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  • Bienvenue dans la galère des fourberies du politiquement correct !

    La triade infernale qui règne dans le microcosme politico-médiatique, pensée unique, politiquement correct et terrorisme intellectuel, vient d’inventer un nouveau concept inquiétant et révélateur. Si vous dites qu’il y a un lien entre l’immigration et la délinquance, vous êtes raciste, cela va de soi.

    Si vous rappelez que l’esclavage a été pratiqué dans le monde musulman, et notamment en Afrique dans les ports d’Alger ou de Zanzibar, vous êtes un islamophobe doublé d’un nostalgique de la colonisation, c’est une évidence. Si vous précisez que les nazis et leurs complices n’ont pas organisé la déportation d’homosexuels à partir du territoire français, vous êtes un odieux homophobe, ça ne fait pas un pli. Indignation surjouée, surexposition médiatique, surabondance lexicale pour dénoncer l’odieux, le sulfureux, l’infréquentable ; présomption de culpabilité… et une association grassement subventionnée ou un parquet zélé vous envoient en correctionnelle. Ce scénario est habituel. Il rencontre un obstacle : les statistiques ou les faits historiques qui donnent raison à celui par qui le scandale arrive.

    Les immigrés sont suffisamment discriminés sans qu’on donne une bonne raison d’en limiter le flux. Des musulmans donnent, dans le monde, assez d’exemples de fanatisme pour qu’on ne rappelle pas de façon maladroite que le respect des droits de l’homme n’est pas la tasse de thé de l’islam. Les droits revendiqués par le lobby homosexuel trouvent dans la victimisation un argument de poids. Honte à celui qui en atténue l’effet, même si les faits accréditent ses propos. Décidément, Molière a tout dit ! On retrouve Philinte disant à Alceste : « Il est bon de cacher ce qu’on a dans le cœur. Serait-il à propos et de la bienséance de dire à mille gens tout ce que d’eux on pense ? » Alors la meute de la bien-pensance officielle ne lâche pas sa proie. Celle-ci disait vrai ? La belle affaire ! Peu importe ce qui est vrai ou non. C’est le ton qui est insupportable. [...]

    Christian Vanneste - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Bienvenue-dans-la-galere-des

  • Le choix du futur président de la Commission européenne : une illusion de démocratie ?

    Un argument martelé à l’envi par les socialistes mais aussi par le candidat européiste de l’UMP Alain Lamassoure (candidat peu apprécié et peu soutenu par les militants parisiens de son propre parti…) dans cette campagne électorale européenne, c’est que le prochain président de la Commission européenne sera choisi par les députés issus du scrutin de la fin mai. 

    Or, vérification faite, rien n’est moins sûr, et l’argument tient plus de l’interprétation que de la lecture rigoureuse du traité de Lisbonne sur lequel les socialistes s’appuient, ce même traité qu’ils se sont jadis empressés de faire avaliser par les parlements nationaux pour éviter que les peuples français et hollandais ne le rejettent comme en 2005…

    En effet, le traité de Lisbonne évoque le fait que, pour proposer un candidat à la présidence de la Commission, les dirigeants des vingt-huit Etats membres de l’Union européenne doivent désormais tenir compte du résultat des élections et des rapports de force internes au Parlement (ce qui laisse plus d’une possibilité, d’ailleurs, et sans doute beaucoup de manœuvres, voire de « petits arrangements entre amis »…), mais rien de plus ! [...]

