Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 68

  • La Manif Pour Tous fait ses comptes

    Elle les a présentés aujourd'hui :

    • 4,38 millions d’euros : c’est le montant total des recettes collectées d’octobre 2012 au 31 décembre 2013 (avec 3 manifestations d'environ 1 million de personnes)
    • dont 3,231 millions d’euros de dons
    • et 1,15 million d’euros avec la vente des produits dérivés, dont les sweat interdits
    • 20 000 donateurs
    • Une manifestation ationale a coûté en moyenne 874 000 euros.

    Budget modeste par rapport aux lobbys groupusculaires ultra-subventionnés.

    Michel Janva

  • La Manif Pour Tous fait ses comptes

    Elle les a présentés aujourd'hui :

    • 4,38 millions d’euros : c’est le montant total des recettes collectées d’octobre 2012 au 31 décembre 2013 (avec 3 manifestations d'environ 1 million de personnes)
    • dont 3,231 millions d’euros de dons
    • et 1,15 million d’euros avec la vente des produits dérivés, dont les sweat interdits
    • 20 000 donateurs
    • Une manifestation ationale a coûté en moyenne 874 000 euros.

    Budget modeste par rapport aux lobbys groupusculaires ultra-subventionnés.

    Michel Janva

  • [Bordeaux] .Les jeunes socialistes en jupe se révoltent ! (ATTENTION !) .

    Lors de la conférence de Farida Belghoul et de l’Abbé Horovitz à Bordeaux, les jeunes socialistes ont fait le coup de poing, la démonstration de force même, en développant une nouvelle forme de militantisme : la jupe pour tous ! Savourez l’ardeur militante au service du Progrès ! 

     
  • Aurélie Filippetti : "On a tous un petit peu d'Algérie en nous"

    Le ministre de l'Inculture explique pourquoi elle regardera le match qui opposera l'Algérie à l'Allemagne ce soir :
    "On a tous un petit peu d'Algérie en nous (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un immense écrivain français, né en Algérie, qui avait une passion pour l'Algérie, et pour le football. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on vibre tous un peu, quand on a un match d'un pays qui est aussi fortement lié à l'histoire de notre pays."
    Sans doute le ministre voulait-il dire :
    "On aura tous un petit peu d'Algérie chez nous ce soir. (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un grand écrivain français, né dans le département algérien, qui avait une passion pour l'Algérie française, et pour le football et qui va se retourner dans sa tombe. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on s'inquiète tous un peu des émeutes qui suivront un match d'un pays qui crache sans cesse sur l'histoire de notre pays."

  • L’agroforesterie : une nouvelle voie ?

    L’association arbres et cultures sur une même parcelle peut-elle être rentable ? L’agroforesterie n’offre-t-elle pas la chance d’une pratique agricole respectueuse de l’environnement permettant de produire en plus une source d’énergie renouvelable ?

    “Avec l’agroforesterie les cultures poussent beaucoup mieux. Les résultats des recherches françaises montrent clairement que l’association arbres et cultures augmente les récoltes d’au-moins 20%. Idem pour le bois, les arbres plantés sur des parcelles agroforestières poussent mieux.”

    Présenté par Carolin Matzko et Gunnar Mergner (Xenius 28/06/14)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • George Soros et la drogue : les secrets de Judapest – par Laurent Glauzy (1/5)

    « La guerre à la drogue s’est concrétisée par une perte de mille milliards de dollars » (Soros). Le milliardaire de l’Open Society Foundations (OSF) – qui est un réseau de fondations ayant pour but de promouvoir en théorie les droits de l’homme et des réformes économiques, sociales et juridiques – exposait ses arguments fallacieux dans un article du Financial Times intitulé : A futile War on drugs that wastes money (Une guerre futile contre la drogue qui fait perdre de l’argent).

