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  • Pour en finir avec l’Inquisition

    Fanatiques torturant et immolant des innocents rendus coupables d’hérésie, l’Inquisition et ses serviteurs comptabilisent à eux seuls de nombreux préjugés erronés, issus pour la plupart de la pensée des Lumières si prompte à critiquer l’Église, mais également par les historiens républicains du XIXe et jusque dans les années 1950-60, toujours dans une optique anticléricale, reprise de nos jours par la sphère bien pensante du milieu politique et journalistique pour dénoncer un événement « arbitraire », démontrant une fois de plus son ignorance et son hypocrisie totale quant à la lutte face aux préjugés. Nous avons décidé de faire la lumière sur cette justice extraordinaire que fut l’Inquisition. Par commodité, nous ne traiterons que l’origine et l’application de l’Inquisition dans le royaume de France entre le XIe et la fin du XIIIe siècle.

    Introduction

    Avant de parler de l’Inquisition, nous aimerions mettre les choses au clair et apporter au lecteur une méthode de compréhension de l’événement historique sujet à caution. L’Histoire n’est pas manichéenne, elle n’est pas le récit de la lutte entre les bons et les mauvais, entre les justes et les injustes, entre le Bien et le Mal, pas plus qu’elle n’est le produit de la lutte des classes. Pour comprendre un événement ou une période historique, comme par exemple le Moyen Âge, il faut se replacer dans le contexte de l’époque et « dans la tête » d’un contemporain. Juger l’Inquisition et la lutte contre l’hérésie avec notre œil d’homme du XXIe siècle conduit forcément à une erreur d’interprétation, où l’on verrait un combat entre une Église tyrannique et intolérante combattant contre la liberté de culte et d’expression, deux notions qui, soit dit en passant, sont totalement inconnues à l’époque. De même que juger le christianisme et le dogme de l’Église au travers de la pensée païenne de la Grèce ou de la Rome antique conduit forcément à une mauvaise compréhension des faits, voire à une partialité réductrice digne des Lumières envers l’Église, faisant passer les cultes païens germaniques pour de joyeuses fêtes folkloriques, l’hérésie cathare pour un courant écologiste progressiste et non violent en plein Moyen Âge, alors que le catholicisme serait considéré comme une régression intellectuelle et un frein à une conception moderne de la liberté, inconnue au Moyen Âge.

    L’hérésie, un péril où chacun est concerné

    Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’hérésie au Moyen Âge est une déviance, due à une remise ne cause de la Trinité et du dogme de l’Église, sans lequel le salut ne peut s’excercer. Or, l’Église est universelle et son objectif ultime est d’assurer le salut des âmes des « gens des Nations » par l’unité de la foi sur Terre. Prenons comme exemple un corps humain représentant la chrétienté, dont la tête serait le Christ. Chaque partie du corps humain représente chaque chrétien. L’unité de la foi assure la bonne santé dudit corps, au nom du Christ, la tête, sans qui le Salut est impossible. Si l’une des parties du corps est malade, deux solutions sont possibles pour éviter la propagation à l’ensemble de l’organisme : 1) la guérison de l’hérésie par tous les moyens dont dispose l’Église : prédication, évangélisation, excommunication, interdit ; 2) l’ablation du membre si aucun remède ne fonctionne, autrement dit, appel au bras séculier, seul capable de mettre en œuvre la torture et la répression violente, sans quoi l’intégralité du corps sera parasité et le salut de tous sera compromis. En cela, tous les chrétiens sont acteurs de cette universalité de la foi en Christ. Ainsi, on le verra, l’Inquisition ne choquait personne et était approuvée par une large majorité de la population, car créait un sentiment d’appartenance à une même communauté, l’adversité renforçant les liens entre les membres identifiés d’une même communauté.

    L’hérésie languedocienne, définition et condamnation

    Le catharisme se développa dans le Sud-Ouest de la France, où l’Église carolingienne s’était moins bien développée que dans le reste du royaume, c’est-à-dire au Nord de la Loire (lire notre article sur le Catharisme). Comme le note Jean Chélini, les déviances religieuses s’appuyaient généralement sur des sentiments régionalistes. L’hérésie languedocienne, comme les autres déviances de cette époque, sont paradoxalement dues entre autre chose à la volonté de réforme profonde de l’Église, initiée dès le XIe siècle et connue sous le nom de « réforme grégorienne ». Cette réforme avait encouragé l’instruction des laïcs en matière religieuse et avait entrainé chez certains une curiosité spirituelle qui les a conduit à rechercher d’autres moyens d’assurer leur salut dans des formes hétérodoxes.