    Jean-Phlippe Chauvin - La suite sur Nouvelle Chouannerie

  • Pas politiquement correct… avec Jean-Pax Méfret

    Le 1er avril 2012, sans tapage médiatique, sans moyens publicitaires, juste par le bouche-à-oreille, Jean-Pax a rempli l’Olympia : 2 000 personnes étaient venues de toute la France pour assister à cet évènement.
    Vous partagez ce grand moment avec un extrait de PAS POLITIQUEMENT CORRECT parmi les 28 chansons interprétées par Jean-Pax : Les galères ● Veronika ● Jour J ● Le doute ● Beyrouth ● Au nom d’Allah ● Ceux qui ont choisi la France (les harkis) ● Les barricades ● Le pays qui n’existe plus ● Le vieux soldat ● Le camp des solitaires ● Camerone ● Djebel amour ● Dien Bien Phu ● Medley (L’enfant du flic, La médaille, Le loup de guerre, La musique s’est arrêtée) ● Faire part ● L’île Saint-Louis ● À qui la faute ? ● Flash ● Afghanistan ● Les oies sauvages ● Années 60 ● L’été 62 ● Le chanteur de l’Occident ●
    Retrouvez l’ambiance de ce concert exceptionnel en DVD et sur Double-CD surDiffusia.fr
    Réalisation de Didier Froehly.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Ukraine : l’Union européenne les pieds dans la gadoue !

    Demain, une partition du pays sera inévitable : l’Ouest soutenu par l’Union européenne et l’Est aidé par la Russie.   

    Le 13 mai 2014, le gouvernement provisoire ukrainien mené par le Premier ministre Arseni Iatseniouk sera reçu par la Commission européenne à Bruxelles. Mais quel gouvernement ?

    Un gouvernement qui s’est proclamé illégitimement à Kiev après avoir destitué, par la rébellion, le gouvernement légitime. Pourtant, le gouvernement de Viktor Ianoukovitch a bien été élu démocratiquement, même s’il était totalement corrompu. Il avait lui-même succédé à un gouvernement tout aussi corrompu dirigé par Ioulia Timochenko et qui a l’audace de se représenter !

    Ce gouvernement illégitime, dont les premières mesures ont été totalement irresponsables, et qui a créé une fracture irrémédiable avec l’autre moitié de l’Ukraine, celle de l’Est, notamment en interdisant la pratique de la langue russe parlée par 50 % de la population.

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  • Marine Le Pen : "je reviendrai sur le 'mariage" homosexuel"

    Marine Le Pen, tête de liste aux européennes dans le Nord, répond à son tour àPrésent :

    "Christine Boutin qui a lancé ses listes Force-Vie chasse clairement sur vos terres. Elle vous a attaqué très directement en affirmant notamment que « toutes les références chrétiennes sont éliminées du Front national et que vous avez abandonné les fondamentaux sur la vie et la dignité humaine ». Pensez-vous que son pourcentage de voix puisse vous porter tort ?

    Je trouve les attaques de Mme Boutin particulièrement outrancières et scandaleuses. Je n’ai pas de leçon à recevoir de quelqu’un qui a retiré sa liste au bénéfice de Nicolas Sarkozy en se faisant payer 600 000 euros par l’UMP. Christine Boutin a participé à un gouvernement qui a œuvré contre la famille et contre les valeurs traditionnelles de la France. Et qui a même tenté d’aller jusqu’à inscrire le communautarisme dans la Constitution française – c’était une mission qui avait été confiée à Nicolas Sarkozy par Simone Veil. Le simple fait d’avoir participé à ce gouvernement décrédibilise à mon avis Mme Boutin jusqu’à la fin des temps. Et elle a toujours apporté les voix de ses électeurs à ces gouvernements-là en toutes circonstances, sans aucune exception.

    — Elle affirme aujourd’hui à ce sujet qu’elle a changé.

    Le « j’ai changé » c’est un peu usé jusqu’à la corde, non ? Nicolas Sarkozy l’a utilisé déjà deux fois, il peut d’ailleurs encore l’utiliser une troisième fois. Je répète ce que je vous disais tout à l’heure : tous ceux qui changent juste avant les élections, sont des menteurs.

    Vous réaffirmez que vous reviendrez sur le « mariage » gay ?

    Oui je l’ai dit. Je suis contre le « mariage » homosexuel et je reviendrai sur le « mariage » homosexuel dans le cadre de l’état de droit. A savoir sans rétroactivité. Ceux qui ont été mariés le resteront. Mais il n’y aura plus de « mariage » homosexuel en France. Je reviendrai sur cette loi. Sans tambours ni trompettes, à la différence d’autres qui se sont beaucoup agités pendant ce débat, qui ont fait beaucoup de déclarations tonitruantes et qui le jour où la loi a été votée ont indiqué – comme l’a fait Jean-François Copé en tête – qu’évidemment ils ne reviendraient pas sur une loi qui a été votée."

