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  • LE BLANC ET LE NOIR: un nouveau blog européen au meilleur sens du terme:

  • Immigration – Malgré l’interdiction de la mairie, 600 Calaisiens en colère manifestent une nouvelle fois

    CALAISIENS en colère 4

    Calais – Plus de 600 manifestants réunis à l’appel du collectif « Calaisiens en colère » ont défilé ce samedi à Calais afin de protester contre la présence des 6000 migrants du camp de la « Jungle ».

    C’est la seconde manifestation organisée par les « Calaisiens en colère ». Le 4 octobre dernier, malgré l’interdiction du maire, les manifestants s’étaient rassemblés sur une plage de Calais.

    « Calais doit être un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national« , a déclaré Sarah Guerlach, l’une des représentantes du collectif et riveraine du camp de la « Jungle ».

    Cette fois encore, la manifestation était interdite mais les participants ont bravé la décision de la mairie. Drapeaux tricolores en tête et pancartes « Calais en détresse, que nous cache l’Etat? », les manifestants ont scandé « Stop à l’immigration clandestine« . Une banderole « Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers et aux agents hospitaliers » était très visible.

    http://www.medias-presse.info/immigration-malgre-linterdiction-de-la-mairie-600-calaisiens-en-colere-manifestent-une-nouvelle-fois/42454

  • Ils sont vraiment mauvais !

    Les sondages  étaient tous affirmatifs : l’AKP, le parti «islamo-conservateur » du chef d’Etat Turc Recep Tayip Erdogan allait être balayé aux élections législatives de ce dimanche. Il a pourtant remporté une victoire assez éclatante. Un soutien populaire réaffirmé qui confortera, selon ses opposants locaux ou européens, la dérive autoritaire du régime, voire la «mégalomanie» de M. Erdogan. Photographie plus ou moins nette et précise, à un instant t, de l’opinion, les sondages ne sont ni infaillibles, ni paroles d’évangile. Il faut les analyser avec le recul nécessaire, ne pas se dissimuler la marge d’erreur, de subjectivité qu’ils contiennent invariablement. Ainsi l’enquête Odoxa réalisée pour iTELE et Paris-Match publiée vendredi, pourrait être aussi bien perçue comme la matérialisation d’une méfiance persistante de beaucoup de nos compatriotes vis-à-vis du FN, que comme une manifestation du fort rejet du parti socialiste par une large majorité de Français. Electeurs qui souhaiteraient que le PS ne se maintienne pas au second tour des élections régionales ou fusionne avec les listes de droite, en cas de triangulaire avec le FN et Les Républicains. A la question : «Si dans certaines régions, au premier tour des régionales, le candidat socialiste arrivait nettement derrière le candidat de la droite et celui du Front National ? », les sondés répondent ainsi qu’ils souhaitent le désistement (33%) ou la fusion (27%) des listes socialistes avec celles de droite face au Front National. D’après ce même sondage, 62% des personnes interrogées se déclarent «plutôt inquiet(e)s» à l’idée que le FN l’emporte dans une ou plusieurs régions, 37% se disent a contrario «plutôt satisfaits » par cette perspective (dont 46% des ouvriers et 47% des Français vivant « dans la France périurbaine »).

    Une autre enquête publiée le 29 octobre, TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro, RTL et LCI, crédite leFN d’une moyenne de 28% des voix aux prochaines élections régionales, devant la coalition LR-Modem-UDI-PCD (27%), le Parti socialiste (21%), les listes EELV et leurs alliés d’autres obédiences écolo-gauchistes (8%), FG-PCF (6%), LO (1%) et DVG (1%). Mais là encore, il faudra scruter de près le poids de l’abstention sachant que 41% des personnes interrogées se déclarent «pas intéressées» par ce scrutin.