    George Soros, né György Schwartz, réitère depuis plusieurs années ce genre de propos subversifs. Dans le Washington Post, il déclarait : « Ma seule crainte est que la guerre contre la drogue nuise à la structure sociale. » Et, « depuis quarante ans, les gouvernements du monde entier ont dépensé des sommes gigantesques pour conduire une politique répressive, au détriment d’autres programmes. » Le milliardaire, qui fait allusion à la politique de légalisation de la drogue dont il est le soutien généreux, argumente sans vergogne : « La lutte contre la drogue n’est pas seulement un gaspillage d’argent, elle est contre-productive. La prohibition et la lutte contre la drogue ont fait plus de mal que de bien. »

     

    « Pendant des années, mon Open Society Foundations a soutenu des programmes de réduction de propagation des dommages en mettant fin à l’échange des seringues – une manière prouvée et économique de prévenir la transmission du HIV. Un pays qui investit un dollar dans l’échange des seringues, économise au final 27 cts. » Ce modèle de propagande est bien entendu fantasmagorique.

    De l’ONU à une légalisation mondiale de la drogue

    En fait, Soros prône, en termes déguisés, la drogue comme instrument de contrôle de la population et d’annulation de la vie humaine. L’homme doit devenir un instrument des élites satanistes qui dirigent ce monde, comme l’explique si bien Bill Schnoebelen, ponte repenti de l’Église de Satan, ou encore le père Regimbal, assassiné en 1988.

    Le requin judéo-hongrois, d’un air lucide et avec une audace propres aux plus grands criminels, expose : « Prenons le cas de la Colombie. Quand les forces de l’ordre colombiennes ont opéré un tour de vis au trafic national de la cocaïne, la violence s’est déplacée au Mexique. Le rapport de la London School of Economics (LES) estime qu’après 2007, les politiques d’interdiction du gouvernement colombien ont causé une augmentation de plus de 20 % du taux des homicides au Mexique. »

    Il va sans dire que Soros essaie, par cette rhétorique, de rendre toutes les populations dépendantes de la drogue, plutôt que de munir l’ensemble des nations de moyens prohibitifs pour éviter que le mal ne s’étende.

    Le magnat est un expert de la Colombie : « Bogota exporte vraiment une grande menace. L’explosion du marché illégal de la drogue, entre 1994 et 2008, a entraîné une augmentation de 25 % des homicides en Colombie, soit 3 800 morts par an. (…) Ce type de violence mène au départ des multinationales, à l’assèchement des investissements étrangers, au déclin des industries et à la fuite de la population, en quête d’une vie meilleure. Ceci est particulièrement vrai aux États-Unis qui, avec moins de 5 % de la population mondiale, représentent environ 25 % de la population carcérale de la planète. »

    Soros affirme qu’« à l’assemblée générale de l’ONU de 2016, il y aura une révision du système de contrôle des drogues. La politique prohibitionniste ne peut répondre seule au problème global de la drogue.

    La drogue, avec un bénéfice de 500 milliards de dollars par an – qui est la troisième source de revenu dans le monde, après le commerce du pétrole et de l’armement, détenu par les Rockefeller et les Du Pont de Nemours depuis la guerre de Sécession – est une marchandise parfaite : elle se produit économiquement, se consomme rapidement, crée la dépendance et est donc un marché éternel. C’est ce marché juteux que lorgne Soros. De plus, le capitalisme global, qui se dirige vers la phase terminale d’une gouvernance mondiale pour une dictature satanique et planétaire, a compris que la drogue est un instrument de contrôle des populations par excellence.

    Ce procédé imparable avait été compris par le trésorier d’Ahmet Pacha, gouverneur de Bagdad, le communautariste David Sassoon à l’origine de la diffusion de l’opium en Extrême-Orient et de toutes les guerres qui y sont liées. Son fils, surnommé « le Rothschild des Indes » sera même anobli par la reine Victoria !

    [A SUIVRE...]

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/george-soros-et-la-drogue-les-secrets-de-judapest-par-laurent-glauzy-15#more-33388

