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  • Une compagnie de théâtre se bat contre Coca-Cola

    NANTES (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    La compagnie de théâtre nantaise, Royal de Luxe, a décidé de déclarer la guerre au géant agro-alimentaire Coca-Cola. Royal de Luxe est connue pour ses spectacles de rue avec ses marionnettes géantes. En 2012, Coca-Cola propose à la compagnie un partenariat. La multinationale imagine un spot publicitaire avec un père Noël de 12 mètres de haut. La compagnie nantaise refuse, en disant qu’elle a toujours refusé de se mettre au service d’une entreprise commerciale.

    Coca-Cola ne se laisse pas abattre et décide de tourner cette publicité tout de même. La compagnie décide alors de porter plainte contre le géant américain en parlant d’injurieuse usurpation. Même si la compagnie de théâtre ne possède aucun droit de propriété intellectuelle sur le personnage de Santa Claus, elle accuse Coca-Cola d’avoir volé le concept et toute la technique d’animation des marionnettes.

    http://fr.novopress.info/171104/compagnie-theatre-se-bat-contre-coca-cola/

  • Prospectives Royalistes de l’Ouest

     

    Le numéro n° 45 du nouveau journal royaliste unitaire centré sur la région ouest BRETAGNE-LOIRE ATLANTIQUE-VENDEE vient de sortir.

    Vous pouvez le télécharger ici

  • Procès des Hommens : le rôle inquiétant du parquet…

    Tout démocrate, quelles que soient ses opinions politiques, a de sérieuses raisons d’être inquiet.   

    Le 24 juin dernier, lors de l’audition en appel à Paris des quatre Hommens de Roland-Garros, le parquet a requis des peines allant de 12 à 18 mois de prison avec sursis et même 6 mois ferme pour l’un d’entre eux.

    Au même moment et dans un autre procès, un autre procureur général déclarait lors de son réquisitoire contre le docteur Bonnemaison : « Votre volonté n’était pas de faire le mal (…) mais pour faire le bien, au regard de la loi, vous avez fait le mal », phrase qui appelait implicitement à la clémence du jury qui a finalement décidé d’acquitter l’accusé. À Paris au contraire, le Parquet a fustigé le comportements des Hommens qui étaient selon lui « des irresponsables qui masquaient leurs visages et n’assumaient pas la conséquences de leurs actes et qu’il fallait par conséquent punir sévèrement »…

    Rappelons que, dans un cas, le docteur Bonnemaison avait administré, de sa propre initiative et sans prévenir ni les familles ni le personnel médical, des produits à l’origine du décès de sept patients, afin prétendait-il « d’abréger leurs souffrances ».

    Dans le cas des Hommens, l’objectif était, selon les auteurs des faits eux-mêmes, de défendre l’intérêt des enfants dans leur droit à avoir un père et une mère, en attirant l’attention de la presse internationale sur le mouvement de contestation de la loi Taubira que la presse française semblait fortement vouloir minimiser.

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  • Les LGBT visent toujours plus les enfants

    Endoctrinement à la théorie du genre ("qui n’existe pas"...) : La Commission des droits de l’homme (à savoir Matignon) exhorte le gouvernement à renforcer la prévention [sic] de l’homophobie à l’école.

    A lire dans Le Figaro : « LGBTphobies » : Matignon sous pression

    Alors que Benoît Hamon tente de mettre sous le tapis l’embarrassant sujet des ABCD de l’Égalité, le gouvernement est rappelé à l’ordre par la CNCDH (Commission nationale consultative des droits de l’homme). Cet organisme consultatif, sous tutelle de Matignon, [c’est-à-dire de Manuel Valls :ndlr], a voté jeudi un avis qui rappelle le gouvernement à ses anciennes promesses en matière de lutte contre les « LGBTphobies » (hostilité envers les lesbiennes, gays, bi et trans), notamment à l’école. Un pavé lancé dans la mare à la veille de la Marche des fiertés, ou gay pride parisienne du 28 juin.

    « Lors de plusieurs auditions menées par la CNCDH, des acteurs de la communauté éducative ont souligné la grande timidité du ministère dans la mise en œuvre des recommandations du programme d’actions gouvernemental », note la commission dans son avis sur « Les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».

    Le gouvernement a cédé à la mobilisation de la Manif pour tous [sic !]

