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  • 2 Journées patriotiques : Samedi 10 et Dimanche 11 mai 2014

    SAMEDI 10 MAI 2014 : RÉUNION PUBLIQUE

    THÈME : LE PEUPLE, AVEC :

    BÉATRICE BOURGES, porte-parole du Printemps français, FARIDA BELGHOUL, Présidente de la Journée de retrait de l’école, PAUL-MARIE-COÛTEAUX, président du SIEL (sous réserve), JEAN-CLAUDE MARTINEZ, tête de liste de Force Vie aux Européennes (Sud-Ouest), GUILLAUME DE PRÉMARE, ancien président de La Manif Pour Tous, ARNAUD GUYOT-JEANNIN, écrivain et journaliste, JEAN-PHILIPPE CHAUVIN, royaliste indépendant, ET HILAIRE DE CRÉMIERS, directeur de Politique magazine

    Notre nation et nos lois sont construites autour du Peuple, tout à la fois fin et moyen du Bien commun. Mais le régime démocratique français, l’union européenne et les grands organismes transnationaux refusent désormais de conduire des politiques pour le peuple, même s’ils prétendent gouverner en son nom. A travers deux tables rondes, la première revenant sur un an de violences d’État et de réactions populaires, la seconde envisageant la possibilité de faire émerger un système réellement représentatif, l’Action Française et ses invités posent la question cruciale : quelle est la place du Peuple en France ?

    15H00 - Première table-ronde : « Légitimité(s) populaire(s) : champ(s) d’action(s) »

    C’est du peuple que le pouvoir tient son autorité. Mais une fois cette autorité rituellement déléguée, à chaque élection, le peuple perd tout pouvoir de se faire entendre. Défense de la famille, défense de la vie, défense du travail, défense de la propriété, défense du débat, l’État dénie à chacun le droit de s’exprimer et de s’opposer. Démocratie participative, sondages, manifestes, manifestations, désobéissance civile, quels sont les nouveaux champs d’action populaire, quelle a été leur fécondité, comment asseoir leur légitimité ?

    - François Marcilhac, directeur éditorial de L’Action française 2000 
    - Béatrice Bourges, écrivain, porte-parole du Printemps Français 
    - FARIDA BELGHOUL, Présidente de la Journée de retrait de l’école, écrivain 
    - Jean-Claude Martinez, professeur de sciences-politique, écrivain 
    - Guillaume de Prémare, ancien président de La Manif Pour Tous, consultant en communication

    16H00 - Deuxième table-ronde : « Pays réel, pays légal : nouvelles modalités »

    La vieille distinction maurrassienne paraît gagner chaque année en pertinence, dans le divorce voulu, assumé et même revendiqué entre l’État et le peuple, entre les politiques publiques et les attentes populaires, entre l’affirmation d’un projet démocratique et l’accusation de populisme. Les nouveaux cadres économiques, politiques et sociaux envisagés à terme (nouveaux modes de scrutin, nouveaux découpages territoriaux, nouvelles compétences européennes…) peuvent-ils permettre de réduire la fracture ?

    - Philippe Mesnard, journaliste 
    - Arnaud Guyot-Jeannin, écrivain et journaliste 
    - Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire 
    - Stéphane Blanchonnet, président du Comité Directeur de l’AF 
    - Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine 
    - Paul-Marie Couteaux, président du SIEL (sous réserve)

    19H00 - BANQUET D’ACTION FRANÇAISE

    Venez partager un grand moment d’amitié d’Action française. La réputation des banquets n’est plus à faire ! Les chants de combat, les chants royalistes, les chants de traditions,… Au cours de ce banquet Olivier Perceval, secrétaire-général du CRAF et Antoine Desonay, secrétaire-général des étudiants d’AF prendront la parole.

    Foyer de Grenelle - 5, rue de la Croix-Nivert - 75015 Paris

    - Colloque seul : Etudiants et chômeurs : 6 €, tarif normal : 10 € 
    - Banquet seul : Etudiants et chômeurs : 16 €, tarif normal : 22 € 
    - Colloque + banquet : Etudiants et chômeurs : 20 €, tarif normal : 30 €

    Madame, Mademoiselle, Monsieur : …………………………….……………………………………………

    Adresse : ……………………………..…………………………………………………………………………

    Téléphone : ……….………………… Courriel : ………………………………………………...……………

    Réservation obligatoire. Renseignements : contact@actionfrancaise.net - Chèque à l’ordre du CRAF - 10, rue Croix-des-Petits-Champs -75001 ParisWWW.ACTIONFRANCAISE.NET

    DIMANCHE 11 MAI À 10 HEURES PLACE L’OPÉRA : DÉFILÉ DE JEANNE D’ARC

    Paris, 11 mai 2014 : CORTÈGE DE JEANNE D’ARC

    TOUS AVEC JEANNE POUR LA FRANCE !

