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  • L' »APPEL DE MANILLE » OU L’ESCROQUERIE ECOLOGISTE (par Maurice D.)

    Le président s’est rendu à Manille, aux Philippines, pour y faire la promo de la grande conférence sur le climat sur le succès de laquelle il compte pour remonter une fois de plus une cote de popularité redevenu aussi plate qu’une banane écrasée et raccrocher les Verts qu’il voit flirter dangereusement avec Méluche-la-terreur.

    Il a pris avec lui Laurent Fabius que l’on aperçoit à peine sur une photo ; son bureau n°1, comme disent les Ivoiriens, c’est-à-dire la première sur la liste officielle de ses maîtresses, la ministre de l’Environnement Ségolène Royal toute vêtue de vert ; Annick Girardin qui est parait-il ministre elle aussi ; le producteur de films sur la nature Nicolas Hulot et deux actrices de cinéma, Mesdames Cotillard et Laurent, très proches dit-on de Greenpeace. Hollande n’a pas emmené ces dames seulement pour le repos du guerrier, puisque l’une des deux sait lire, Madame Cotillard qui a lu pour François Hollande « L’appel de Manille« .

    Vous voyez le sous-entendu : un appel aussi important que celui du 18 juin, nous entrons en guerre contre le réchauffement climatique et c’est la France qui mène la résistance avec son grand chef de guerre. Un combat qui n’intéresse pas une grande partie de l’Humanité, celle qui habite des pays où l’on attend au contraire ce réchauffement avec l’espoir qu’il va permettre des économies d’énergie, une extension de la production agricole et de nouvelles activités : Russie, Canada, Chine…

    Hors son aspect purement publicitaire pour vendre la conférence de Paris à la fin de l’année, on ne voit pas très bien à quoi a servi ce déplacement en l’absence de vrais spécialistes du climat.

    Hulot ? Il fait de belles photos mais n’y connaît pas grand-chose. Et de plus, il serait crédible s’il ne circulait pas en gros 4×4 quand il est dans ses propriétés de Corse ou de Bretagne et en hélicoptère entre les deux et Paris.

    Quant à « l’Appel de Manille », il peut-être résumé en peu de mots : « Nous appelons la communauté internationale à conclure un accord ambitieux, équitable et universel sur le climat … un accord général et contraignant, pays par pays» pour que le réchauffement climatique reste en deçà de 2°C d’ici la fin du siècle.

    Notez le « contraignant » qui va rebuter bon nombre de pays qui vont dire que si c’est contraignant, il faut les indemniser pour le coût que cela va leur coûter. Qui va payer ?

    Le président du GIEC se débat dans un procès strauss-kahnien de coucheries avec des enfants, le vice-président Jean Juzel est salarié d’Areva, les rapports du GIEC, organisme dont les membres sont très majoritairement des fonctionnaires, contestés pour leur manque de rigueur scientifique. Alors Hollande a trouvé quelques fonctionnaires de l’ONU pour l’accompagner et donner un semblant de caution internationale à sa démarche, et quelques industriels pour illustrer que la présidence de la France, c’est aussi une affaire commerciale.

    On peut néanmoins supposer que si un accord est trouvé en décembre, il sera comme les précédents, a minima, que plusieurs grands pays refuseront de le signer considérant qu’ils n’ont d’ordres à recevoir de personne et que la nocivité du réchauffement n’est pas démontrée. Par exemple, si les cyclones sont de plus en plus meurtriers, ce n’est pas qu’ils soient plus nombreux ou plus violents, mais que de plus en plus de monde habite en bord de mer dans des zones inondables que les anciens évitaient soigneusement.

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  • Une CGT plus que centenaire

    À cet égard, et puisqu'on entre ici dans un débat plus que centenaire, certains événements doivent être rappelés.

    Le premier fut le vote de la Charte d'Amiens en 1906. Celle-ci définissait les rapports entre le syndicalisme français et les partis politiques. Pas question de s'inféoder à un quelconque parti politique. Or, la CGT actuelle est issue de la CGTU, c'est-à-dire d'une scission de la fondatrice. L'appareil de la CGTU n'était pas autre chose que celui du parti communiste apparu à partir du congrès de Tours de 1920 et de la bolchevisation.