    La suite ici

  • "Il faudrait qu'on s'excuse d'avoir autant d'enfants"

    Stéphanie et Guillaume Garcia ont 8 enfants. Locataires, les époux sont avisés de la mise en vente du pavillon et sommés de le quitter en fin de bail, au 31 octobre 2015. Ils décident de faire bâtir. Ils trouvent un terrain, un promoteur, dessinent les plans, obtiennent un devis. Le crédit total porte sur 260 000 € étalés sur 25 ans, avec un taux d'endettement de 27 %. Or, la requête aboutit à un refus catégorique. Raison invoquée ? "Il y a trop d'enfants au foyer. Vous ne réussirez pas à vous en sortir".

    Déçus, ils font le tour des établissements financiers locaux.

    "A chaque fois, ça a été la même réponse. C'est abusé. Effrayant. Il faudrait qu'on s'excuse d'avoir autant de petits, alors que justement on se bat pour leur construire un avenir correct !"

    Résignés, ils cherchent une location :

    "Tout va bien jusqu'à ce qu'on évoque nos huit gamins. Alors là, c'est un non direct".

    Michel Janva

  • La France en bandes molletières

    « Comme dans les années 1930, la gauche anglophile, affairiste et radicale est de nouveau au pouvoir en France. »

    Certes, l’histoire « ne repasse pas les plats », comme disait si drôlement Céline.

    Néanmoins, la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui la France rappelle l’entre-deux-guerres. Car dans les années 1930 la France décroche sur tous les plans. Comme aujourd’hui.

    La France décroche

    Dans les années 1930, la France décroche au plan diplomatique et militaire.

    Elle se campe sur un Traité de Versailles de plus en plus contesté et ne voit pas poindre le réveil des nationalités et des nationalismes, qui va tout emporter. Au plan militaire, elle décroche aussi, car sa base industrielle de défense vieillit. Et aussi parce que la doctrine militaire française n’a pas tiré toutes les conséquences de la Grande Guerre de 1914/1918.

    La France décroche enfin au plan démographique car elle ne se remet pas des hécatombes de la « der des der ».

    La France qui tombe [...]

    Michel Geoffroy - La suite sur Polemia

  • Nouvelle menace sur la 3ème RPIMa

    Le 3e RPIMa est installé à Carcassonne depuis 1962. La présence du 3e RPIMa dépasse le seul cadre économique. Il s’agit de plus de 50 ans de symbiose sociale et sociétale. Le « 3″ fait partie de l’ADN du pays carcassonnais.

    Le « 3″, serait également programmé pour partir en Afrique (Tchad ? ) à la rentrée prochaine. Une question s’impose : l’Etat peut-il envoyer des troupes à l’étranger en leur disant que leur unité sera dissoute. Avec quel moral, quelle motivation, ces soldats pourraient-ils accomplir leur mission ? 

    Par STÉPHANE GAUDIN 


    Nouvelle menace sur le 3e RPIMa, le Maire de… par TVcarcassonne

    Motion pour le maintien du régiment du 3e RPIMa

    Certaines informations laissent penser que l’avenir du 3ème RPIMa n’est pas définitivement fixé et que sa dissolution serait toujours à l’ordre du jour.

     

    Si ces informations devaient s’avérer exactes, une telle décision serait catastrophique pour la ville de CARCASSONNE, son Agglomération ainsi que pour le département de l’Aude.

    2300 personnes seraient concernées dont 550 familles et 770 enfants. 30 millions d’euros de dépense disparaîtraient de l’économie locale, touchant, ainsi, tous les secteurs d’activité, à commencer par le secteur immobilier et ne parlons même pas de l’incidence de voir disparaître 770 enfants de nos établissements scolaires.

    Nous demandons solennellement au Chef de l’Etat-major des Armées de Terre, au Ministre de la Défense, au Premier Ministre et au Président de la République de nous confirmer que notre prestigieux régiment du 3e RPIMa ne sera pas dissout.

    Si cet appel ne devait être entendu et si gain de cause n’était pas obtenu, le bassin carcassonnais serait confronté à une véritable catastrophe économique que nous aurions bien du mal à gérer.

    Cette motion, déposée à l’initiative du maire de Carcassonne Gérard Larrat, a été adoptée à l’unanimité par les 73 communes (110.000 habitants) qui composent la communauté d’agglomération du carcassonnais.