    Michel Janva

  • Les relations Russie-Biélorussie – l’affaire Uralkali

    « La Russie nous [la Biélorussie] traite comme ses vassaux. Nous sommes une nation gouvernée de facto par la Russie dans les secteurs clés » (1). Mais plus encore qu’à un gouvernement de facto, c’est à l’absorption que la Russie aspire.

    Par Mathieu PIEROTTI

    Elle partage avec la Biélorussie une langue, une ethnie, une histoire, une religion et les deux nations sont intimement liées tant sur le versant politique que sur le versant économique.

    Assénée régulièrement par le Président russe V. Poutine mais aussi par son homologue A. Loukachenko, la fusion politique des deux Etats, « possible [et] désirable » (2), était encore récemment envisagée dans un contexte de crise économique majeure en Biélorussie et concomitamment à la vente d’une partie stratégique de son industrie en échange de moyens de financement.

    Avec l’affaire Uralkali – dont les tenants et les aboutissants ne sont pas entièrement démêlés – s’envolent déjà les illusions des plus crédules mais nous verrons à quel point, au contraire, elle est symptomatique d’une relation en dents de scie qui, depuis l’arrivée au pouvoir de V. Poutine, prend la tournure d’un mariage forcé sans réelle stratégie de long terme.

    L’affaire s’est amorcée fin juillet, lorsque l’entreprise publique russe Uralkali, géant de la production de potasse – un fertilisant utilisé massivement dans les engrais –, s’est retirée d’un consortium auquel elle appartenait avec l’entreprise biélorusse Belaruskali. Le retrait est intervenu après que A. Loukashenko ait autorisé la vente de potasse en dehors du consortium qui pourtant constituait un acteur majeur, quasi-monopolistique, sur le marché. A l’instar de l’OPEP pour le pétrole ou de De Beers pour les diamants, les deux entreprises surévaluaient les prix en formant un cartel avec quelques groupes canadiens. Rien ne justifiait donc, a priori, la décision du Président biélorusse et la crise diplomatique qui s’en est suivie. L’affaire s’est ensuite envenimée avec l’arrestation du Directeur général d’Uralkali au sortir d’une réunion avec le Président biélorusse et sur invitation de ce dernier. Le marché de la potasse a plongé de près de 25% et reste très instable alors que l’avenir du consortium est toujours incertain.

    Il serait donc légitime de penser que l’affaire Uralkali porte un sérieux coup à l’intégration politique progressive de la Biélorussie à la Russie (I). Néanmoins, le scandale reste dans la droite ligne des « guerres » commerciales (II) auxquelles se sont livrées les deux nations et qui n’ont su entraver le processus de rapprochement. Les motivations sous-jacentes de l’affaire, initiée par la Biélorussie contre ses propres intérêts, restent cependant mystérieuses. Il est donc légitime de s’interroger : A qui profite l’affaire Uralkali ? (III)

     

    I – Une atteinte apparente à l’intégration politique progressive de la Biélorussie

    Le processus d’intégration de la Biélorussie débute dès la chute de l’URSS lorsque le 8 décembre 1991, la Communauté des Etats Indépendants est créée. Mais les tentatives russes de retenir ses anciennes républiques dans son giron resteront vaines de nombreuses années, la Biélorussie, comme les autres Etats de l’ « étranger proche », dérivant vers l’Ouest. C’est pourquoi dès 1993, la Russie a adopté une nouvelle politique étrangère, calquée sur la « doctrine Monroe » américaine, octroyant un statut prioritaire à la Biélorussie, de même qu’à l’Ukraine et qu’au Kazakhstan.

    Dès 1995, un traité d’amitié et de coopération relance le processus d’intégration qui prendra la forme d’une « communauté » en 1996 et d’une « union » en 1997-1999. Une zone de libre-échange puis une union douanière sont créées et la Russie accorde à son allié de nombreux tarifs préférentiels notamment en matière énergétique. Malgré une période d’accalmie durant les deux premiers mandats de V. Poutine, l’objectif d’intégration politique par la création d’une fédération émerge régulièrement et l’Union Eurasienne de 2010 en est le point de départ.

