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  • Mosquée de Mantes-la Ville : Le Bloc identitaire se mobilise

     

    Plusieurs projets de construction de mosquée se développent à Mantes-la-Ville. L’un d’eux a été bloqué par le maire (FN) nouvellement élu, Cyril NAUTH, conformément à son engagement de campagne : initialement prévu dans la commune de Mantes-la-Ville, c’est finalement à la CAMY (Communauté d’agglomération de Mantes-en-Yvelines) qu’a eu lieu ce soir le vote pour la cession de l’ancienne trésorerie de Mantes-La-Ville pour en faire une mosquée, sous l’impulsion du préfet des Yvelines, ancien conseiller UMP de Nicolas Sarkozy.

    Appuyant l’opposition du maire à ce projet de mosquée, les militants du Bloc Identitaire sont allés recouvrir d’autocollants « Pas de mosquée chez moi ! » les abords du siège de la CAMY à Magnanville (78), où doit avoir lieu le vote. Le Bloc Identitaire s’engage dans la bataille et annonce d’ores et déjà de futures actions à Mantes-la-Ville et ses environs si la CAMY confirme ce soir la transaction.

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    http://fr.novopress.info/

  • Islam : un hadith qui ne laisse pas indifférent

    La source en arabe ne précise pas s’il est question d’animaux, d’êtres humains ou des deux !

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  • Comment réformer ? Réflexion préalable sur l'idée de réforme

    Qu'est-ce que réformer ? Comment réformer ? C’est la question sérieuse que doivent se poser les décideurs qui ont la volonté de mettre leur pays sur le chemin de la renaissance politique. Liberté politiqueouvre la discussion en profondeur sur les modalités de la gouvernance de réformes structurelles [1]. La réflexion sur la réforme appelle trois éléments concrets : 1/ sur les réformes institutionnelles ; 2/ sur la réforme territoriale ; 3/ sur la réforme de l’administration. Cette semaine : Quelques points de méditation préalable au sujet de la réforme, par Henri Hude :

    "TOUTE APPROCHE fondatrice sur la possibilité de la réforme exige au préalable un temps de réflexion de fond sur les principes, y compris moraux et métaphysiques, avant d’entrer dans la nécessaire technicité d’une discussion pratique.

    La réforme est le principal moyen d’éviter la révolution. Toutefois, elle dérange tant d’habitudes et froisse tant d’intérêts particuliers, qu’elle requiert chez les responsables de grandes qualités : sagesse, équité, habileté, patience.

    Au reste, qu’est-ce qu’une révolution ? Ce mot évoque l’idée d’un changement radical modifiant la culture, le régime, l’économie et l’identité même de la société. Mais, il veut dire aussi, et originellement, un tour complet qui finit par nous ramener au même point. N’y a-t-il pas là matière à méditer ? Tout ceux qui savent et savent faire doiventaussisavoir méditer.  

    L’un des plus sérieux obstacles à la réforme est la corruption. La plus grave et la plus fréquente corruption n’est pas celle qui se présente sous des formes sordides et pénalement punissables, mais sous les formes anodines, quotidiennes et inconscientes de la collaboration aux abus, par le carriérisme, le conformisme, le silence et par l’excès de docilité à l’opinion dominante du moment.

    La technocratie ne peut pas être l’instrument de la réforme. À ce sujet, il faut noter que dans « réforme », il y a « forme » (terme qui, dans une tradition philosophique commune — celle d'Aristote, reconnue dans les pays musulmans et en France — signifie aussi bien « forme » -morphè, qu’« idée »).

    Il s’agit là d’une notion qui, dans son apparente simplicité, recèle une grande profondeur : la forme, en termes modernes, c’est la structure et la constitution. En termes traditionnels, c’est aussi bien l’essence que la nature, ou, encore plus au fond, l’Archétype, l’Idée éternelle ou divine. S’il n’y a pas d’essence, il y en a encore une : l’esprit constructiviste et ses produits. L’essence de la réalité humaine est alors conçue comme un matériau supposé plastique à l’imposition des formes surgies de l’imaginaire technique, qui devient une instance quasi-divine.  

