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  • Révolution française : pas touche au dogme !

    Quand on sait que l’élu du peuple Alexis Corbière est auteur d’un hallucinant ouvrage intitulé Robespierre, reviens !, et qu’il nie à ce point les faits historiques, on craint le pire…

     

    La société Ubisoft sortait hier un jeu vidéo nommé Assassin’s Creed Unity. Une saga mettant en scène un assassin à la solde de ses clients, à des moments historiques (croisades, guerre d’indépendance américaine, etc.), et qui connaît un immense succès. Le jeu, graphiquement superbe (il a fallu, par exemple, quatorze mois de travail intensif pour reconstituer Notre-Dame), propose au joueur d’accomplir des missions dans les rues du Paris révolutionnaire, en 1789.

    Certains, sur les réseaux sociaux, demandent la tête (sans jeu de mots) des concepteurs du jeu vidéo… D’autres lancent des anathèmes : on ne touche pas au dogme.

    Car il y en a qui pensent – c’est leur névrose personnelle – et qui affirment encore publiquement – c’est plus grave – que la Révolution française s’est déroulée sous une pluie de roses dans une ambiance aussi sympathique que la création du monde en sept jours… Qui ? Des idéologues de l’ancien temps, ceux qui pensent, comme l’ex-ministre Vincent Peillon, que la Révolution française « n’est pas terminée », qu’elle est l’an 0 de l’Histoire de France et qu’à ce titre, elle est un dogme qu’il est impossible de critiquer.

    Toujours parmi les premiers à lancer des anathèmes, Jean-Luc Mélenchon dénonce carrément une « propagande contre le peuple » et n’hésite pas à présenter l’ignoble Robespierre comme « celui qui est notre libérateur ». Quant à Alexis Corbière, élu communiste de Paris, ce jeu vidéo est pour lui une « caricature bestiale » de l’idole Robespierre, ce dernier étant présenté comme « bien plus dangereux que n’importe quel roi » (sic) et étant la cause « de centaines de milliers de morts et de rues entières remplies de sang ». Ce rappel à la réalité est intolérable ! Le communiste ose même mettre en garde les futurs joueurs : « Le joueur peu averti en tirera la conclusion que la Révolution française fut finalement une monstruosité, un bain de sang incompréhensible, conduite par des brutes, qu’il aurait fallu éviter. » Quand on sait que l’élu du peuple Alexis Corbière est auteur d’un hallucinant ouvrage intitulé Robespierre, reviens !, et qu’il nie à ce point les faits historiques, on craint le pire… Je ne m’abaisserai pas à décrire ce qui s’est réellement passé sous la Terreur. Mais ce qu’on en connaît pourrait faire passer les « décapiteurs » de l’État islamique pour des apprentis…

    Vivien Hoch

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Revolution-francaise-pas-touche-au

  • Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XI)

    « Les Français ont la parole mais ils commencent vraiment à en avoir assez » (MG).

    Bien qu’ils ne soient pas très vieux, les résultats donnés ci-après peuvent paraître quelque peu dépassés. En réalité, il est très difficile de suivre au jour le jour les cotes de popularité de nos candidats : les feuilles de température sont trop fluctuantes et trop sensibles au moindre événement. Néanmoins ces chiffres sont intéressants car ils s’intègrent dans un ensemble, nous sommes au onzième numéro de « La parole aux Français », qui sera utile aux commentateurs pour l’avenir.
    Polémia

    Francois Hollande et Manuel Valls : la chute continue !

    La cote de popularité de F. Hollande s’établit à 13% et celle de Manuel Valls à 30% selon le baromètre Ipsos/Le Point (sondage des 12 et 13 septembre 2014). Dans le baromètre Yougov du 10 septembre pour le Huffington Post/iTélé Manuel Valls chute à 22%.

    15% des personnes interrogées se déclarent satisfaites de l’action de François Hollande (sondage Opinion Way des 15 et 16 octobre 2014) ; 13% des personnes interrogées jugent positivement le bilan de François Hollande à mi-mandat (sondage BVA/l’Obs des 3 et 4 novembre 2014).

