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  • Partons à la conquête de l’intelligence et imposons nos propres élites !

    Nous n’avons aucune raison , comme Français, de nous réjouir de l’évolution de notre pays ces dernières années.

    Nous savons que les germes de cette pathologie, politique, morale et spirituelle, que nous vivons, remontent à plus de deux siècles. 

    Les uns et les autres, nous connaissons parfaitement les causes de ce désenchantement mais nous nous sentons submergés par ce lent pourrissement qui nous laisse apparemment impuissants.

    Nous pensons cependant qu’une mobilisation stratégique intelligente peut venir contrarier cet état de fait désolant.

    Les "élites" apatrides qui font l’opinion dans notre pays sont les premières responsables de ce déclin irrésistible.

    Eh bien, partons à la conquête de l’intelligence et imposons nos propres élites.

    Il existe en France de nombreux courants de pensée qui ont en commun, malgré des divergences notables, de croire en la France comme communauté de vie harmonieuse et cohérente qui a un rôle éminent à jouer dans le monde. Il appartient à l’Action française de rassembler ces Français assumés, de les mobiliser dans un grand élan de salut public.

    C’est le sens que nous voulons donner à nos deux journées johanniques des 10 et 11 mai, auxquelles nous convions tous les patriotes lucides. Il est urgent que la France se réveille et que l’intelligence française se fasse à nouveau entendre.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Partons-a-la-conquete-de-l

  • Le Contrôle Socialiste de l'Audiovisuel veut censurer internet !

    Dans le nouveau rapport annuel du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), l’autorité administrative confirme sa volonté de réguler le web comme la télévision.

    Le CSA y propose au gouvernement de lui confier la possibilité d’accorder un label dénommé « site de confiance » aux seuls sites internet qui signent une convention dans laquelle ils s’engagent à faire respecter des principes moraux,... 

    ...en particulier de protection de l’enfance, mais aussi d’interdiction de quenelle et, sans doute, de propos jugés « excessifs »…

    Le problème réside dans la définition même de ces principes moraux. Ceux-ci seront définis par des « moralistes » auto-proclamés, coupeurs de têtes à la sauce Peillon et compagnie.

    L’enfer étant pavé de bonnes intentions, on comprend bien que la couverture morale mise en avant a surtout pour objectif de maîtriser un réseau trop indépendant et source d’agitations « populistes » que ne supportent plus nos Torquemadas. [...]

    La suite sur Les 4 Vérités

  • La construction d'un empire eurasiatique I

    Arnaud Leclercq - Le Russie puissance d'Eurasie ; Histoire géopolitique des origines à Poutine - Chap. 4 L'Empire eurasiatique fait la synthèse et ouvre sur le monde - I. La construction d'un empire eurasiatique - pp. 135 à 137 - aux éditions ellipses

    Rien ne permettrait d'imaginer ce qu'allaient être les destinées de la Moscovie, tard venue dans l'espace des principautés du nord-est, dont certaines auraient pu prétendre jouer le premier rôle dans le rassemblement des terres russes. Ville-État dotée d'institutions originales, "Novgorod la Grande" était beaucoup plus riche et le territoire qu'elle commandait s'étendait jusqu'à l'Oural à l'est et jusqu'aux rives du lac Ladoga au nord. Souzdal ou Vladimir pouvaient également apparaître comme des redoutables rivales, dont la puissance était plus anciennement établie, la première mention de Moscou n'apparaissant qu'en 1147. Le prince de Vladimir-Souzdal, Iouri Dolgorouki, y établit un premier Kremlin doté d'une enceinte de bois mais la ville est prise et entièrement détruite par les Mongols en 1237. Ces débuts difficiles sont cependant suivis d'une période correspondant à une lente montée en puissance, qui va faire de Moscou l'interlocutrice privilégiée des khans mongols et le siège métropolitain de l’Église orthodoxe russe. Moscou bénéficia d'abord d'une situation géographique favorable. Etablie sur les rives de la Moskova et non loin du cous supérieur du Don, une position favorable au commerce, notamment celui qu'entretenait Novgorod au nord et Riazan au sud. Cet atout ne pouvait cependant prendre toute sa dimension qu'à la condition d'être exploité par un pouvoir politique fort, en mesure d'agir dans la continuité.