    La sagesse réformiste saura éviter cette intempérance, et trouver le point de suture entre la culture et la nature, entre la constitution pré-juridique et la constitution humainement instituée. Là se trouve la condition principale d’une action sage et aussi d’un compromis équitable et d’un consensus raisonnable.

    Avoir le sens de la durée. Réforme évoque les termes d’évolution, de fixisme, de progrès, de révolution, d’adaptation, d’altération, de croissance et de crise de croissance. Des dirigeants ayant à réformer pourront prendre avec profit un peu de temps pour peser ces termes et méditer sur la philosophie du changement. Qui ne prend pas le temps du recul s’enferme dans l’instant, oublie la durée. C’est l’erreur majeure, car ce qui en fait abstraction ne vaut rien.

    Le terme de « ré-forme » renferme de nombreuses ambiguïtés.  En effet, le « re » peut signifier une intention de re-tour à la « forme », une volonté de re-venir – mais à quoi ? 

    - Revenir aux sources et vers l’esprit de la fondation première ?
    - Revenir vers l’utopie, c’est-à-dire la pure nature, ou la pure raison, faisant abstraction d’une tradition, de la culture et de l’Histoire ?
    - Ou encore, tout simplement, revenir en arrière, parce que c’était mieux avant ? 

    Réformer, c’est d’abord rendre ses droits au processus de la vie qui s’est figé en fonctionnement mécanique. Le « re- » de « réforme » signale ainsi la nouveauté d’un dynamisme méthodique. Au-delà des habitudes mécaniques encroûtées, la réforme permet à une société ou une de ses organisations, de retrouver son lien avec la vie et avec l’inspiration créatrice. La réforme entreprend ainsi de re-constituer un corps qui avait vieilli et était devenu progressivement mal adapté aux circonstances.

    Concluons provisoirement la réflexion en soulignant le rôle fondamental d’un leadership exemplaire pour le succès des réformes."

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les révélations fracassantes d'un ancien grand maître franc-maçon

    Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le raconter. C'est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé aujourd'hui de 60 ans, et qui en a passé 24 au sein d'une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre Pourquoi j'ai cessé d'être franc-maçon (Éd. Pierre Téqui) est un témoignage passionnant sur les années que l'auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s'était éloigné de l'Église), il a compris que la religion catholique et l'idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d'en sortir. Le processus de son retour à la foi a été très long. 

    Pour quelle raison êtes-vous entré dans la franc-maçonnerie? 

    Serge Abad-Gallardo : J'avais l'âge et la situation sociale idéales pour être franc-maçon : à 33 ans, j'étais haut-fonctionnaire municipal, en tant que directeur de l'urbanisme. À cette époque, je m'étais éloigné de l'Église et ma foi était bien tiède. Un ami que je ne savais pas franc-maçon m'a proposé d'y entrer. J'étais curieux de découvrir les prétendus secrets de cette organisation. 

    Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ? 

    S.A.-G. : Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m'ont fait reconnaître des liens entre la franc-maçonnerie et l'Église. À titre d'exemple, dans le rituel d'initiation on retrouve des phrases comme : « Cherchez et vous trouverez » ou « Frappez, et l'on vous ouvrira » qui sont dans les Évangiles. Petit à petit, je me suis rendu compte que le sens n'était pas le même. J'ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m'a pas plu, mais je me suis adapté car j'étais éloigné de la foi, et surtout de l'Église. En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j'ai pris conscience que derrière cette fraternité apparente il y avait quelques arrangements et des luttes pour le pouvoir au sein même de la franc-maçonnerie. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j'ai compris que le catholicisme et la franc-maçonnerie étaient incompatibles. 

    Comment s'est déroulé ce processus de conversion ? 

    S.A.-G. : Il a duré près de neuf ans ! Je crois que Dieu m'a laissé si longtemps dans l'erreur de la franc-maçonnerie (24 ans, jusqu'à être Vénérable Maître et accéder aux plus hauts grades) afin qu'aujourd'hui aucun maçon ne puisse me dire – comme certains ont tenté de le faire, en toute mauvaise foi – que je n'ai rien compris. Je suis passé par divers stades. Tout d'abord, comme je l'explique dans mon livre, j'ai pris conscience de la présence du Christ à mes côtés. Cela a débuté en 2002, quand j'ai rencontré un prêtre franciscain près d'Aix-en-Provence. Ses paroles m'ont paru maçonniques et m'ont plu parce que je pensais qu'il existait des liens entre la franc-maçonnerie et le catholicisme, mais j'ai compris au fur et à mesure que le sens de ses paroles était fondamentalement différent. 

