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  • [Entretien exclusif Novopress] Alain de Benoist : “La Révolution Conservatrice n’est pas du tout un mouvement unitaire” (1/2)

    Figure de ce qu’il est convenu d’appeler la « Nouvelle Droite », Alain de Benoist a – par ses très nombreux travaux – profondément renouvelé notre famille de pensée, dans une optique transversale et métapolitique. Il vient de publier « Quatre figures de la Révolution Conservatrice allemande », ouvrage qui nous fait pénétrer dans l’immense richesse de ce mouvement d’idées, apte à nous donner des pistes pour les défis actuels.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    La Révolution Conservatrice retient depuis plusieurs décennies votre attention. Dans votre dernier ouvrage, vous avez choisi de l’aborder par l’intermédiaire de quatre personnalités, symbole probable de la grande diversité de ce mouvement. Comment définiriez-vous cette Konservative Revolution ?

    Les représentants de la Révolution Conservatrice allemande n’ont que rarement utilisé ce terme pour se désigner eux-mêmes. L’expression ne s’est imposée qu’à partir des années 1950, à l’initiative de l’essayiste Armin Mohler, qui a consacré à cette mouvance un énorme « manuel » (La Révolution Conservatrice en Allemagne, 1918-1932) traduit en France en 1993. Elle désigne couramment ceux des adversaires de la République de Weimar, hostiles au traité de Versailles, qui se réclamaient d’une idéologie « nationaliste » distincte de celle du national-socialisme. Mohler les regroupe en trois familles principales : les jeunes-conservateurs (Moeller van den Bruck, Othmar Spann, Oswald Spengler, Carl Schmitt, Wilhelm Stapel, etc.), les nationaux-révolutionnaires (Ernst Jünger [photo], Franz Schauwecker, Ernst Niekisch, etc.) et les Völkische, qui sont des populistes à tendance souvent biologisante ou mystique. La Révolution Conservatrice n’est donc pas du tout un mouvement unitaire, même s’il existe entre ses représentants certains points communs. C’est plus exactement une mouvance, qui ne comprend pas moins de trois ou quatre cents auteurs, dont seule une minorité ont été traduits en français. Cette mouvance n’a pas à proprement parler d’équivalent dans les autres pays européens, mais pour ce qui concerne la France, on pourrait à bien des égards la rapprocher de ceux que l’on a appelés les « non-conformiste des années trente ».

    Sous le IIIe Reich, peu de révolutionnaires conservateurs se sont ralliés au régime. Quand ils l’ont fait (comme Carl Schmitt), cela a généralement été pour peu de temps. Certains se sont exilés, quelques uns ont été assassinés (Edgar J. Jung), d’autres sont entrés dans la Résistance, ce qui leur a valu d’être emprisonnés (Ernst Niekisch) ou exécutés (Harro Schulze-Boysen). La plupart ont vécu dans une sorte d’exil intérieur (Jünger) rarement dépourvu d’ambiguïté.

    Si la Révolution Conservatrice reste méconnue en France, n’est-ce pas en partie à cause de la contradiction des termes qu’elle semble contenir ? Les définitions françaises et allemandes des termes « conservateur » et « révolutionnaire » seraient-elles à ce point différentes ?

    En France, le mot « conservatisme » est assez péjoratif. On le tient volontiers pour synonyme de « réactionnaire ». Il en va très différemment en Allemagne, où le mot « droite » est en revanche peu employé. L’association, à première vue surprenante, des mots « conservateur » et « révolutionnaire » témoigne d’abord, d’un point de vue théorique, d’une volonté de conciliation des contraires (c’est au fond l’idée hégélienne d’Aufhebung, de dépassement d’une contradiction). Mais elle répond aussi à l’idée que, dans le monde tel qu’il est devenu, seul un bouleversement général, c’est-à-dire une révolution, permettra de conserver ce qui vaut la peine d’être conservé : non pas le passé, mais ce qui ne passe pas. Arthur Moeller van den Bruck écrit ainsi : « Le réactionnaire se représente le monde tel qu’il a toujours été. Le conservateur le voit comme il sera toujours ». Il ajoute que, par opposition aux réactionnaires, qui ne comprennent rien à la politique, « la politique conservatrice est la grande politique. La politique ne devient grande que lorsqu’elle crée de l’histoire ».

    Sous le IIIe Reich, peu de révolutionnaires conservateurs se sont ralliés au régime. Quand ils l’ont fait (comme Carl Schmitt), cela a généralement été pour peu de temps. Certains se sont exilés, quelques uns ont été assassinés (Edgar J. Jung), d’autres sont entrés dans la Résistance, ce qui leur a valu d’être emprisonnés (Ernst Niekisch) ou exécutés (Harro Schulze-Boysen). La plupart ont vécu dans une sorte d’exil intérieur (Jünger) rarement dépourvu d’ambiguïté.

     

    La confusion sémantique ne s’arrête pas là. Le terme « socialiste » est aujourd’hui utilisé (tant par ceux qui s’en réclament que par ceux qui s’y attaquent) à tort et à travers. Voir l’équipe Hollande-Valls-Macron se réclamer du socialisme est aussi ridicule qu’entendre certains invoquer une « dictature socialiste » pour nommer le désordre libéral-libertaire actuel. Que recouvre le socialisme dont se réclament à la fois Arthur Moeller, Werner Sombart ou encore Ernst Niekisch, au-delà de leurs nuances respectives ?

