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  • Entretien de juin 2015 - Transition énergétique, retraites, armée, Mali

  • La mafia à nos portes

    C’est une tendance peu connue du grand public : depuis peu, le territoire européen semble devenu le nouvel eldorado du crime organisé international. Alors que le trafic de drogues à destination du continent est un commerce de plus en plus lucratif, avec des marges plus avantageuses encore que sur le marché américain, le blanchiment d’argent prospère.

    En France et en Allemagne, mafieux et trafiquants profitent de vides juridiques dans les législations nationales pour blanchir et réinvestir ces revenus illégaux. Cette enquête suit le parcours de l’argent sale : depuis Gioia Tauro en Calabre, l’un des principaux ports de conteneurs et première plaque tournante du trafic de drogue en Méditerranée, elle fait un détour par les coulisses de l’Exposition universelle de Milan, pour terminer en Allemagne.

    Aujourd’hui, on estime que 50 à 150 milliards d’euros issus du crime organisé arrivent chaque année outre-Rhin.

    Réalisé par Max Löschner et Edgar Wolf (Allemagne 2015)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • C'est la France qui a ouvert la voie aux manifestations de masse en faveur de la famille

    Charles Beigbeder tire des leçons de la véritable marée humaine qui a déferlé à Rome pour manifester son attachement à la famille traditionnelle composée d'un homme et d'une femme malgré l'occultation des médias français :

    O-MANIF-POUR-TOUS-facebook"(...) D'abord, c'est la France qui a ouvert la voie aux manifestations de masse en faveur de la famille et ce sont les célèbres drapeaux bleus et roses, frappés du logo de La Manif pour Tous, que l'on retrouve désormais partout à l'occasion des grandes manifestations étrangères (...) À Rome, le mouvement a tout bonnement repris le nom de Manif pour tous, lui accolant simplement le suffixe Italia. Derrière le caractère apparemment spontané d'une telle onde de choc, il faut y voir tout le travail déployé par La Manif pour tous française pour tisser des liens à l'étranger et soutenir les différentes actions engagées. Ludovine de La Rochère estime à juste titre que la mobilisation italienne est «historique, […] un peu comme en 2012 en France lors du lancement du mouvement social contre la loi Taubira» (...)

    Deux cardinaux de renom, l'un autrichien, l'autre italien, reconnaissaient d'ailleurs le rôle particulier joué par la France dans l'émergence d'une prise de conscience internationale: «Vu depuis nos différents pays, ce qui nous touche, c'est que le mouvement français […] se fait entendre, au plan européen et au plan international. Son expression, populaire et citoyenne, devrait inspirer l'ensemble des peuples occidentaux et permettre à la Convention européenne des droits de l'homme de choisir un dispositif capable de protéger les droits de l'enfant». Faut-il voir dans cette mobilisation inédite une traduction de la mission d'«éducatrice des peuples» que le pape Jean-Paul II avait reconnue à la France lors de son voyage au Bourget en 1980?

    La deuxième leçon, c'est qu'il n'existe pas de sens de l'histoire, du moins pas au niveau où celui-ci est régulièrement présenté par les médias français qui aiment qualifier d'irréversible la déconstruction de la famille traditionnelle au profit de nouveaux «droits» pour les couples homosexuels. Une intimidation de plus pour décourager toute résistance: c'est un combat perdu, nous dit-on, inutile de se mobiliser, ces lois finissent toujours par passer! Et de citer tous les précédents, jusqu'au projet actuel sur l'euthanasie, que l'Assemblée veut imposer sous la forme hypocrite d'une sédation profonde.

    Sauf que rien n'est irréversible. Le prétendu sens de l'histoire n'est que le prête-nom sournois du rouleau-compresseur de la pensée unique, à l'œuvre dans les médias comme dans la vie politique depuis plus de 40 ans, et qui plonge ses racines dans la pensée révolutionnaire. Mais les temps changent et une nouvelle génération se lève: elle n'est pas prête à accepter la domination culturelle que lui a imposé au forceps la pensée déconstructiviste des héritiers de mai 68. Car le poids de la liberté humaine est toujours déterminant dans l'histoire et celui des minorités peut être décisif. Rien ne saurait donc altérer notre détermination: on ne lâchera rien, jamais, jamais, jamais!

    La dernière leçon, c'est la place désormais prise par les questions de civilisation qui rebattent les cartes du jeu politique actuel et bousculent les clivages traditionnels (...)