    Par exemple ? 

    S.A.-G. : Lorsque la franc-maçonnerie parle de « Lumière », elle parle d'une « Connaissance », d'un savoir ésotérique, hermétique et occulte. Alors que ce Franciscain me parlait de « Lumière » comme étant l'Amour de Dieu pour nous. Un autre exemple : quand la franc-maçonnerie dit : « Cherchez et vous trouverez », il s'agit d'aller chercher et de trouver au fond de soi-même, c'est la parole hermétique maçonnique « V.I.T.R.I.O.L. » (Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem : Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée). Mais les paroles de l'Évangile ne signifient rien de tout cela : elles disent que Dieu nous cherche avant même que nous pensions à Le chercher. C'est Dieu qui donne l'Amour à l'homme, non le contraire. L'amour de l'homme est une image de l'Amour de Dieu. Dieu nous a faits à son image. Tout ceci n'a rien à voir avec la magie, l'occultisme ou des formules symboliques ! Je suis sorti de cette rencontre avec le Franciscain complètement bouleversé, et j'ai senti la présence du Christ à mes côtés. Je ne pouvais imaginer qu'Il m'aimait de cet Amour immense que maintenant je ressentais. Il n'y a pas de mots pour le dire.

    Mais ce n'était pas encore la conversion complète … 

    S.A.-G. : J'ai recommencé à prier, sans pour autant retourner à la messe. Un jour de 2005, à une mauvaise époque de ma vie, je me trouvais dans une chapelle quand le Christ m'a répondu. Une expérience incroyable, je suis quasiment tombé de mon banc. Mais même ainsi, je résistais et je ne comprenais pas ce que le Christ attendait de moi. 

    Que s'est-il passé ensuite ? 

    S.A.-G. : En 2012, j'ai expérimenté ce que l'on pourrait appeler « le Mal ». Je me suis trouvé face à la noirceur de l'âme humaine et face à la présence du diable dans nos vies avec la sorcellerie et magie. Cela peut paraître incroyable, mais je n'ai pas d'autre choix que de raconter les choses telles qu'elles se sont passées. Le monde s'est fermé pour moi. En quelques mois, j'ai perdu mon emploi, mon bon salaire, la maison où nous habitions, mon voilier de 12 mètres, ma voiture de sport, mes amis… Je me sentais totalement perdu et ne trouvais pas de réponses dans la franc-maçonnerie, qui ne pouvait pas répondre à la question de l'existence du mal dans le monde. L'idée m'est venue de faire une retraite quelques jours dans l'abbaye de Lagrasse ; et là, devant le Christ en croix, je me suis mis à pleurer et me suis rendu compte que ce Christ pleurait avec moi. Cet Amour fut comme une lumière. J'ai passé une semaine avec les moines, et mon cœur s'est ouvert totalement à l'Amour du Christ. 

    Et c'est à ce moment que vous êtes sorti définitivement de la franc-maçonnerie… 

    S.A.-G. : Tout ce que j'y vivais m'a paru faux, ou du moins tiède. Je n'ai pas pu y rester, d'autant que j'ai compris que la franc-maçonnerie était totalement incompatible avec la foi catholique. 

    A-t-elle réellement le pouvoir que lui prête sa légende ? 

    S.A.-G. : Oui, ce pouvoir, elle l'a ! En France, depuis 2012, de nombreux ministres sont maçons. Et les grands maîtres du Grand Orient, du Droit Humain ou de la Grande Loge veulent changer la société. Des lois comme l'avortement, l'euthanasie ou le mariage homosexuel sont des idées maçonniques. Un grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a avoué que toutes ces lois étaient déjà pensées et mûries en loges avant d'être votées par les députés. 

    Et elle conspire ? 