    Une idée propre à de nombreux révolutionnaires conservateurs est que « chaque peuple a son propre socialisme » (Moeller van den Bruck). Sous Weimar, la notion de« socialisme allemand » est d’usage courant aussi bien à droite qu’à gauche, y compris au sein des organisations nationalistes. Werner Sombart, grand spécialiste de l’histoire du mouvement social et du capitalisme, est d’ailleurs l’auteur d’un livre portant ce titre (Le socialisme allemand, traduction française en 1938). Oswald Spengler parle de « socialisme prussien », c’est-à-dire d’un socialisme porté par l’éthique et le style prussiens, qui rejette d’un même mouvement les valeurs bourgeoises et la « prolétarisation ». Expliquant que Marx a dévoyé le socialisme en l’entraînant en Angleterre, patrie du libéralisme, il affirme qu’il faut maintenant le« rapatrier » dans le pays où « chaque Allemand véritable est un travailleur ». Ces références montrent que pour la Révolution Conservatrice l’ennemi principal est très clairement le libéralisme.

    L’association, à première vue surprenante, des mots « conservateur » et « révolutionnaire » témoigne d’abord, d’un point de vue théorique, d’une volonté de conciliation des contraires (c’est au fond l’idée hégélienne d’Aufhebung, de dépassement d’une contradiction). Mais elle répond aussi à l’idée que, dans le monde tel qu’il est devenu, seul un bouleversement général, c’est-à-dire une révolution, permettra de conserver ce qui vaut la peine d’être conservé : non pas le passé, mais ce qui ne passe pas. Arthur Moeller van den Bruck écrit ainsi : « Le réactionnaire se représente le monde tel qu’il a toujours été. Le conservateur le voit comme il sera toujours ». Il ajoute que, par opposition aux réactionnaires, qui ne comprennent rien à la politique, « la politique conservatrice est la grande politique. La politique ne devient grande que lorsqu’elle crée de l’histoire ».

    L’un des riches débats qui animèrent les rangs de la Révolution Conservatrice opposa les tenants d’un « ruralisme », admirateurs de la paysannerie et contempteurs du mode de vie urbain aux partisans d’une prise en main de la technique et de la figure mythique du Travailleur (que contribuèrent à forger tant Jünger que Niekisch). Que peut-on en retenir ?

    C’est en effet l’un des traits qui distinguent les jeunes-conservateurs des nationaux-révolutionnaires. Les premiers, très influencés par l’idée du Reich médiéval, en tiennent souvent pour une société des « états » (Stände) où la paysannerie, lieu par excellence des solidarités organiques et des traditions populaires, joue un rôle essentiel, tandis que les seconds se veulent à la fois plus radicaux et plus « modernistes ». Cela dit, un auteur comme Oswald Spengler n’hésite pas à donner une interprétation « faustienne » de la technique. Le cas d’Ernst Jünger est plus complexe. Son livre sur Le Travailleur (1932), qui oppose à la Figure du Bourgeois une sorte de métaphysique du Travail, est une apologie « titanesque » de la Technique en tant que facteur de « mobilisation totale », mais l’auteur des Orages d’acier reviendra par la suite sur cette façon de voir, notamment sous l’influence de son frère, Friedrich Georg Jünger, auteur dans l’immédiat après-guerre d’un livre très hostile à la technique (Die Perfektion der Technik) que l’on peut considérer comme un ouvrage fondateur de l’écologisme actuel.

    Ce qui frappe dans les portraits que vous dressez, c’est la difficile incarnation politique des idéaux portés par la Révolution Conservatrice. L’extraordinaire fécondité intellectuelle de ce mouvement donne d’autant plus le vertige que ses réalisations politiques paraissent faibles. Qu’en est-il ?

    Il est exact que la Révolution Conservatrice n’a pas réussi à s’imposer politiquement, ce qui est fort dommage, car elle aurait évidemment constitué une alternative positive à l’hitlérisme. Sur le plan politique, elle s’est plutôt manifestée par des activités « ligueuses », des clubs de réflexion, des associations multiples et variées, ce qui n’empêche pas qu’on repère sans peine son influence à l’intérieur du Mouvement de jeunesse (Jugendbewegung) issu de l’ancien Wandervogel, ou à la faveur d’événements ponctuels, comme la révolte paysanne dans le Schleswig Holstein. Mais cela n’a pas suffi à en faire une dynamique de premier plan. Cela s’explique notamment par le fait qu’à quelques exceptions près, les représentants de la Révolution Conservatrice n’étaient pas des politiciens, mais des écrivains et des théoriciens. D’un autre côté, c’est aussi ce qui nous permet de les lire encore aujourd’hui avec profit.

    C’est en effet l’un des traits qui distinguent les jeunes-conservateurs des nationaux-révolutionnaires. Les premiers, très influencés par l’idée du Reich médiéval, en tiennent souvent pour une société des « états » (Stände) où la paysannerie, lieu par excellence des solidarités organiques et des traditions populaires, joue un rôle essentiel, tandis que les seconds se veulent à la fois plus radicaux et plus « modernistes ».

    http://fr.novopress.info/182021/entretien-exclusif-novopress-alain-de-benoist-la-revolution-conservatrice-nest-pas-du-tout-un-mouvement-unitaire-12/

  • À propos de « Nouveaux cathares pour Monségur » de Saint-Loup par Rüdiger NON CONFORME

    J’ai comme l’impression qu’on ne lit plus beaucoup Saint-Loup (nom de plume de Marc Augier) aujourd’hui, ce que je ne peux que déplorer. Aussi, si ces quelques considérations sur l’un de ses ouvrages phares pouvaient donner à d’aucuns l’envie de se plonger dans l’œuvre de ce grand écrivain, j’en serais ravi.

    Grand écrivain, oui, c’est indéniable. Et même si l’homme était avant tout un écrivain de combat aux idées bien trempées, il mérite d’être (re)découvert tant son talent peut séduire au-delà du lecteur typique de notre mouvance. Comme le savent ses lecteurs, Saint-Loup mettait énormément de lui-même dans ses livres et mêlait à ses convictions des thèmes chers qui avaient beaucoup compté dans son parcours personnel : la noblesse de comportement devant la vie, le dépassement de soi par le sport (ou la guerre) ou encore la joie de la camaraderie telle qu’on la pratiquait dans les Auberges de Jeunesse avant la Seconde Guerre mondiale.