    L’hérésie languedocienne est une des formes les plus virulentes et les plus dangereuses de ces déviances apparues au cours du siècle. Ses fondements remontent probablement aux premiers balbutiements du christianisme en Orient et reposent sur un manichéisme simple : selon la doctrine, l’univers serait en proie à la lutte permanente entre le Bien et le Mal, le Bien ayant créé l’Esprit, le Mal la matière, ce qui revient à dire que l’Univers a été créé non pas par Dieu, mais par Satan.

    Aux yeux de cette secte, Jésus n’est pas le fils de Dieu, mais un ange dont la vie terrestre n’était qu’une illusion. Autrement dit, les cathares ne voient en la Passion qu’une illusion, car Jésus étant un ange ; il ne peut pas mourir et ne peut donc, logiquement, ressusciter le troisième jour. De même, Marie n’était qu’une illusion également, un pur esprit. Pour les cathares, lorsque le corps meurt, il reste dans le royaume terrestre du Démon, alors que l’âme rejoint le monde des esprits.

    Les cathares se fondent sur une morale à deux étages : la majorité, appelée « croyants », n’est soumise à aucune contrainte morale ou de vie. À l’inverse, les élites de la société cathare, appelées « parfaits », forment le noyau de cette secte. Ayant rompu tout lien avec leur famille, ils vivent en communauté et s’astreignent à une vie très rude : jeûne permanent entraînant parfois des morts par inanition, interdiction de tout rapport sexuel, obligeant les « parfaits » à quitter leur conjoint et à vivre une vie de célibat. Mais, et c’est là que l’on voit que le catharisme est plus une secte qu’une Église de par la non-unité du dogme, certains parfaits ne sont pas opposés aux rapports charnels, mais critiquent l’intrusion du mariage. En somme, ils prônent la liberté sexuelle[1]. De ce fait, le catharisme, plus qu’une hérésie, est une parfaite remise en cause de l’Église et de la société féodale telle qu’elle existe à l’époque. Cette secte se développa très vite dans la région, touchant nombre de membres de la cour comtale de Toulouse.

    L’Église ne tarde pas à réagir : le concile de Latran IV de 1215 condamne l’hérésie cathare dans le canon I et réaffirme ensuite avec vigueur tous les points de la doctrine catholique contestés pas les hérétiques :

    Dieu est le seul créateur de toutes choses,

    Seul le prêtre peut donner les sacrements, alors que les « parfaits » se considéraient capables de transmettre une sorte de sacrement tout-puissant[2] par l’apposition des mains (consolamentum),

    Le pain et le vin sont nécessaires lors de la célébration du sacrifice, où se produit la transsubstantiation du pain et du vin, qui deviennent alors la chair et le sang du Christ (Matthieu XXVI, 26-30),

    Le mariage des laïcs est bon et n’empêche nullement d’atteindre le salut de l’âme.

    Le canon III, le plus important pour notre sujet, met en place les moyens de la répression que l’on appellera Inquisition par la suite : les hérétiques reconnus coupables devaient être livrés au bras séculier (la justice laïque), leurs biens devaient être confisqués. Les receleurs d’hérétiques devaient être excommuniés et bannis de toute fonction publique ; les évêques ayant au sein de leurs diocèses des hérétiques devaient mener une enquête et faire appliquer les sanctions canoniques prévues, les évêques négligents seraient déposés, on ne pouvait prêcher qu’avec l’accord écrit du pape ou de l’évêque ordinaire. Lorsque la croisade fut déclarée, les croisés recevaient les mêmes privilèges spirituels que lors des croisades en Terre Sainte. Le concile de Latran IV dépouilla officiellement Raymond IV du comtat de Toulouse ainsi qu’à toute sa famille.