    11 MAI 2014, RENDEZ-VOUS À 10 HEURES PLACE DE L’OPÉRA

     
  • Avant le XXe siècle, la France n'a jamais été une terre d'immigration

    Contre-vérité démontée par Laurent Dandrieu dans Valeurs actuelles :

    F"[...] contre-vérité : la France aurait toujours été une terre de métissage et l’expression “Français de souche” serait donc un non-sens. L’antienne n’est pas neuve ; auteur d’une monumentale Histoire de la population française, le démographe Jacques Dupâquier la réfutait déjà au milieu des années 1990 : « C’est un fantasme. De l’an 700 jusqu’en 1800 [la France] n’a reçu que très peu d’apports extérieurs. […] Pour ce qui est de la masse de la population française, ce qui est vraiment incroyable, c’est la permanence du peuplement. » Ce n’est qu’après les deux guerres mondiales que se produisent des mouvements significatifs.

    Apparus seulement au XXe siècle et s’accélérant dans les trente et plus encore les dix dernières années, les flux migratoires étaient jusqu’alors essentiellement composés de populations européennes et catholiques, au rebours de ce qui se passe aujourd’hui. « Nous avons sous-estimé la spécificité de l’islam, note la démographe Michèle Tribalat, en présumant qu’il ne rendrait pas les musulmans plus difficiles à assimiler que ne l’avaient été les migrants en provenance d’Europe. » Le caractère massif de cette immigration, comme son extériorité à la culture européenne, ont favorisé le développement d’un communautarisme vis-à-vis duquel les pouvoirs publics se sont montrés dangereusement bienveillants, comme tétanisés par le risque de paraître stigmatiser des cultures étrangères, et paralysés par l’idée que réclamer aux nouveaux arrivants d’assimiler la culture française puisse apparaître comme une foi dans la supériorité de celle-ci. [...]"

    Michel Janva

  • Droit de vote des femmes : l'hypocrisie de la gauche républicaine

    Lu dans l'Action Française 2000 à propos du 70e anniversaire de l'instauration du droit de vote des femmes en 1944 par le GPRF (Gouvernement provisoire de la République français) :

    "En effet, des historiens comme Régine Pernoud et Jacques Heers ont bien montré que les droits des femmes en général (y compris en ce qui concerne le vote) étaient plus importants dans le Moyen Âge européen et chrétien qu'ils ne le seront par la suite avec la Renaissance et surtout avec la Révolution française et le code Napoléon. Les "progrès" dans la reprise du droit romain à l'époque moderne auront pour conséquence de faire de la femme une éternelle mineure.

    On oubliera aussi certainement de mentionner le fait qu'en France, au XXe siècle, l'extension du droit de vote aux femmes s'est fait plus tard qu'ailleurs en grande partie parce qu'une large fraction de la gauche s'y opposait, suspectant une trop grande emprise du clergé et de la "Réaction" sur l'esprit des Françaises !

    En ce qui nous concerne, nous raisonnons comme Maurras dans L'AF du 17 février 1917 alors que le débat occupait déjà les esprits (notamment parce que Maurice Barrès, pas vraiment un gauchiste ou un féministe, voulait octroyer le droit de vote aux veuves et aux mères des soldats morts pour la France) : « Nous ne sommes pas plus opposés au vote des femmes qu'au vote des hommesquand ils s'appliquent à des objectifs dont l'électeur et l'électrice peuvent connaître véritablement. Hors de là, c'est une noire fumisterie qui revêt quelquefois une couleur de sang, comme, par exemple, quand la loi ou la constitution raconte aux malheureux votants qu'ils sont les maîtres de la paix et de la guerre ou que leur suffrage peut arbitrer des intérêts généraux que, par position, ils ne sauraient même percevoir. »"

    Michel Janva

  • Droit de vote des femmes : l'hypocrisie de la gauche républicaine

    Lu dans l'Action Française 2000 à propos du 70e anniversaire de l'instauration du droit de vote des femmes en 1944 par le GPRF (Gouvernement provisoire de la République français) :

    "En effet, des historiens comme Régine Pernoud et Jacques Heers ont bien montré que les droits des femmes en général (y compris en ce qui concerne le vote) étaient plus importants dans le Moyen Âge européen et chrétien qu'ils ne le seront par la suite avec la Renaissance et surtout avec la Révolution française et le code Napoléon. Les "progrès" dans la reprise du droit romain à l'époque moderne auront pour conséquence de faire de la femme une éternelle mineure.