    À la faveur de la seconde guerre mondiale les gens de la CGTU s'emparèrent de la vieille maison syndicale, au point que le secrétaire général de la CGT, Benoît Frachon puis ses successeurs siégèrent sans discontinuer, clandestinement d'abord, ouvertement ensuite, au bureau politique du Parti. Aujourd'hui le rapport des forces est devenu tel que l'on ppurrait presque se demander si ce n'est pas le PCF qui constitue une courroie de transmission de la centrale syndicale et de son homologue enseignante la FSU.

    Sa nouvelle grève, purement politique et socialement inutile, annoncée pour le 10 mars le prouve de façon surabondante. (1)⇓

    La liberté d'association "syndicale" avait été reconnue en 1884.

    Cette avancée sociale importante mettait un terme à la loi Le Chapelier votée en juin 1791. Celle-ci interdisait sous toutes ses formes la reconstitution des anciennes corporations. Les privilèges des vieilles jurandes remontant parfois au XIIIe siècle avaient été abolis par le fameux vote de principe de la Nuit du 4 août 1789, puis par le décret d'Allarde signé le 17 mars 1791 par Louis XVI. Mais au lieu de dresser un nouveau cadre légal aux organisations professionnelles ni la Convention ni le Code civil napoléonien ne voulurent permettre aux gens de métiers de se grouper pour défendre leurs "prétendus intérêts communs".

    Dès la première moitié du XIXe siècle par conséquent ce furent les adversaires du jacobinisme et du bonapartisme, mais aussi de l'orléanisme, qui se dressèrent les premiers contre cette interdiction. C'est ainsi que les premières protestations contre "l'exploitation manufacturière" et le vote des premières lois sociales vinrent de gens comme Armand de Melun ou Alban de Villeneuve-Bargemont (1794-1850) préfet du Nord, révoqué par Louis-Philippe puis député légitimiste. Cette tradition fut très présente dans la première révolte des canuts à Lyon en 1831.

    Proudhon-83423À partir de la révolution de 1848, un nouveau courant s'affirme sous le nom de socialisme. Celui-ci prend des formes antagonistes entre blanquistes, saint-simoniens, fouriéristes, proudhoniens etc. Marx, un peu tard-venu, développera une nouvelle école de pensée. Dès 1846 la rupture se consomme avec Proudhon qui le traitera de"ténia du socialisme". Dans une lettre du 17 mai 1846, Proudhon avait d'ailleurs exhorté son cadet Marx de façon prophétique :"après avoir démoli tous les dogmatismes a priori, ne songeons point à notre tour à endoctriner le peuple". Et il lui pose la question taboue par excellence : "Peut-être conservez-vous encore l'opinion qu'aucune réforme n'est actuellement possible sans un coup de main, sans ce qu'on appelait jadis une révolution, et qui n'est tout bonnement, qu'une secousse..."

    Proudhon meurt trop tôt, en 1865, année où est publié son dernier livre "De la Capacité politique des classes ouvrières". L'année précédente était née à Londres en 1864, la Première association internationale des travailleurs, d'où ses disciples seront peu à peu chassés par les adeptes de la secte marxiste.

    C'est donc en fait à la fois contre le marxisme et contre l'héritage révolutionnaire décrit plus haut (l'interdiction de reconstituer des associations ouvrières ou professionnelles) que se développera, à la même époque, dans les cercles catholiques ce qu'on appelle Doctrine sociale de l'Église.

    Chambord-15-03-05La filiation paradoxale de sa formulation part de la Lettre aux ouvriersdu comte de Chambord, texte de 1865, pour aboutir à l'encyclique fondatrice Rerum Novarum du pape Léon XIII en 1891. Entre-temps les cercles d'ouvriers et les travaux de La Tour du Pin vont étayer cette marche vers une doctrine qu'on présente comme "antilibérale", mais qui ne l'est que dans la mesure où par "libéralisme" on entendait à l'époque la politique des orléanistes, liés au "gros argent". (2)⇓

    Au bout du compte la liberté d'association constitue la revendication centrale. Elle n'aura rien à voir non plus avec le "corporatisme d'État" qui s'installera, de manière réglementaire et obligatoire, aussi bien dans l'Italie mussolinienne à partir de 1935 que sous le régime de la Charte du travail de 1941 dans la France occupée, et qui se prolongera dans les pratiques de planification de l'après-guerre.