    La répression de l’hérésie par l’Inquisition

    L’Inquisition est officiellement créée en 1231 par le pape Grégoire IX au travers de la bulle Excommunicatus. Cependant, l’Église n’a pas attendu cette date pour lutter contre l’hérésie. On l’a vu, le rôle de combattre les hérétiques échoit aux évêques, qui depuis les premiers siècles du christianisme ont cette mission. Nous allons ici pouvoir casser la légende noire de l’Inquisition : il n’a jamais été dans les habitudes de l’Église de rafler les hérétiques de manière arbitraire et de tous les livrer au bûcher. En réalité, le meilleur moyen pour lutter contre les hérésies et contre le paganisme en son temps, fut, comme le disait saint Bernard de Cîteaux, par les arguments et non par la violence. Ainsi, la prédication, le débat public pour confronter les hérétiques à leurs erreurs fut la première arme de l’Église contre les cathares. Si les légats pontificaux envoyés par Innocent III dès 1198 dans le Midi échouèrent, ce fut moins le cas de Dominique de Guzman, jeune chanoine castillan qui traversa le Languedoc où il constata les ravages que provoquait le catharisme. Avec l’accord de son évêque, Diègue d’Ozma, Dominique parcourut la région pendant dix ans afin de prêcher la vraie foi parmi les hérétiques, afin de les ramener dans le droit chemin. C’est là qu’il fonda l’ordre des dominicains, qui regroupait d’anciens cathares ayant abjuré.

    Si, comme on l’a vu, l’Inquisition nait officiellement en 1231, ce n’est en réalité que l’aboutissement d’un processus que certains font remonter au traité de Paris, mais qui, selon Jean Chélini, remonte au concile de Vérone de 1184, où le pape Lucius III condamne pour la première fois l’hérésie néo-manichéiste (les cathares) ainsi que d’autre courants hérétiques. Il est décrété que le pouvoir civil doit assistance pleine et entière aux évêques pour lutter contre l’hérésie (ce qui n’est qu’un rappel de la tradition de l’appui du bras séculier) sous peine d’excommunication. De même, les populations civiles sont invitées à dénoncer les hérétiques aux évêques.

    Le concile d’Avignon de 1209 décrète que chaque paroisse comportera désormais un tribunal composé d’un laïc et d’un religieux chargé de démasquer les hérétiques et leurs complices, disposition confirmée par le canon III du concile de Latran IV de 1215. Les ordres mendiants vont être chargés de traquer l’hérésie et de l’éradiquer, ils formeront le fer de lance de l’Inquisition.

    L’Inquisition à sa création sous le pontificat de Grégoire IX (1227-1241) possède un caractère indépendant. Reflet des ambitions théocratiques de Grégoire, l’Inquisition se place directement sous la juridiction du pape, et ne dépend d’aucune juridiction civile ou ecclésiastique autre. L’Inquisition est une justice extraordinaire, qui supplante toute forme de droit ou de coutume. Elle est « la manifestation et l’instrument du pouvoir pontifical »[3]. C’est une justice rationnelle, qui élabore des manuels, précis et pratiques. L’Inquisition tient des registres de toutes les personnes accusées d’hérésie. Elle repose sur la procédure d’enquête (inquisitio en latin). Le but est de recueillir l’aveu de l’accusé, car cet aveu permet le pardon et la repentance. Le recours à la torture, uniquement utilisée lorsque les accusés refusaient d’avouer malgré les preuves, car les preuves étaient nécessaires, était utilisé, même s’il restait exceptionnel. En réalité, les peines et les moyens utilisés par l’Inquisition étaient loin de ce que l’on veut nous faire croire aujourd’hui : l’inquisiteur, arrivé sur place, décrète deux édits, l’un ordonnant la dénonciation des hérétiques par la population, si celle-ci est ostentatoire[4] sous peine d’excommunication, l’autre ordonnant aux hérétiques d’abjurer sous un délai de 15 à 30 jours pour être pardonné. En cas de refus, les récalcitrants font l’objet de poursuites.

    Jean Sévillia nous explique dans Historiquement correct, que l’Inquisition était une justice tempérée et paperassière. Nous pouvons aller en ce sens, mais émettre quand même une critique : contrairement à Sévillia, Jean-Louis Biget, spécialiste reconnu de l’Inquisition et de l’hérésie cathare, affirme que l’accusé n’avait aucun recours en appel ni la possibilité de produire de témoins ou d’avoir un défenseur. Cependant, les faux témoignages étaient également poursuivis, ceci étant un péché mortel (Exode XX 16).