    S.A.-G. : La franc-maçonnerie croit en l’« utopie » : autrement dit, tout ce qui est possible à un être humain, il doit et peut se le permettre. Il n'y a pas de limite dans une loi naturelle qui vienne de Dieu ; la morale provient du pacte social. Il n'y a donc pas d'autre mode de vie que l'hédonisme : le plaisir et le bonheur sont l'unique but, le Salut éternel n'existe pas, il faut jouir de la vie. La franc-maçonnerie conspire, alors, contre toute façon de penser qui n'est pas la sienne. 

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2015/05/les-revelations-fracassantes-dun-ancien.html

  • Idées, nom, « maquillage » frontistes ? Toutes les vérités sont bonnes à dire

    Le tribunal correctionnel de Rennes a relaxé hier Sébastien Gaillemin et Stéphanie Klein, les deux policiers (abusivement) poursuivis pour non-assistance à personne en danger après la mort à Clichy-sous-Bois de Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans. Ces deux adolescents avaient été  électrocutés dans le local EDF dans lequel  ils s’étaient cachés pour échapper à un contrôle de police. Il y a dix ans, ce drame avait été l’étincelle qui avait mis le feu aux banlieues françaises pendant plusieurs semaines. «Pas de justice, pas de paix » ont scandé à l’issue de ce verdict les membres d’une association de soutien des familles des gamins décédés. En l’espèce, la reprise du slogan entendu aux Etats-Unis dans les récentes manifestations et violentes émeutes ayant suivi des «bavures» policières dont ont été victimes des noirs américains. SOS racisme a déploré dans un communiqué «un immense sentiment de gâchis ». « Pourquoi des jeunes de quartier populaire, à la vue de la police et alors qu’ils n’avaient manifestement rien à se reprocher, ont préféré prendre la fuite et se réfugier dans un endroit où ils risquaient leur vie?». «Manifestement » indique encore l’officine socialo-trotskyste, « notre pays a une grande capacité à s’émouvoir pour ce qui se passe à Ferguson, aux Etats-Unis, et identifie avec une déconcertante facilité les mécanismes du racisme et du contrôle sécuritaire des territoires où vivent des Afro-Américains. Par contre, cette lucidité s’envole comme par magie lorsqu’il s’agit de regarder notre société en face et d’en analyser les dysfonctionnements.» Dysfonctionnements certes bien réels mais auxquels l’UMPS pas plus que SOS racisme ne peuvent apporter de réponses crédibles tant qu’ils prôneront notamment la poursuite d’une immigration de peuplement qui accroit les tensions, nuit aux immigrés déjà présents sur notre sol, en empêche  l’éventuelle assimilation.  

     La lucidité commande en effet de constater que les sociétés multiculturelles sont toutes des sociétés en opposition avec notre « modèle républicain » car  communautarisées, divisées sur des bases ethniques, religieuses. Pas un pays massivement pluriel n’échappe à une  ghettoïsation communautaire plus ou moins apaisé, confortable  et pacifique. La lucidité consiste aussi à noter ici qu’il est stupide de comparer la mort du délinquant multirécidiviste abattu par la police à Ferguson avec les décés  de Zyed et Bouna. Relevons encore, même s’il n’est pas très politiquement correct de le dire,  que la réalité des violences  aux Etats-Unis, comme l’a relevé dernièrement Laurent Obertone, est que ce sont les blancs qui sont de très loin les premières victimes de crimes commis par des délinquants afro-américains et non pas l’inverse. Une réalité qui bien sûr n’excuse en rien la haine raciale, d’où qu’elle vienne,  et les bavures.

    Il est aussi très caractéristique de cette période d’inversion des valeurs de constater que ce sont ceux qui ont, par les politiques qu’ils ont mené, ghettoïsé, babélisé des milliers de  quartiers et de communes françaises,  attenté à la sécurité, au bien être de nos compatriotes, qui font des procès en antirépublicanisme au FN !