     De ce point de vue le véritable antagonisme est celui qui oppose, et opposera de plus en plus, les libertés sociales aux économies étatistes, qu'elles se définissent elles-mêmes comme d'inspiration marxiste ou technocratique.

    Chrétiens et proudhoniens se retrouveront ainsi côte à côte, luttant pour la liberté humaine contre les continuateurs du culte de Moloch, de Léviathan ou du Veau d'Or. Et qu'ils ne s'inquiètent pas d'être qualifiés "ultra-libéraux". Leurs adversaires n'ont jamais cessé d'être des ultra-esclavagistes.

    JG Malliarakis       

    150305-latourdupinApostilles

    1.  cf. Chronique des événements courants du 5 mars : "CGT-SNCF  : la grève totalement politique du 10 mars"sur le site de l'Institut d'Histoire sociale 
    2.  On peut commander le livre de René de La Tour du Pin "Vers un ordre social chrétien", 440 pages, 25 euros : 
      - par internet sur le site des Éditions du Trident
      - ou par correspondance en adressant un chèque de 25 euros aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris

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  • Le lobby LGBT a peur de Philippe Arino et le fait censurer

    Philippe Arino dérange à Sciences Po :

    "L’interview que j’ai accordée au journal de Sciences Po La Péniche a été mise en ligne hier (6 mars 2015), juste après la Queer Week. Selon la rédaction, il y a eu plus de 400 visiteurs uniques en 10 minutes et près de 20 commentaires incendiaires publiés immédiatement. Vu la polémique terrible,le bureau a pris la décision de supprimer l’article… ce qui a empiré les choses puisqu’on a accusé les rédacteurs d’avoir censuré l’article. Bref, l’article est magnifique, mais la censure en face est monumentale… La rédaction a déclaré : « Je suis navré de la tournure qu’ont pris les choses et consterné de voir une telle hystérie contre l’article. » L’homosexualité, beaucoup de militants gays friendly se vantent de l’avoir acceptée… mais en réalité, ils sont ses pires censeurs. C’est de la même violence que l’expulsion physique de Béatrice Bourges à la Queer Week il y a un an."

    Extraits de cet entretien (toujours visible sur la page en cache de google et sur le site de Philippe Arino) :

    "À Sciences Po, la « Queer week » est une semaine consacrée à l’étude et la mise en pratique des théories dites « queers ». Que pensez-vous de ces théories ?

    Ces théories sont inutiles et dangereuses puisqu’elles veulent le bien de l’Homme sans l’Homme réel(elles lui préfèrent l’homme-objet angélique asexué), et sur la base d’une vision conflictuelle entre l’homme et la femme ou entre l’individu et sa société. Elles ont choisi l’indéfinition comme définition, l’anticonformisme et le doute nihiliste comme vérités absolues, la violence comme moyen privilégié d’expression.

    La « Queer week » utilise des sigles du type LGBTQ+ ou même LGBTIQAP+, ce foisonnement de catégories ne va-t-il jamais s’arrêter ?

    En effet, les sigles pro-gays deviennent hyper extensibles et ça frise le ridicule.

    La Gender & Queer Theory mettout au pluriel pour éclater l’identité humaine et pour que les Hommes ne sachent plus qui ils sont, ce qu’ils désirent, vers où ils vont, qui les aime et les as créés(= Dieu), et avec quel sexe. Mais le vrai problème, c’est que cette myriade de fausses identités – nous ne sommes réductibles ni à notre pratique génitale, ni aux personnes qui nous attirent érotiquement, ni à nos fantasmes ou pulsions sexuels – font le lit de l’hétérosexualité, la seule « identité sexuelle » que cache toute cette brochette d’espèces humaines aussi mythiques qu’elle, et qui salit la différence des sexes couronnée par l’amour. C’est la raison pour laquelle j’ai créé le site CUCH (Cathos Unis Contre l’Hétérosexualité). L’hétérosexualité, en caricaturant et en dévoyant la différence des sexes, devrait être notre pire ennemi.

    Cathos Unis Contre l’Hétérosexualité ? Mais quelle est votre définition d’ « hétérosexualité »?

