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  • Afghanistan : l'héritage laissé par l’Amérique

    Par La Voix de la Russie | A l'automne l'opération de l'OTAN en Afghanistan aura 13 ans. Les experts qui dressent le bilan de la campagne reconnaissent son fiasco. Au fond, les talibans se sont renforcés au lieu d'être battus.

    Au lieu de la paix et du développement promis à l'Afghanistan, la présence des troupes de l'OTAN a créé des problèmes supplémentaires. La Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS) quitte le pays laissant derrière elle une économie ruinée par la guerre. Selon les experts, le taux de chômage s'élève à 80 %. Les simples Afghans se voient obligés de travailler dans les plantations d'opium ou de se joindre aux talibans pour trouver les moyens de subsistance arme à la main a déclaré l'ex-candidat à la présidence en Afghanistan Baz Mohammad Kufi :

    « Cette année 280 000 hectares en Afghanistan ont été plantés en pavot à opium. Si le peuple a la possibilité de gagner son pain par un travail honnête, je vous assure qu'aucun Afghan n'optera pour le narco-terrorisme et ne ralliera les talibans ».

    Les problèmes de l'Afghanistan sont ressentis dans les Etats voisins. Le problème majeur est la drogue. Sa production a triplé pendant la présence de l'OTAN sur le territoire afghan. L'Afghanistan est devenu, de fait, le numéro un mondial dans la production des opiacés livrés en Russie et en Europe via les pays d'Asie centrale. Le Tadjikistan est le pays qui a endossé le fardeau de premier obstacle dans la voie du trafic de drogue, estime le directeur de l'Agence de contrôle du trafic de drogue près le président du Tadjikistan Roustam Nazarov :

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  • L’allocation de rentrée scolaire version Hollande : 158 millions versés injustement !

    L’allocation de rentrée scolaire, une prestation des allocations familiales, a été versée à près de 3 millions de foyers depuis le 19 août. Son montant varie de 362 € à 395 € par enfant selon les âges, et n’est versée que sous condition de ressources.

    On peut toujours discuter du bien fondé de ce type d’aide et de sa réelle efficacité : en effet cette somme étant destinée à équiper l’enfant pour suivre dans de bonnes conditions son année scolaire, on aurait pu reverser cette somme aux établissements en fonction du nombre d’élèves, l’établissement devant fournir le « kit » nécessaire à l’enfant.

    La version ARS (allocation de rentrée scolaire) 2014 signée François Hollande est une gabegie : en effet, nul n’est besoin d’apporter la preuve de la scolarisation de l’enfant pour lequel on réclame cette allocation. Une simple déclaration sur l’honneur suffit.

    Le problème est que le taux de lycéens non scolarisés (15 à 19 ans) est important : je n’ai pas trouvé les chiffres de 2013, mais simplement ceux de 2005 à 2009. Entre ces deux années, le taux d’enfants scolarisés est passé de 89 % à 84 %, soit un recul de 1% par an. Cela laisse entrevoir les chiffres de 2014…Restons donc sur la base de 2009, qui nous indique que les adolescents déscolarisés grimpent à 16 %.

    Sachant que le nombre de lycéens scolarisés pour l’année 2012-2013 était de 2.100.000, on peut en déduire que le nombre de lycéens déscolarisés est de 400.000 au minimum. A 395 € pour cette tranche d’âge, la CAF aura donc versé 158 millions d’euros pour des enfants non scolarisés. Et en ne se basant que sur les lycéens !!!

    L’argent du contribuable n’a pas de valeur pour Flamby !

    Xavier Celtillos

    http://medias-presse.info/lallocation-de-rentree-scolaire-version-hollande-158-millions-verses-injustement/14336

  • Ils interviendront aux Journées Identitaires (1) – Jean-Yves Le Gallou

    Pour la deuxième année consécutive auront lieu les 6 et 7 septembre prochain, à proximité du Mans, les Journées Identitaires Ouest & Île-de-France. Ce week-end est ouvert à tous, militants comme sympathisants.

    Jusqu’au 6 septembre, retrouvez sur Novopress les portraits des intervenants de ces II° Journées Identitaires. Aujourd’hui, Jean-Yves Le Gallou.

    Ancien élève de l’ENA, diplômé de Sciences-Po Paris, Jean-Yves Le Gallou est le président de la Fondation Polémia.

    Ancien député européen et président de groupe au conseil régional d’Ile-de France, il fut pendant de très nombreuses années un cadre actif et écouté du Front national.

    A l’origine du concept de « préférence nationale », il a fortement contribué à la diffusion de mots-clefs tels que la réinformation ou le racisme anti-blanc. Considérant les batailles de l’information et les guerres sémantiques comme décisives, Jean-Yves Le Gallou a également été à l’initiative de la désormais célèbre cérémonie annuelle des Bobards d’Or.

     

    Le 20 juin 2014, au sommet du Mont Olympe, il participe à la fondation de l’Institut Iiliade pour la longue mémoire européenne aux côtés notamment des historiens Philippe Conrad et Bernard Lugan.