    Huit personnes interrogées sur dix pensent que François Hollande n’est pas un bon président de la République et six sur dix que Manuel Valls n’est pas un bon premier ministre (baromètre Odoxa des 16 et 17 octobre 2014).

    97% des personnes interrogées estiment qu’à mi-mandat François Hollande a « plutôt échoué » en matière d’emploi, 88% qu’il a « plutôt échoué » en matière fiscale, et 78% qu’il a « plutôt échoué » en ce qui concerne la politique familiale (sondage Odoxa/RTL des 30 et 31 octobre 2014).

    67% des personnes interrogées estiment que la politique conduite par François Hollande depuis 2012 a eu des « effets négatifs » pour la France et 22% « aucun effet » (sondage CSA/les Echos/Radio classique/Institut Montaigne in Les Echos du 7 novembre 2014).

    Sortez les sortants !

    62% des personnes interrogées souhaitent que F. Hollande démissionne d’ici 2017 (sondage IFOP/Le Figaro Magazine des 8 et 9 septembre 2014).

    55% des personnes interrogées seraient favorables à la dissolution de l’Assemblée nationale et à l’organisation d’élections anticipées (sondage BVA des 28 et 29 octobre 2014).

    73% des personnes interrogées n’ont pas trouvé F. Hollande convaincant lors de sa conférence de presse de septembre (sondage BVA/Les Echos des 18 et 19 septembre 2014).

    Si l’élection présidentielle avait lieu le 9 novembre François Hollande serait exclu du second tour dans tous les cas de figure (sondage IFOP-Fiducial/itélé/Sud Radio du 28 au 30 octobre 2014).

    Le moral en baisse

    Seulement 40% des personnes interrogées pensent que le gouvernement tiendra ses engagements en matière de réduction de la fiscalité (sondage IfopDimanche Ouest-France des 14 et 16 mai 2014).

    Six personnes interrogées sur dix (63%) affirment que leur pouvoir d’achat a diminué au cours de l’année qui vient de s’écouler et 58% anticipent une nouvelle dégradation de leur pouvoir d’achat l’année prochaine (sondage CSA/ Cofidis/LeFigaro.fr du 15 septembre 2014).

    La droite qui monte

    Près d’un dirigeant de TPE sur deux estime que le Front national est le parti politique « le plus proche des préoccupations des Français aujourd’hui » (sondage Ifop Fiducia in Les Echos du 16 septembre 2014).

    60% des personnes interrogées estiment que Marine Le Pen est la personnalité qui « s’oppose le plus » à François Hollande (sondage IFOP/JDD des 30 et 31 octobre 2014) ; 59% des personnes se déclarant sympathisantes de l’UMP ont choisi Marine Le Pen dans ce sondage.

    La droite qui descend

    Seuls 31% des personnes interrogées jugent que l’UMP « a des dirigeants de qualité » et 26% qu’elle est « proche des préoccupations des Français » (sondage Ifop/JDD des 30 et 31 mai 2014).

    64% des personnes interrogées déclarent ne pas s’intéresser à l’annonce du retour de N. Sarkozy (sondage Opinion Way/clai/Lci des 10 et 11 septembre 2014).

    61% des personnes interrogées déclarent désapprouver la décision de N. Sarkozy de briguer la présidence de l’UMP (sondage CSA/BFMTV des 19 et 20 septembre 2014).

    75% des personnes interrogées estiment que le retour en politique de Nicolas Sarkozy est « raté » (sondage Odoxa/Le Parisien des 30 et 31 octobre 2014).

