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  • Thierry Meyssan sur l’élection présidentielle en Syrie


    Irib 2014.05.27 Thierry Meyssan – élection… par Hieronymus20

  • La tentation du centre : le mauvais calcul de Juppé

    Le maire de Bordeaux est de ceux qui entendent maintenir une cloison étanche entre leur droite « républicaine » et « respectable » et le Front national.   

    Les trois consultations intervenues en France depuis deux ans manifestent la très forte droitisation du corps électoral. C’est parce que Nicolas Sarkozy, président impopulaire lui aussi, même s’il est resté jusqu’au bout loin des records enregistrés par son successeur, a mis le temps d’une campagne la barre à droite toute, ou presque, qu’il a pu limiter les dégâts et finir à un point et demi seulement du vainqueur d’alors, un certain François Hollande. Les municipales de mars dernier se sont traduites par une première défaite de la gauche au profit de l’UMP (la fameuse « vague bleue ») et, dans une moindre mesure, du Front national. Les européennes de la semaine passée, enfin, ont vu la spectaculaire poussée du parti de Marine Le Pen, la stabilité du mouvement présidé par Jean-François Copé (comme le temps passe) et la déroute socialiste. La gauche est désormais minoritaire en France.

    Dans ces conditions, il pourrait paraître étonnant qu’Alain Juppé qui, dopé par les sondages, semble plus près de succomber à la tentation de l’Élysée qu’à celle de Venise, multiplie les appels du pied en direction, non de sa droite, mais des centristes, à commencer par son vieil ami Bayrou.

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  • Voilà ce qui arrive quand les Royalistes sont au pouvoir :

    Les origines de la législation sociale en France by G.A.R.

    http://www.actionroyaliste.com/bibliotheque-du-gar/les-revues-sociales-asc/1363-voila-ce-qui-arrive-quand-les-royalistes-sont-au-pouvoir-

  • Découvrez le site de Marion Sigaut :

    Bravo Marion pour la création de ton site dont voici l'adresse :http://www.marionsigaut.fr/index.html Nous devons te remercier pour ta présence répétée lors de nos banquets. ta sympathie et le clin d'oeil à notre structure (http://www.marionsigaut.fr/html/Pedagogie.html#cinq). Oui Marion les lois sociales furent le travail des Catholiques sociaux royalistes, durant tout le XIXeme siècle contre l'opposition libérale et la gauche révolutionnaire (http://youtu.be/mHYe9WZyMkU)...

    Peuple et roi font un. Saches que nous sommes à chaque fois honorés par ta présence, à bientôt!

    http://www.actionroyaliste.com/articles/actualites/1361-decouvrez-le-site-de-marion-sigaut-

  • L'UMP soutient un destructeur de la famille à la tête de la Commission européenne

    Lu sur ihsnews :

    "Jean Claude Juncker, le candidat de la droite à la présidence de la Commission Européenne est à l’origine d’un projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels

    JIl est étonnant de voir à quel point la droite française qui manifestait contre le mariage homosexuel n’a pas communiqué sur ce sujet. Il faut dire que dans certains cas, l’esprit de parti fait plus que frôler la schizophrénie. On comprend mieux aussi l’opposition ferme du Premier Ministre hongrois, à l’égard de Juncker. Outre le désaccord sur certains aspects politiques et économiques, Orban, farouche opposant au mariage homosexuel ne peut soutenir Juncker qui avait soumis à l’époque le projet de loi adopté mercredi par la Commission Juridique des députés du Grand-duché de Luxembourg.

    En 2010 donc le gouvernement de Jean-Claude Juncker déposait un projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe. Si au début de l’année, l’annonce du vote avait été envisagée pour l’été, il a finalement été décidé d’avancer la date à la mi-juin.

    Le texte mis en place par l’équipe de Juncker constitue une réelle attaque de l’institution qu’est le mariage. Il ne se limite pas (ce qui serait déjà conséquent) à la question du mariage homosexuel, mais abolit également le divorce pour faute, libéralisant sur le plan théorique un peu plus le divorce dans le Grand-duché. [...]"