    Theatrum Belli.org

  • On fait semblant de découvrir que la loi Leonetti permet l'euthanasie

    Jean-Marie Le Méné est interrogé dans Famille chrétienne à propos des affaires d'euthanasie. Sur la décision du Conseil d'Etat visant à achever Vincent Lambert, il déclare :

    L"Cette décision est conforme à une loi, portée par le député UMP Leonetti, qui date de 2005. On fait semblant de découvrir aujourd’hui qu’elle permet l’euthanasie. En 2005, la Fondation Jérôme-Lejeune a compté parmi les rares observateurs à déplorer que cette loi, dont tout le monde se félicitait, permette l’euthanasie, en assimilant arrêt de l’hydratation et de la nutrition à un refus d’acharnement thérapeutique, c’est-à-dire en confondant des soins qui sont toujours dus avec des traitements qui peuvent être suspendus. À l’époque, cette observation n’était pas politiquement correcte, mais elle était juste, on le voit aujourd’hui. S’il y a renoncement, il ne date donc pas d’aujourd’hui mais de 2005.

    En revanche, je ne crois pas que la société, dans son ensemble, soit solidaire de ce renoncement. Si on lui explique mal, elle comprend mal et elle répond mal aux sondages qui nous diront invariablement que l’euthanasie est une demande sociale. En laissant croire à l’opinion, comme s’y emploient la majorité et l’opposition, que dans l’affaire Lambert, il n’est pas question d’euthanasie mais de refus de l’acharnement thérapeutique, on ment. L’effet de ce mensonge est qu’on peut désormais donner la mort sans tuer.

    En s’appliquant à des personnes lourdement handicapées, la loi Leonetti ne montre-t-elle pas ses limites ?

    La loi Leonetti ne montre pas ses limites aujourd’hui, elle avait des faiblesses congénitales. Elle a introduit des imprécisions et des confusions, alors que le code de déontologie médicale était suffisant. Ainsi elle ne donne pas de définition précise de l’euthanasie ; elle n’établit pas de distinction claire entre le refus d’un traitement disproportionné et l’euthanasie par omission, pas plus qu’entre soin et thérapie ; elle ne donne pas de définition des traitements, laissant entendre que l’alimentation peut être considérée comme un traitement.

    Dans la culture contemporaine qui évacue la souffrance et la mort parce qu’elle n’en comprend plus le sens, le juge hérite d’une marge d’interprétation réduite. C’est ce que montre le cas de Vincent Lambert qui n’est pas en fin de vie et dont personne ne dit qu’il est en proie à des souffrances intolérables. Vincent Lambert est devenu handicapé, avec un degré de conscience diminué, à la suite d’un accident. Il vit d’une vie qui n’est pas petite, mais qui est la sienne. La société, nous dit-on, n’est plus prête à poser son regard sur des vies qui, à ses yeux, ne valent pas la peine d’être vécues."

    Et à propos de l'affaire Bonnemaison :

    "Je ne pense pas que la décision des jurés reflète le fond du cœur des gens. Il faut bien voir que nous sommes tous plus ou moins victimes d’un terrorisme compassionnel permanent qui inhibe la faculté d’appréhender la vérité. On nous recommande abusivement de pratiquer une sorte d’irénisme en décalage avec la violence qui nous est imposée. Autant ces injonctions sont pertinentes s’agissant des personnes, autant elles sont dangereuses s’agissant des principes.

    À l’évidence, il doit être dénoncé qu’un empoisonneur ait fait l’objet d’un soutien aussi obscène que celui de Bernard Kouchner et aussi pathétique que celui de Jean Leonetti. Si l’appréciation morale d’actes homicides n’est plus possible, n’est plus exprimée, n’est plus reçue, et cela au nom d’une pitié fallacieuse, comment voulez-vous que l’opinion s’y retrouve ? Elle obéit par peur et par commodité à la pensée dominante.

    Mais que nos contemporains soient en accord avec une justice qui, dans le même temps, condamne un malade et acquitte un homicide, cela, je ne puis l’imaginer.

    [...] Voir Jean Leonetti former un attelage avec Alain Claeys pour légiférer sur l’euthanasie nous donne une information très inquiétante sur les courants de pensée auxquels ils s’abreuvent l’un et l’autre.

    Nous arriverons avec eux à boucler le cycle révolutionnaire classique, dont l’avortement a été l’archétype, caractérisé par :

    • les « illégalités fécondes » qui mettent en échec une loi morale (sur le modèle des « 343 ») ;
    • la « réflexion sans tabou » qui évacue le principe du respect de la vie ;
    • l’« encadrement des dérives » qui légalise une pratique criminelle ;
    • le « lifting sémantique » qui fait disparaître le mot « euthanasie » pour dissimuler la chose… Ainsi le crime est parfait."

    Michel Janva