     Michel Geoffroy, 13/11/2014

    http://www.polemia.com/et-si-lon-donnait-la-parole-aux-francais-xi/

  • Partis : la mobilisation des militants paie

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "Ce que je trouve très instructif, c’est que Nicolas Sarkozy ne souhaitait manifestement pas tenir ces propos. Il en serait volontiers resté au slogan mi-chèvre, mi-chou qu’il défendait jusqu’à la semaine dernière d’une « réécriture de la loi Taubira » qui, comme la fameuse « réécriture du Traité constitutionnel européen » avait l’immense avantage de lui éviter de s’engager sur quoi que ce soit… Concrètement, c’est la pression de la salle qui l’a d’abord forcé à abandonner son discours destiné à noyer le poisson pour répondre aux questions précises des animateurs de Sens communEt, ensuite, à lâcher le mot « abrogation ».

    Je ne vous cache pas que c’est, pour moi, une grande surprise. Je n’aurais jamais cru que les militants de Sens commun pourraient ainsi déborder leurs dirigeants qui, de leur côté, se préparaient manifestement à être beaucoup plus respectueux pour le « grand chef ». Sauf erreur de ma part, c’est la première fois depuis des décennies, au moins à droite, que de « simples » militants forcent en direct l’un de leurs « représentants » (qui, trop souvent, les représentent si mal) à changer d’avis.

    Oh, bien sûr, Nicolas Sarkozy peut dire qu’abrogation et réécriture, c’est la même chose. Mais, symboliquement, cela n’a rien à voir – et les médias ne s’y trompent pas. Bien sûr, aussi, nous savons bien que « les promesses n’engagent que ceux qui y croient » et, d’ailleurs, la portée de cette abrogation reste bien floue. Mais, sans préjuger de ce qui va se passer pour la présidence de l’UMP, puis lors des élections à venir, notamment celles de 2017, cet événement me semble extrêmement riche d’enseignement et d’espérance. Les électeurs de droite semblent enfin comprendre qu’un certain nombre de leurs prétendus « représentants » pensent, en réalité, le contraire de ce qu’ils pensent eux-mêmes. Ils semblent enfin décidés à refuser de faire un chèque en blanc à ces « représentants ». Et, surtout, nous commençons à voir que, pour qu’une stratégie soit réellement efficace, elle doit être portée dans la société civile et dans l’ensemble des partis de droite. Les militants pro-famille n’ont obtenu cette victoire symbolique (qui n’est évidemment qu’une première étape, mais qui relance puissamment le débat) que parce que les milliers d’adhérents à Sens commun étaient soutenus par les centaines de milliers de manifestants de la Manif pour tous et parce que, par ailleurs, le FN ayant toujours déclaré qu’il abrogerait la loi Taubira, une bonne partie des électeurs UMP présents dans les manifestations risquaient d’être « tentés » par le vote FN."

    Michel Janva

  • La Remigration ou la guerre

    Une des allocutions les plus intéressantes, aux Assises de la Remigration, fut la dernière, celle de l’hôte, Fabrice Robert, le président du Bloc identitaire. Il s’est colleté à une question majeure, à laquelle je suis soumis fréquemment moi aussi, à propos du Grand Remplacement comme de la Remigration :

    « Ce sont là des mots très forts, nous dit-on. Est-ce que vous ne craignez pas d’alarmer les gens, avec des termes aussi abrupts ? »

    J’ai tendance à répondre, pour ma part, que c’est de fuir la réalité qui est anxiogène : de se repaître de mensonges, de se laisser bercer d’illusions. Ce n’est pas le syntagme Grand Remplacement qui est effrayant, c’est le phénomène qu’il désigne. On peut souhaiter, bien sûr, ne pas s’aviser de ce qui survient, fermer les yeux, n’écouter rien, sinon le rassurant babil des remplacistes. Mais ce babil est de plus en plus difficile à croire, à mesure que la situation se dégrade. Mieux vaut, ce me semble, être averti d’un danger pressant, serait-ce pour se mettre en état de s’en défendre, que d’en ignorer tout de parti délibéré, au risque d’être emporté par lui sans retour. Au demeurant je n’ai pas peur de faire peur, ni ne me sentirais coupable si c’était le cas : celui qui avertit d’un incendie en criant au feu de toutes ses forces, qui songe à lui reprocher de d’affoler tout le quartier ?