    C'est Daniel, le fils cadet d'Alexandre Nevski - prince de 1276 à 1303 - qui, alors que la principauté ne s'étend encore que sur 20 000 km², va être l'artisan d'une première extension territoriale. Prince de Moscou de 1325 à 1341, Ivan Ier Kalita - Jean l'Escarcelle - n'accroît pas son territoire mais s'impose, en lui manifestant une fidélité totale, comme l'interlocuteur du khan mongol, qui lui est reconnaissant de conduire contre Tver, réticente à payer le tribut, une expédition punitive. Un engagement qui vaut à Ivan de recevoir de son suzerain le titre de grand-prince et se voir confier la charge de collecter le tribut dans toutes les principautés russes. Le grand-prince de Moscou disposait ainsi désormais d'un droit de regard sur les autres principautés et devenait l'intermédiaire unique entre celles-ci et le pouvoir mongol, qui prit soin d'épargner à Moscou les pillages et les razzias qui s'abattaient régulièrement sur les autres régions russes. Le soutien apporté à Moscou par l’Église orthodoxe s'est avéré également décisif. Épargnée par les Mongols qui lui laissent une totale autonomie, l’Église orthodoxe va s'identifier progressivement avec la cause "nationale" russe. En 1328, le déplacement du métropolite Théognoste de Vladimir à Moscou fait de la ville la capitale religieuse de la Russie et lui donne une dimension qui va contribuer à l'affirmation de son autorité politique, renforcée également par le rayonnement du monastère de la Trinité, héritier de l'ermitage établi par Saint-Serge en 1336 au nord-est de la ville.

    Devenu grand-prince en 1359, Dimitri Donskoï s'empare en 1364 de la principauté de Vladimir et celles d'Ouglitch, de Kostroma et de Galitch, avant d'annexer également, vers la fin de son règne, celle de Kalouga. La principauté de Tver fut également soumise. Dimitri va être le premier prince de Moscou à se dresser ouvertement contre la puissance mongole. Après une première victoire obtenue en 1378 contre l'ennemi tatar, il remporte deux ans plus tard, au confluent de la Népriadva et du Don, la victoire de Koulikovo - "le Champ des Bécasses" - qui lui vaut son surnom de Donskoï. Le long règne de Vassili Ier - 1389-1425 - vit l'acquisition de Nijni-Novgorod, au confluent de l'Oka et de la Volga, mais Moscou devait encore compter avec la menace que faisait peser la Horde d'or - les Tatars, furieux de se voir refuser le versement du tribut qu'ils estiment toujours leur être dû, ravagent le territoire moscovite en 1408. Après un début de règne marqué par les querelles de successions, Vassili II - 1425-1462 - peut s'emparer de nouveaux territoires. Il annexe ainsi la principauté de Souzdal, puis Toula et, devançant un projet d'alliance entre Novgorod et les Lituaniens, il impose à la ville du nord un droit de regard dans ses affaires. C'est durant son règne qu'intervient la dissolution de la Horde d'or. Moscou a dés lors acquis une indépendance de fait par rapport à la puissance tatare et de nombreux petits princes mongols prêtent même désormais allégeances au souverain moscovite. Le règne très long d'Ivan III - 1462-1505 -, fils aîné de Vassili II, revêt ensuite pour la Russie une importance capitale. Associé au pouvoir par son père, le nouveau prince impose son autorité à ses frères et à l'ensemble des princes russes. Il poursuit également les conquêtes en annexant en 1472 la région de Perm et en 1489 celle de Viatka, des territoires qui, occupés par des populations finno-ougriennes, n'avaient jamais fait partie de la première Russie kièvienne, pas plus que l'espace russe considéré dans son ensemble. (à suivre...)

    source : http://lheurasie.hautetfort.com 

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFAAyuuVkEUPRZhoTc.shtml

  • Asia Bibi : l'ONG Citizen Go se mobilise et nous appelle à prier

    Reçu d'un lecteur.

    Bonjour X,

    Enfin, nous sommes au Pakistan. Il y a quelques mois nous vous avions dit que nous partirions dans les prochaines semaines. Le voyage a dû être suspendu parce que, la veille du départ, alors que les billets étaient achetés et l'hôtel réservé, l'ambassadse et la nonciature nous ont appelé pour nous interdire le déplacement, pour des raisons de sécurité. Enfin, nous sommes au Pakistan. Nous y sommes, grâce à vous et à beaucoup d'autres comme vous, qui avaient soutenu cette campagne pour la libération d'Asia Bibi.