    Ami de Dominique Venner (dont il se fait, via cet institut l’un des continuateurs) Jean-Yves Le Gallou sera présent aux Journées Identitaires pour évoquer la figure de ce dernier autour du thème : «Dominique Venner, retrouver nos racines pour sortir de la dormition ».

    Vous souhaitez participer à ces journées ? Inscriptions et renseignements : maine@bloc-identitaire.com

    http://fr.novopress.info/173560/interviendront-aux-journees-identitaires-1-jean-yves-le-gallou/#more-173560

  • Comment l’EIIL incite les jeunes filles d’occident au jihad

    Des femmes européennes membres de l’État islamique tentent d’attirer leurs «sœurs» dans la couche nuptiale des saints guerriers du califat.

    L’État islamique auto-proclamé, anciennement connu sous l’acronyme ISIS, recrute activement des femmes et des filles occidentales. Ce «califat» qui occupe désormais d’importantes parties de la Syrie et de l’Irak montre, une fois de plus, dans ses procédés, qu’il est presque aussi fin avec les médias sociaux qu’il est impitoyable sur le champ de bataille.

    Les tweets et les blogs sont apparemment écrits par des femmes occidentales mariées à des guerriers djihadistes. Ils visent à persuader les soi-disantes «sœurs» en Europe et aux Etats-Unis d’aller au Moyen-Orient pour aider ce dérivé d’al-Qaïda à bâtir sa vision extrémiste de la société islamique.

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  • Une population peut être chassée ou se voir remplacée par une autre

    Extrait du discours prononcé par le Général Lalanne-Berdouticq (ancien commandant du 3ème REI (Régiment Étranger d’Infanterie) et ancien chef du BDL (Bureau De Liaison) de la FINUL (Force Intérimaire des Nations Unies au Liban), lors de la clôture d'une récente session de l'IHEDN :

    "Méfions-nous du prêt à penser. Il est presque toujours faux et ordonné à des fins peu recommandables.

    Non le Kosovo n’est pas meilleur après la campagne qu’y ont conduite les alliés en 1999, montée suite à une incroyable guerre d’intoxication médiatique diabolisant les Serbes et présentant les Albanophones comme des anges persécutés…

    Il en résulta la fondation du premier pays presque totalement mafieux du continent européen, dont la population originelle, serbe, a été sans pitié chassée de chez elle dans le silence des médias ; ses monastères détruits et ses maisons incendiées.

    Non l’Afrique d’aujourd’hui ne vit pas mieux que du temps de la colonisation, à commencer parce que l’esclavage (personne ne le dit) et les massacres ethniques sont repartis de plus belle et que bien des États officiellement constitués sont en faillite aussi bien financière que politique.

    Non la Libye d'aujourd'hui n'est pas meilleure que celle d'hier, puisque au demeurant elle n'existe tout simplement plus, et que son tyran a été remplacé par d'autres, en plus grand nombre.

    Non la démocratie occidentale n’est pas applicable à tous les continents et à tous les pays. D’abord parce que ce n’est pas un système unique (voyez comme la nôtre est différente de celle des États-Unis ou d’Israël, ou bien encore de la Grande-Bretagne) ; ensuite parce que ce système politique ne peut s’épanouir qu’au sein de peuples voyant la personne comme un individu et non comme une partie d’un tout (société personnalistes contre sociétés holistiques)…

    Dans les grandes questions du monde n’oublions jamais de considérer le paramètre démographique. Il est capital et le silence des médias et des analystes sur ces sujets en dit long sur l’aveuglement – qui ne peut qu’être volontaire – de nos élites autoproclamées.

    Ainsi, quel est l’avenir de l’Allemagne, qui aura perdu sept millions d’habitants en 2030 et se verra peuplée en grande partie de ressortissants d’origine turque ? Sera-t-elle-la même ?

    On sait que l’islam confond la sphère publique et la sphère privée en refusant absolument de distinguer "Dieu" et "César". Or, cette distinction est à la base même des systèmes démocratiques.

    Enfin, oublie-t-on qu’une population peut être chassée de chez elle, ou se voir remplacée par une autre, les autochtones se retrouvant alors comme étrangers sur leur propre sol ?

    Sans remonter à la diaspora juive du premier siècle, pensons aux Coptes d’Égypte, aux chrétiens de Turquie et d’Asie (20% de la population en 1900 alors qu’ils sont aujourd’hui 0,02%, soit mille fois moins) ou bien encore aux Serbes du Kosovo, déjà cités (90% de la population en 1900 et moins de 10% aujourd’hui) !

    Hors les idéologues, qui peut être assuré qu’en France, nous sommes à l’abri de tels phénomènes ?

    Refuser d’examiner la question sous couvert de mots en -isme est singulièrement irresponsable.

    Or, entendons nous que l’on pose cette question ? – Non !"