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  • Congrès du FN: nous incarnons la vraie Résistance française!

    Communiqué de presse de Bruno GOLLNISCH

    Député européen

    Président du groupe FN à la région Rhône-Alpes

    Membre du bureau politique du Front National

    L’Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance (ANACR) s’est cru autorisée à nous contester le droit de tenir notre prochain congrès à Lyon, les 29 et 30 novembre prochains. Je ne connais pas les titres exacts des membres de cette organisation notoirement connue pour les sympathies communistes de ses fondateurs, mais, si respectables que soient certains, nous les laisserons à leurs grandes leçons de « démocratie ».

    Nous nous rappelons trop les atrocités de la guerre ou de l’épuration aveugle, pour vouloir réouvrir les plaies du passé.

    Nous revendiquons en revanche ce qui est depuis longtemps notre honneur: continuer le combat pour la France, pour l’intégrité de son territoire, pour sa souveraineté contre le mondialisme, pour son identité contre la submersion. Oui, les patriotes du Front National incarnent, eux, aujourd’hui, malgré les manœuvres, les persécutions, les diffamations, les agressions de toute nature, la vraie Résistance française!

    http://gollnisch.com/2014/11/19/congres-du-fn-incarnons-vraie-resistance-francaise/

  • Cours camarade patriote, le vieux monde est derrière toi !

    La chanteuse de variétés répondant au nom de scène de  Zaz n’avait pas mégoté sur son plan média à l’occasion de la sortie de son dernier disque, prenant bien soin de dire tout le mal qu’elle pensait de Marine Le Pen et du FN. Croyant bien faire elle a donc ânonné comme un permanent lambda de Sos racisme que les frontistes sont « des gens qui représentent l’intolérance la plus totale, des gens qui ont peur de s’enrichir de la différence, qui craignent de se dissoudre dans l’autre» (sic). Une profession de foi antinationale qui n’a pas trop réussi dernièrement à l’une « des personnalités préférées des Français» parait-il, à savoir  Yannick Noah, dont la posture militante anti-FN ne lui permet plus de remplir les salles et qui a dû annuler plusieurs dates de sa tournée. Mais surtout, la pauvre Zaz s’est pris les pieds  dans le tapis, lorsqu’elle a assuré dans un  entretien accordé à Pure Charts,  qu’«À Paris, sous l’Occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu’on ne l’était pas totalement. Pour moi, c’est ça, Paris. C’est là où tout est possible, là où on innove. »

    Cette forme de légèreté  n’a pas vraiment été appréciée par les gardiens de la mémoire. La chanteuse a donc multiplié les excuses embarrassées  sur sa «maladresse». Pour plagier Arletty, et comme Mistinguett, Maurice Chevalier ou Charles Trénet,  la petite Zaz elle aussi ne serait donc «pas  très résistante » ?

    Une Résistance mise à toutes les sauces, revendiquée, brandie comme un  étendard par les groupuscules les plus extrémistes pour justifier de la lutte contre le FN. L’impuissance de la gauche à stopper la progression constante du vote national  dans les catégories populaires et les classes moyennes (qui représentent 90 % de la population) apparaît dans le long article consacré au FN publié il ya quelques jours sur le site de L’Humanité.

    A la formulation  très léniniste du «que faire » pour enrayer cette progression, Olivier Dartigolles, porte-parole du PC répond simplement qu’ «on ne peut pas laisser le FN préempter la question de l’alternative». Alexis Corbière, «chargé de la lutte contre l’extrême droite au Parti de Gauche» explique que «contre les nostalgiques d’une France mythique, il faut redonner le goût du futur». « Il faut construire la force politique du changement et un discours pédagogique sur le fait que le partage des richesses est possible et nécessaire, une question que, sous le vernis social, le FN ne traite jamais ». «La première des choses est de remobiliser l’électorat populaire parce que le succès du FN, c’est d’abord l’abstention ». « L’exigence de la VIe République qui permettrait aux citoyens de se faire entendre, de contrôler les élus, répond à la défiance populaire envers la politique ».