    Le Président de CitizenGO, Ignacio Arsuaga, me demande de vous écrire de Lahore dans le Pendjab au Pakistan, après un voyage de 20 heures durant lequel nous avons perdu une valise contenant des chargeurs de l'appareil photo et de l'ordinateur ainsi que des objets personnels.

    Nous sommes là pour soutenir Asia Bibi, la pakistanaise chrétienne accusée de blasphème et condamnée à mort. Nous parlons avec ses parents et ses avocats. Le fait que les chrétiens soient une minorité ne signifie pas, ne devrait pas signifier qu'ils soient traités comme des parias de deuxième classe. Nous ne le permettrons pas. Nous n'allons pas les laisser seuls. Pouvons-nous compter sur vous ?

    Le plus important est de faire connaître la situation des chrétiens au Pakistan : ils sont persécutés, emprisonnés, leurs maisons sont brûlées... Vraiment !! Pouvez-vous partager cette vidéo avec votre famille et vos amis ?

     

    Voilà ce que me dit Ignacio Arsuaga de là-bas :

    "J'ai osé aller voir les chrétiens pakistanais afin de leur dire que nous prions pour eux. Ils m'ont répondu avec une émotion qui a m'a touché. Ils l'ont fait avec une humilité qui m'a ému le coeur d'une façon que vous ne pouvez imaginer. Ils ont besoin de nos prières au milieu de leur marginalisation et de leur pauvreté, mais nous avons besoin des leurs dans le désert spirituel de notre société. Je compte sur vous pour continuer à dire aux chrétiens pakistanais qu'ils peuvent avoir confiance : nous ne les abandonnerons pas".

    97 % de la population pakistanaise est musulmane. Les 3 % restant sont chrétiens, mais aussi parsis, hindous, etc. Ils sont, nous sommes, la minorité de la minorité. Et de plus, méprisés et humiliés. Sur qui l'ont peut cracher sans ménagement.

    C'est pourquoi nous avons voulu aller au Pakistan. Pour faire cesser cette injustice. Le chemin à parcourir est long. Non seulement pour tenter de sortir Asia Bibi de prison, mais également pour sensibiliser les pays occidentaux à la situation des chrétiens persécutés dans des pays comme le Pakistan. Selon des organisations internationales au Pakistan sont assassinées chaque année 1 000 femmes. Près de 100 000 chrétiens sont tués chaque année et 150 millions sont persécutés. Asia Bibi ne fait malheureusement pas exception. Le Pakistan est un des pays les plus dangereux au monde pour les femmes chrétiennes.

    La pétition à signer est ici.

    Paula Corbulon

  • Aux Maldives, la peine de mort… pour des enfants de 7 ans !

    Ceux qui ferment les yeux sur l’islam et ses préceptes moyenâgeux savent-ils seulement que c’est leur silence et leur volonté de ne rien voir qui contribuent à banaliser l’abject ?   

    Après 60 ans de moratoire, et afin de se conformer à la charia, les Maldives ont rétabli la peine de mort. Celle-là même dont l’inefficacité fut maintes fois démontrée. Celle-là même qui fut combattue par Cesare Beccaria dès 1764, celle-là même que nous avons expédiée dans les poubelles de l’Histoire depuis 1981 (mais pour combien de temps ?), grâce au courage d’un Robert Badinter qui a fait comprendre à notre société que la justice des hommes doit être mère protectrice et non matrone revancharde. « Corriger est de l’individu, punir est de Dieu », disait un Victor Hugo qui prêta tout son génie à ce monument de sensibilité et d’argumentaire implacable qu’est la préface du Dernier Jour d’un condamné.

    Les articles sur le sujet, il faut pourtant bien les chercher : c’est que les médias ne se sont pas rués sur l’annonce ; c’est que les esprits ne semblent pas bouleversés outre mesure par le fait que cette jurisprudence, déjà infâme, s’applique également aux mineurs.

    En effet, des enfants de 7 ans pourront être condamnés à mort pour certains crimes tels que la fornication, le vol, la consommation d’alcool et l’apostasie. Dans leur immense indulgence (ou plutôt, parce qu’ils sont terrorisés par d’éventuelles répercussions à l’étranger), le gouvernement maldivien a consenti à faire une fleur aux gamins fornicateurs et autres voleurs de bonbons : ils ne seront exécutés qu’à 18 ans.

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