    Nouveaux cathares pour Monségur, premier volume du cycle des « Patries charnelles », entraîne le lecteur dans l’Occitanie de la fin des années 1930 à la fin des années 1960 et prend comme fil directeur le combat identitaire occitan. L’Occitanie étant l’une de ces nombreuses patries charnelles constituant l’Europe voulue par Saint-Loup, une Europe fédérale respectueuse de toutes ses identités régionales. Ce combat « régionaliste » est ainsi illustré dans ce roman datant de 1968 par une galerie de personnages bien différents dont les opinions (tant politiques que religieuses), les choix devant l’histoire de leur temps, les évolutions et les divergences apportent l’essentiel de la matière ici développée.

    L’ombre de la croisade contre les Albigeois plane sur le récit et, pour bien des protagonistes de l’histoire, c’est la déclaration de guerre faite à l’Occitanie par la France du Nord au XIIIe siècle. En effet, pour Roger Barbaïra, héros du livre, « la France n’est pas la terre de mes pères », c’est « une patrie qui n’a d’autres contours qu’idéologiques ». Partant de ce postulat que la France écrase l’Occitanie depuis le Moyen Âge et que celle-ci se doit d’être libérée, Roger Barbaïra et sa bande de compagnons issue des Auberges de Jeunesse  vont tout faire pour lutter contre cette domination vue comme étrangère. Et c’est là que la plume de Saint-Loup s’exprime, à mon sens, le mieux. Quelle stratégie adopter à l’aube de la Seconde Guerre mondiale pour ces jeunes gens bien différents, tant dans la personnalité que dans les opinions politiques, mais unis par le combat identitaire ? Certains choisiront Vichy, d’autres le maquis communiste; Barbaïra choisira la S.S. Ils en viendront à s’entretuer ou à s’entraider, dépassés par les événements de la grande guerre civile européenne. Le combat continuera ensuite après la guerre, pour ceux qui y auront survécu et qui seront restés fidèles, avec d’autres moyens.

    Comme dans beaucoup de livres de Saint-Loup, on retrouve l’idée de la dureté de l’engagement. Celui qui s’engage pour une cause fait face à de multiples difficultés et la guerre vécue par les différents acteurs de cette fresque occitane en sera la meilleure illustration : combattre ou s’engager au sens large, ce n’est pas aller dans le sens de la facilité, bien au contraire. Les péripéties de ceux qui auront choisi le mauvais camp et qui deviendront des « maudits » illustrent cela à merveille : ils seront traqués, torturés et tués par ceux qui prétendaient combattre pour la « paix », la « dignité » et les « droits de l’homme » et qui sont toujours adulés et loués de nos jours puisque, dans le monde moderne, il y a des persistances qui ont la vie dure.

    Au-delà de la question identitaire, Nouveaux cathares pour Monségur est un voyage en Occitanie, dans ses châteaux, ses montagnes, ses légendes. C’est l’occasion aussi pour Saint-Loup de traiter de religion et en particulier du catharisme. Cette foi est ainsi celle de ce mystique personnage qu’est Auda Isarn (dont le nom a été repris par une célèbre maison d’édition). Membre de la bande d’amis de Roger Barbaïra, sa beauté froide la rend désirable à bien des hommes qui s’opposeront pour l’avoir mais une telle femme, dotée d’une telle foi, peut-elle réellement appartenir à un homme et lui dévouer sa vie? Auda Isarn fait partie de ces femmes un peu mystérieuses voire insaisissables que l’on retrouve dans l’œuvre de l’auteur, telle la fameuse Morigane de Plus de pardons pour les Bretons, et est résolument le personnage le plus énigmatique de l’histoire.

    Saint-Loup profite de son récit pour y fondre différents éléments ésotériques. C’est ainsi la rencontre entre Otto Rahn, l’auteur de Croisade contre le Graal et de La cour de Lucifer, d’une part et Roger Barbaïra et ses amis d’autre part qui donnera à ces derniers le goût du combat pour leur identité. C’est encore Otto Rahn qui mettra Barbaïra sur la piste des « vérités éternelles » par sa recherche du Graal dans les grottes proches de Monségur. Ce Graal, sous la plume de Saint-Loup, n’est plus la coupe qui recueillit le sang du Christ mais les tables de lois des Aryens « en écriture païenne enchevêtrée » dont la redécouverte changerait la face du monde moderne, ce qui explique les recherches menées par Rahn, en mission spéciale en 1938, puis par une section de l’Ahnenerbe à laquelle Barbaïra prêtera main forte durant la guerre avant de s’engager dans la Waffen S.S. Cet engagement s’explique par le fait que Barbaïra veut donner à l’Occitanie une place digne de ce nom dans l’Europe nouvelle et c’est seulement par le sang versé à la guerre qu’elle l’aura selon lui. De plus, il n’est plus, à l’aube de son départ sur le front de l’Est, qu’un simple combattant régionaliste. Il sait que ce combat fait partie d’un mouvement plus vaste, d’une conception totale du monde, d’une Weltanschauung où l’élément spirituel se mêle à l’élément biologique.

    Qui sont ces nouveaux cathares évoqués par le titre du livre ? Vous le découvrirez avec cet ouvrage passionnant et extrêmement bien écrit, doté d’une interprétation très personnelle de l’histoire de l’Occitanie. Nouveaux cathares pour Monségur recèle de multiples richesses qui en font un très grand roman et un ouvrage absolument indispensable pour qui veut comprendre ou découvrir Saint-Loup.

    Rüdiger Non Conforme

    • Saint-Loup, Nouveaux cathares pour Monségur, Presses de la Cité, 1968; réédition Avalon, 1986.