    Cependant, tous deux vont dans le même sens en ce qui concerne les peines : alors que les manuels scolaires dépeignent des hérétiques persécutés voués aux pires châtiments, la réalité est encore une fois dépassée par le mythe. Les chiffres montrent que sur les 930 sentences que prononce par exemple l’inquisiteur Bernard Gui à Albi entre 1308 et 1323 on compte : 139 acquittements, 286 pénitences religieuses (imposition de croix, pèlerinage ou service militaire en terre Sainte), 307 incarcérations, 156 sentences diverses (allant de l’exposition au pilori à la destruction de maison ou à l’exil) et seulement 42 condamnations au bûcher. À noter qu’en ce qui concerne la torture et la mise à mort, seul le pouvoir civil possédait cette capacité jusqu’en 1252, où Innocent IV l’autorise pour les tribunaux ecclésiastiques à condition que le prisonnier ne soit ni mutilé, ni que son sang ne coule. De même, la papauté veille au grain : les abus des inquisiteurs sont réprimandés.

    Conclusion

    Certes, l’Inquisition ne fut pas toujours tendre envers les hérétiques, mais il faut se replacer dans le contexte de l’époque pour concevoir le fait que ce tribunal n’était en rien un instrument de tyrannie, mais bien un outil pour rétablir la paix et l’unité de la chrétienté. L’hérésie cathare disparut presque totalement du Sud-Ouest dans les années 1320, ses adeptes revenus dans la foi catholique ou bien exterminés (au sens latin du terme : ex terminis : « hors des frontières », c’est à dire contraints à l’exil en Allemagne ou en Italie). Il n’y a en effet jamais eu de massacres de cathares : la célèbre phrase attribuée au légat Amaury en 1209 : « tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens », a en réalité été écrite cinquante ans après le sac de Béziers où fut théoriquement prononcée cette fameuse harangue, par un moine allemand, Césaire de Heisterbach, dans son œuvre Le livre des miracles.

    Bibliographie

    GAUVARD Claude (dir.), Dictionnaire de la France médiévale, paris PUF, 2011

    CHELINI Jean, Histoire religieuse de la France médiévale, Paris, Pluriel, 2010, 663 p.

    SEVILLIA Jean, Historiquement correct, Paris, Tempus, 2003 (rééd. 2013), 510p.

    source Le Bréviaire des patriotes 

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EupEVkVkypFJuYTUQO.shtml

  • Culot des politicards : 13 000 € par mois pour un glandeur de sénateur, c’est « mal payé » !

    Le sénateur UMP de la Meuse Gérard Longuet (ancien activiste d’Occident ayant très mal tourné) se dit « mal payé », dans un article dePublicsenat.fr consacré à dessoupçons de détournements de fonds publics par un groupe de sénateurs, publié mercredi 28 mai.

    Evoquant cette affaire, l’élu confirme avoir reçu « un jour » un chèque de l’Union républicaine du Sénat, l’association mise en cause, d’un montant situé « entre 3 000 et 4 000 euros ».
    La somme était destinée à compléter l’indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), distribuée aux sénateurs pour financer leurs activités politiques, précise Public Sénat.

    Gérard Longuet profite de l’occasion pour dénoncer le montant de cet IRFM, établi à 6 037,23 euros nets par mois, et qui s’ajoute à son indemnité mensuelle de sénateur de 7 100 euros bruts ! Trop faible pour couvrir l’ensemble des frais occasionnés par son mandat, affirme-t-il.

    Ce n’est pas la première fois qu’un élu déplore ainsi son traitement. Dernier cas en date, le député Henri Guaino s’était lui aussi plaint du salaire des parlementaires, en août 2013 : « On est très mal payés, avait-il estimé dans VSDOn travaille dans des conditions déplorables. »
    Un député gagne plus de 5 100 euros nets par mois, auxquels s’ajoute une indemnité de frais de mandat de 5 770 euros bruts.

    Ils n’ont honte de rien !

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Culot des politicards : 13 000 € par mois pour un glandeur de sénateur, c’est « mal payé » !

    Le sénateur UMP de la Meuse Gérard Longuet (ancien activiste d’Occident ayant très mal tourné) se dit « mal payé », dans un article dePublicsenat.fr consacré à dessoupçons de détournements de fonds publics par un groupe de sénateurs, publié mercredi 28 mai.

    Evoquant cette affaire, l’élu confirme avoir reçu « un jour » un chèque de l’Union républicaine du Sénat, l’association mise en cause, d’un montant situé « entre 3 000 et 4 000 euros ».
    La somme était destinée à compléter l’indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), distribuée aux sénateurs pour financer leurs activités politiques, précise Public Sénat.

    Gérard Longuet profite de l’occasion pour dénoncer le montant de cet IRFM, établi à 6 037,23 euros nets par mois, et qui s’ajoute à son indemnité mensuelle de sénateur de 7 100 euros bruts ! Trop faible pour couvrir l’ensemble des frais occasionnés par son mandat, affirme-t-il.