    Michel Janva

  • L'UMP soutient un destructeur de la famille à la tête de la Commission européenne

    Lu sur ihsnews :

    "Jean Claude Juncker, le candidat de la droite à la présidence de la Commission Européenne est à l’origine d’un projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels

    JIl est étonnant de voir à quel point la droite française qui manifestait contre le mariage homosexuel n’a pas communiqué sur ce sujet. Il faut dire que dans certains cas, l’esprit de parti fait plus que frôler la schizophrénie. On comprend mieux aussi l’opposition ferme du Premier Ministre hongrois, à l’égard de Juncker. Outre le désaccord sur certains aspects politiques et économiques, Orban, farouche opposant au mariage homosexuel ne peut soutenir Juncker qui avait soumis à l’époque le projet de loi adopté mercredi par la Commission Juridique des députés du Grand-duché de Luxembourg.

    En 2010 donc le gouvernement de Jean-Claude Juncker déposait un projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe. Si au début de l’année, l’annonce du vote avait été envisagée pour l’été, il a finalement été décidé d’avancer la date à la mi-juin.

    Le texte mis en place par l’équipe de Juncker constitue une réelle attaque de l’institution qu’est le mariage. Il ne se limite pas (ce qui serait déjà conséquent) à la question du mariage homosexuel, mais abolit également le divorce pour faute, libéralisant sur le plan théorique un peu plus le divorce dans le Grand-duché. [...]"

    Michel Janva

  • Fiers de dépenser l’argent des autres !

    Nos élus, dont il faut reconnaître l’opiniâtreté et la persévérance qu’ils ont dû mettre en œuvre pour être élus, sont fiers de dépenser notre argent.

    Ils sont comme le chat qui vous rapporte triomphant, ronronnant à fond, le cadavre de la perruche rarissime qui vous a couté la peau du cul et que lui-même a eu beaucoup de mal à attraper au vol.

    Ils ne doutent pas de bien dépenser notre argent, entourés qu’ils sont d’une armada de fonctionnaires et de bureaucrates qui les confortent à longueur de temps sur ce point. Cette certitude qui les habite n’est pas étrangère à l’absence de limite qu’ils se donnent sur le sujet.

    Ils attendent même des remerciements, sous la forme de bulletins de votes, ils multiplient les dépenses de façon inversement proportionnelle aux bulletins qu’ils comptabilisent. C’est ainsi que, plus leur cote électorale baisse, plus ils dépensent, pensant nous séduire. En fait, ils nous ruinent en pensant nous épater et générer notre admiration. Ils sont indécrottables.

    Ils ont pour groupies et fervents soutiens cette moitié de Français qui ne paient pas l’impôt, qui croient bénéficier gratuitement de toutes ces magnificences.

    Ils ont tout faux, eux et leurs zélotes.

    L’économie étant ce qu’elle est, les taxés qui portent la charge de ces dépenses somptuaires reportent évidemment cette charge, qu’ils n’assument que provisoirement, sur le plus grand nombre. Evidemment, ce report se fait sur toute la société, élus et fonctionnaires compris, en incluant au passage les plus pauvres.

    Car, dans une société de division du travail, quelle que soit la façon dont l’impôt est prélevé, il est, in fine, payé par chacun en fonction de ses dépenses, puisqu’il est reporté inévitablement sur la partie de l’économie à laquelle chacun participe au double titre de fournisseur et de consommateur.

    C’est le problème

    Il y a certes du coulage, de la corruption, mais ce n’est pas la cause profonde de la faillite qui nous guette. Si ce n’était que cela, il suffirait d’une répression compétente et bien organisée pour régler le problème. Non, le drame, sans solution, est que les élus et les pauvres dépensent sans compter, croyant ne pas avoir à payer la facture.

    C’est ce que l’on appelle aller dans le mur en klaxonnant.

    Comme l’a si bien dit Frédéric Bastiat : “Il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas”.

    Comment leur expliquer qu’en réalité nous sommes beaucoup mieux placés qu’eux pour dépenser notre argent. D’abord nous l’avons gagné, nous avons donc la légitimité de le dépenser librement. Ensuite, nous connaissons nos limites, qu’ils ne connaissent pas.