    Jouant le registre de la  force tranquille, de  la sérénité, regrettant l’époque bénie de la tranquille cogestion et alternance entre la gauche et la droite européiste, Jean-Christophe Cambadélis a affirmé dimanche sur BFMTV que le Front National «est surcoté et ne gagnera aucune région» aux élections. «La bataille se joue entre le PS et Les Républicains». «Les mêmes sondeurs nous avaient pronostiqué la victoire du FN aux départementales dans l’Aisne et dans le Vaucluse. Ça ne s’est pas passé (…) Il y a une protestation, ce n’est pas pour autant que cela se transformera en vote». Le premier secrétaire du PS a néanmoins affirmé qu’en cas de victoire de l’opposition nationale en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Provence-Alpes-Côte d’Azur, «ce serait un échec collectif de toutes les formations, des Républicains jusque l’extrême gauche». «Tout le monde devra faire son examen de conscience. Nous, nous avons mené la bataille contre l’extrême droite et pour l’unité de la gauche», a-t-il répété.

    Examen de conscience, ou à tout le moins un minimum de réflexion, qui aurait aussi permis Bruno Bonduelle, «militant européen de la première heure», « ancien patron, à l’origine d’un empire industriel » de ne pas publier «la tribune intitulée No pasaran (sic)  à paraître cette semaine dans une revue économique régionale» indique le site du Monde. «Le problème, si le FN passe, c’est l’image de la région vis-à-vis des investisseurs étrangers, craint Bruno Bonduelle. Tous les médias du monde vont titrer sur Une région massacrée par la désindustrialisation.»  Et cette désindustrialisation, cemassacre M. Bonduelle qui en sont les responsables, sinon les  soumis à l’euromondialisme bruxellois et autres militants européens de la première heure  qui se sont succédés au pouvoir?

    Examen de conscience, minimum de réflexion  qui auraient été là  aussi les  bienvenus de la part deGaspard Gantzer, «conseiller chargé des relations avec la presse, chef du pôle communication, à la présidence de la République ». Ce pro de la com (sic) a encore ridiculisé François Hollande avec une énième Opération Potemkine dans le cadre du programme baptisé «à la rencontre des Français ordinaires»… Il s’agit de casser l’image véhiculée  par le livre assassin de l’ancienne compagne de M. Hollande, celle d’un président éloigné du peuple, voire méprisant pour les « sans-dents. »

    L’irruption présentée comme spontanée du président Hollande pour prendre un café chez une sympathique retraitée, Lucette Brochet, à Vandœuvre-lès-Nancy, avait fait le tour des médias le 29 octobre.  Manque de chance,  ladite opération de propagande a été victime d’une classiquevérification des faits (un fact checking disent les cuistres ou les propagateurs de  la langue de l’Empire dans les médias français) opérée par BFM TV.

    « Lucette» (à qui M. Gantzer a oublié de dire qu’il ne fallait pas vendre la mèche ?) a raconté à plusieurs médias comment elle a été préparée, entraînée par les conseillers de l’Elysée avant la visite du président dans son modeste appartement. Et notamment les sujets tabous à éviter : «J’avais une idée, c’était de dire qu’il (François Hollande, NDLR) s’occupait beaucoup des immigrés, mais pas des clochards qui crèvent dans la rue. Mais ça, il fallait pas que je le dise », raconte notamment Mme Brochet qui, harcelée depuis par les journalistes, a trouvé momentanément refuge chez sa fille…

    Entre ce que M. Hollande ne veut pas (ou ne doit pas) entendre et ce qu’il ne dit pas cela fait beaucoup de choses. Une forme de déni du réel constate Bruno Gollnisch, qui n’est pas sans rappeler celui de Nicolas Sarkozy, autre grand manipulateur médiatique. Exemple parmi des dizaines d’autres, le président des Républicains s’est prononcé ce mardi devant les cadres de son parti pour la création, afin de lutter contre l’insécurité le terrorisme, la délinquance, d’un grand « ministère de la sécurité intérieure », qui réunirait police, gendarmerie, administration pénitentiaire et douanes. Une proposition qui ne manque pas de sel de la part d’une homme  qui  a supprimé 13 000 postes   au sein des forces de l’ordre lors de son quinquennat