    • D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 17 novembre 2014.

    http://www.europemaxima.com/

  • ILS sont venus malgré nous, ILS partiront grâce à vous !

    En 1974, l’ancien président de la République Démocratique et Populaire d’Algérie, Houari BOUMEDIENNE déclarait à la tribune de l’ONU :

    « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ».

     En 1997, l’ex-maire d’Istanbul, actuel 1er ministre Turc, Recep Tayyip ERDOGAN a affirmé :

    « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats ». 

    Dans le quotidien français « Le Figaro » du 19 décembre 2006, le guide de la Jamahiriya Islamique de Libye, Mouammar al-KADHAFI exprimait solennellement sa conviction :

    « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »

    liberons BXLC’était clair non ? Ecrit en langue française, compréhensible par une grande majorité des européens.

    Ces trois figures emblématiques du monde islamique ont clairement affirmé leur volonté d’aliéner notre continent au monde musulman !

    A l’opposé des discours lénifiants que nos dirigeants euro mondialistes nous assènent depuis des décennies, nous constatons la réalité des faits dans notre quotidien, que ce soit à Madrid ou à Copenhague, à Cologne ou à Bruxelles :

    partout l’islamisation de nos villes et de nos quartiers s’est substituée à nos modes de vies, à nos habitudes, à nos mœurs, à nos coutumes et bientôt à nos lois et nos règlements.

    C’est inacceptable et scandaleux !

    Et ce n’est que le 7 janvier 2015 que les Français ont constaté la réalité : ce sont des musulmans d’origine immigrée -et non pas des alsaciens protestants ou des bretons amish- qui ont froidement assassinés 17 personnes innocentes.

    « Repli sur soi », « peur de l’autre », « refus de partage », « frustrations », « esprit de clocher ».

    Il y a quelques mois, j’avais publié un article au sujet de l’immigration/invasion qui depuis des années emprunte la Mare Nostrum pour s’établir sous nos cieux.

    Depuis l’An Nouveau, le flux s’amplifie au point de déborder Frontex, ce joujou de Bruxelles, destiné à surveiller et à protéger les frontières de notre continent. A tel point que les Italiens commencent à piailler et que les couloirs de Bruxelles commencent à tanguer.

    Mais pour masquer leur incompétence et pour faire oublier leurs mensonges et leurs erreurs, les inquisiteurs de la Pensée Unique et les charlatans du Politiquement Correct, nous font chier depuis plus de 40 ans avec des procès en sorcellerie au prétexte que nous serions « racistes », « fâââchistes » ou « nazis ». Mais ce sont bien EUX, ces francs-maçons, ces lobbies judéo-capitalistes, ces laïcistes invétérés et obsédés par les soutanes, ces chrétiens de « gôche » et ces « bobos » drogués au multiculturel, qui nous ont menés au fond du gouffre économique et financier, au déclin de la morale et des mœurs et à la décadence totale des valeurs de notre civilisation européenne. Pour cela ils devront être jugés et punis.

    Partout en Europe, mais surtout en France et en Belgique, depuis 40 ans, l’idiote « politique de la ville » a coûté des dizaines de milliards d’euros qui manquent dans les caisses aujourd’hui ! Résultats : ZERO ! ! ! Ces crétins de politiciens ont voulu acheter la paix dans les quartiers !

    STOP : l’argent pour nos hôpitaux d’abord ! Et que force reste à la Loi pour nettoyer et rétablir l’Ordre dans les zones de non-droit.

    Eh bien partout, de Toulouse à Bruxelles ou de Paris à Verviers, et dans toutes les provinces de la Gaule, des crapules gangstéroislamistes ont grandi sur le fumier des utopies multiculturelles avec la complaisance et l’encouragement de TOUS les partis au Pouvoir !

    Aujourd’hui, ils récoltent ce qu’ils ont semé ! Alors qu’ils assument et trouvent les remèdes…

    Deux exemples, parmi des milliers, en Belgique : Anémie NEYTS (ex-PVV, actuel Open VLD) élue durant plus de 30 ans dans différentes assemblées, avait eu le culot de déclarer en décembre 1988, lors d’un meeting public, rue Communale à Saint-Josse (ayant un bourgmestre turc depuis janvier 2013) que : « les belges devaient mettre de l’eau dans leur vin et que les immigrés, eux, devaient mettre du vin dans leur eau ! ». Devant tant d’idiotie, il y a lieu de rouvrir les culs-bas-de-fosses…

    Déjà, au début des années 80’, une autre excitée avait hurlé : « Bruxellois maître chez toi ! »,  en vomissant les Flamands. Ce sont ces pasionarias d’opérette qui sont responsables, entre autres coupables, de la situation explosive dans laquelle nous vivons.

    Portes ouvertes et « OPEN BAR ».

    L’Eldorado européen attire le tiers-monde entier, comme le miel attire les mouches et viendra le jour où nous verrons un bateau de croisière du genre « King of the Sea » ou un clone du « France » s’échouer sur les côtes de l’Adriatique ou du Languedoc en débarquant 8 ou 10.000 miséreux en quête de « mieux-être ». L’un des derniers cargos à la dérive et secouru par la marine italienne venait de Tartous en Syrie.

    Plus au sud, le Liban à lui seul supporte plus de 1,5 millions de réfugiés syriens officiels, sans compter 300 ou 400.000 illégaux. Et parmi ceux-ci, combien de futurs djihadistes ? Qui prétend que parmi les millions de réfugiés partant ou résidents au Proche-Orient, il n’y aurait aucune infiltration de terroristes ? Combien de cellules dormantes, prêtes à frapper à Beyrouth, Amman, Istanbul, Tripoli, Tunis, Madrid, Rome, Athènes, Copenhague, Paris ou Bruxelles ? Depuis 2010, tous les immigrés extra-européens ont-ils été enregistrés, contrôlés et suivis ? Non, bien sûr, car la Nouvelle Religion Droits-De- l’Hommiste, permet tous les abus et toutes les dérives, dès qu’il s’agit de « l’Autre » !

