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  • Face à l'islamo-terrorisme, un signal de réveil

    Dans le délitement de toutes choses que subit notre malheureux pays, quelques rares institutions semblaient jusqu'ici témoigner d'un reflet de ce qui en fit autrefois une puissance. À cet égard, méritaient d'être cités les cas des toilettes publiques des autoroutes privatisées, du service des encombrants de la Ville de Paris et, peut-être moins anecdotique, celui de nos services de Renseignement, apparemment efficaces quoique chichement financés.

    En fermant le livre, fort instructif, signé de Samuel Laurent (1)⇓ on se prend à douter du bien fondé de cette dernière note d'optimisme.

    Recueillons donc aujourd'hui, auprès de cet auteur, que les éditions du Seuil présentent comme un consultant international, un certain nombre d'informations et de considérations propres à nous faire mieux apprécier la situation "d'avant-guerre" bien réelle en face de laquelle nos dirigeants semblent s'être assoupis.

    Il abordera la conclusion de son livre en précisant en effet que "nos services de Renseignement ronronnent comme n'importe quelle bureaucratie française"(2)⇓ Il y voit une cause : "la technologie rend nos espions paresseux, elle leur fait perdre de vue l'essentiel : le courage et l'efficacité… " et il propose un remède : "si des agents décidaient d'infiltrer al-Qaïda il deviendrait certainement possible d'agir… " (3)⇓

    Il s'agit pour l'auteur de faire face, en commençant par prendre conscience du danger que représente la nébuleuse d'ensemble que nous appelons salafiste ou djihadiste. Le péril, en effet, ne se limite pas aux territoires tombés en déshérence entre Irak et Syrie. Il s'agit bien plutôt des retombées de leurs conflits sur le sol européen, à commencer par celui de l'Hexagone.

    Les volontaires islamistes en effet proclament : "Après la révolution, on viendra en France. On égorgera les Français pour ce qu'ils font au Mali." (4)⇓

    Ceux qui les recyclent pour ce combat précisent : "Le Jihad que nous préparons aura lieu en France. Pour nous ce pays ne représente pas un adversaire à combattre mais une terre à conquérir".  (5)⇓

    Les services officiels français évaluent à plusieurs centaines, peut-être 700, les combattants partis de France, en toute légalité apparente, pour mener la guerre sainte que Mme Clinton, si elle est élue en 2015, et de nombreux partisans occidentaux du droit d'ingérence, encensent aujourd’hui.

    À ceux qui, à Washington ou à Paris pensent de soutenir l'Armée dite syrienne de libération, il est rappelé : "Vous devez comprendre que ce qu'on appelle à Paris ou à Washington l'Armée syrienne libre n'a absolument aucune existence. Si les leaders de l'ASL donnent un ordre à 'leurs' brigades, personne n'obéit. L'ASL ne sert qu'à une chose : recueillir des fonds et des armes en provenance de l'occident."  (6)⇓

    Les vraies 'brigades internationales' de l'islamisme filtrent en effet les futurs poseurs de bombes et volontaires pour les opérations meurtrières prévues, notamment, dans l'Hexagone. Une fois sélectionnés les éléments à former, ils opèrent via un pays oublié. On peut le regretter car naguère Kouchner, le grand homme du "droit d'ingérence", s'illustra en y débarquant, pour la photo des sacs de riz livrés à Mogadiscio. Or, "les camps de Somalie ne représentent pas un secret ; qui va les attaquer ?... la Somalie constitue une citadelle imprenable ! La terre la plus hostile et la plus violente de cette planète.(7)⇓

    Ne croyons pas trop à la théorie journalistico-policière, et à l'expression des prétendus "loups solitaires" qu'on nous ressort avec l'affaire Merah ou plus récemment avec le cas de Mehdi Nemmouche. Leur solitude reste tout à fait relative. D'évidents soutiens logistiques existent et ils se manifestent, sous diverses formes, en France même, pays où les islamo-terroristes déclarent : "nous possédons un gigantesque vivier de jeunes hommes séduits par le salafisme et l'islam radical, même si un grand nombre d'entre eux ne possèdent absolument aucune culture religieuse."  (8)⇓

    Ainsi : "al Qaïda possède un véritable cheval de Troie dans l'Hexagone"  (9)⇓

    Particularité du terrain que ces gens se proposent d'ensanglanter et de conquérir :"Les Français sont tellement englués dans leurs idées progressistes et leur complexe post-colonial qu'aucun responsable politique n'osera lancer une chasse aux sorcières contre les Arabes."(10) (10)⇓

    Précisons bien que ces citations, exceptionnellement nombreuses, ne sont nullement tirées d'un pamphlet marginal ou d'un roman policier. Elles sont toutes extraites d'un livre publié par une des plus prestigieuses maisons de l'édition parisienne. Celle-ci est habituellement liée à la plus stricte bien-pensance. On peut d'ailleurs se demander s'il n'a pas été commandité par nos services de renseignement eux-mêmes.