    Déni du réel et ou mauvais calcul qui l’ont aussi rendu responsable de la destruction de la Libye avec les conséquences islamo-terroristes et migratoires que nous connaissons, outrepassant les conventions de l’ONU et bafouant pour se faire les engagements qu’il avait pris auprès de Vladimir Poutine auquel il a rendu visite la semaine dernière. Président russe qui  n’a certainement pas oublié non plus que M. Sarkozy demanda à ses députés de voter en faveur des sanctions contre la Russie.

    Cette soumission à l’atlantisme, cette pusillanimité du «champion» de la « droite » se retrouve chez M. Hollande. Dans une tribune publiée dans Le Figaro, le sénateur belge Alain Destexhe rappelle que l’actuel chef de l’Etat n’a pas réagi quand le président turc Erdogan, en meeting à Strasbourg le mois dernier, «invité sur le sol français, s’est permis d’insulter le pays hôte, ce qui a été peu relevé et n’a pas suscité la moindre protestation du gouvernement français ».

    « (M. Erdogan)  a condamné, avec virulence, la réponse européenne à la crise des migrants et a présenté la Turquie comme le défenseur de la vraie civilisation face à une Europe rongée par la xénophobie, l’islamophobie et le racisme. La foule (…) a copieusement hué ces Etats donneurs de leçons. Les autorités françaises et européennes, apathiques et indignes, se sont laissé fustiger sans réagir! Peut-on imaginer une seule seconde François Hollande tenant un meeting électoral pour les expatriés français à Istanbul au cours duquel il critiquerait ouvertement la politique turque? ». Posez la question…

    http://gollnisch.com/2015/11/03/ils-sont-vraiment-mauvais/

  • Crash Airbus A321 : La piste terroriste de plus en plus plausible

    Deux jours après le crash d’un Airbus d’une compagnie russe dans le Sinaï égyptien, et alors que l’enquête ne fait que commencer, de plus en plus d’éléments rendent plausible la piste de l’attentat terroriste.

    http://www.contre-info.com/

  • Des associations dénoncent les « grandes manœuvres pour faire baisser les chiffres du chômage »

    Si le PS veut avoir une petite chance de conserver le pouvoir lors des prochaines élections présidentielles et législatives, il n’a pas le choix… Il faut pouvoir annoncer avant la fin du quinquennat de Flamby, la fameuse « inversion de la courbe du chômage ». Ainsi en coulisse, le Pôle Emploi s’active…

    Une façon de faire baisser les statistiques ? Pôle emploi demande depuis octobre à des salariés à temps plein de Rhône-Alpes, de Midi-Pyrénées et d’Aquitaine pourquoi ils restent inscrits comme demandeurs d’emploi.

    Ce test aboutira à désinscrire ou à changer de catégorie ceux qui ne cherchent pas activement un autre emploi. La question est suivie de près par le gouvernement, qui a confié en juin à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) une enquête sur la hausse des demandeurs d’emploi exerçant une activité. Explication en trois temps.

    En quoi consiste cette opération ?

    L’opération de Pôle emploi cible une population très précise. Elle vise les demandeurs d’emploi travaillant à temps plein « depuis au moins trois mois », inscrits « en catégorie C », « non indemnisés »,hors intermittents du spectacle et assistantes maternelles, selon un mail de la direction de l’opérateur public en Rhône-Alpes dont l’AFP a eu copie. Soit « 11 850 demandeurs d’emploi » dans cette région.

    « La direction générale [de Pôle emploi] nous demande de mener un test sur ces populations afin de leur proposer une cessation d’inscription ou un transfert » de la catégorie C à la catégorie E, écrit la direction régionale. La catégorie E correspond à des personnes en emploi dispensées de recherche.