    Comment leur faire comprendre que l’économie n’est pas une abstraction au même titre que leurs rêves politiques, qu’elle répond à des règles mathématiques simples qui consistent à vendre ce que l’on fait plus cher que cela nous est revenu, toutes charges comprises incluant l’impôt.

    Que toutes les dépenses que nous sommes amenés à payer pour d’autres sont donc incluses dans la facturation de nos prestations, qu’ainsi finalement tout le monde paie tout.

    Tout cela est d’une simplicité biblique, si évident, si discret, si peu brillant, peu scintillant, et pourtant, aveuglés par l’irrésistible envie de nous épater, de paraître généreux, nos élus tapent dans notre caisse, sans se douter un instant que ce sont eux, et ceux qu’ils avantagent, qui vont être amenés à payer la facture.

    Ils rejouent sans cesse, avec une grande naïveté, la scène de l’arroseur arrosé.

    Le plus drôle, c’est qu’à aucun moment ils ne prennent conscience de cette situation, l’empirant de jour en jour sans la percevoir.

    Le moins drôle, c’est que ce désordre psychologique dépasse tout ce que l’on peut prévoir, cette inconscience a le temps de faire des ravages avant que les factures ne leur soient présentées.

    C’est ainsi que l’ex-député européen Henri Weber, directeur des études au PS, “ne voit pas non plus de réelle inflexion possible, en dehors d’une redistribution des recettes plus élevées que prévu de la lutte contre la fraude fiscale aux ménages les plus modestes.”

    Ah, la fraude fiscale… Bientôt il faudra payer des figurants pour frauder et justifier l’hyperactivité des contrôleurs. Car enfin, le pillage a des limites, ceux qui sont pillés, “les fraudeurs fiscaux”, sont éliminés, la production de fraudeurs n’est pas à la hauteur des besoins de pillage de nos élus, il faut l’admettre.

    In fine, tout comme l’impôt, le pillage par le contrôle fiscal sera reporté sur tous, ils paieront en plus cette facture.

    Jusqu’au jour où la misère sera telle qu’arriveront les démolisseurs, ceux qui vénèrent Monsieur Kalachnikov et sont capables de raser une ville en quelques mois, ces hyènes qui vivent sur la déchéance des sociétés.

    Sacrés élus, ils se la pètent avec notre argent, ils croient nous épater et nous séduire, faire le bien à l’œil, ils sont dans l’erreur, mais ils ne le savent pas ou ne veulent pas le savoir.

    Pourtant, la plupart d’entre eux ont été bien élevés, dans le respect de la propriété privée, du capital et de la liberté, les trois valeurs de l’économie si utiles pour tous, qu’ils sont en train de détruire consciencieusement.

    Henri Dumas

    Nos élus, dont il faut reconnaître l’opiniâtreté et la persévérance qu’ils ont dû mettre en œuvre pour être élus, sont fiers de dépenser notre argent.

    Ils sont comme le chat qui vous rapporte triomphant, ronronnant à fond, le cadavre de la perruche rarissime qui vous a couté la peau du cul et que lui-même a eu beaucoup de mal à attraper au vol.

    Ils ne doutent pas de bien dépenser notre argent, entourés qu’ils sont d’une armada de fonctionnaires et de bureaucrates qui les confortent à longueur de temps sur ce point. Cette certitude qui les habite n’est pas étrangère à l’absence de limite qu’ils se donnent sur le sujet.

    Ils attendent même des remerciements, sous la forme de bulletins de votes, ils multiplient les dépenses de façon inversement proportionnelle aux bulletins qu’ils comptabilisent. C’est ainsi que, plus leur cote électorale baisse, plus ils dépensent, pensant nous séduire. En fait, ils nous ruinent en pensant nous épater et générer notre admiration. Ils sont indécrottables.

    Ils ont pour groupies et fervents soutiens cette moitié de Français qui ne paient pas l’impôt, qui croient bénéficier gratuitement de toutes ces magnificences.

    Ils ont tout faux, eux et leurs zélotes.