  • Désintégration morale, désintégration sociale

    Panem et circenses,  du pain et des jeux. Desjeux il y en a toujours, du pain de moins en moins. Alors que les médias ont reçu des consignes et/ou s’autocensurent afin  de ne pas donner d’écho aux nouveaux débordements antifrançais de supporters algériens  qui se sont déroulés hier soir après le  match opposant la Mannschaft à l’équipe des Fennecs, la victoire des bleus sur le Nigéria  quelques heures auparavant n’occulte pas complètement notre situation économique dramatique. Le Figaro aujourd’hui, comme le JT de TF1 hier soir, ont rappelé malgré l’euphorie footballistique le bilan de dix années de cogestion UMPS du pays. La dette de la France atteint désormais 30 000€ par Français, elle a  ainsi doublé depuis 2004  pour atteindre 1 985,9 milliards d’euros, soit 93,6 % du PIB !  Entre le dernier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014,  celle-ci  a augmenté de 45,5 milliards d’euros. Dégringolade qui suit en parallèle une décadence intellectuelle et  morale. La semaine dernière, pour acclimater dans les esprits l’élimination des  citoyens à charge (?),   Bernard Kouchner l’ancien ministre de la Santé du gouvernement Jospin, préconisait sur France Inter,  interrogé par Patrick Cohen,  d’arrêter d’utiliser le mot euthanasie, trop anxiogène :  « D’abord, il y a le mot nazi dedans, ce qui n’est pas très gentil » (sic)  a expliqué  M.  Kouchner. « Et puis on a tout de suite l’impression qu’il y a une agression, qu’on va forcer les gens »… Ben voyons.

     Cette duplicité est elle aussi de mise avec l’annonce par le  ministre de l’Éducation nationale Benoît Hamon la fin de l’expérimentation des ABCD de l’égalité  ? Un  délire idéologique s’inscrivant dans la théorie du genre, dénoncé avec force par Bruno Gollnisch, qui fut lancé  en début d’année dans 600 classes, de la maternelle au CM2. Cet ABCD  serait donc remisé aux oubliettes…mais  remplacé par  une « mallette pédagogique ». Celle-ci sera  mise à disposition des enseignants en septembre,   inscrite dans le projet éducatif des établissements et traitera de l’égalité   fille-garçon… thème qui  est déjà enseigné depuis longtemps…

     M. Hamon et Najat Vallaud-Belkacem  ont  certes claironné  un plan d’action ambitieux « sans équivalent »  en remplacement de cette expérimentation foireuse. Mais le lobby LGBT,  la  gauche  dans son ensemble, des syndicats  (UNSA, FCPE, SNE…) ont dénoncé une reculade devant l’extrême droite et la réaction ; d’ores et déjà,  les interventions de militants homosexuels et transsexuels prévues pour la rentrée dans les écoles ont en effet  été  annulées…

     Si cette reculade se vérifie dans les faits, et il convient de rester vigilant,  Bruno Gollnisch se félicite de  cette victoire, qui est celle de  la mobilisation  des familles. Cette opposition au laisser faire  laisser  passer, à l’idéologie libérale-libertaire qui imprègne les partis du Système de gauche comme de droite, est symptomatique du besoin croissant de nos compatriotes de   repères, d’une armature, d’une  réaffirmation de nos valeurs civilisationnelles.  Une saine réaction, vitale dans  une Europe bruxelloise qui se désagrège, au moment même ou  les apôtres planétariens somment les Européens, les Français, d’éradiquer toutes les frontières (culturelles, physiques, anthropologiques…) pour bâtir  l’homme nouveau,  une société   transgenre .

     Ancien communiste, ancien braqueur, le docteur en philosophie et homme de gauche  Bernard Stiegler  a bien analysé  les évolutions mortifères de notre société ultra-libérale.  Dans un entretien accordé à Rue 89 et publié  le 28 juin,  et au-delà de ses fatwas anti-FN, fatigantes, mécaniques,  peu originales et surtout mensongères, il rejoint l’opposition nationale lorsqu’il remarque  que nous sommes entrés depuis trente ans dans un projet global  « (fondé) sur l’idée qu’il valait mieux liquider l’Etat et financiariser le capitalisme en laissant la production se développer hors de l’Occident – et cela a été le début du chômage de masse ».

     « Cette liquidation a créé une insolvabilité de masse dissimulée par les systèmes de subprimes et de  credit default swap,  très profitables aux spéculateurs mais ruineux pour l’économie, un hyperconsumérisme extrêmement toxique sur le plan environnemental, une grande misère symbolique sur le plan mental, et une précarisation généralisée provoquant un sentiment d’insécurité bien réelle et une désintégration sociale ».

     Or, qu’il le veuille ou non,  le FN apparaît de manière croissante comme un  antidote à  cette désintégration, à ce  déclin  qui est aussi une perte de vitalité spirituelle comme réponse au matérialisme desséchant véhiculé par la mondialisation  ultra-libérale.  