    « Ces demandeurs d’emploi n’ont aucun intérêt à rester inscrits »en catégorie C, affirme Pôle emploi, « dans la mesure où ils ne peuvent prétendre ni à des droits à allocations ni à des aides », et« ne font l’objet d’aucun suivi, et d’aucun accompagnement ».

    S’agit-il de faire baisser les statistiques ?

    Les associations de chômeurs ne l’entendent pas de cette oreille. « Recours radiation » dénonce ainsi des « grandes manœuvres pour faire baisser les chiffres du chômage ». En passant en catégorie E, souligne-t-elle, les demandeurs d’emploi sortent des radars des médias, qui se concentrent chaque mois sur les seules catégories A (sans activité), B (activité courte) et C.

    Lire la suite sur Francetvinfo…

    http://www.contre-info.com/

  • 21 novembre : forum de la dissidence

    Affiche_134083.thumb53700.1445439823Polémia organise un Forum de la dissidence, sous le patronage d’Alexandre Soljenitsyne, double dissident antisoviétique et antioccidental, et d’Edward Snowden, dissident antioccidental.

    Vous rencontrerez autour de tables rondes animées par Philippe Christèle, de Polémia, et Gabrielle Cluzel, de Boulevard Voltaire, les dissidents d’ici et d’aujourd’hui.

    • Béatrice Bourges, du Printemps français,
    • Gabriel Robin et Charlotte d’Ornellas, de Boulevard Voltaire,
    • Thibaud Gibelin, de l’Institut Iliade.
    • Robert Ménard, maire de Béziers, autour de l’art et la pratique de la dissidence.
    • L’écrivain Renaud Camus,
    • Julien Rochedy, ancien patron du FNJ,
    • Damien Rieu, ancien responsable de Génération Identitaire.
    • Michel Geoffroy, de Polémia, apportera une conclusion radicale à cette journée.

    Samedi 21 novembre de 13h30 à 19h, Cap 15, 1-13 Quai de Grenelle, 75015 Paris.
    Entrée simple : 10 €. Inscription

    Michel Janva

  • Les différences entre les races existent !