    Et si aucune mesure drastique n’est imposée d’urgence, ce sont des dizaines de milliers d’envahisseurs qui débarqueront en Europe ces prochaines semaines, pris en main par les gangs de la traite humaine, illégaux en provenance de tous les ports du sud de la Méditerranée.

    Et combien d’immigrés ces apôtres du « Vivre Ensemble » et du « Padamalgam » vont ils héberger chez eux ? Et vous ? Combien allez-vous accueillir de clandestins à la maison ? Les entretenir ? Les soigner ? Les nourrir ? Il faut stopper ce délire, demain si possible, le mois prochain si nécessaire, mais VITE !

    Parce qu’après l’exaspération des européens, le désespoir lui succédera et à ce moment, RIEN ni PERSONNE n’arrêtera la légitime colère des peuples bafoués et trahis par des dirigeants veules et incapables.

    Brüsselistan, émirat de l’EURABIA !

    De par la volonté des politiciens libéraux, socialistes et « chrétiens démocrates » (de gôche), la politique d’épuration ethnique menée depuis 40 ans porte ses fruits aujourd’hui à Bruxelles (Brussel) où les blancs sont devenus minoritaires.

    Il suffit de se promener à travers les 19 communes de l’agglomération –où résident environ 1,2 million de personnes-  pour constater le bouleversement considérable des us et coutumes, des traditions, des magasins, des habitants : à Bruxelles, il y a plus de burqàs et de tchadors qu’à Marrakech, Téhéran, Bamako, Damas ou Samarkand !

    Tous mes amis français, espagnols, italiens, allemands ou anglais sont estomaqués par cette concentration d’allogènes qui colore le centre-ville en proportion bien plus importante que chez eux. Effectivement, le grand Jacques Brel en pleurerait de rage, lui qui chantait les louanges du Bruxelles qui « Brusselait ». Maintenant c’est kebab, babouches, chichas, djellabas, barbus & C°, grâce au soutien de tous les pourriticards qui se sont succédé non seulement au gouvernement, mais aussi à la Région et surtout comme Bourgmestres de la prétendue « Capitale de l’Europe ».

    De droite, de gauche ou du centre mou, tous ont œuvré au sabotage de nos valeurs, à la perte de nos traditions, à la suppression de nos valeurs, au laxisme de nos lois et surtout, oui ô surtout à l’innommable lâcheté du refus de désigner clairement les ennemis de notre civilisation !

    Par le biais de dons, d’aides, de subventions ou de crédits à taux privilégiés, ces laïcards ont commencé par vider les églises pour remplir les mosquées, en favorisant l’implantation de populations majoritairement maghrébines, turques et africaines. Depuis quelques années, les classes maternelles et primaires dans certains quartiers sont exclusivement peuplées d’enfants d’immigrés et non plus de têtes blondes ! Et à la cantine, c’est « Halal pour tous …et tous pour Allah ! »

    Selon des études universitaires, la population de Bruxelles compte plus de 66% d’étrangers dont 50% sont des musulmans. Depuis 1979, ce sont 850.000 étrangers qui ont été naturalisés en Belgique (population = 11 millions d’habitants), et le  pays en totalise encore 1.200.000, sans compter les demandeurs d’asile ni les clandestins (estimés à plus de 120.000). Les partis du Régime sont les seuls responsables de cette situation dangereuse !

    Alors OUI, face à la « pensée unique », face au « politiquement correct », face aux utopies des gourous qui mendient nos suffrages il est temps de dresser leur bilan !

    Pourquoi donc vouloir accepter maintenant ce qu’ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu appliquer de leurs programmes précédents et qu’ils voudraient réaliser durant les prochaines années ?

    Ce bilan est calamiteux : en Belgique, plus d’un million de personnes sont au chômage ou bénéficient d’argent public sans réellement chercher un emploi.

    Plus de 900.000 salariés travaillent dans l’administration et le secteur public.

    A Bruxelles il y a 21% de chômage (95.000 inscrits) et plus de 100.000 analphabètes et ce, depuis des lustres.

    On ne trouve pas de secrétaires trilingues, de paveurs ou de plombiers depuis plus de 25 ans !

    La dette publique nominale belge augmente chaque mois d’un milliard d’euros, pour atteindre le top européen de 38.300 € par habitant. Et la pression fiscale chez nous est de 45,6% du P.I.B !

    Un tiers des élèves qui terminent leurs humanités (fin du secondaire) ne savent ni lire correctement ni s’exprimer clairement ! Merci aux divers ministres de l’enseignement. On a déjà vu mieux dans le passé…

    80% de ceux qui sont traduits devant les tribunaux n’appartiennent ni à notre culture, ni à notre civilisation : POURQUOI ?

    600 racailles multirécidivistes sèment la terreur dans les quartiers bruxellois : par laxisme ou par complaisance ?

    Mais les électeurs, parents, contribuables, ouvriers, pensionnés, automobilistes, confrontés chaque jour aux mêmes maux qui les accablent, ne vont toujours pas, dans le secret de l’isoloir, déposer un carton rouge pour punir les bonimenteurs libéraux-écolos-démocrates-socialistes, qui les trompent en permanence. C’est à croire qu’ils vivent sur une autre planète, ou alors enfermés dans leur bulle !

    Quant à nous, nationalistes, nous avons la Foi dans la rectitude de nos choix.