    L’affaire Uralkali intervient ainsi paradoxalement dans un contexte que les protagonistes décrivent comme chaleureux. Mais si l’on pourrait croire qu’elle porte un coup certain aux aspirations de réunification, elle n’est en réalité qu’un énième soubresaut dans le cours d’une lente agonie qui découle de l’utilisation agressive par la Russie de son économie résurgente.

    II – Un scandale dans la droite ligne des « guerres » commerciales

    Avec l’arrivée au pouvoir de V. Poutine, la coopération progressive s’est transformée en bras de fer. Bien que moins en lumière que celui qui implique l’Ukraine, il n’en est pas moins violent et efficace. Son succès repose sur l’absence, pour la Biélorussie, d’échappatoire stratégique puisque l’Union européenne la considère toujours comme « la dernière dictature d’Europe ». Cette stratégie russe n’a pas oscillé avec l’arrivée de D. Medvedev au pouvoir, V. Poutine demeurant la référence en matière de politique étrangère, particulièrement dans l’ « étranger proche ».

    Les « guerres » commerciales se sont donc enchainées à tel point que la Biélorussie est souvent considérée comme ne possédant plus qu’une demi souveraineté. A chaque semonce, la Russie s’approprie une partie de l’industrie stratégique biélorusse, principalement en matière énergétique. Elle utilise pour ce faire divers leviers mais la totale dépendance Biélorusse concernant le gaz, le pétrole et l’électricité fait de l’énergie son levier favori. On parle de« diplomatie de la valve » (3), illustrée essentiellement entre 2006 et 2010.

    L’affaire Uralkali ne se situe pas dans cette lignée puisque V. Poutine a préféré, cette fois-ci, utiliser la dette biélorusse dont la Russie est en grande partie détentrice en conditionnant l’obtention de nouveaux financements. Egalement, il menace l’industrie laitière d’une crise de grande ampleur, à l’image de celle de 2009 (4) et a déjà coupé ses importations de porc. Dans ce contexte, cette affaire doit se comprendre comme une nouvelle épreuve de force qui, loin de stopper l’intégration biélorusse, la renforcera de manière autoritaire. La Biélorussie commence déjà à céder, mi-octobre, et demande la réintégration d’Uralkali dans un nouveau consortium afin de recréer le cartel qui fonctionnait si bien. Nul doute qu’A. Loukachenko obtiendra satisfaction, mais à quel prix ? Un tel dénouement était prévisible. Difficile donc de comprendre la décision, en juillet dernier, de mettre à l’écart la Russie en vendant de la potasse de façon autonome. Mais alors, à qui profite l’affaire Uralkali ?

     

    III – A qui profite l’affaire Uralkali ?

    Après avoir replacé les événements dans leur contexte, déterminé leurs conséquences, précisé leurs tenants et aboutissants, nous aurions pu en rester là. Mais de telles considérations ne donnent pas de réponses sur l’existence même de la crise. Pourquoi le Président A. Loukachenko a-t-il pris une telle décision ?

    L’une des raisons possibles est liée à la dépendance énergétique. Les prix du gaz pour l’année 2014 ont été fixés discrètement en septembre et n’ont pas fait l’objet d’une augmentation. La crise a offert à A. Loukachenko l’opportunité de faire un geste – libérer le directeur d’Uralkali par exemple – si la Russie avait décidé d’augmenter ses tarifs. Cette dernière, si elle avait persisté, aurait alors été immédiatement perçue de manière négative. Ce n’est pas négligeable lorsque l’on sait les implications qu’ont pu avoir de telles batailles informationnelles en Biélorussie comme en Ukraine.

    Certains voient également dans ce scandale une manœuvre du Président russe pour évincer le puissant milliardaire S. Kerimov, propriétaire d’Uralkali à hauteur de 21.75%, et sous mandat d’arrêt biélorusse. S. Kerimov, bien que proche du Kremlin, est un appui de poids pour D. Medvedev et le principal soutien financier de la campagne anti-poutine qui a précédé les dernières élections (5). Il a effectivement vendu l’intégralité de ses parts, reprises pour partie par un proche de V. Poutine et pour partie par un fond d’investissement chinois.