    En France, le sectarisme du gouvernement actuel entretient le clivage droite/gauche mais la droite ne pourra pas faire l'impasse d'une profonde réflexion sur l'anthropologie qui sous-tend ses choix politiques, si elle veut revenir au pouvoirEt si elle veut pouvoir compter sur le soutien massif de personnes issues de la société civile, il faudra qu'elle s'engage à abroger la loi Taubira, qui dénature la filiation et ouvre la porte à la PMA et la GPA. C'est le sens de l'engagement de Sens commun à l'intérieur des Républicains, c'est aussi le combat del'Avant-Garde qui agit en amont des partis politiques. C'est enfin la coalition de toutes ces forces qui amènera le changement culturel et politique que la France espère en 2017."

    Philippe Carhon

  • A la veille des régionales, Marine Le Pen mène une double campagne

    Marine Le Pen n’a pas encore officiellement déclaré sa candidature pour les élections régionales dans le Nord - Pas-De-Calais - Picardie. Cela n’a pas empêché la présidente du Front national (FN) de dresser, pendant plus d’une heure, dimanche 21 juin, un large panorama de la campagne à venir au niveau national, dans le cadre d’un discours prononcé face à ses militants, réunis à Vieux-Fumé (Calvados). Près de 450 personnes étaient présentes pour le lancement de la campagne de Nicolas Bay, tête de liste du parti d’extrême droite en Normandie.

    « Nous pouvons gagner plusieurs régions, a assuré Mme Le Pen. Il nous faut simplement arriver en tête au second tour. Sauf si le PS et l’UMP [LR – Les Républicains] fusionnent leurs listes, ce qui ne serait pas étonnant. Ce serait une œuvre de clarification à quelques mois de la présidentielle. » Plus que pour les élections municipales ou départementales, la campagne des régionales de décembre devrait se jouer sur un plan national. La députée européenne a dès lors abordé les thèmes de l’immigration – « ce sont 1,5 million de personnes qui espèrent rentrer dans l’Union européenne » – et de l’Europe, apportant son soutien à la Grèce dans le bras de fer que le pays a engagé avec l’Union européenne pour renégocier sa dette.

    « Syriza est un mouvement avec lequel nous n’avons pas du tout la même vision de l’immigration, de la société, mais est-ce le plus important ? Il a pris la tête des opposants à l’Union européenne, des partisans de la liberté, de la souveraineté », a estimé Mme Le Pen.

    2 000 candidats Front national aux régionales

    Répétant que l’ancrage local était un de ses « dadas » depuis son arrivée à la tête du FN, en 2011, la présidente du parti a enjoint à ses troupes de s’engager dans la bataille des régionales, quelques mois seulement après les élections départementales de mars. « Je ne peux rien faire sans vous. Dès les élections régionales, nous allons voir les conséquences de votre travail aux départementales », a-t-elle jugé. Près de 2 000 candidats du Front national devraient composer les listes du parti pour ce scrutin.

    Pour Marine Le Pen, cet appel aux militants prend une résonance particulière, alors que ses troupes sont appelées à participer à un vote interne devant réformer les statuts du parti, et en particulier supprimer la présidence d’honneur. Les 42 000 adhérents à jour de leur cotisation ont reçu, ou vont recevoir dans les jours à venir, un courrier leur demandant d’approuver ou de rejeter cette refonte de l’organisation. « Personne ne doit pouvoir donner des armes à nos adversaires pour tenter d’entraver le combat que nous menons. Chacun doit respecter la discipline, que l’on soit simple adhérent ou président d’honneur, tout le monde est logé à la même enseigne », a-t-elle affirmé, sans citer le nom de Jean-Marie Le Pen.

    Le cofondateur du FN a été suspendu le 4 mai de sa qualité d’adhérent, une décision qu’il conteste devant le tribunal de grande instance de Nanterre. Pour Marine Le Pen, l’enjeu est important. Bien qu’il ne soit plus considéré comme un moteur pour l’avenir, M. Le Pen conserve une certaine cote d’amour auprès des militants. « Cette révision est prise suite à des événements malheureux, tristes, qui nous ont obligés à prendre des décisions difficiles dans l’intérêt du FN », a regretté Mme Le Pen. Le résultat du vote des militants devrait être connu aux alentours du 11 juillet.

    source: Le Monde.fr ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFVpkAlVptpVvLFlM.shtml

  • Communiqué de presse du 21 juin 2015 : « Face à la déferlante migratoire : l’urgence du réveil de la conscience européenne »