    On oubliera aussi certainement de mentionner le fait qu'en France, au XXe siècle, l'extension du droit de vote aux femmes s'est fait plus tard qu'ailleurs en grande partie parce qu'une large fraction de la gauche s'y opposait, suspectant une trop grande emprise du clergé et de la "Réaction" sur l'esprit des Françaises !

    En ce qui nous concerne, nous raisonnons comme Maurras dans L'AF du 17 février 1917 alors que le débat occupait déjà les esprits (notamment parce que Maurice Barrès, pas vraiment un gauchiste ou un féministe, voulait octroyer le droit de vote aux veuves et aux mères des soldats morts pour la France) : « Nous ne sommes pas plus opposés au vote des femmes qu'au vote des hommesquand ils s'appliquent à des objectifs dont l'électeur et l'électrice peuvent connaître véritablement. Hors de là, c'est une noire fumisterie qui revêt quelquefois une couleur de sang, comme, par exemple, quand la loi ou la constitution raconte aux malheureux votants qu'ils sont les maîtres de la paix et de la guerre ou que leur suffrage peut arbitrer des intérêts généraux que, par position, ils ne sauraient même percevoir. »"

    Michel Janva

  • 40 Days for Life : 661 enfants à naître sauvés de l’avortement

    C'est le dernier chiffre obtenu, quelques jours après la fin de la campagne de veilles organisées par les 40 Days for Life.

    Michel Janva

  • Martine Aubry perd la métropole de Lille

    Damien Castelain a été élu aujourd'hui président de Lille Métropole. Le maire de Lille, Martine Aubry, qui occupait ce poste depuis 2008, ne s'est même pas présentée, mettant fin à près d'un demi-siècle de domination socialiste.

    Maire de la petite commune de Péronne-en-Mélentois (environ 900 habitants) il a devancé avec 108 voix sur 175 exprimées le candidat de la droite et du centre, l'UMP Bernard Gérard (62 voix), et Eric Dillies (FN, 5 voix).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/martine-aubry-perd-la-m%C3%A9tropole-de-lille.html

  • L'Affaire Aquilino Morelle ou le double discours du PS

    Cette affaire n'est pas seulement symptomatique du trafic d'influence. Elle est aussi caractéristique de l'hypocrisie mensongère d'une certaine classe politique. En 2010, il écrivait une tribune dans Libération (elle est accessible ici) :

    "Stupéfiés, accablés, révoltés, les Français assistent, à l’occasion de «l’affaire Bettencourt-Woerth», à la mise à nu d’une part constitutive de l’identité de la droite : la consanguinité du monde des «riches» et de celui des «puissants», le rapport incestueux entre le pouvoir et l’argent, le déni - d’un telcynisme qu’il tourne à la naïveté - de ce qu’est un conflit d’intérêt."

    Il aurait même pu écrire cette tribune en pensant à lui-même :

    "Ce qui rend la situation actuelle grosse de dangers pour le pouvoir, ce n’est pas le seul dévoilement de cette réalité, ni même que cette révélation intervienne alors que la crise économique et sociale est profonde, mais le fait que le pouvoir, tournant le dos à ses engagements, pratique une politique injuste et contraire aux promesses accordées."

     Et il précise :

    "La question de la compatibilité entre l’argent et la gauche renvoie ici à celle de la distance. En l’occurrence, la distance qu’il faut savoir mettre, lorsqu’on est un responsable politique de gauche, entre soi et l’argent - et ceux qui le détiennent. Cela ne signifie pas l’interdiction de vouloir progresser socialement, de chercher à mettre les siens à l’abri du besoin, ni même de s’enrichir. Pas davantage la condamnation du monde de l’entreprise, dont la finalité reste pourtant le profit. Cela veut dire que dans la relation, inévitable, que nous entretenons tous avec l’argent il faut savoir conserver une distance, la distance qui permet de rester libre. Libre de ses appréciations, de ses choix, de ses décisions."

    Michel Janva