    Le  député PS Seine-et-Marne, Edouardo Rihan-Cypel le martelait  encore le 2 mai dernier sur l’antenne de France 3 Ile-de-France. Il a de nouveau  expliqué sa  plainte contre Bruno Gollnisch qui avait osé constater qu’il était «un Français de fraîche date». Une plainte est en cours pour le punir de ce «propos ignoble» (sic), qui «insinue qu’il y a des Français de papier et des Français de souche. C’est cela la doctrine du Front-National, parti anti-républicain ». «Nous attendons que le parlement européen enlève l’immunité  parlementaire de M. Gollnisch».

    Et le lourdaud  éléphant socialiste d’affirmer encore que  «Monsieur Gollnisch est à l’image du Front National. C’est la stratégie du FN et de Marine Le Pen: garder les méchants (sic) qui tiennent encore des propos racistes et xénophobes et faire semblant de faire sa banalisation. Madame Le Pen est une esthéticienne mais le maquillage ça ne suffit pas pour convaincre les Français ».

    Si la politique obéit aussi dans nos sociétés occidentales modernes, à des règles de marketing qui commandent bien évidemment de  porter attention à  la forme autant qu’au fond, pour parler  trivialement  de  soigner l’emballage, le maquillage certes ne suffit pas. On connait aussi  la part d’irrationnel que comporte chaque élection, et notamment la reine de toute, la  présidentielle, mais en derniers recours ce sont les idées, les valeurs défendues, la manière de les incarner, qui emporteront l’adhésion des Français.

    Dans un entretien accordé au JDD, Florian Philippot était interrogé sur la forme justement, au sujet d’un éventuel changement de nom du FN.  «J’ai toujours dit que la discussion sur le nom n’était pas un sujet tabou, mais c’est vrai qu’il n’est pas aujourd’hui d’actualité ». Hier lors d’une conférence de presse sur le traité transatlantique , Marine Le Pen a confirmé «que nous ne poserons pas cette question (sur le changement de nom du FN, NDLR) dans la modification des statuts, dans les nouveaux statuts que nous allons proposer à nos adhérents d’ici (le mois de juillet) » dans le cadre d’un congrès, d’une assemblée générale extraordinaire par voie postale.

    La polémique autour du nouveau nom de l’UMP, Les Républicains, aurait  pesé sur la décision du FN d’y renoncer ont expliqué un certain nombre d’analystes politiques et Marine s’est d’ailleurs moquée des  « tortillages pitoyables» des hiérarques de l’UMP autour de l’intitulé de leur parti.

    Mais il est aussi assez évident que l’affaire  Jean-Marie Le Pen, le malaise qu’elle a pu susciter au sein de la famille nationale, a conduit aussi Marine à rassurer le « noyau dur » de son électorat, la base des fidèles, des nationaux  historiques, sur la permanence des fondamentaux frontistes. Une fidélité à des idéaux qui est  aussi symbolisé par le nom de notre Mouvement, porteur d’une histoire dont il n’a pas à rougir, qui a perduré dans l’adversité grâce au courage, aux sacrifices de ses militants. La présidente du FN l’indique notamment dans le courrier qui accompagne les demandes d’adhésion: le FN écrit-elle, est  «le seul  courant politique» «qui n’a jamais changée d’idées, qui n’a jamais eu peur de braver la pensée dominante pour préserver la France et les Français des périls qui les menacent».

    Il ne faudrait donc pas que nos amis s’imaginent, note Bruno Gollnisch, qu’un changement de nom du FN entraînerait automatiquement un bond électoral car la diabolisation du Front par la Caste découle des idées nationales qu’il défend. Autant dire qu’un  parti affublé d’un nouveau nom  susciterait la même opposition du Système… pour autant qu’il garde le « bon cap»! A cette aune, le sondage Odoxa réalisé pour i-Télé et publié vendredi 8 mai, réalisé auprès d’un échantillon de «sympathisants frontistes» indiquait qu’ils étaient 90% à juger que l’éviction de Jean-Marie Le Pen des instances du FN du père devrait «favoriser politiquement » Marine Le Pen.

    Or, le sondage publié le 10 mai par le JDD montre que ce n’est pas si simple et que la mise sur la touche du  Menhir ne change absolument rien à la perception du FN et de sa présidente, parmi les électeurs interrogés n’ayant voté ni pour Marine Le Pen  à l’élection présidentielle, ni pour le FN aux européennes. Nous l’avons dit,  les dérapages sémantiques imputés au fondateur du FN ne sont pas, de très loin, la cause première du non vote FN. Il s’agit avant toute chose de convaincre les Français du bien fondé de notre programme, notamment là ou nous apparaissons encore comme pas assez crédibles,  à savoir le volet économique de celui-ci.