    LInstitut Iliade pour la longue mémoire européenne fête sa première année d’existence et lance une campagne de communication sur le thème : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être Européen ! »



    La veille du 21 juin 2014, l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne était fondé au sommet du Mont Olympe.
    Son objectif : contribuer au réveil de la conscience historique et civilisationnelle des peuples européens. Ce réveil passe par la réappropriation et la transmission des traditions qui font de nous ce que nous sommes. Un réveil impérieux, car notre héritage commun est chaque jour davantage dénigré, nié, menacé d’effacement – voire de submersion par l’amplification du phénomène de « Grand Remplacement ».
    Cette transmission de l’héritage et des valeurs de la « Vieille Europe » emprunte deux canaux principaux :
    La formation de nouvelles élites capables de donner à l’engagement militant, quelle qu’en soit la forme, la dimension métapolitique et culturelle indispensable à son succès : le premier cycle de formation a été lancé en janvier 2015, à Paris, avec 20 auditeurs constituant la promotion Dominique Venner. Il s’achèvera à l’été 2016, tandis qu’une deuxième promotion débutera ses travaux dès le mois de septembre 2015, et une troisième début 2016.
    La communication en direction du grand public, afin d’aider et d’aiguiller les Européens en quête de ressourcement, de réaffirmation de leur identité collective : « Quand l’esprit se souvient, le peuple se maintient !» Cette communication est organisée autour d’un site internet, lancé le 21 décembre 2014, relayé par une présence très active sur les réseaux sociaux, et trouve son point d’orgue à l’occasion d’un colloque annuel, organisé au printemps à la Maison de la Chimie. L’édition 2015, consacrée le 25 avril à « l’univers esthétique des Européens », a rencontré un grand succès : plus de 850 participants enregistrés, en augmentation de plus de 50 % par rapport au premier colloque de mai 2014. Preuve que l’initiative lancée il y a tout juste un an correspond à une forte attente de nos compatriotes, plus que jamais en quête de sens et de repères.
    Fort de ces premiers succès, l’Institut Iliade a décidé de célébrer son premier anniversaire par l’action, en produisant et en diffusant une vidéo originale : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être Européen ». Court, didactique, facile de compréhension et d’accès via notre chaîne YouTube, ce film propose une définition de l’identité européenne et illustre la réalité historique, culturelle, charnelle, de notre « récit civilisationnel ». En ce sens, il constitue un message d’espoir autant qu’un appel au sursaut. Au moment où s’accélèrent les flux migratoires, avec la complicité active des institutions de Bruxelles, le réveil de la conscience identitaire des Européens est plus que jamais nécessaire !

    Vous pouvez soutenir notre action en participant à la promotion et à la diffusion de cette vidéo, via les réseaux sociaux, et en soutenant financièrement l’Institut en vue de réaliser d’autres films et de mener à bien de nouveaux projets.

    Le site de l'institut Illiade

  • Louis V : fin de race

    Yvan Gobry retrace la vie du dernier roi carolingien, dont la mort ouvrit la voie à la dynastie capétienne après un an et deux mois de règne.

    Au moment où, du fait du mariage de Mgr le duc de Vendôme, les projecteurs de l'actualité royale sont braqués sur Senlis, la publication d'un nouvel ouvrage d'Ivan Gobry, sur le dernier des rois carolingiens Louis V, fils de Lothaire, intéressera vivement tous ceux qui savent combien ces années de la fin du Xe siècle furent décisives pour le destin de notre pays.

    Mal marié

    Certes, la vie de Louis V, né en 967, est assez vite écrite, puisque ce malheureux adolescent n'a effectivement régné qu'un an et deux mois et n'était porté par aucune ambition. Ivan Gobry trouve toutefois l'occasion d'un survol limpide et fascinant des dernières décennies carolingiennes. D'abord le grand-père Louis IV, dit d'Outremer parce qu'il naquit exilé en Angleterre et dont Hugues le Grand, duc des Francs, protégea le trône. Puis le père, Lothaire, fils de Louis IV et de Gerberge de Saxe (soeur de l'empereur romain germanique Otton 1er), qui mena une politique impulsive à l'égard de ses impériaux cousins, notamment les impératrices Adélaïde et Théophano. Ces dernières avaient poussé Adalbéron sur le siège épiscopal de Reims, comme l'oeil de l'empire, pour surveiller Lothaire qui, lui, ne rêvait que de reprendre la Lorraine à la Germanie. L'on voit pourtant ici en toute occasion s'imposer la sagesse, soutenue par un grand courage et une grande patience d'Hugues Capet, tâchant de ramener le roi à un peu de mesure.