     Cela,  un nombre croissant de  catholiques pratiquants l’a bien compris.  Selon La Croix qui consacrait un article à ce sujet le 29 juin,  « l’incompatibilité entre l’Évangile et l’idéologie du FN, explicitement énoncée par une grande partie de l’épiscopat français dans les années 1980  – et récusée avec force à l’époque par les argumentaires frontistes  fournis par Bernard Antony rappelle La Croix -  paraît désormais lointaine. Oubliés, également, les discussions de la fin des années 1990 sur la possibilité d’excommunier Jean-Marie Le Pen et les refus, de la part de certains évêques, de baptiser des militants frontistes ». Désormais,  « lors des élections européennes du 25 mai, les sondages ont montré que 20 % des catholiques pratiquants votaient pour le Front National ».

     Oui, l’homme ne se nourrit pas uniquement de pain  et de jeux, et le projet politique porté par le FN  est aussi une volonté  de réenracinement, à l’antithèse  de la transformation  des individus  en  simple homo consumerus, interchangeable,  en simple tube digestif conditionné par les stimuli du Marché.

    http://gollnisch.com/2014/07/01/desintegration-morale-desintegration-sociale/

  • Quand Alain Finkielkraut rejoint Marcel Déat

    C’est la faute à Alain Finkielkraut ! Comme il a habitué ses auditeurs et ses lecteurs au meilleur, ils y ont pris goût et sont devenus exigeants. Le revers de la médaille ? C’est qu’ils ne laissent rien passer.

    C’est pourquoi nous avons été stupéfiés de l’entendre, lors de son émission Répliques de ce samedi 29 juin sur France Culture,... 

    ... consacrée au colonel de La Rocque, déclarer, à quelques minutes de la fin, qu’en 1940 "la mystique de la défaite a discrédité l’Action française" (à 46’25").

    C’est exactement, sur le fond, l’accusation lancée par le néo-socaliste collaborationniste Marcel Déat, dans son journal L’Œuvre, à la suite d’un article de Maurras paru dans Le Petit Marseillais du 9 février 1941, L’Action Française étant interdite en zone occupée. Déat accusait dans L’Œuvre Maurras de s’être réjoui de la défaite en parlant de "divine surprise", alors même que cette expression concernait uniquement le recours au vainqueur de Verdun, dont il espérait le relèvement du pays.

    Comment accuser un homme qui toute sa vie lutta pour le réarmement moral et matériel du pays d’être un "mystique de la défaite" ? Comment accuser une école de pensée qui donna à la France ses premiers résistants de pratiquer la "mystique de la défaite" ? Quant à ceux qui restèrent fidèles aux consignes de Maurras durant la guerre, comment les accuser de l’avoir fait par quelque "mysticisme de la défaite" alors qu’ils n’avaient cessé, comme militants d’AF, de lutter contre l’impréparation du pays ou même participaient à des mouvements de renseignements au profit des alliés ? "Mystiques de la défaite", les étudiants de l’Action française qui firent partie des organisateurs de la manifestation du 11 novembre 1940 et y participèrent en grand nombre ? Notre ami André Pertuzio, un des organisateurs, vient chaque 11 novembre aux côtés de l’Action française leur rendre hommage : "mystique de la défaite" ?

    11 novembre 1940 - 11 novembre 2013 : "mystique de la défaite" ?11 novembre 2013 : Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française, écoutant le témoignage d’André Pertuzio, organisateur de la manif’ du 11 novembre 1940 : "mystique de la défaite" ?

    Contentons-nous de renvoyer à un récent article paru sur Boulevard Voltaire : même si l’auteur ne le dit pas, tous les noms cités sont ceux de résistants formés à l’école d’Action française. Renvoyons aussi à l’ouvrage, récemment rééditer, de Roger Joseph,Les Faux Maurras.

    Non Monsieur Finkielkraut, l’Action française ne fut jamais une école du défaitisme, jamais ne partagea aucune "mystique de la défaite", pour reprendre des propos... qui ne sont tout simplement pas dignes de vous.

    François Marcilhac, directeur éditorial de L’Action Française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-Alain-Finkielkraut-rejoint