    Ce n’est pas la première fois qu’un élu déplore ainsi son traitement. Dernier cas en date, le député Henri Guaino s’était lui aussi plaint du salaire des parlementaires, en août 2013 : « On est très mal payés, avait-il estimé dans VSDOn travaille dans des conditions déplorables. »
    Un député gagne plus de 5 100 euros nets par mois, auxquels s’ajoute une indemnité de frais de mandat de 5 770 euros bruts.

    Ils n’ont honte de rien !

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le vide à l'UMP

    Lu sur Authueil :

    "En attendant, c'est le vide à droite : Borloo en retraite pour raison de santé, Copé dégagé pour cause de scandale politico-financier, Sarkozy pour longtemps encore empêtré dans les affaires. Aucun leader naturel ayant l'envergure d'être candidat à la présidentielle en 2017 n'apparaît avec évidence, à part peut-être Fillon. Et encore, il est marqué par les combats passés et aura du mal à faire l'union derrière lui. Or, le succès politique repose sur un facteur : c'est le camp le moins désuni qui l'emporte. Sur ce plan, la droite est mal barrée, et même si Hollande est nul, il a encore ses chances.

    Enfin, et c'est le pire, absolument aucune perspective de rénovation doctrinale à l'UMP. Le prochain congrès se concentrera sur le choix du chef, qui ne pourra être que le plus petit dénominateur commun, donc un ectoplasme intellectuel. Le départ de Copé n'entraîne pas un effrondrement de l'aile droite de l'UMP, et ne change rien aux lignes de fractures idéologiques de ce parti. On ne peut même pas parler d'occasion manquée, car il n'y a tout simplement pas eu d'occasion de rénover quoi que ce soit."

    Michel Janva

  • Frédéric Haziza le 24 mai avait du voir un blond aux yeux bleus au Musée juif de Bruxelles comme pour Merah !

    Le journaliste Frédéric Haziza (en particulier éditorialiste sur La Chaîne parlementaire – Assemblée nationale, LCP-AN, et chef du service politique de Radio J) a publié le tweet ci-dessous le 24 mai, veille des élections européennes.

    Il avait du voir au Musée juif de Bruxelles un blond aux yeux bleus, comme l’avaient vu plusieurs grands médias (TF1, France 2, M6…) pour Mohamed Merah avant qu’il soit arrêté et alors qu’il portait un casque intégral !

    http://fr.novopress.info/168231/frederic-haziza-avait-du-voir-blond-aux-yeux-bleus-travers-casque-integral-merah/

  • Quand les Etats-Unis veulent la peau de BNP Paribas… pour des faits qui ne les concernent pas

    Selon le Wall Street Journal d’hier jeudi, la justice américaine s’apprête à condamner BNP Paribas à une amende de plus de dix milliards de dollars (quelque 7 milliards d’euros), au motif que, pendant quatre ans, la banque française aurait violé l’embargo américain contre Cuba, l’Iran et le Soudan. Un tel montant représenterait l’une des plus importantes amendes jamais infligées à une banque.

    Il y a 2 ans la banque HSBC, pourtant jugée coupable d’opérations de blanchiment avec les cartels mexicains ou des organisations terroristes, avait eu une amende de 1,9 milliard de dollars.

    Les transactions de la BNP incriminées ont été effectuées dans des pays où elles étaient légales. Mais elles ont été faites en dollars et les Etats-Unis se sont arrogé le droit de juger toutes les transactions en dollars où qu’elles étaient été faites.
    Il semble qu’il est grand temps d’abandonner le dollar pour les transactions internationales.

    Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a indiqué « Nous avons vérifié que toutes les transactions incriminées étaient conformes aux règles, lois, réglementations, aux niveaux européen et français ». Les transactions ne comportaient « aucune contravention à ces règles ni d’ailleurs aux règles édictées par les Nations unies ».

    Le Traité transatlantique (TAFTA) actuellement négocié en secret entre l’Union Européenne et les Etats-Unis mettrait l’Europe encore plus sous la dépendance de ces derniers.