    La bonne idée de Lothaire, époux d'Emma (fille de l'impératrice Adélaïde et de son premier mari Lothaire II d'Italie), avait été de faire élire et sacrer son fils Louis le 8 juin 979, à treize ans, mais celui-ci n'eut guère l'occasion de se distinguer, si ce n'est par un cuisant échec conjugal. Quelle idée d'avoir voulu donner à ce garçon âgé de seize ans, en 982, la soeur du comte d'Anjou, veuve d'un obscur comte de Gévaudan et âgée de près de quarante ans ! Désoeuvré à Brioude, Louis se livra à la débauche, sa femme s'en alla en Provence dans d'autres bras et le roi Lothaire dut le faire revenir à la cour de Laon.

    Mal préparé

    Quand Lothaire mourut le 2 mars 986, Louis, dix-neuf ans, lui succéda automatiquement. Indifférent à l'État, il voulut reprendre la politique de son père, d'hostilité contre Adalbéron. L'habile Hugues Capet fit mine de l'accompagner en 987 dans une expédition contre Reims afin de le laisser lui-même constater ses incapacités. Le gringalet s'obstinant, il le laissa mettre l'évêque en accusation, sachant que celui-ci ne risquait pas grand chose... Le procès d'abord fixé au 27 mars fut reporté au 18 mai. Tout content de lui, Louis partit pour la chasse. Or, Hugues Capet se préparait à prononcer l'acquittement d'Adalbéron quand Louis tomba violemment de cheval. Après quelque jours d'agonie douloureuse il expira le 21 mai.

    Funérailles à Compiègne, rapides et sans apparat, puis, le 1er juin, Adalbéron faisait élire Hugues Capet roi de France, comme nous l'avons retracé dans notre rubrique Cette année-là des deux derniers numéros de L'Action Française 2000.

    Si Hugues Capet fut une chance pour la France et continue de l'être par ses descendants, on ne peut pas ne pas éprouver, à la lecture d'Ivan Gobry, des moments d'émotion et de compassion pour ce pauvre héritier de la légendaire épopée de Charlemagne. À force de laisser la couronne se dévaluer pour faire le jeu des Grands, les derniers Carolingiens creusaient eux-mêmes leur tombe, se laissant guider par leurs propres ressentiments et perdant toute grande ambition politique, toute vision d'avenir. Une dynastie s'éteint quand elle n'est plus guidée par une claire vision de sa raison d'être. Les Capétiens, eux, n'ont jamais rien perdu de cette vision ; ils restent porteurs d'avenir.

    M.F.

     

    * Ivan Gobry : Louis V, fils de Lothaire. Éd. Pygmalion, 180 pages, 20 euros.

    L’ACTION FRANÇAISE 2000  du 7 au 20 mai 2009

  • TVL : Le tour de France pour la famille s'arrête dans le 93.

  • Après avoir frappé sa femme, Yacine Chaouat devait s’occuper des questions d’intégration au PS

    24 heures après sa nomination – au poste de secrétaire national adjoint du PS en charge de l’intégration -, Yacine Chaouat a décidé de présenter sa démission.

    Celui-ci n’avait pas vraiment le choix. De nombreux détracteurs ont rappelé que l’éphémère secrétaire du PS avait été condamné pour violences conjugales. Thierry Mariani avait, par exemple, posé la question suivante sur son compte Twitter : « L’intégration à coups de ceinturon ? Depuis hier, Yacine Chaouat est secrétaire national à l’intégration du PS ».

    Jouant sur la victimisation, Yacine Chaouat s’est dit victime de la double peine tout en assimilant les attaques à sa qualité de musulman (sic) :

    C’est avec tristesse que je constate que, dans la France d’aujourd’hui, on n’a pas droit à une deuxième chance quand on est musulman.

     

    Ce n’est pas la première fois que des grandes consciences de gauche sont poursuivies pour des violences faites aux femmes. L’on se souvient du Président de SOS Racisme Flandre Côte d’Opale, condamné pour des violences commises sur son ex-concubine (celle-ci a été littéralement défigurée). Ou encore de Lilian Thuram, ancien footballeur et militant antiraciste, accusé d’avoir frappé violemment Karine Le Marchand. Cette dernière aurait été tirée par les cheveux et poussée à trois reprises contre le réfrigérateur. Quant à Bertrand Cantat, on connait le sort qu’il a réservé à Marie Trintignant.

    http://fr.novopress.info/