    L’hétérosexualité, c’est l’autre nom de la Queer Theory ou du Gender. Étymologiquement, il s’agit d’un terme hybride gréco-latin désignant toutes les altérités au niveau de la sexualité (bisexualité, homosexualité, transidentité, fétichisme, infidélité, zoophilie, inceste, etc.) et pas spécifiquement la différence des sexes. Quand il se rapporte à la différence des sexes, ce sera juste pour la vider d’amour et la transformer en concept libertin ou nataliste rigide. Ce n’est certainement pas l’idéologie hétéro que nous devons défendre !Il n’y a que la différence des sexes couronnée par l’amour, qu’on soit célibataire ou marié, qui m’intéresse.

    Le vendredi 6 mars, la « Queer week » a organisé la conférence « Le chantier linguistique », pour promouvoir la « linguistique queer ». Il faudrait par exemple utiliser des pronoms neutres, comme le « Hen » suédois. Est-ce une « novlangue » ? Cherche-t-on à transformer la réalité en changeant les mots ?

    Oui. Par la création de mots nouveaux « neutres », les « déconstructeurs » et « performers » queer prétendent formater le Réel à leurs fantasmes irréalistes les plus fous pour le déconnecter de l’amour sexué et le transformer en amour génital asexué. C’est la dialectique du nominalisme. Ça a l’air créatif et poétique, comme ça. Mais à travers ces néologismes, on essaye à la fois de gommer et de justifier une approche conflictuelle entre les sexes. On pense que le problème c’est l’« homme et la femme », qu’ils ne peuvent pas s’entendre, et l’on fuit ce conflit-là par la recherche d’une neutralité ou d’une asexuation inexistante. [...] 

    Vous vivez votre sexualité dans la continence depuis 2011. Que répondez-vous à ceux qui pensent que vous « refoulez » votre homosexualité ?

    S’il suffisait de pratiquer son homosexualité pour s’accepter tel qu’on est, on trouverait bien plus de gens heureux et bien dans leurs baskets dans la communauté homo ! Or, ce n’est pas le cas. Et je crois même que la sommation collective à la pratique homo crée bien plus de mal-être et de refoulement que la non-pratique. Je répondrais à ceux qui me jugent « homophobe » ou « frustré » que je connais peu de personnes homosexuelles qui, comme moi, aient étudié et porté autant d’intérêt au désir homosexuel, aient accueilli autant les personnes homosexuelles dans l’amitié vraie et dans ce qu’elles vivaient, aient autant assumé d’afficher sans complexe son orientation sexuelle à tous. Les individus homosexuels qui pratiquent leur homosexualité en couple ou qui se réduisent à leur coming out refusent de comprendre leur désir homosexuel, de le regarder en face et de l’expliquer aux autres. S’ils pensent qu’accepter son homosexualité c’est uniquement la pratiquer en couple, ils écartent quasiment toutes les personnes homosexuelles, y compris les célibataires, les hommes mariés, et les adolescents qui n’ont pas franchi le pas de la pratique. Défendre la pratique homo ou passer à celle-ci, c’est cela la véritable homophobie. [...]" 

    Michel Janva

     

  • La guerre civile est à nos portes. Et si Guillaume Faye avait raison ?

    Il y a deux mois encore, avant les attentats perpétrés par des frères Kouachi et Ahmedy Coulibaly, expliquer que l’immigration massive que subit la France allait engendrer des troubles graves pouvant déboucher sur une guerre civile ethnico-confessionnelle faisait de vous … un déséquilibré ! Un mois après, on ne compte plus les articles parlant à mots couverts, voire même ouvertement, de la possibilité d’un conflit armé en France.

    La guerre civile est à nos portes. Et si Guillaume Faye avait raison ?

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    La preuve ? L’hallucinant article « France année zéro : la guerre civile » dans le magazine Lyon Capitale (février). Sous le titre « Islam, romans d’anticipation ? », celui-ci évoque le dernier roman de Jean Rolin, Les Evènements. Le romancier y décrit  « une France en proie au chaos » voyant « s’opposer des fractions identitaires, des milices islamistes, des groupuscules djihadistes et des brigades d’extrême gauche ». Comme le note Lyon Capitale, « l’auteur ne fait pas de politique. Il donne à voir la possibilité d’une guerre civile, chez nous en France. Lui, l’ancien reporter de guerre, a été subjugué de voir à quel point Sarajevo ressemblait à Grenoble. »

    L’écrivain français, Michel Houellebecq, dans son dernier ouvrage, Soumission, aborde directement cette problématique : « Pendant plusieurs années, et sans doute même plusieurs dizaines d’années, Le Monde, ainsi que plus généralement que tous les journaux de centre-gauche, avaient régulièrement dénoncé les “Cassandres” qui prévoyaient une guerre civile entre les immigrés musulmans et les populations autochtones d’Europe Occidentale. » (p55)

    La guerre civile à nos portes : Guillaume Faye avait-t-il raison ?