    Affirmer aujourd’hui que les races existent c’est s’exposer aux foudres du politiquement correct et à l’intolérance.
    C’est ce qui arriva à Eric Zemmour lorsque, le 13 novembre 2008 sur la chaîne Arte dans un débat intitulé « Tous métis », il déclara : « Les races existent » et elles sont reconnaissables « à la couleur de la peau ».
    Un an plus tôt, c’est le Prix Nobel James Watson qui fut mis à la retraite à la suite de propos jugés scandaleux. Le 14 octobre 2007, dans les colonnes du Sunday Times, le découvreur de la double hélice de l’ADN exposa qu’il était « fondamentalement pessimiste quant à l'avenir de l'Afrique » parce que « toutes nos politiques d'aide sont fondées sur le fait que leur intelligence [celle des Africains] est la même que la nôtre [Occidentaux, ndlr] alors que tous les tests disent que ce n'est pas vraiment le cas ». 
    Pourtant l’existence ou la non-existence des races et l’éventualité ou non de différences substantielles entre elles ne relèvent pas du jugement de valeurs mais du jugement de faits. Or, dans la logique de la pensée européenne un jugement de fait peut être dit vrai ou faux s’il est possible de l’exposer et de le discuter librement. En histoire, en sociologie, en biologie, en médecine, il n’est pas de vérité révélée, il n’existe, d’un point de vue scientifique en tout cas, que des affirmations contestables et révisables.
    Ainsi d’un point de vue scientifique il est possible d’affirmer que les races n’existent pas et/ou qu’il n’y a pas de différences entre elles mais à condition d’admettre que des arguments puissent être librement présentés pour défendre la thèse adverse.
    C’est justement ce qu’ont fait J. Philippe Rushton et Arthur R. Jensen dans une étude intitulée : « La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste ». Cet article est paru dans le numéro 71 de la très grande revue scientifique (Elsiever) Medical Hypotheses. Il n’est pas indifférent de noter que c’est une revue médicale qui a publié cet article iconoclaste : car, sauf à prendre le risque de ne pas adopter des traitements optimaux, les médecins sont souvent tenus de prendre en compte les origines raciales de leurs patients.
    Un correspondant de Polémia a bien voulu traduire cet article. En voici l’Introduction, qui en reprend les principales conclusions. L’ensemble de l’article traduit est aussi disponible en PDF.(voir en fin d'article).
    Polémia.
    La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste 
    (Introduction de l’article ; les intertitres sont de Polémia)
      Lorsque l’un des plus grands biologistes du 20èm siecle, le prix Nobel James Watson, a déclaré  que les sujets d’origine africaine ont de moins bons résultats aux tests d’intelligence que les Européens et  les Asiatiques de l’est, il a été condamné par les médias et une part de l’élite scientifique et contraint à  abandonner son poste de président du laboratoire de Cold Spring Harbor [9,34].
    Un traitement indigne du point de vue scientifique
    Le traitement infligé à  Watson est d’autant plus énorme que, du point de vue des faits scientiques, plus d’un siècle et demi de  preuves corroborent son affirmation. De plus, de nouvelles données et analyses viennent régulièrement  appuyer  ces  résultats  dans  les  grands  journaux  à  comité  de  lecture  des  disciplines  scientifiques  concernées. Les données allant en sens contraire sont extrèmement pauvres. L’essentiel de l’opposition à  l’hypothèse génétique se limite à des considérations moralistantes et, pire, à la création d’une atmosphère  coercitive et menaçante incompatible avec la liberté universitaire, la liberté d’enquête et les libertés civiles  d’une  société  véritablement  démocratique.  Il  y  a  un écart énorme entre les tenants et gardiens du  politiquement correct et les véritables experts des sciences du comportement. Le cas de Watson n’est pas unique. Il n’est que le dernier d’une longue série d’universitaires qui  ont été cloués au pilori et diffamés (détails dans l’article de Hunt [20]). Ce sont en particulier le prix Nobel  William Shockley, Hans Eysenck, Linda Gottfredson, Richard Lynn, Richard Herrnstein, Charles Murray,  Christopher Brand, Glayde Whitney, Helmuth Nyborg, et Tatu Vanhanen. Les auteurs du présent article  ont eux aussi dû supporter leur lot d’attaques.
    Le tabou de la race