    Lors de l’assemblée générale annuelle de la banque, le 14 mai, le directeur général Jean-Laurent Bonnafé avait indiqué que les discussions avec les autorités américaines se poursuivaient.

    http://fr.novopress.info/168059/les-etats-unis-veulent-peau-bnp-paribas-faits-les-concernent-pas/

  • Emmanuel Ratier dénonce les mensonges de Canal+ à propos de Manuel Valls

    Emmanuel Ratier dénonce les mensonges de Canal+ à propos de Manuel Valls et répond aux journalopes présentes sur le plateau, à propos de son livre « Le vrai visage de Manuel Valls » (disponible ici) :

    http://www.contre-info.com/

  • MAIS QU’ONT-ILS FAIT AU BON DIEU POUR SUBIR UNE TELLE DECULOTTEE ELECTORALE ?

    C’est avec une réelle délectation que j’ai découvert les mines déconfites de certains barons de l’Eurocratie Bruxelloise, au soir du 25 mai, et la consternation de la plupart des « politologues ».

    *Cette raclée électorale ils l’ont méritée !
    Sourds aux légitimes aspirations des peuples d’Europe, les Van Rompuy, Baroso, Barnier, Schulz, Verhofstadt, Junker et autres complices de la décadence de nos pays, n’ont jamais accepté de prendre en considération les maux qui gangrènent notre quotidien (chômage structurel, insécurité permanente, immigration invasion, drogues mortelles, impôts exorbitants, corruption endémique). Ils ont occulté les réalités pour nous imposer leurs coûteuses chimères.

     

    lapin_surprise.korbo.22.10.2013*Cette sanction électorale -véritable séisme dans certains pays de l’U.E- était quand même prévisible quant à son ampleur, étant donné les avertissements électoraux précédents. Lentement mais sûrement, les « européens d’en bas » (la majorité silencieuse) ont ouvert les yeux pour ce qui est des mensonges et des méfaits de la classe politique qui, pendant plus de 40 ans, nous a mené au fond du gouffre, en reniant ses engagements. Cette réaction de lucidité a été constatée d’Athènes à Stockholm et de Brest à Budapest : les peuples en ont assez de l’Euroland et des gourous de l’Empire américano-sioniste.

    *Longtemps annoncé, souvent critiqué, le raz-de-marée « populiste » a déferlé !
    Les donneurs de leçons de morale, de civisme, de finance, d’économie, de politique ou de culture, n’ont JAMAIS toléré la moindre contestation envers leurs dogmes sectaires.
    Depuis des décennies la mafia socialaud-écolo-libérale-capitaliste a interdit aux nationalistes, aux patriotes, aux identitaires et aux défenseurs de l’Europe blanche la moindre liberté d’expression, ou de réunion, ou de presse et d’opinion. Par contre le Pouvoir a systématiquement aidé les gauchistes.

    *Cette claque électorale, ils l’ont cherchée !
    Mais le combat n’est pas terminé : pour restaurer les valeurs séculaires de l’Europe des peuples, il va falloir se battre, encore et encore, contre l’idéologie mortifère de cette caste d’illuminés qui veut nous imposer, envers et contre tous, une société multiculturelle sans racines et sans Histoire.
    Bien plus grave est la situation financière de l’Europe, dont les dettes vont handicaper nos enfants et petits-enfants durant les 50 prochaines années,…si le Système ne s’effondre pas avant. Non seulement les banques continuent leurs spéculations comme auparavant, mais les compagnies d’assurances et les fonds de pensions seront eux aussi dans l’impossibilité d’accomplir leurs engagements, notamment au regard de nos retraites ! Cela alors que les eurocrates et ceux qui nous dirigent ont été incapables de corriger et d’anticiper les dérives des banksters, toujours plus cupides et encore plus avides…

    OUI, ce fut pour moi un réel plaisir d’assister à la défaite électorale historique que les bouffons du Système ont subi ce 25 mai 2014, ces charlatans d’une oligarchie arrogante, incompétente et indigne.

    Pieter KERSTENS.

    PS : Si les « nationalistes » ont remporté une belle victoire, il faut relever quelques mauvaises notes dans le bilan. Aux Pays-Bas, le PVV de Geert Wilders perd 1/4 de ses électeurs et 20% des sièges gagnés en 2009. En Belgique, le Vlaams Belang (V.B) quant à lui recule à moins de 4% au niveau national, perd la moitié de ses électeurs et n’obtient plus qu’un siège à Strasbourg (- 50%).
    Erreurs de stratégie ? Déconnection avec les réalités du terrain ? Ou propagande inadaptée ? Mais certainement pas un manque de moyens financiers !

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/quont-fait-au-bon-dieu-subir-telle-deculottee-electorale_108676.html#more-108676