    Pieter KERSTENS.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/ils-sont-venus-malgre-nous-ils-partiront-grace-a-vous_127436.html#more-127436

  • L’âme et la conscience de M. Juppé, c’est le PS…

    À dire vrai, on s’en doutait depuis longtemps… Mais les élections législatives partielles ont l’immense avantage de pousser nos acteurs politiques à aller au bout de leurs convictions intimes, à faire leur coming out.

    Et M. Juppé, notre inénarrable blogueur et tweetos du haut de ses 70 ans, a fait le sien dans la nuit de lundi à mardi : « Quant à moi, si j’étais électeur de la 4e circonscription du Doubs, je sais ce qu’en mon âme et conscience je ferais : pour barrer la route à une candidate FN […] je voterais pour le candidat qui l’affronte, c’est-à-dire le candidat PS. »

    C’est clair ! Et les électeurs UMP apprécieront.

    Les tweets de M. Juppé, c’est une anthologie. Souvenez-vous : le soir des municipales, il se réjouissait un peu rapidement : « Il n’y a pas eu de vague Bleu Marine. Je m’en réjouis. » Une dizaine de villes et le plus important secteur de Marseille basculaient vers le FN, mais le maire de Bordeaux ne voyait rien ! Trois mois plus tard, alors qu’il s’activait à la tête de l’UMP, le FN écrasait l’UMP et le PS aux européennes. M. Juppé, lui, dissertait sur l’identité heureuse. Et jusqu’à cette élection partielle du Doubs, M. Juppé a soutenu le pauvre
    M. Demouge, qui ne voulait pas du soutien de Sarkozy…

    Résultat : la droite éliminée, et le tweet de M. Juppé, qui fera sourire ou enrager les électeurs du Doubs. La droite éliminée ? À moins qu’elle ne soit allée chercher ailleurs ce qu’elle ne trouve plus dans les ruines de l’UMP « juppéisée ».

    Mais, heureusement, M. Juppé n’est pas électeur du Doubs. Est-il encore à l’UMP ? Est-il encore de droite, « en son âme et conscience » ?

    Non, il est candidat à la présidentielle. Et dans sa stratégie mûrement pensée (« Après le premier tour de la législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs, j’ai pris le temps de réfléchir », écrit-il doctement sur son blog !), il suffira de se retrouver face au FN au second tour pour être élu. Car, dans son calcul, la gauche était automatiquement coulée, comme le montraient les précédentes législatives partielles. Eh bien, zut ! Mauvais calcul, M. Juppé ! La gauche n’a pas rendu l’âme : elle est maintenue artificiellement en état de survie à coups d’électrochoc Charlie-Valls. Et cette gauche moribonde vous a pris votre deuxième place. Trop bête ! Vraiment trop injuste, aurait dit Caliméro !

    Mais ne boudons pas notre plaisir. Relisons l’avant-dernier tweet de M. Juppé : « C’est l’ignorance qui engendre la peur et le refus de l’autre. Dialoguons, apprenons à mieux nous connaître. Appelons au respect mutuel. »

    À qui s’adressait-il, notre bon maire de Bordeaux ? Assurément aux électeurs du Doubs et d’ailleurs qui, en leur âme et conscience, n’iront pas voter PS… ni Juppé !

     dans Boulevard Voltaire
  • Les chiens aboient, la caravane passe

    L’UMP donne chaque jour  davantage l’image assez désastreuse d’une bien mauvaise auberge espagnole idéologique, alliance de plus en plus improbable   entre  une base droitière sensible aux idées patriotiques et des dirigeants acquis très largement à l’euromondialisme, se déchirant sur la stratégie à adopter pour enrayer la progression de Marine, du FN, des idées nationales. Sautant sur l’occasion de se démarquer de Nicolas Sarkozy, et emboîtant le pas à la numéro 2 de l’UMP (officiellement sarkozyste) Nathalie  Kosciusko-Morizet, Alain Juppé à d’ores et déjà  écrit sur son blogue, que  « (s’il était)  électeur de la 4ème circonscription du Doubs », « en son âme et conscience » et  « pour barrer la route » au FN, il voterait « pour le candidat qui l’affronte, c’est-à-dire le candidat PS » Frédéric Barbier. Une position officielle ( ?) devrait être définie ce soir par l’UMP  sachant que les « ni-ni » (ni FN, ni PS) sont majoritaires… «Je vois clairement écrit encore M. Juppé, que désormais notre principal adversaire politique est devenu le FN. Il a quelques raisons de se prétendre le premier parti de France. Son arrivée aux responsabilités nationales n’apparaît plus tout à fait comme une hypothèse d’école. Ce serait à mes yeux une catastrophe pour notre pays ». « L’image de la France serait abîmée dans le monde car l’idéologie du FN est aux antipodes des valeurs morales et politiques qu’elle incarne… ».

     Valeurs qu’Alain Juppé, parangon d’intelligence politique, de  rectitude morale, de droiture intellectuelle, de patriotisme  désintéressé  incarne à la perfection. Il suffit pour s’en convaincre de se pencher sur son bilan. Éminentes qualités dont il a fait encore la démonstration en  se faisant le  complice de MM.  BHL et Sarkozy pour détruire le régime de Kadhafi,  livrant ainsi  la Libye au sanglant chaos des milices islamistes. La dissolution, spécialité juppéiste…

     Le candidat de l’UMP éliminé au premier tour  dans la quatrième circonscription du Doubs, Charles Demouge,  déclarait au cours de sa campagne aux médias  que « ce sont les bons petits blonds qui m’emmerdent pas le  gens qui viennent de l’immigration ».