    Le tabou de la race deviendra certainement un sujet majeur  de recherche pour les sociologues de la connaissance : il n’y a pas d’équivalent dans l’histoire de la  science.  Exemple  sans  équivalent,  ce  tabou  est  imposé,  principalement  par  autocensure,  par  les  membres de l’intelligentsia occidentale dans leurs propres universités, qui s’enorgueillissent pourtant  d’une tradition de liberté de pensée, d’ouverture d’esprit et d’absence d’obstacles à la découverte, à la  systématisation et à la poursuite de la connaissance et à sa dissémination dans le grand public.     Malgré les inquiétants effets que nous venons de décrire, nous (et d’autres) avons persévéré  notamment en raison de la grande importance de ce sujet, des données passionnantes qu’il apporte et  des questions théoriques qu’il soulève [21]. L’un d’entre nous (JPR) est allé en Afrique du Sud pour  recueillir  de  nouvelles  données  de  QI  chez  des  étudiants  noirs  hautement  sélectionnés  dans  la prestigieuse université du Witwatersrand à Johannesburg. Ces données ont conduit à la publication de  sept études et montrent que le QI médian de ces étudiants est de 84 (extrèmes 77-103). Si on suppose  que, comme c’est le cas général pour les étudiants, ceux des universités africaines ont un QI supérieur  d’un écart type (soit 15 points de QI) à la moyenne de leur population, un QI médian de 84 correspond à  une moyenne (très basse) de 70 dans la population générale [48].    Beaucoup  de  gens  considèrent  l’hypothèse  d’un  lien  entre  race  et  QI  comme  extrèmement  provocante, et il est donc essentiel d’examiner à fond toutes les données pertinentes. C’est ce que nous  avons fait dans notre revue de 60 pages « Thirty Years of Research on Race Differences in Cognitive  Ability » (Trente ans de recherche sur les différences raciales entre les capacités cognitives), qui a été  publiée en article principal dans le numéro de juin 2005 de Psychology, Public Policy, and Law, un journal  de l’American Psychological Association [51]. Dans le présent article, nous résumons et actualisons ces  résultats (avec davantage de détails statistiques et de références).
    La génétique explique de 50 à 80% des différences d’intelligence
    Encore une fois, la grande majorité  des données tend à montrer que la génétique contribue pour une part de 50 à 80 % aux différences entre  groupes raciaux en ce qui concerne l’intelligence, la taille du cerveau et d’autres paramètres de « l’histoire  de vie ». On trouvera chez Bartholomew [1] une bonne introduction aux questions évoquées.Sur la base des 10 catégories de recherche dont la liste est donnée ci-après, nous avons conclu  que la différence moyenne de 15 points entre les QI des Noirs et des Blancs aux Etats-Unis est à 80 %  environ  d’origine  héréditaire,  et  que  la  différence  de  30  points  entre  Africains  et  non-Africains  est  héréditaire à environ 50 % (le reste étant en grande partie attribuable aux différences culturelles et  nutritionnelles). Les données démontrent que :
    (1) le QI moyen à travers le monde est de 106 pour les Asiatiques de l’est (Extrème-Orientaux), de 100 pour les Blancs, de 85 pour les Noirs américains, et de 70  pour les Africains subsahariens ; (2) les différences raciales sont maximales sur les sous-tests les plus  pondérés en g (facteur général de capacité mentale, ou première composante principale » ; il mesure le  « principe actif » dans les tests d’intelligence) ; (3) les différences raciales sont les plus nettes sur les sous-tests de QI dont les résultats dépendent le plus de l’hérédité ;(4) les différences raciales de volume  cérébral sont parallèles aux différences de QI ;(5) les métis ont en moyenne un QI intermédiaire entre ceux de leurs deux populations parentales ; (6) les études sur les adoptions trans-raciales montrent que  les enfants noirs, métis et est-asiatiques élevés par des parents blancs ont un QI plus proche de la  moyenne de ceux de leurs parents biologiques que de la moyenne chez les Blancs ;(7) on observe chez  la descendance et la fratrie des sujets une régression vers le QI moyen de leur race ;(8) les races sont  systématiquement différentes, et dans le même ordre, sur 60 traits qui décrivent « l’histoire de vie » ;(9)  les différences raciales de QI sont conformes aux dernières données sur l’origine de l’espèce humaine (le  modèle « out of Africa ») ;(10), enfin, les explications par l’environnement des différences raciales de QI ont été testées et ont régulièrement fait la preuve de leur inadéquation.  
    Télécharger
    La très dérangeante vérité de James Watson: réalisme racial et illusion moraliste