    L’économie étant ce qu’elle est, les taxés qui portent la charge de ces dépenses somptuaires reportent évidemment cette charge, qu’ils n’assument que provisoirement, sur le plus grand nombre. Evidemment, ce report se fait sur toute la société, élus et fonctionnaires compris, en incluant au passage les plus pauvres.

    Car, dans une société de division du travail, quelle que soit la façon dont l’impôt est prélevé, il est, in fine, payé par chacun en fonction de ses dépenses, puisqu’il est reporté inévitablement sur la partie de l’économie à laquelle chacun participe au double titre de fournisseur et de consommateur.

    C’est le problème

    Il y a certes du coulage, de la corruption, mais ce n’est pas la cause profonde de la faillite qui nous guette. Si ce n’était que cela, il suffirait d’une répression compétente et bien organisée pour régler le problème. Non, le drame, sans solution, est que les élus et les pauvres dépensent sans compter, croyant ne pas avoir à payer la facture.

    C’est ce que l’on appelle aller dans le mur en klaxonnant.

    Comme l’a si bien dit Frédéric Bastiat : “Il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas”.

    Comment leur expliquer qu’en réalité nous sommes beaucoup mieux placés qu’eux pour dépenser notre argent. D’abord nous l’avons gagné, nous avons donc la légitimité de le dépenser librement. Ensuite, nous connaissons nos limites, qu’ils ne connaissent pas.

    Comment leur faire comprendre que l’économie n’est pas une abstraction au même titre que leurs rêves politiques, qu’elle répond à des règles mathématiques simples qui consistent à vendre ce que l’on fait plus cher que cela nous est revenu, toutes charges comprises incluant l’impôt.

    Que toutes les dépenses que nous sommes amenés à payer pour d’autres sont donc incluses dans la facturation de nos prestations, qu’ainsi finalement tout le monde paie tout.

    Tout cela est d’une simplicité biblique, si évident, si discret, si peu brillant, peu scintillant, et pourtant, aveuglés par l’irrésistible envie de nous épater, de paraître généreux, nos élus tapent dans notre caisse, sans se douter un instant que ce sont eux, et ceux qu’ils avantagent, qui vont être amenés à payer la facture.

    Ils rejouent sans cesse, avec une grande naïveté, la scène de l’arroseur arrosé.

    Le plus drôle, c’est qu’à aucun moment ils ne prennent conscience de cette situation, l’empirant de jour en jour sans la percevoir.

    Le moins drôle, c’est que ce désordre psychologique dépasse tout ce que l’on peut prévoir, cette inconscience a le temps de faire des ravages avant que les factures ne leur soient présentées.

    C’est ainsi que l’ex-député européen Henri Weber, directeur des études au PS, “ne voit pas non plus de réelle inflexion possible, en dehors d’une redistribution des recettes plus élevées que prévu de la lutte contre la fraude fiscale aux ménages les plus modestes.”

    Ah, la fraude fiscale… Bientôt il faudra payer des figurants pour frauder et justifier l’hyperactivité des contrôleurs. Car enfin, le pillage a des limites, ceux qui sont pillés, “les fraudeurs fiscaux”, sont éliminés, la production de fraudeurs n’est pas à la hauteur des besoins de pillage de nos élus, il faut l’admettre.

    In fine, tout comme l’impôt, le pillage par le contrôle fiscal sera reporté sur tous, ils paieront en plus cette facture.

    Jusqu’au jour où la misère sera telle qu’arriveront les démolisseurs, ceux qui vénèrent Monsieur Kalachnikov et sont capables de raser une ville en quelques mois, ces hyènes qui vivent sur la déchéance des sociétés.

    Sacrés élus, ils se la pètent avec notre argent, ils croient nous épater et nous séduire, faire le bien à l’œil, ils sont dans l’erreur, mais ils ne le savent pas ou ne veulent pas le savoir.

    Pourtant, la plupart d’entre eux ont été bien élevés, dans le respect de la propriété privée, du capital et de la liberté, les trois valeurs de l’économie si utiles pour tous, qu’ils sont en train de détruire consciencieusement.

    Henri Dumas

    http://francelibre.tumblr.com/post/87445417026/fiers-de-depenser-largent-des-autres#.U4s8L5R_sks

  • Le bilan de françois hollande

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