    «Alain Hayot, sociologue communiste engagé de longue date dans la lutte contre le FN»,  assure que « le FN prospère également sur les divisions de la société française.  Il ne faut pas nier les diversités qui existent dans la société mais au contraire les reconnaître et les unifier pour construire une nouvelle conscience de classe.  C’est également sur la vision de la France qu’il faut mener la bataille d’idées,  une France ouverte, fraternelle et rassemblée ».

    Blabla, formules creuses : les vrais sujets d’angoisse des Français ne sont même pas évoqués... Pas plus que les socialistes et une très large faction de la droite, les communistes ne veulent admettre que le succès grandissant du  FN est dû justement à sa promesse d’en finir au sommet de l’Etat avec l’idéologie internationaliste-mondialiste qui tue la France, la tiers-mondise, l’appauvrit.  L’engagement  des nationaux de libérer les énergies bridées par un Système obsolète,  de   rétablir un protectionnisme intelligent, des frontières,  de faire perdurer l’identité et la souveraineté de notre pays, c’est cela qui redonne le « goût du futur » à nos compatriotes. Ils n’ont d’ailleurs pas besoin du FN pour constater chaque jour les conséquences de «la France ouverte» vantée aussi bien par le PC que par le Medef…

    Autant dire que  la mobilisation contre le XVème congrès du Front National –voir notre article publié hier- fera bien évidemment un flop comme nous le prévoyons. Cela n’empêche pas les médias lyonnais de relayer consciencieusement   les  appels au rassemblement  anti FN  du collectif  Vigilance 69, qui regroupe plusieurs associations comme Attac, la Ligue des droits de l’homme, le Mrap Lyon, SOS racisme Rhône-Alpes et plusieurs syndicats. Répondant au voeu de la  Conex (Coordination nationale contre l’extrême droite), Vigilance 69  promet une « mobilisation pacifique et déterminée » et souhaite « démontrer que trente ans de banalisation des idées extrémistes du FN constituent un danger majeur pour la démocratie et pour le vivre-ensemble » (sic).

    Plus pervers peut être,  une petite officine extrémiste de la mouvance  communiste baptisée « Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance » (ANACR) a elle aussi pondu son communiqué largement repris dans Lyon capitale. L’ANACR, (faiblarde) courroie de transmission de ceux qui veulent  entretenir dans ce pays un climat de guerre civile,  s’est faite (un peu) connaître par  son soutien  aux campagnes visant à débaptiser  les voies et bâtiments publics portant le nom d’Alexis Carrel.  Uu encore par sa défense fanatique de la loi liberticide du communiste Gayssot.

    Dans le communiqué en question, il est affirmé que le Front National « représente» « la xénophobie, le racisme, les réminiscences du pétainisme, l’esprit antidémocratique, le négationnisme historique, le néofascisme » ; que les «  dirigeants du Front national n’hésitent pas à utiliser sans vergogne le nom et la mémoire de Jean Moulin ou encore à s’approprier la Résistance et le programme du CNR (…). Nous voulons solennellement proclamer que ne soit pas insultée notre Ville de Lyon, médaillée de la Résistance et qui s’est vu attribuer par le général De Gaulle le titre de capitale de la Résistance».