    Michel Janva

  • Ebola : les pays africains ferment leurs frontières, pas nous

    Tandis qu’au Kenya, où aucun cas d’Ebola n’a été référencé, le ministre de la Santé James Macharia – dans un souci de santé publique – prend la décision de suspendre l’entrée sur le territoire des voyageurs en provenance de Guinée, de Sierra Leone et du Liberia infectés par le virus, tandis que le Koweït, l’Arabie saoudite et la Libye ferment leurs frontières, la Cour européenne annonce la suspension des vols de retour des immigrés arrivant d’un pays où sévit l’épidémie. Autrement dit : le gouvernement kenyan et les pays arabes s’attachent à protéger leurs populations, alors que la Cour européenne expose les nôtres au contact d’immigrés illégaux potentiellement à risque !

    Déroutante est la raison invoquée par l’agence FRONTEX (chargée de la coopération inter-pays sur les frontières extérieures de l’Union européenne) : la suspension pourrait durer plusieurs mois selon les prévisions des experts. « Jusqu’à ce que nous ayons l’assurance que l’épidémie est sous contrôle, l’agence n’organisera pas de vols de retour vers ces pays », a averti le directeur adjoint de l’agence.

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  • Grandeur et décadence de la presse écrite

    La décadence de la presse écrite n’est pas quelque chose de nouveau. Comment en sommes-nous arrivés là ?

    Par Jabial.

    imgscan contrepoints843 presse médiasLe premier journal imprimé au monde, à diffusion purement locale, a été lancé en 1605 à Strasbourg. Pour être honnête, la France ne peut pas pour autant en revendiquer la paternité. En effet, ce journal était en langue allemande, et pour cause : cette ville appartenait à l’époque au Saint-Empire Romain Germanique. Strasbourg était encore Germanique quand la célèbre Gazette, le premier journal français, débuta sa parution par privilège royal en 1631. Auréolé d’un statut quasi-officiel sous l’Ancien Régime, il allait survivre trois siècles, connaissant la déchéance de devenir la feuille d’opinion des royalistes, avant de disparaître définitivement en 1915. Entre temps, d’autres périodiques avaient pris le relais.

    L’époque héroïque du journalisme français

    Censurée de Louis XIV à Napoléon, puis de nouveau pendant les périodes de conflits, la presse française a connu une époque héroïque dont il subsiste encore des vestiges qui sont brandis glorieusement, tels les reliques d’un saint mort depuis longtemps. On peut citer le Canard Enchaîné, né en réaction à la propagande pendant la Grande Guerre, mais qui vit aujourd’hui d’informateurs bien placés plus que d’enquêtes longues et coûteuses, tant il est vrai que ce rôle-là de la presse a été tristement abandonné. Comment en sommes-nous arrivés là ?

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  • Islamisme et technologie : entre Moyen-Âge et réseaux sociaux

    En 2014, toutes ces images de crucifixion, d'enfants piétinés, de femmes souillées, de têtes coupées, qui pullulent sur la Toile paraissent à peine croyables.   

    L’État islamique (EI) a revendiqué la décapitation du journaliste américain James Foley. Diane, sa mère, a réagi avec un courage qui force le respect : « Nous n’avons jamais été aussi fiers de notre fils Jim. »

    Assassinats rituels, égorgements à l’ancienne, le djihad islamique est une sorte de nazisme pré-industriel. Un IIIe Reich englué dans un Moyen-Âge sans fin.

    Et pourtant, le progrès technique, l’islamisme s’en sert d’une manière radicalement innovante : pour se vanter de sa cruauté sanglante, sur YouTube et autres réseaux sociaux, comme aucun des pires tyrans sanguinaires n’osait plus le faire depuis… le Moyen-Âge, justement.

    Par chance pour l’humanité, les drones, l’arme nucléaire, l’organisation militaire sont encore, eux, à peu près du bon côté. Car oui, voyez-vous, tant qu’à choisir, je préfère que ce soit l’Occident qui régente le monde. C’est mieux pour les terriens, les femmes, les minorités, la liberté en général. Malgré tous les défauts épouvantables du capitalisme, l’arrogance et l’ignorance des Américains, l’ineptie de l’Europe actuelle. Il ne faut pas se tromper de camp. Au cours de l’histoire récente de la France, les délires idéologiques ont coûté cher. Qu’on se remémore les cohortes de pacifistes internationalistes qui ont embrassé la collaboration en 1940 ! En ce moment, les forces obscurantistes défilent – aussi – sous le drapeau vert d’une religion ayant dégénéré ces dernières décennies en fascisme mondial.

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  • Richard Dawkins demande l'extermination des personnes trisomiques

    Athée, spécialiste de l’évolution et de l’éthologie, professeur émérite de l’université d’Oxford, néo-nazi sans le savoir, Richard Dawkins vient de déclarerqu’il serait « immoral » de ne pas avorter un enfant atteint de trisomie 21.

    Michel Janva