     Une phrase qui a son parfum de bêtise politiquement correct qu’Alain Juppé pourrait faire sienne, lui qui  ne  manque jamais par ailleurs  de reprendre à son compte  la propagande d’extrême gauche contre l’opposition nationale. Ainsi, comme Le Point ou encore le Lab d’Europe 1 l’ont fait, le maire de Bordeaux a relayé l’antienne du  site extrémiste « L’entente, Observer le FN »,  en expliquant que le candidate FN Sophie Montel dans le Doubs croyait  « en l’évidente inégalité des races ».Un site qui  expose  les propos  d’un ancien député du PS,  Joseph Pinard. Pinard voit rouge et, rapporte le site précité, «explique au journal Factuel.info qu’en septembre 1996, alors qu’elle était conseillère municipale de Besançon», Sophie Montel avait exprimé cette croyance, tenu des propos que la morale antiraciste réprouve.

     Manière de laisser entendre que la candidate FN aurait des tendresses coupables pour les  heures  les plus sombres de notre histoire ou pour  de grands ancêtres républicains. Comme  Jules Ferry qui déclarait que « le devoir des peuples civilisés (est) de mettre dans leurs rapports avec les peuples barbares plus grande longanimité, celle d’une race supérieure qui ne conquiert pas pour son plaisir ». Ou encore  Léon Blum qui affirmait  qu’il était « du devoir des races supérieures d’imposer la civilisation aux autres races.»

     Les propos  reprochés à Sophie Montel lors de ce conseil  municipal,  qui  ont prés de vingt ans, pour lesquels elle n’a pas été condamnée et qu’il s’agit de remettre dans leur contexte, sont  nettement moins excessifs et caricaturaux.  Elle entendait plus prosaïquement défendre le président du FN des attaques dont  il  était alors l’objet, soulignant que «rien dans   les propos de Jean-Marie Le Pen sur l’évidente inégalité des races ne tombe sous le coup de la loi ».

      « Constater que la civilisation des Pygmées au XXe siècle, aussi nombreux que les Athéniens du siècle de Périclès, n’est pas égale à celle de la Grèce antique n’injurie pas les Pygmées expliquait-elle. Constater que la civilisation des Esquimaux, aussi nombreux que les Juifs, n’est pas égale à celle d’Israël et n’a pas joué le même rôle dans l’histoire du monde ne constitue ni une injure aux Esquimaux ni une atteinte à la vérité. L’observation que les enfants d’origine vietnamienne s’adaptent généralement mieux aux études et au travail que ceux de l’immigration africaine est le fait de tous les enseignants, même de gauche ».

     « Nous affirmons que la civilisation française de notre grand siècle était supérieure, dans tous les domaines de l’épanouissement de l’esprit, des arts et des lettres, à celles des Huns et des Bantous. Constater l’inégalité des civilisations comme celle des individus merveilleusement différenciés, ce n’est pas nier l’évidence d’une nature humaine. Ce n’est pas, bien au contraire, porter atteinte à la défense de la dignité humaine. Ce qui injurie la dignité humaine, ce sont les pratiques d’une société oublieuse de la loi naturelle où on laisse s’épanouir les tortionnaires pédophiles, car il est des crimes dont l’horreur dépossède ceux qui les commettent, quelle que soit leur civilisation, du respect dû a priori aux hommes de toutes races et de toutes civilisations ».

     Et Sophie Montel précisait encore que « le Front National n’est ni raciste, ni fasciste, ni antisémite. Il défend les droits prioritaires des Français chez eux, notre droit à la différence, le droit du peuple français à disposer de lui-même et le droit imprescriptible de la nation française à préserver ses libertés, sa souveraineté et son indépendance. Nous sommes patriotes et nationalistes français sans complexe ni état d’âme ».

     Des propos qui ne sont certainement pas de nature à dissuader dimanche prochain les électeurs décidés  à  battre la gauche, faire bouger les lignes  et/ou à faire entendre la voix de l’opposition au Système,  de voter pour la candidate frontiste. 

     Un Front National  qui  dit ce qu’il fait et qui fait ce qu’il dit, ce qui certes n’est pas forcement dans les habitudes de nos adversaires quand ils sont aux affaires. Ainsi à Beaucaire (Gard),  ville dirigée par le dynamique  maire FN  Julien Sanchez,  la caste politico-médiatique  pousse  là aussi de grands cris d’orfraie, au motif que  l’élu frontiste a « fermé » la semaine dernière  la Maison du vivre ensemble (sic) dans cette commune. Celle-ci  assurait officiellement  le soutien scolaire d’une centaine d’enfants.

    Un « établissement » créé sous l’impulsion d’un  instituteur à la retraite, Georges Duplissy, président de la très gauchisante  Ligue de l’enseignement du Gard, sous le mandat de l’ancien maire UDI, Jacques Bourbousson, dans «  un quartier en grande difficulté, avec une forte population maghrébine, du chômage, du RSA, du trafic de drogue» expliquait M. Duplissy. « La CAF et le Conseil général du Gard prévoyaient 131 000 euros de subventions par an, la condition étant que la mairie participe également, ce qu’elle devait faire à hauteur de 53.000 annuels.»

     A l’appel de groupuscules extrémistes, immigrationnistes… moins  d’une  cinquantaine d’habitants ont défilé dans les rues de Beaucaire  pour protester contre cette fermeture. Le maire frontiste a eu  beau jeu d’expliquer  qu’il entend tenir les engagements pris lors de la campagne  de gérer rigoureusement la ville, de  ne pas augmenter la fiscalité. 

     «Il faut arrêter de penser que ces personnes  sont indispensables»,  « les aides sont déjà assurées par le temps périscolaire dans les écoles» a souligné Julien Sanchez. «Si ces personnes ont besoin de soutien parce qu’elles ne parlent pas le français, ce n’est pas mon problème, ce n’est pas à nous de payer». « La Maison du vivre-ensemble est une officine de l’extrême-gauche. Je ne suis pas maso, donner une subvention à des gens qui font  des déclarations politiques contre nous et leur faire cadeau d’un joli local de 150 m2 estimé à 10.000 euros de revenus locatifs par an, ça me pose problème. »

     Dans la même optique d’économie  et  de responsabilisation, Julien Sanchez a entrepris d’en finir avec les  impayés dans les cantines scolaires de Beaucaire qui représentent la coquette somme  de  66 400 euros en quatre ans, à la charge des contribuables.  

