de couverture, explique M. Wong.

    A l’inverse, les banques ont toujours le droit d’acheter certains produits sans que ce soit nécessairement pour se couvrir, du moment qu’il y a une “attente raisonnable” de demande de la part des clients.

    Une formulation suffisamment floue pour quasiment tout justifier.

    Les opérations de couverture devront de leur côté être justifiées une par une.

    “La règle de Volcker est un pas dans la bonne direction, mais dans ces 921 pages, il y a beaucoup de marge pour l’interpréter et les équipes d’avocats des banques sont en train de voir comment la contourner”, juge Cam Harvey, professeur de finance à l’université de Duke.

    Au final, ce sont surtout les coûts de conformité à la loi qui vont s’alourdir pour les banques, estime Michael Wong. Et “si les régulateurs ne la font pas respecter strictement, elle ne servira à rien”.

    La Voix du Nord

    http://fortune.fdesouche.com/323502-regle-de-volcker-un-grand-flou-a-exploiter-pour-les-banques#more-323502