    Enfin, notons  aussi que les sondages ne sont pas une science exacte, a fortiori quand les sujets abordés par ceux-ci sont sensibles et que  les citoyens interrogés sont invités à donner leur avis  selon  la grille de lecture imposée, matraquée quotidiennement par  la pensée (religion) dominante droit-de-l’hommiste, cosmopolite et mondialiste. C’est pourquoi le vote FN fut  longtemps très difficile à cerner par les enquêtes des instituts.

    Le phénomène est bien connu des sondeurs et des sociologues, un sondé répond souvent à une question non pas tant selon l’opinion qu’il s’en fait, qu’en fonction de l’idée qu’il pense que les autres en ont. Bref,  la condamnation exprimée par la personne interrogée d’une analyse, d’un  propos dissident,  car  préjugeant que ladite condamnation  est partagée par son  voisin de palier,  n’empêche pas  une  conviction intime contraire mais  qu’il ne révèle pas forcément au  sondeur.  Toutes choses  à prendre en compte pour garder une saine distance avec le bruit médiatique,  ne pas bêler avec le troupeau et décrypter les  stimuli pavloviens dont nous bombardent quotidiennement  les  grands prêtres du Système. 

    http://gollnisch.com/2015/05/19/idees-nom-maquillage-frontistes-toutes-les-verites-sont-bonnes-a-dire/

  • Dédicace à Paris

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  • Djihad : en 18 mois, +100% de combattants Français en Syrie, +200 % d’« impliquées »

     

    Bernard Cazneneuve donne un état précis des Français impliqués de près ou de loin dans les filières du djihad en Syrie et en Irak.


    Djihadisme : le nombre de Français "impliqués… par LCP

    Bernard Cazeneuve a établi devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les filières djihadistes un bilan des Français dans les filières djihadistes en Irak et Syrie.
    Le ministre de l’Intérieur a annoncé une hausse de 203 % du nombre de personnes « impliquées » (combattants, en partance ou suspectés de vouloir partir) et une augmentation de 104 % des combattants, sur une période 18 mois.

    Sur les 457 Français présents en Irak et en Syrie, le ministère a comptabilisé 137 femmes, 80 mineurs, dont 45 jeunes filles. Plus globalement, il estime à 1 600, le nombre de Français impliqués « d’une façon ou d’un autre dans les filières irako-syriennes » soit une hausse de 203 % par rapport à janvier 2014.

    http://fr.novopress.info/

  • Dextra vendredi 22 mai « Le bloc transatlantique » par Maurice Gendre

     

     

    Ce vendredi Maurice Gendre, animateur de l'émission radio Méridien Zéro, viendra nous parler du bloc transatlantique. 
    Nous vous attendons nombreux pour cette conférence.

     
  • Israël veut faire condamner les européens qui nient la légitimité de État !

    L’État d’Israël qui massacre des civils palestiniens et qui arme et soigne les terroristes en Syrie continue de pleurnicher sur l’antisémitisme. Lors du 5e Forum mondial pour la lutte contre l’antisémitisme (rien que ça), organisé par le gouvernement israélien au Palais des Congrès de Jérusalem du 12 au 14 mai dernier, un plan de lutte a été rédigé à l’adresse des européens.

    En voici un extrait :« L’adoption d’une définition juridique formelle de l’antisémitisme. Cette définition inclut les attaques contre la légitimité de l’État d’Israël et la négation de l’Holocauste. Le renforcement de la législation contre l’antisémitisme et la formation de la police à mieux faire respecter les lois existantes. Les ministères de l’Éducation en Europe doivent promouvoir l’éducation à la tolérance religieuse et la préservation de la mémoire de l’Holocauste. »

    http://www.contre-info.com/

  • Les Gavroches devant l'Education Nationale

    Alban Gerard, fondateur des Gavroches,  signe une tribune dans Le Figarovox.

    Michel Janva