     Le maire frontiste entend désormais  signaler à la CAF, au procureur de la République et à la protection de l’enfance les parents «malhonnêtes». «Certains laissent leurs enfants à la cantine sans prévenir et sans payer, ce qui génère des problèmes d’organisation, de surveillance, et que j’assimile à de l’abandon d’enfants».  «Cela peut paraître excessif mais la France est généreuse en matière d’aides et la CAF doit servir à nourrir les enfants plutôt qu’à acheter des télévisions, des écrans plasma ou du matériel hi-fi ! Ce  ne sont d’ailleurs pas  les  plus modestes qui sont les plus irresponsables, ceux-là en général payent. Je vise ceux qui n’ont aucune éducation et profitent du système, jouent sur le laxisme», poursuit Julien Sanchez.

     Ce n’est pas pour nous étonner,  l’élu frontiste  a reçu des messages de soutien de la part des habitants depuis cette annonce. Encore une preuve, une de plus souligne Bruno Gollnisch,   du décalage  existant  entre la perception déformée  de la réalité qui est celle du   petit monde médiatique et d’une  vieille gauche dépassée, et le quotidien, les aspirations de  nos compatriotes. Les chiens aboient, la caravane passe.

    http://gollnisch.com/2015/02/03/les-chiens-aboient-la-caravane-passe/

  • Le grand remplacement est une réalité incontestable

    Jacques Bompard a déposé le 21 janvier dernier une proposition de loi de lutte contre l'immigration. Elle est consultable ici dans son intégralité. Il faut noter que Jacques Bompard introduit de manière officielle et sans ambages au sein de l'Assemblée Nationale la notion de grand remplacement, qu'il ne considère pas comme un complot mais comme une grave réalité :

    Jacquers_bompard_afp1_01_11"Pourtant il n’est pas besoin d’avoir un sens de l’observation particulièrement aiguisé pour comprendre la réalité incontestable du processus actuellement en cours. Celui-ci porte un nom : le grand remplacement (...)

    L’angélisme en matière d’immigration, nourri par une philosophie humaniste dévoyée et les discours mensongers des associations antiracistes et autres officines de lutte contre les discriminations ou de défense des droits de l’homme, a en effet conduit le pays dans une impasse dangereuse : celle du remplacement de population et de son corollaire non moins tragique le changement de civilisation. Trop souvent caricaturée comme étant un fantasme, l’idée qu’une population d’origine étrangère se substitue peu à peu à une autre ne relève pourtant ni de la paranoïa, ni de l’obsession : c’est un fait dûment établi que de plus en plus d’étrangers, majoritairement en provenance du Maghreb et de l’Afrique noire, entrent en France alors que de plus en plus de jeunes Français quittent leur pays d’origine (...) Face à la faiblesse de la natalité, l’immigration n’est pas une solution viable et elle conduira inévitablement à la dissolution du peuple français."

    Plus loin, il propose même de réformer la loi du 9 décembre 1905 au sujet de "l'incompatibilité de certaines pratiques avec les valeurs françaises" :

    "La République française reconnaît que la religion catholique a une place toute particulière dans l’histoire, la culture et la civilisation françaises et qu’à ce titre, elle ne peut être mise sur le même pied que les autres religions pratiquées en France. Elle veille par conséquent à réduire la visibilité des autres cultes lorsque ceux-ci sont en opposition manifeste avec les valeurs de la nation française, valeurs qui sont en grande partie le fruit des racines chrétiennes de la France"

    Et si cette proposition de loi était soumise à référendum, nul doute qu'elle obtiendrait plus de suffrages qu'à l'assemblée Nationale...

    Philippe Carhon

  • Un proche de Coulibaly en couple avec une femme agent du renseignement

    « Amar R., un individu recherché pour trafic d’armes, avait été suivi par les enquêteurs de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) dès le lendemain de l’assassinat par Amedy Coulibaly de la policière municipale à Montrouge.
    Quelques heures avant la prise d’otages de l’Hyper Cacher, Amar R. est vu en compagnie de l’assassin.

    Selon Le Canard enchaîné à paraître mercredi, le service de renseignement avait poursuivi la filature d’Amar R. et constaté qu’il avait ses entrées au fort de gendarmerie de Rosny-sous-Bois (93).
    Sa fiancée, selon l’hebdo satirique, est sous-officier du renseignement dans ce centre d’élite de la gendarmerie. Amar R. a pu entrer et sortir de cette forteresse avec et sans sa compagne. Il faisait pourtant l’objet d’un mandat d’arrêt européen. Il a finalement été interpellé le 23 janvier. Jusqu’à présent, sa fiancée n’a pas été inquiétée. »

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le pilote jordanien, brûlé vif dans une cage par l’État islamique

    L’État islamique a revendiqué l’exécution sommaire et barbare du pilote jordanien qu’il avait pris en otage fin décembre 2014. Dans une vidéo diffusée mardi, les images montrent un homme portant une combinaison orange enfermé dans une cage, et des flammes qui consument ses vêtements jusqu’à ce qu’il devienne une boule de feu.

    L’armée jordanienne a promis de venger sa mort.

    http://fr.novopress.info/

  • Les Serbes n'ont pas commis de génocide

    La Serbie n'a pas commis de génocide contre les Croates lors de la guerre qui les opposa au début des années 90, a jugé aujourd'hui la Cour internationale de justice (CIJ). "La Croatie n'a pas réussi à prouver ses allégations selon lesquelles un génocide a été commis", a déclaré le juge président Peter Tomka lors d'une audience publique à La Haye, où siège la CIJ.