    Redisons le ici le FN, mouvement de rassemblement et de réconciliation nationale, s’enorgueillit d’avoir eu dans ses rangs d’authentiques résistants patriotes. Des héros  comme le général Jean Valette d’Osia, Grand croix de la légion d’honneur, fondateur du maquis des Glières, président en son temps   du comité de soutien à la candidature de Jean-Marie Le Pen; des compagnons de la libération comme Michel Carage, les ex ambassadeurs Michel de Camaret et  Augustin Jordan; des médaillés de la résistance comme Me Jean-Baptiste Biagi, Pierre Chesnay, Nicole de Boisguilbert, l’ambassadeur Albert Chambon, Edouard Frédéric-Dupont, Robert Hemmerdinger, Albert Sauvanet, le  Docteur Pierre Weber, Henri Yrissou ; des titulaires de la Croix du combattant volontaire de la résistance comme l’extraordinaire Rolande Birgy alias Béret bleu, qui a recu la médaille des « Justes entre les nations» (Yad Vashem), Edouard Fontana, Serge Jeanneret qui fut membre fondateur du FN, Jacques Lafay,  Francis Massart…

     Autant dire que  le FN n’a de leçon de résistance à recevoir de personne. Et encore moins des amis du PC «F» et de la sanglante idéologie communiste, des alliés de revers ou des partisans assumés d’un euromondialisme qui assujetti notre pays. Comme le notait plus largement  Bruno Gollnisch, «  les dirigeants actuels  de notre pays sont 100 fois plus coupables, si tant est qu’il l’ait été, que le Maréchal Pétain. Lui avait au moins une excuse, celle d’une armée victorieuse et implacable qui campait sur le territoire national. » Alors oui, leur système s’écroule, leurs mensonges haineux ont fait long feu,  et il raisonnablement optimiste de penser que les Français sont prêts à porter au pouvoir la nécessaire alternative nationale.   Cours  camarade patriote,  le(ur) vieux monde  est derrière toi ! 

    http://gollnisch.com/2014/11/19/cours-cours-camarade-patriote-le-vieux-monde-est-derriere-toi/

  • Omerta sur la souffrance des transgenres après leurs « changements de sexe »…

    Récemment, une étude anglaise révélait que 65% des personnes ayant eu recours à la de chirurgie esthétique le regrettaient. Du tatouage décidé un peu vite aux seins refaits pour tenter d’obtenir une plastique « parfaite », le remords prime quelques années plus tard… La star hollywoodienne Courtney Love avait même déclaré : « je voudrais juste retrouver la bouche que Dieu m’a donnée ». Mais rien de grave, les chirurgiens gagnant autant d’argent à faire qu’à défaire, les solutions existent donc et sont listées publiquement sur la toile…

    Si deux tiers des personnes ayant eu recours à la chirurgie esthétique regrettent, la proportion doit être au moins aussi élevée pour les personnes ayant eu recours à un « changement de sexe », opération infiniment plus profonde… Mais sur le sujet, silence radio.

    Rien, pas un mot ni dans les journaux, ni sur internet. L’omerta imposée par les activistes est plus fort que la souffrance pourtant réelle des personnes concernées.« Chacun fait comme il veut » certes, mais à condition que le lobby homosexualiste approuve. D’ailleurs ce dernier l’affirme : les regrets sont très rares et ne concerneraient que 5% des personnes qui ont eu recours à cette opération. Nous sommes tous priés de le croire puisqu’aucun d’eux n’a la parole.

    Pourtant les témoignages existent, et les histoires tragiques de nombre d’entre eux devraient au minimum exiger une immense prudence.

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    http://www.contre-info.com/

  • Quels grands projets souhaitables pour la France de demain ? Quelques exemples...

    Ainsi, lundi de cette semaine, la fameuse tour Triangle n’a pas reçu l’aval du Conseil de Paris, ce qui apparaît comme un véritable camouflet pour le maire de la capitale, madame Hidalgo, qui, mauvaise perdante, demande désormais l’annulation du vote pour vice de formes, elle qui avait décidé, pour éviter un désaveu municipal, que la décision serait prise à bulletins secrets, contre la règle habituelle qui est de voter à mains levées, publiquement.

    Au-delà de l’attitude assez peu glorieuse de l’édile, qui a une conception à géométrie variable de la démocratie, se posent la question des tours et de leur place dans le paysage urbain de Paris, mais aussi celle des grands projets immobiliers et d’équipement dans la capitale et, au-delà, dans les grandes villes de France.