    Plus de dix ans avant tout le monde, Guillaume Faye, un auteur né dans le sillon de la « Nouvelle Droite » à la fin des années 1970, mais en rupture de ban avec celle-ci après son retour en politique au début des années 2000, avait prédit les évènements. Dans son ouvrage La colonisation de l’Europe, datant de 2000, Guillaume Faye décrivait de manière quasi-prophétique ce que certains découvrent aujourd’hui.

    « La guerre ethnique va commencer, et nous n’avons encore rien vu, comme l’a pressenti Éric Werner dans son livre « L’avant-guerre civile » (L’Age d’Homme). Cette situation prend évidemment aussi le visage d’une guérilla entre bandes ethniques, entre quartiers rivaux, sur le modèle américain. Mais ces affrontements inter-immigrés ne sauraient masquer qu’ils se fédèrent tous contre leur ennemi principal, les autochtones européens et leur État. En s’en prenant à tous les symboles de cet État (police, pompiers, transports), en défiant les lois par l’installation de zones d’économie criminelle, en faisant en sorte que les Européens déménagent sous la menace (même les immigrés portugais et espagnols, ce qui prouve le caractère racial et culturel plutôt que national de la réaction), les “jeunes issus de l’immigration” ont entamé un processus de guerre civile, de colonisation intérieure violente qui s’inscrira probablement dans le psychisme et la mémoire culturelle des générations qui les suivront. “Faire la guerre aux Européens sur leur territoire” : tel est le mot d’ordre qui restera ancré dans l’inconscient collectif de cette population grossissante. »

    Pour Guillaume Faye, « l’Europe est l’homme malade du monde » et la plongée dans les abîmes du chaos une certitude. Face aux risques d’une guerre civile sur des bases ethnico-religieuses, l’auteur, présent aux assises sur la remigration organisée par le Bloc Identitaire en 2014, exhorte à « préparer mentalement et idéologiquement la jeunesse européenne à affronter le chaos probable et à assurer l’après chaos ».

    http://fr.novopress.info/183436/guerre-civile-portes-guillaume-faye-avait-raison/#more-183436

  • TVL : Mère Agnès-Mariam de la Croix: "en Syrie, Hollande est schizophrénique"

  • « La question identitaire est fondamentale »

    Entretien avec André Bercoff

    Depuis quarante ans, sa plume sans pitié trace le portrait de notre époque dans Le Monde, Libé, Le Nouvel Observateur, mais aussi dans… Playboy et Lui. Figure de la presse française, mais aussi de la télévision, où il intervient régulièrement, homme de gauche à l’ancienne, Bercoff prône le retour du courage en politique.

    Dans votre dernier livre,  Bernard Tapie, Marine Le Pen, la France et moi, vous envisagez « l’implosion de notre société »..

    C’est une possibilité, à plus ou moyen terme. Il y a de nombreux facteurs aggravants. Les politiques au pouvoir se foutent de plus en plus de la gueule du peuple, on l’a vu avec le référendum de 2005. Si on continue à ne jamais écouter les gens, il faut s’attendre à une réaction violente… Je pense que nous devons tous agir, sans forcément se contenter des élections. Il y a d’autres formes d’action que peuvent avoir les citoyens à l’heure d’Internet. À chacun de s’en servir. Le soulèvement peut venir d’en bas, comme je l’ai raconté dans ma série de politique-fiction publiée l’été dernier dans Valeurs actuelles. Cela peut être soudain, et prendre de court les princes qui nous gouvernent.

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  • 64% des Français ne comprennent pas la formule «FNPS» de Sarkozy

    Lien direct menant vers texte et nombreux "camemberts". Analyse comparative de la perception par Les Français des termes "Fnps" et "Umps"

    notes

    *Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 5 et 6 mars 2015. Echantillon de 1018 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.

    source : Le Parisien