    Voilà ce que je voulais aujourd'hui recenser et inviter mes lecteurs à prendre en considération.

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    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  Samuel Laurent "Al-Qaïda en France" ed. Seuil. Révélations sur ces réseaux prêts à frapper. 2014. 426 pages 
    2.  op. cit. page 425. 
    3.  op. cit. page 426.
    4.  op. cit. page 83. 
    5.  op. cit. page 317.
    6.  op. cit. page 49. 
    7.  op. cit. page 401.
    8.  op. cit. page 345.
    9.  op. cit. page 422.
    10.  op. cit. page 385.
  • Après les défaites aux municipales et aux européennes, l'argent ne rentre plus au PS

    Le Bureau national, l'instance dirigeante du Parti socialiste, a annoncé la mise sous tutelle de la Fédération du Gard du parti pour des soupçons de mauvaise gestion financière. Cette mise sous tutelle intervient alors qu'une enquête préliminaire a été ouverte le mois dernier sur la comptabilité de la fédération socialiste du Gard.

    Michel Janva

  • Arrêt « GPA » : « C’est la porte ouverte à tous les trafics d’enfants »

    Entretien avec Aude Mirkovic

    Que vous inspire l’annonce de la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) sur le dossier de la gestation pour autrui (GPA) ?

    La France est condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme parce qu’elle refuse de transcrire sur les registres français d’état civil les actes de naissance étrangers des enfants nés de GPA aux Etats-Unis, en Inde ou ailleurs. Autrement dit, la Cour européenne nous ordonne de fermer les yeux sur le recours à la GPA, au nom du soi-disant intérêt des enfants concernés, ce qui est un comble : cela signifie en effet que, dès lors qu’un enfant est élevé par des Français qui l’aiment et l’éduquent, la situation constituée à l’étranger doit être reconnue en France, quand bien même elle a été constituée au mépris des droits élémentaires de l’enfant ! Plaisants droits de l’homme que ceux qui servent à valider à processus de commande, fabrication, facturation et livraison d’un enfant. C’est la porte ouverte à tous les trafics d’enfants dans le cadre notamment de l’adoption internationale : le marché des enfants a de beaux jours devant lui si les personnes peu scrupuleuses savent que, une fois l’enfant élevé et choyé en France par ses parents adoptifs, son intérêt servira de prétexte pour passer outre, le cas échéant, toutes les violations de ses droits et de ceux de ses géniteurs.

    Cela ne nous achemine-t-il pas tout droit vers la légalisation de la GPA en France, au nom d’une GPA éthique qui serait un moindre mal par rapport au recours à ces GPA à l’étranger, que de fait, on autorise par cette décision ?

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  • Comment le président du MEDEF diminue les impôts de sa société de 25 à 3%

    Pierre Gattaz se fait épingler sur l’ampleur de l’optimisation fiscale de Radiall, son entreprise qui bénéficie pourtant de 876.000 euros au titre du CICE.

    Habitué à donner des leçons et des mises en gardes au gouvernement – bien souvent pour dénoncer le coût du travail -, Pierre Gattaz, président du Medef, se fait à son tour épingler. Le quotidien “L’Humanité” publie mardi 1er juillet une enquête sur Radiall, l’entreprise dirigée par “le patron des patrons”.

    Principal enseignement tiré de la lecture des rapports annuels de son groupe : Pierre Gattaz est parvenu a fortement diminuer la contribution fiscale en France de sa société d’équipements électroniques alors qu’il continue de bénéficier de crédits d’impôts – notamment à travers le CICE (Crédit impôt compétitivité emploi) – et augmente les dividendes.

    En fin de journée, Pierre Gattaz a réagi à l’article de “L’Humanité”. Dans son blog, le président duMedef se livre à “un petit cours d’économie pour débutants“. Peu avant, son entourage s’était déjà dit pour le moins “surpris par l’interprétation des chiffres qui en est tirée“.

    L’analyse des données établie par “L’Humanité” indique que la part des impôts payés France par le groupe de Pierre Gattaz est passée en quelques années de 25% à 3%.

    Selon le quotidien, la société française Radiall transfère la plus grande partie de sa plus-value à ses filiales à l’étranger : elle parvient ainsi à nettement réduire son taux d’imposition, technique dite de l’optimisation fiscale.