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2091

  • Le bonneteau corrézien

    Les élections régionales ne seront peut-être pas le désastre annoncé pour la Gauche officielle si le Front national perce dans deux régions au moins, le Nord-PDC et la région Provence-etc. Certes la Nomenklatura prendra deux paires de gifles mais elle a cela de très catholique qu'elle les supporte bien. Le pouvoir catalan qui ameute sans relâche contre les marinistes, braque le projecteur de DCA sur un pronostic favorable au Front à deux effets : banaliser la présence des marinistes dans le champ politique principal et donc booster les suffrages indécis en leur faveur ; noyer la communication des droites coalisées - émiettées bientôt après les Primaires des républicains - dans le secret espoir (secret, pas tant que ça) de voir le challenger à la présidentielle Bismuth terminer le premier tour en troisième position. C'est le coup (bien involontaire jadis) de Chirac en 2002. Contre Marine Le Pen et sa cour, la Promotion Voltaire garderait une chance d'un sursaut anti-fachiste tétanisant le pays survolté par les médias subventionnés. On a vu de quoi ils étaient capables en 2002 justement. La fille du Pirate n'a aucune chance d'accéder aux affaires contre la coalition de la peur et de la bien-pensance.

    Même chassée des régions, la Gauche officielle pourra gouverner - d'une émeute à l'autre, mais la Garde veille sur les palais - comme le fit la Droite officielle en son temps, qui n'avait plus que l'Alsace dans sa giberne. C'est d'ailleurs là que l'on remarque combien cet étage administratif n'est pas une strate de gouvernement mais une sinécure pour les politiciens ou apparatchiks battus au plan national. Les régions ne font pas de politique ni la politique. Ce sont des bureaux déconcentrés et très chers à maintenir.

    Victoire à la Pyrrhus pour la Droite, le team Sarkozy met pleins phares sur le cauchemar annoncé puisque gagner dix régions par exemple ne résout rien. D'où l'investiture d'une femme politique de division II à l'élection en Île-de-France, région qui est pourtant l'une des plus importantes d'Europe. La Gauche ne cherche pas non plus un candidat alléchant quand elle investit Don Bartolone, parrain du 9-3, président désormais fantôme de l'Assemblée nationale, une vieille carne de la démocrassie dénoncée par... la Cour des Comptes. On en arrive au cas Sarkozy. 

    Le piéton du Roi a relu quelques billets publiés sous sa présidence pour se voir confirmé qu'il n'a pas changé d'un iota. Il reste le Petit Reître, colérique et hyperactif comme les maîtresses d'école de jadis en attachaient au radiateur dans les classes primaires. Tout à sa réélection légitime - il a entendu le Cri sourd du Pays qu'on enchaîne - il navigue au plus près, comme avant, comptant sur son ingéniosité politicienne pour faire face aux déconvenues possibles. Il n'a pas l'air de voir plus loin que, dans son genre, Bernard-Henri Lévy. L'affaire Morano est exemplaire d'une brutalité retrouvée mais naturelle, qui accroche un wagon complet de mécontents au train du Front national. Fallait quand même le faire alors qu'elle avait toute la majorité silencieuse derrière elle.

    Sarkozy gagnera-t-il les Primaires des républicains ? Je crois que oui, car il bénéficie comme Justin Bieber de forts contingents de groupies sans cervelle qui battent des mains comme les otaries à chacune de ses apparitions. C'est imparable, et tant monsieur Fillon que le géronte Juppé devraient bien se garder d'insulter l'avenir s'ils veulent avoir leur rond de serviette à la table du futur shadow cabinet, car ils se feront rincer en 2017.

    La régie me demande dans l'oreillette ce que feront les royalistes. A quoi je réponds mezzo voce que je n'en sais pour l'instant rien, me retenant d'aller sur les sites de combat politique afin de détecter depuis l'extérieur le moment où leur audience publique brisera le mur de discrétion qui les enferme. Espérons des chapelains une démarche de notoriété pugnace en cette période de déclin national, propice aux opportunités de changement de paradigme. Mais pour ce faire il faut du nerf, le nerf de la guerre, de l'argent !

    Sur ce, je propose de voter aux élections régionales pour un programme honnête et réalisable afin de ne pas jeter le bulletin puisque ce niveau d'expression démocratique est le niveau légitime le plus haut dans l'esprit monarchiste, en ce qu'il n'entame pas les pouvoirs régaliens. Trouverait-on une tête de liste qui mène une campagne intelligente et qui aurait prouvé une certaine maîtrise politique dans ses capacités d'assimilation de dossiers compliqués, que le vote sincère en serait de beaucoup facilité. Je cherche déjà... en vain.

    Nous reparlerons du bonneteau hollandien pour 2017.

    http://royalartillerie.blogspot.fr/2015/11/le-bonneteau-corr.html