    En conclusion, il est peu probable que les motivations sous-jacentes soient révélées un jour. Du point de vue Biélorusse, « la Russie poursuit des objectifs de court terme et étroits d’esprit […], basés sur les instincts primaires. Elle n’a aucune stratégie » (6). Il n’empêche que depuis quatorze années au pouvoir, V. Poutine n’a pas laissé à la Biélorussie l’opportunité d’affirmer des velléités centrifuges. L’affaire Uralkali lui a permis de consolider encore un peu plus sa position dominante.

    BIBLIOGRAPHIE

    • Sur l’affaire Uralkali

    The New York Times, « A bitter ‘fertilizer war’ gripping Belarus and Russia is helping U.S. farmers », 16 septembre 2013
    Vedomosti, « В Россиивозбудилиделов отношенииБаумгертнера » (« En Russie, l’affaire Baumgertner repart », traduction de l’auteur), 14 octobre 2013

    • Sur les relations entre la Russie et la Biélorussie

    Dura G., « The EU’s Limited Response to Belarus’ Pseudo ‘New Foreign Policy’ » CEPS Policy Brief No. 151, Février 2008
    Guillet J., « Gazprom as a predictable partner. Another reading of the Russian-Ukrainian and Russian-Belarussian energy crises », Russie NEI Vision n°18, Mars 2007
    Hancock, K. J., « The Semi-Sovereign State: Belarus and the Russian Neo-Empire », Foreign Policy Analysis, Vol. 6, pp. 117-136, 2006
    Martinsen K. D., « The Russian-Belarussian Union and the near abroad », NATO Paper, Norwegian Institute for Defence Studies, Juin 2002, 38p.
    Tarr G. D., « The Eurasian Custom Union among Russia, Belarus and Khazakstan: can it succeed where its predecessor failed? », 2012, disponible sur SSRN :http://ssrn.com/abstract=2185517 (dernière vérification le 15 octobre 2013)
    Yakovlev Golani H., « Two Decades of the Russian Federation’s Foreign Policy in the Commonwealth of Independent States: The Cases of Belarus and Ukraine », Working Papers, Forum Européen de l’Université de Jérusalem, 2011
    Zigard M., Panouchkin V., Газпром, новое русское оружие(« Gazprom, la nouvelle arme russe », traduction de l’auteur), Moscou, 2008, 124p.

    notes :

    1. Témoignage de Mikhalevich A. (traduction de l’auteur) dans S. Batory Foundation, « Belarus: Neither Europe, nor Russia – Opinions of Belarusian elites », S. Batory Foundation, Warsaw, 2006, 238p., p. 171

    2. The Wall Street Journal, « Putin supports merger of Russia and Belarus », 2 août 2011

    3. «Вентильная дипломатия» (« La diplomatie de la valve », traduction de l’auteur), Kommersant, le 16 juin 2006

    4. Kamenev M., « Russia Belarus relations sour over milk ban », Time, le 16 juin 2009

    5. Vershinin L., «Россия не объявляла войну Белоруссии» («La russie n’a pas déclaré la guerre à la Biélorussie», traduction de l’auteur), IA Rex, le 31 août 2013

    6. Témoignage de Byalyatski A. (traduction de l’auteur) dans S. Batory Foundation, « Belarus: Neither Europe, nor Russia… »op. cit., p. 162

    infoguerre.fr

  • Multiples glissages de quenelle aux merdias par Meta TV

    croah.fr: Meta TV rencontre les médias mainstream BFM France 2 RTBF Canal + le 04 mai au Congrès de la dissidence organisé par Debout les belges à Anderlecht.
    Tepa clash les journalistes mainstream présents qui n’osent pas répondre aux questions, une entrevue a été filmé par BFM qui n’a pas souhaité diffuser les images , nous nous en chargeons pour elle.
    Désormais nous vous regardons et la peur doit changer de camp.