    202.000 euros d’impôts pour 876.000 de CICE

    En 2013, le groupe Radiall a réalisé un chiffre d’affaires de quelque 25 millions d’euros (+ 27% entre 2010 et 2013). Et ce chiffre d’affaires est réalisé très majoritairement en France, à hauteur de 70% du chiffre d’affaires global. Sur cette même année, sa charge fiscale en France s’est limitée à 202.000 euros alors même que l’entreprise a notamment bénéficié de 876.000 euros du CICE.

    En France, Radiall emploie 1.153 salariés permanents et 209 intérimaires. Ses filiales à l’étranger (Mexique, Chine…) comptent 625 salariés permanents et 762 précaires. Grâce au dispositif d’optimisation fiscale, le groupe fixe les prix de vente à ses filiales (les prix de transfert). Il s’agit donc de baisser les prix en interne afin d’affecter la majeure partie des marges dans les pays où la fiscalité est le plus avantageuse.

     Selon le sénateur communiste Eric Bocquet, cité par “L’Humanité”, l’optimisation fiscale représente “entre 40 et 50 milliards par an” de manque à gagner pour l’État.

    Le quotidien se plaît enfin à rappeler que les dividendes générés par la société, eux, ont doublé entre 2010 et 2014 pour atteindre 2,8 millions d’euros. Des dividendes dont bénéficie principalement la famille de Pierre Gattaz: en 2010, une opération de rachat lui a permis de détenir 87% des actions.

    Nouvel Obs

    http://fortune.fdesouche.com/346971-comment-le-president-du-medef-diminue-les-impots-de-sa-societe-de-25-3#more-346971

  • Franck Margain: « la mairie de Paris est dans la pensée unique et elle ne souhaite pas représenter tous les Parisiens »

    Le 9 juillet prochain, la mairie de Paris va comme chaque année fêter dans les salons de l’Hôtel de Ville le début du ramadan. Cela n’a pas manqué de susciter des réactions, notamment du côté du Parti Chrétien Démocrate et de Franck Margain, conseiller d’opposition UMP du XIIème arrondissement de Paris, qui avait adressé une lettre ouverte à Anne Hidalgo, avec plusieurs élus pour lui demander de s’expliquer sur ce choix alors que d’autres fêtes, notamment chrétiennes, avaient aussi un caractère culturelle.  Selon Franck Margain, que nous avons pu contacter, la mairie de Paris n’a pour l’heure apporté aucune réponse, que ce soit de manière écrite ou par voie orale, à cette lettre ouverte.  L’élu parisien a réaffirmé son opposition à de telles festivités dans un sens unique, se disant favorable à une laïcité positive : « oui, il y a prise de parti, nous ne sommes pas dans la laïcité telle que la République la conçoit. »  Franck Margain est donc pour une implication publique dans les fêtes religieuses mais qui ne concernerait pas seulement qu’une communauté. Mais ce n’est pas tout.

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  • Sarkozy en garde à vue ? Tant mieux !

    S’il a pris quelques libertés avec la loi, en quoi ne devrait-il pas répondre de ses actes devant la justice ?   

    Nicolas Sarkozy a donc été mis en garde à vue pour deux motifs : « trafic d’influence » et « violation du secret de l’instruction ». Et alors ? En quoi est-ce gênant ? En quoi un ancien chef de l’État n’aurait-il pas le droit d’être interrogé pour justifier certains de ses faits et gestes ? Il ne bénéficie plus de son immunité. Il est redevenu un justiciable comme un autre. Comme vous et moi. S’il a pris quelques libertés avec la loi, en quoi ne devrait-il pas répondre de ses actes devant la justice ? Les tricheurs, quand la triche est avérée, ne méritent-ils pas d’être sanctionnés ? Si nous-mêmes commettons une ou des infractions à la législation, nous devenons des gardés à vue en puissance.

    Il n’y a rien d’anormal dans tout cela. « Dura lex, sed lex », disaient les Romains qui nous ont légué leur système de justice contradictoire. Chaque année, ce sont près de 800.000 quidams qui sont gardés à vue. 2.200 par jour ! Moins de 10 % de ces procédures se terminent par une incarcération.

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  • Peut-on s’allier avec les incroyants ou les musulmans ? Union, alliance ou rencontre ?

    Quand le législateur s’acharne contre la nature humaine, les catholiques peuvent- ils agir de concert avec des citoyens qui ne partagent pas leur foi ? Si oui comment et dans quelles conditions Jean Ousset dans son livre  l’Action au chapitre III, « Cas de nos cités pluralistes » (p. 223 à 236), donne les clés de discernement. Extraits :

    « Trois siècles de « philosophie séparée » ont provoqué un climat de scepticisme généralisé.