    Il est évident que, si le projet n’a pas enthousiasmé le Conseil de Paris (même si, d’un côté et de l’autre, les stratégies politiciennes ont aussi joué...), il y avait quelques bonnes raisons : construire un nouvel immeuble de bureaux dans un quartier déjà bien pourvu en la matière n’est pas très heureux et encore moins utile ! De plus, les remarques empiriques de madame Kosciusko-Morizet sur le sujet (Les échos, 17 novembre 2014) sont justes : « Une tour isolée ne crée pas d’activité, elle fait le vide autour d’elle. (…) Déclarer que la modernité passe nécessairement par les tours est justement très passéiste. Chaque ville doit créer sa propre modernité. Les arguments utilisés aujourd’hui en faveur de la tour Triangle sont ceux que l’on entendait il y a quarante ans sur la tour Montparnasse. Elle est aujourd’hui le monument le plus détesté des Parisiens. Ce n’est pas à l’aune d’une tour que se juge l’attractivité de Paris. » D’ailleurs, ce ne sont pas les tours de bureaux que viennent admirer les touristes à Paris ni celles-ci qui motivent l’installation de sièges sociaux, mais plutôt le patrimoine et sa richesse pour les uns, et les facilités fiscales (quand elles existent...) ou le prestige de l’adresse parisienne pour les autres. Note des utilisateurs : / 0 MauvaisTrès bien

    Ainsi, lundi de cette semaine, la fameuse tour Triangle n’a pas reçu l’aval du Conseil de Paris, ce qui apparaît comme un véritable camouflet pour le maire de la capitale, madame Hidalgo, qui, mauvaise perdante, demande désormais l’annulation du vote pour vice de formes, elle qui avait décidé, pour éviter un désaveu municipal, que la décision serait prise à bulletins secrets, contre la règle habituelle qui est de voter à mains levées, publiquement. Au-delà de l’attitude assez peu glorieuse de l’édile, qui a une conception à géométrie variable de la démocratie, se posent la question des tours et de leur place dans le paysage urbain de Paris, mais aussi celle des grands projets immobiliers et d’équipement dans la capitale et, au-delà, dans les grandes villes de France.

    Il est évident que, si le projet n’a pas enthousiasmé le Conseil de Paris (même si, d’un côté et de l’autre, les stratégies politiciennes ont aussi joué...), il y avait quelques bonnes raisons : construire un nouvel immeuble de bureaux dans un quartier déjà bien pourvu en la matière n’est pas très heureux et encore moins utile ! De plus, les remarques empiriques de madame Kosciusko-Morizet sur le sujet (Les échos, 17 novembre 2014) sont justes : « Une tour isolée ne crée pas d’activité, elle fait le vide autour d’elle. (…) Déclarer que la modernité passe nécessairement par les tours est justement très passéiste. Chaque ville doit créer sa propre modernité. Les arguments utilisés aujourd’hui en faveur de la tour Triangle sont ceux que l’on entendait il y a quarante ans sur la tour Montparnasse. Elle est aujourd’hui le monument le plus détesté des Parisiens. Ce n’est pas à l’aune d’une tour que se juge l’attractivité de Paris. » D’ailleurs, ce ne sont pas les tours de bureaux que viennent admirer les touristes à Paris ni celles-ci qui motivent l’installation de sièges sociaux, mais plutôt le patrimoine et sa richesse pour les uns, et les facilités fiscales (quand elles existent...) ou le prestige de l’adresse parisienne pour les autres.