    Tepa – MetaTV vs Les Médias Mainstream – Round… par metatvofficiel

  • Christine Boutin n'aurait aucun problème à travailler avec Bruno Gollnisch

    Christine Boutin a accepté de répondre au quotidien Présent. Extrait :

    "Vous savez bien ce que l’on va vous objecter. Vous avez présenté vos candidats comme les seuls « anti-système ». A la différence des candidats du « PS, de l’UMP et du FN qui sont tous dans le système », avez-vous déclaré. Venant d’une élue qui a toujours appartenu au système et qui à chaque fois qu’elle a prétendu faire cavalier seul et promis qu’elle ne se rallierait à personne, a toujours fini par rapporter ses voix aux gouvernements de la culture de mort, à Chirac, à Sarkozy, ça va convaincre qui ?

    Je comprends votre question et ce n’est pas facile de vous répondre. C’est une question de fond. Soit vous me croyez, soit vous ne me croyez pas. C’est votre liberté. Lorsque je suis arrivée à l’Assemblée nationale en 1986 je ne savais pas trop ce que j’allais y faire. Sauf que je me suis souvenue que je m’étais tue en 1976 au moment de la loi sur l’avortement. J’ai décidé alors d’être le député de la vie. J’ai décidé de m’engager. Dans une inconscience totale. Parce que peut-être que si j’avais su tout ce que j’allais subir, j’aurais calé. Il m’a fallu le temps. Et il a fallu que l’évidence apparaisse dans la classe politique française. Je ne me suis pas rapproché du Front national à ce moment parce qu’à mes yeux il pratiquait l’exclusion et je ne suis pas une femme d’exclusion. J’ai donc regardé autour de moi à droite avec qui je pouvais travailler. En ce qui concerne M. Chirac je me suis présentée en 2002 à la présidentielle. J’ai fait 1,19 %. J’ai négocié à l’époque avec Jacques Chirac entre les deux tours.J’ai demandé, en échange de mon retrait, qu’il y ait des structures d’accueil des femmes en détresse, enceintes, qui voulaient garder leur enfant. Il a dit oui. Et il n’a pas réalisé ces structures d’accueil. En 2007 il y a eu une négociation entre Sarkozy et moi, en tête à tête. Je lui ai demandé trois choses en échange de ma non-présentation à l’élection présidentielle : pas de « mariage » homosexuel, pas d’euthanasie et pas de recherche sur l’embryon. Il a accepté et il a tenu ses promesses. Je suis devenue ministre, ce qui a été une magnifique expérience. Ce qui prouve aussi que l’on peut avoir des convictions et avoir tous les hochets de la République. Ils ne m’impressionnent pas mais je les ai tous eus. En 2012, j’ai vu l’évolution de l’environnement de Sarkozy sur les questions de société et j’ai été convaincue qu’un accord ne serait pas suffisant. Il fallait donc que je me présente, ce que j’ai fait. Sarkozy a demandé à me rencontrer et je lui ai demandé à nouveau : pas de « mariage » homosexuel, pas d’euthanasie et pas de recherche sur l’embryon.Il a alors donné une interview très claire sur ces trois points au Figaro Magazine. J’avais donc ma garantie, je me suis retirée avant le premier tour. Je n’avais d’ailleurs aucune chance d’être élue et je prenais des risques financiers personnels. J’ai suivi Sarkozy pendant sa campagne et il a été formidable. Mais il a été battu.

    Vous pouvez donc jurer que vous n’allez pas apporter de la même façon vos voix à Jean-François Copé en 2017, qui lui n’entend pas revenir sur la loi Taubira sur le « mariage » homosexuel ?

    Je n’ai pas l’habitude de jurer et donc je ne jurerai pas. Mais croyez-moi, je n’ai plus rien à faire avec ces gens-là. Mon âge, 70 ans, devrait vous rassurer. Et c’est l’âge de la vraie liberté. 2017, c’est beaucoup trop loin et ce que j’espère c’est que Force Vie va être repris par des jeunes. [...]

    Il y a certes des personnes au Front national avec qui je n’aurais aucun problème à travailler comme Marion Maréchal ou Bruno Gollnisch. J’ai plus de difficultés avec Mme Le Pen et son entourage."

    Michel Janva