    Quant à cette religion des « bonnes manières » dont Simone de Beauvoir nous dit qu’elle était celle de son père, personne n’en est plus, personne n’en veut plus.

    Certains invoquent, il est vrai, ce respect du droit naturel que l’Eglise désigne comme un des fondements de sa morale… Mais si beaucoup tendent à l’évoquer, rien n’est plus discuté que la chose elle-même

    Il importe de s’y prendre autrement...

    • Au plan dogmatique : enseigner la vérité, ne pas ériger en doctrine ce qu’on doit tolérer…
    • Au plan tactique : tenir compte de l’incohérence des hommes dans l’erreur. S’adresser au bon sens…

    Nous l’avons assez répété : la seule proclamation de la vérité ne peut suffire. Il faut, pour être efficace, prendre la situation telle qu’elle se présente, et, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, s’appliquer à tirer profit de tous les avantages de ce que l’on peut déplorer par ailleurs

    Un certain goût de la vérité s’est perdu. C’est indéniable... La perspective des grandes synthèses doctrinales rebute. Seul demeure ce goût naturel, inaliénable des vérités fragmentairement reçues et vécues

    Nouvelle maïeutique… Faire confiance à la puissance persuasive d’un vrai, mieux expliqué, et attendre que l’esprit y adhère pleinement…

    C’est à cette part de bon sens qu’il faut s’adresser. C’est ce goût irréductible du vrai qu’il faut satisfaire.

    Il faut que les raisons du vrai ne paraissent en nos propos qu’à la manière de notions communément évidentes, de claire sagesse et de pur bon sens…

    Il faudra par conséquent, adopter des formules d’action qui permettent à l’apport doctrinal, à la synchronisation tactique de répondre aux exigences de chaque cas, aux besoins de chaque milieu

    Rappelons au moins en ces difficultés les deux cheminements possibles :

    1°  Cheminement vers Dieu par un sens plus exact de l’ordre du monde. Ordre non seulement matériel mais intellectuel, moral, spirituel.

    2°  Preuve, par l’histoire, des bienfaits de Jésus-Christ et de son Eglise.

    Domaine des vérités partielles où l’action est vouée à mille compromis. Compromis auxquels il importe, certes, de conserver leur caractère par crainte de voir accorder à ce qui n’est qu’un moyen, qu’une formule relative et transitoire le prestige d’une suprême finalité.

    Il est donc préférable, au lieu d’UNE SEULE formule, de favoriser les modes d’action multiformes.

    Ainsi les risques de dogmatisation, de transformation du relatif en absolu sont beaucoup plus restreints. Et plus grandes aussi les possibilités de manœuvres, susceptibles de favoriser une sage progression vers un meilleur état des choses.

    C’est en vain qu’on a cherché et que l’on cherche toujours à substituer à la doctrine catholique des formules dites plus habiles pour essayer d’atteindre le même résultat à moindres frais.

    Bouche-trous qui ne bouchent pas le trou, disait ironiquement Chesterton.

    Certes, quand le mal est fait, il faut bien s’y résigner et faire comme le malade qui se sait cloué au lit pour longtemps. Il cherche une position commode, une attitude moins douloureuse.

    Le comble serait de donner le titre de santé à cet état dolent et de maladie chronique.

    Loin de parler d’une « union » entre croyants et incroyants, [il est plus juste] d’écarter ce terme et celui même d’alliance pour se contenter de celui de « rencontre ». Là se borne, les possibilités de groupement offertes à ceux que n’éclaire pas la même doctrine. « Tout réfléchi, je préfère le terme précis de rencontre... Mais, noter ces rencontres, les compter, les jalonner, c’est, par là-même, constater que, sur les autres points, il n’y pas d’accord, mais divergence et séparation... »

    On devine l’importance d’une telle méthode à une époque où l’action commune entre croyants et incroyants est une nécessité quotidienne.

    Point d’unité au sens strict, puisqu’il y a opposition de doctrines. Mais simple accord dans la poursuite de certains avantages rapprochés.

    Accord sur les résultats, comme on dit aujourd’hui ! A condition de ne pas se laisser abuser par l’expression.

    Mais l’histoire n’est-elle pas riche en exemples péremptoires de cette possibilité et, donc, de l’efficacité (relative) d’une pareille tactique ?"

    A suivre …

    Lire et télécharger dans son intégralité le chapitre III, « Cas de nos cités pluralistes » (p. 223 à 236),  dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre une initiative qui corresponde à vos « talents » contacter le service d’information d’IchtusCe livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige