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  • Didier Barbelivien : « Marine Le Pen n’est pas d’extrême droite »

    Didier Barbelivien, le “faiseur de tubes”, en pleine promotion de sa comédie musicale, se livre sur l’actualité politique.

    Il critique l’intervention récente de François Hollande sur Canal+ et affirme ne pas être inquiet de la montée du Front National en France (vers 13’00).

    Pour Didier Barbelivien :

    Marine Le Pen n’est pas d’extrême droite

    L’artiste dit aussi être attaché à une France charnelle. Pour lui, beaucoup de choses ont disparu en France comme les libertés quotidiennes.

    La France du bon sens a disparu. C’est ce que je remarque un peu partout. Et beaucoup moins en province qu’à Paris.

    http://fr.novopress.info/186150/didier-barbelivien-marine-pen-nest-pas-dextreme-droite/

  • USA : il tire sur trois ordures et sauve sa petite-fille d’un viol collectif

    Espérons que le grand-père s’en sorte et qu’il ne soit pas emprisonné à sa sortie d’hôpital. Cet homme a fait son devoir, bravo.

    Dimanche dernier, un grand-père a été interpellé après avoir ouvert le feu sur trois cambrioleurs à Lumberton (Caroline du Nord, États-Unis). Jamie Lee Faison, 20 ans, est décédé des suites de ses blessures.
    Il s’agit d’un cambriolage qui a tourné au drame à Lumberton (Caroline du Nord). Comme le rapporte le site de Metro, trois hommes, vêtus de noir et les visages cachés derrière des masques de ski, ont menacé le propriétaire de la maison avec un fusil.

    Viol
    Alors que le grand-père de 67 ans s’apprêtait à faire le code de son coffre-fort, les trois cambrioleurs ont aperçu une jeune femme dans la résidence. Il s’agissait de la petite-fille du propriétaire et les trois voyous ont essayé de la violer.

    En colère, le sexagénaire fou de rage est parvenu à s’emparer d’une arme cachée chez lui. Sans hésiter, il a tiré sur les trois hommes. Blessés, ces derniers ont pris la fuite au volant de la Cadillac du papy.

    Le grand-père en soins intensifs

    La police a rapidement été alertée par les témoins. La voiture volée a été retrouvée quelques minutes plus tard. Le corps sans vie de Jamie Lee Faison (20 ans), l’un des trois malfrats, gisait dans le véhicule. Il est décédé des suites de ses blessures après la fusillade. Ses deux comparses ont été arrêtés.

    Le grand-père, quant à lui, a aussi été blessé au cours de cette fusillade. Il a été hospitalisé d’urgence et il se trouvait toujours dans un état grave ce lundi. Considéré comme un héros par ses proches, il est toujours maintenu en soins intensifs.

    Source

    http://www.contre-info.com/usa-il-tire-sur-trois-ordures-et-sauve-sa-petite-fille-dun-viol-collectif#more-37626

  • RSA : l’échec sanglant de la société « post raciale »

    En Afrique du Sud, les dernières violences « xénophobes » ont pris une telle ampleur que le Malawi a décidé d’évacuer ses ressortissants et que le Mozambique a demandé fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux. Quant au président Zuma, il vient d’annuler une visite officielle à l’étranger afin de suivre l’évolution de la situation.

    « Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. »

    Un peu partout dans le pays, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les immigrés africains, qu’ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians, sont en effet pris pour cibles, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires cependant que leurs biens sont systématiquement pillés. Au Natal, les pogroms ont été encouragés par le roi des Zulu et ailleurs dans le pays par le propre fils du président Zuma… Dans la « nation arc-en-ciel », au pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent donc d’autres Noirs, et qui plus est, des Noirs immigrés… Voilà de quoi déstabiliser les bonnes âmes qui pensaient, la main sur le cœur et abreuvées de certitudes morales, qu’une fois le régime blanc d’apartheid balayé, les fontaines sud-africaines allaient laisser couler le lait et le miel de la société post-raciale…

    Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. Le réel est en effet de retour – une fois de plus et comme toujours –, balayant au passage le mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel » fraternelle et ouverte au monde.

    Dans un pays où le chômage touche environ 40% des actifs et où le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994, dans un pays où 18 millions de Noirs, sur une population de 53 millions d’habitants, ne survivent que grâce aux aides sociales, le Social Grant, quoi d’étonnant à ce qu’éclatent des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres ?

    L’échec économique sud-africain est en effet total ; je développe ce point dans le chapitre IV de mon dernier livre Osons dire la vérité à l’Afrique. Selon le Rapport économique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), l’Afrique du Sud s’est en effet classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland.

    Pris dans la nasse de ses propres mensonges, de ses prévarications, de ses insuffisances, le parti gouvernemental, l’ANC – le parti de Nelson Mandela –, ne pourra pas éternellement mettre en accusation le « régime d’apartheid » afin de tenter de dégager ses responsabilités dans la faillite de ce qui fut un pays prospère.

    D’autant plus qu’en Afrique du Sud, une presse libre existe. Et elle ne se prive pas d’écrire qu’en deux décennies, l’ANC a dilapidé le colossal héritage laissé par le régime blanc et a transformé le pays en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité encore en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits.

    En France, faire un tel constat est considéré comme une insulte à la Nation arc-en-ciel et à la mémoire de Nelson Mandela.

    Bernard Lugan, 18/04/2015

    Source : L’afrique réelle – Bernard Lugan

    http://www.polemia.com/rsa-lechec-sanglant-de-la-societe-post-raciale-4/

  • LIVE JT Mardi 21 Avril 2015

  • On ne nous dit pas tout ! (et ce n'est pas un gag !)

    Des peines d’emprisonnement de 2 mois à 18 mois avec sursis, des amendes de 4.000 à 75.000 euros…

    Le 1er octobre dernier 2014, la CGT, l’Humanité, le Parti communiste et sa nébuleuse opaque et corrompue ont été lourdement condamnés par le tribunal correctionnel de Paris.

    Malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, détournements de fonds !Douze condamnations ont été prononcées dans les rangs communistes et syndicaux pour malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, et détournements de plusieurs millions d’euros. La liste est aussi longue que pour un procès de la mafia.Et rien dans nos médias !

    Des têtes sont tombées dans le panier de crabe aux escrocs communistes en col blanc, et ont été publiquement humiliées. Les journalistes ont pris soin de les taire.

    Les voici :

    • Jean Lavielle, ex président du Comité d’entreprise EDF, a écopé d’une lourde condamnation : 18 mois d’emprisonnement avec sursis et 4 000 euros d’amende – il était le principal inculpé et présidait le Comité d’entreprise EDF, la CCAS, ou Caisse centrale d’activités sociales,

    • Son ancien directeur général, Jean-Paul Blandino, en prend pour 8 mois de prison avec sursis.

    • La sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin écope de 10 mois de prison avec sursis pour emploi fictif grassement rémunéré par le CE alors qu’elle travaillait pour la fédération du parti communiste des Hauts-de-Seine.

    • Jacques Lefèvre, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis,

    • Jean-Paul Escoffier, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis,

    • Pascal Aubrée, ex-président de l’IFOREP, 6 mois d’emprisonnement avec sursis,

    • Pascal Lazarre, ex-vice-président de la CCAS, 8 mois d’emprisonnement avec sursis,

    • La CGT a été condamnée à 20 000 euros d’amende,

    • La fédération des Mines et de l’Énergie CGT, 20 000 euros d’amende,

    • L’Iforep, qui a détourné plus d’un million d’euros avec l’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende,

    • L’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende aussi.

    Au total, huit personnes et quatre organisations ont été condamnées.

    En juin, l’audience avait duré trois semaines, « trois semaines de silences gênés des médias »

    « Trois semaines de silences gênés dans les grands médias audiovisuels et les principaux quotidiens » fait remarquer Jean Nouailhac dans le Point – en précisant que « les quotidiens parisiens sont dépendants de la CGT pour être imprimés par le Syndicat du livre CGT » comme pour passer sous silence les connivences et liens idéologiques forts qui lient les uns aux autres.

    Le comité d’entreprise EDF, ou CCAS, détient plus d’1 milliard d’euros d’actifs et un budget de 500 millions d’euros par an – sans aucune raison – sur vos factures EDF.

    Et cette grosse machine à fric, caisse noire du Parti communiste, est entre les mains de la CGT !

    Silence de mort sur les condamnations fermes et lourdes des cols blancs de la CGT, du Parti communiste, du journal l’Humanité, et du fournisseur d’argent sale, le « comité » d’entreprise EDF.

    Seul Le Point numérique a eu le courage, parmi les média, de faire état de cette lourde condamnation, POURQUOI ? PEUR DE REPRESAILLES ?

    Transféré par la Fédération MNR 49

  • Qui osera dire la vérité ? Qui veut gagner des millions sur le dos des Français?

    Entreprise de sidération, falsification sur fond de repentance et de masochisme: la guerre menée contre les peuples européens par la pensée dominante se vérifie encore après le dernier  terrible naufrage de centaines de clandestins en Méditerranée. La faute à l’Europe, à son égoïsme, à son indifférence, à son refus de l’autre martèlent les bonnes âmes. La faute surtout à la déstabilisation terroriste de nombreux Etats africains, à la misère, et bien sûr à un manque de fermeté et de moyens  dans la lutte contre les trafiquants, à une surveillance défectueuse des frontières. Alors que les Français et plus largement les peuples européens sont  très majoritairement  fermement opposés à toute nouvelle immigration massive, « nos » dirigeants (pro)bruxellois discutent de l’application de «quotas» de réfugiés dans chacun des 28 pays de l’UE. Cela sera évoqué lors du sommet européen extraordinaire qui se tiendra jeudi soir. Le secrétaire d’État aux affaires européennes, Harlem Désir, a demandé hier que les clandestins rescapés soient dispersés et  «accueillis dans l’ensemble des pays de l’UE». Rappelons que l’opération de secours organisée par l’Italie de migrants en Méditerranée, baptisée Mare Nostrum,  a permis de sauver 170 000 personnes en 2014. Clandestins qui  n’ont pas été renvoyés, sont restés en Europe et dont l’exemple sert d’argument aux mafias de passeurs sans scrupules,  et qui alimente  les espoirs de dizaines de millions de candidats au départ vers les pays  européens, en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie…Pas toujours d’ailleurs dans un climat serein entre « damnés de la terre ». Si l’État islamique (EI) a diffusé dimanche une vidéo montrant l’égorgement en Libye  d’au moins 28 chrétiens Éthiopiens (futurs migrants vers l’Europe?),  il a été rapporté la semaine dernière qu’une quinzaine d’immigrés africains mahométans sont accusés d’avoir jeté par-dessus bord en pleine Méditerranée douze autres  réfugiés chrétiens…

     La vérité effraye médias et politiciens bien pensants qui s’emploient toujours à maquiller la réalité pour la rendre compatible avec leurs objectifs et leurs idéologie progressiste, mais aussi  à réécrire pareillement l’histoire sous un angle souvent «négationniste», ne reculant devant aucune falsification.

    Nous l’avons vu encore dimanche avec le « voyage mémoriel »  de Jean-Marc Todeschini, ministre des Anciens Combattants , à Sétif (Algérie),  pour commémorer le 70ème anniversaire ce que le FLN appelle « le massacre de Sétif », le 8 mai 1945.

    En l’espèce non pas tant une manifestation qui a dégénéré mais une insurrection qui fut planifiée. Celle-ci a été certes, très durement réprimée, selon les vœux du général De Gaulle. Ce dernier pointa  les connexions existant entre ce soulèvement et les émeutes de  Damas en Syrie, y voyant la main  des services secrets britanniques, et plus largement, des Etats-Unis lancés dans une entreprise de déstabilisation de l’empire français. C’est dans ce contexte que  le cheikh Chekib Arslan, un  libanais sympathisant des Frères musulmans, lié à Messali Hadj,  chef du Parti Populaire Algérien,  lança  officiellement un appel à tous les musulmans du Levant  et du Maghreb pour combattre les  « infidèles » au nom du djihad. Un appel qui fut entendu à Sétif.

     La légende veut que 45 000 Algériens aient été alors exécutés par les Français le 8 mai 1945 et dans les semaines qui ont suivi, un mythe lancé par la radio du Caire, repris sans vérification par tous les grands médias. Un chiffre visant à frapper les esprits mais que ne vient corroborer la découverte d’aucun charnier, chiffre ramené entre 7000 et  8000 victimes par certains « historiens », estimation qui  restent elle aussi toute aussi invérifiable . Quant à la commission d’enquête mise en place par De Gaulle et réunissant le cadi de Tlemcen, le général de gendarmerie Tubert,  un résistant communiste et un avocat général, elle a évoqué environ 1500 victimes chez les insurgés. Insurgés qui assassinèrent  103  européens  (dont des femmes  violées, mutilées, des hommes  éventrés,  émasculés… )  et liquidèrent  800 musulmans fidèles aux autorités françaises.

     Ambassadeur de France à Alger,Hubert Colin de Verdière, lors d’une visite à Sétif, le 27 février 2005, avait qualifié  les «massacres du 8 mai 1945» de «tragédie inexcusable, à la suite d’un climat de peur, de manifestations», propos tenus à peu près dans les mêmes termes par Michel Barnier le 8 mai 2005. Le successeur de M. Colin de Verdière, Bernard Bajolet, affirmait pour sa part,  à Guelma en avril 2008, que «le temps de la dénégation des massacres perpétrés par la colonisation en Algérie est terminé». Quant à François Hollande lors de son voyage à Alger en décembre 2012, il  s’était engagé à ce que la France procède à la reconnaissance des crimes coloniaux, évoquant  « les souffrances de la colonisation »

     Bruno Gollnisch l’a dit,  il faut viser à établir les meilleurs relations possibles avec l’Algérie. Ce qui n’est pas chsoe aisée avec les  dirigeants du FLN au pouvoir qui  instrumentalisent à des fins politiciennes  une guerre d’indépendance très mythifiée, et instillent à sa population depuis des décennies une propagande anti française censée occulter leur incapacité  à assurer la prospérité des Algériens. Et  il ne s’agit pas de nier les aspects les plus problématiques, voire condamnables de la colonisation  française qui peut, qui doit  être passée au crible d’une critique de droite, intelligente et fondée, que nous avons relayé sur ce blogue.

     Pour autant, les mensonges,  la flagellation antifrançaise systématique, quasi obligatoire,  les insultes faites aux pieds-noirs, la repentance  a sens unique, la vision véhiculée d’une  France de Français systématiquement coupables, sont proprement insupportables et intolérables. Il serait donc totalement légitime  que le gouvernement algérien fasse aussi un geste de normalisation de nos relations, d’apaisement et de réconciliation en condamnant les attentats, les tueries, les tortures  de civils français aussi bien avant qu’après les accords d’Evian et  bien sûr les massacres de harkis. On ne peut bâtir une relation saine et solide sur le mensonge et le ressentiment.

     Une vérité que ferait bien de méditer dans un registre différent Manuel Valls, lui qui  lancé vendredi dernier un plan de lutte  contre le racisme et l’antisémitisme doté de 100 millions d’euros. De  quoi réjouir  les gamellards des officines dites antiracistes et autres supplétifs de la  police de la pensée,  les copains des agences de  com et de publicité,  tous bénéficiaires directs ou indirects depuis des années de la générosité des gouvernements UMPS…avec l’argent des contribuables français.

    M. Valls a dit vouloir faire face à la hausse « insupportable» des actes racistes en France. « Le racisme, l’antisémitisme, la haine des musulmans, des étrangers, l’homophobie augmentent de manière insupportable dans notre pays ». Selon Gilles Clavreul, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme,  les 100 millions serviront à une « grande compagne de communication », à des actions au niveau local ;  25 millions seront engloutis chaque année au profit d’actions menées (par des associations amies)  dans le cadre de la politique d’immigration, dite « politique  de la ville ».

     Bruno Gollnisch constate que les grands oubliés de ce plan contre le racisme sont encore une fois les autochtones Français et les Chrétiens, pourtant  premières victimes dudit racisme.  Français de souche désignés implicitement comme intolérants, racistes, rétifs à l’immigration et qu’il s’agit de mater. Manuel Valls l’a  affirmé à  la télévision portugaise, nous l‘évoquions: «La France possède l’arme nucléaire, il est hors de question que ce pays (sic) tombe entre les mains du Front National ». Bref si l’opposition patriotique  remportait la présidentielle, elle serait  annulée.

     Une menace directe que le  Premier ministre a réitéré vendredi : « Dans une France travaillée par le populisme, notre devoir est d’organiser le sursaut ». Sursaut d’un Système qui vacille, d’une idéologie antiraciste dont la nature illégitime, nocive et  inquiétante  se révèle chaque jour davantage aux yeux de nos compatriotes.

    http://gollnisch.com/2015/04/21/qui-osera-dire-la-verite-qui-veut-gagner-des-millions-sur-le-dos-des-francais/

  • Immigration clandestine : Michel Barnier veut accueillir plus de réfugiés en France. L’Australie préconise la fermeté !

    Michel Barnier était face à Michèle Cotta, Arlette Chabot et Serge July dans “Le Club de la Presse” lundi soir sur Europe 1.

    Réagissant aux derniers naufrages d’immigrés clandestins en Méditerranée, Michel Barnier considère que pour – régler le problème -, il suffirait d’ouvrir encore plus nos frontières :

    Il faudra accueillir plus de réfugiés en France

    De son côté, l’ONU semble sur la même longueur d’onde en suggérant d’accepter l’invasion migratoire et le Grand Remplacement aux Européens. En effet, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a lourdement critiqué lundi les politiques migratoires “cyniques” de l’Union européenne :”L’Europe tourne le dos à certains des migrants les plus vulnérables dans le monde, et risque de transformer la Méditerranée en un vaste cimetière“.

    Pour sa part, le Premier ministre australien Tony Abbott a conseillé mardi à l’UE de suivre l’exemple de son pays et de refouler tous les migrants arrivés par la mer.

    Tony Abbott a exhorté l’UE a faire preuve de fermeté :

    Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d’atteindre l’Europe depuis l’Afrique. Le seul moyen d’empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l’arrivée) des bateaux (…) Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d’êtres humains en Méditerranée.


    Michel Barnier Sur dans "Le club de la presse… par Europe1fr

    http://fr.novopress.info/186117/immigres-clandestins-michel-barnier-veut-accueillir-refugies-en-france-laustralie-preconise-fermete/