    Autre élément de débat : quels grands projets urbains ou d’équipements pour aujourd’hui et demain, et comment les préparer et les rendre acceptables, autant pour les populations que pour l’environnement ? Mon opposition virulente et mille fois affirmée à la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, pour des raisons autant écologiques qu’économiques, ma grande réserve à l’égard de nombre de projets que l’on peut considérer inutiles et dispendieux, parfois fruits gâtés de pressions diverses et variées des milieux immobiliers ou financiers, ne m’empêchent pas de défendre ou de promouvoir d’autres projets qui me semblent mieux adaptés aux réalités contemporaines et aux nécessités de préservation environnementale : la Grande Gare de Paris, par exemple, qui permettrait à la capitale de disposer d’une gare centrale véritablement internationale (ce qui existe déjà dans de nombreux pays européens), ou de nouvelles centrales marémotrices qui s’inspireraient de l’actuel barrage de la Rance, près de Dinard, en tenant compte de l’expérience et des leçons de celui-ci, pour éviter certaines erreurs hier dommageables et aujourd’hui souvent connues et réparées ; des projets de champs d’hydroliennes, de centrales mobiles houlomotrices ou de panneaux solaires flottants installés sur les réserves d’eau des barrages hydroélectriques ou sur la mer ; sans négliger des projets d’habitat évolutif de grands volumes et susceptibles d’accueillir des populations importantes mais aussi de grands programmes de réhabilitation de l’habitat rural et villageois (domaine largement oublié aujourd’hui par les pouvoirs publics) s’inscrivant dans une nouvelle politique d’aménagement des territoires et de redéploiement agricole qui privilégie les petites et moyennes structures mais sur une grande échelle, autant d’espaces que d’emplois ; etc. [....]

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quels-grands-projets-souhaitables

  • L'IVG, un "droit fondamental" ? Les conséquences de la proposition de résolution

    Retrouvez Philippe de Villiers à la 23e Fête du Livre de Renaissance Catholique, le dimanche 7 décembre 2014 à Grand'Maisons (Villepreux) où il dédicacera ses ouvrages. Il répond à RC :

    "Jeanne d'Arc est et demeure le plus formidable trait d'union que l'Histoire ait jamais inventé entre le Ciel et la Terre. Et en même temps, elle est et elle demeure le plus pur chef d'œuvre que le génie allégorique français ait jamais déposé dans notre littérature. Elle est donc une héroïne incomparable, la plus grande de notre Histoire. Elle est chantée, louée, portée sur les autels par-delà les siècles, les « sensibilités » comme on dit aujourd'hui, les opinions parce qu'elle est plus grande que chacun d'entre nous et que chacune de nos singularités.

    En faisant cette trilogie – sur la résistance populaire avec Charette, sur la tempérance et le bien commun avec Saint Louis, et sur l'espérance avec Jeanne d'Arc – j'ai voulu mettre à la portée des générations ce triple retour, à travers cette trilogie, à la source primordiale de la grandeur française. [...]

    À travers la vie de Jeanne d'Arc, il y a plusieurs permanences qui trouvent aujourd'hui toute leur actualité.

    D'abord la trahison des élites : on y pense inexorablement quand on compare le traité de Troyes au traité de Maastricht. A un moment donné, les élites trouvent que la souveraineté est trop lourde à porter, on la transfère à l'étranger, hier aux Anglais, aujourd'hui à Bruxelles, ou à Washington, ou à Berlin.

    Il y a une deuxième permanence, qui est très importante : pour Jeanne le pouvoir s'imprègne de pérennité et de sacralité, c'est pour cela qu'elle veut absolument conduire le Dauphin à Reims, parce qu'elle dit : « Charles de Valois recevra plus de force d'une seule goutte d'huile sacrée que de dix mille lances ». Qu'est-ce que le pouvoir ? Qu'est-ce que la légitimité du pouvoir, Qu'est-ce qu'un pouvoir légitime ? Grandes questions d'actualité, au moment où on voit que la politique est devenue un cloaque, un marécage, où il n'y a plus de pouvoir, où il n'y a plus de politique.

    Et puis la troisième leçon, la plus importante : quand tout est désespéré, rien n'est désespéré, il y a toujours l'espérance. La France est un mot qui rime avec souffrance et avec espérance, pour que les jeunes gens qui voient la France s'abîmer ne désespèrent pas."

    Michel Janva