Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 20

  • 74 % des Français sont persuadés que Marine Le Pen sera qualifiée en finale.

    Bien sûr, les sondages, ça va et ça vient. On ne saurait, d’ailleurs, gouverner demain en se fondant sur les sondages d’aujourd’hui, l’opinion publique étant une matière éminemment fluide, incertaine, injuste et parfois incompréhensible ; un peu comme un cerveau de fille, dirions-nous en ces temps de féminisme castrateur.

    Pourtant, c’est une autre fille – Marine Le Pen, pour ne pas la nommer – qui caracole depuis des mois en tête de ces mêmes sondages. Pour Le Parisien de ce samedi dernier, elle est censée dominer le premier tour de l’échéance présidentielle de 2017, sauf si Alain Juppé vient à se présenter. Au second tour, elle serait battue, sauf contre François Hollande, en admettant que le premier des Français parvienne second au tour du même nom.

    D’ailleurs, à en croire un sondage plus récent, celui du Journal du dimanche, 74 % des Français sont persuadés que la même Marine Le Pen sera qualifiée en finale. Après, ça se gâte un peu, 61 % des sondés estimant que le Front national est un « danger pour la démocratie », Français qui sont, dans le même temps, assez d’accord sur les propositions de la présidente du premier parti de France ; allez comprendre…

    Bref, c’est un peu « Je t’aime, moi non plus », les soupirs en moins, ou « Johnny, fais-moi mal », les coups en plus, pour finir de filer la métaphore chansonnière. Ainsi, une assez large majorité de nos compatriotes serait pour la préférence nationale – 66 % à vouloir réserver les prestations sociales aux seuls Français -, mais majorité déjà moins majoritaire sur les orientations économiques à venir, que ce soit sur les 35 heures, l’âge du départ à la retraite et la dégressivité des allocations de chômage. Toujours sur le plan économique, à peine 30 % des électeurs appelleraient une sortie de la zone euro.

    Tout cela est fort intéressant et tout aussi contradictoire : entre aspirations libérales (droit d’entreprendre, ras-le-bol de l’inquisition fiscale et paperassière) et manifeste besoin d’un État à la fois stratège et protecteur. De fait, les commentateurs politiques assurent que cohabiteraient au sein d’un même mouvement un Front de gauche au nord et un Front de droite au sud du même pays. Ce n’est pas faux, mais un peu court.

    Mais cela oblige malgré tout une Marine Le Pen à gérer les grands équilibres au sein du parti dont elle est présidente, entre son père faisant actuellement l’école buissonnière, sa nièce tirant l’affaire sur des thématiques identitaires et son proche entourage persistant à vouloir l’ancrer dans une problématique ouvertement plus sociale. Dans le fond, ces deux orientations sont plus complémentaires qu’antinomiques ; après, tout est question de dosage.

    Dernière information des plus intéressantes, le revenu universel, sur lequel Marine Le Pen serait en train de sérieusement réfléchir, à en croire Le Figaro de ce mercredi. De quoi s’agit-il ? Non d’une mesure bolchevique ou ultralibérale, mais simplement d’une idée qui nous vient de tous les horizons politiques, même les plus inattendus, d’Alain de Benoist et Christine Boutin, en passant par Maurice Druon et Gaspard Koenig, c’est dire. Laquelle mesure, un revenu de mille euros par Français, versé de la naissance jusqu’à la mort, qui supprimerait au passage le maquis des aides sociales, déversées on ne sait trop comment et chez on ne sait trop qui. Soit de quoi envisager peut-être une vie meilleure, fort de ce petit viatique que la France doit bien aux Français. Quitte, à ceux qui veulent entreprendre, d’entreprendre et aux autres de revendiquer cet autre droit légitime qu’est celui de la paresse, si bien mis à l’honneur par le grand Paul Lafargue.

    On a déjà entendu plus idiot. Et voilà qui pourrait apaiser bien des choses. Au fait… « La France apaisée » n’est-il pas le probable futur slogan présidentiel de Marine Le Pen ? Tout se recoupe.

    Source: 

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/74-des-francais-sont-persuades-que-marine-le-pen-sera-qualifiee-en-finale_158575.html#more-158575

  • Primaire à droite : qui aura ses parrainages ?

    « Là, on va rentrer dans le dur. Ça va être oeil pour oeil, dent pour dent ! » prévient un supporteur de François Fillon en bombant le torse. A sept mois de la primaire de la droite, qui aura lieu les 20 et 27 novembre, la campagne interne va prendre une nouvelle tournure en fin de semaine avec l'ouverture officielle de la chasse aux parrainages.
    La règle est aussi simple qu'impitoyable pour les postulants : obtenir, d'ici au 9 septembre, les soutiens d'au moins 25 parlementaires, 250 élus issus de trente départements différents et 2 500 adhérents à jour de cotisation. Une formalité pour les favoris comme Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, François Fillon et Bruno Le Maire. Un casse-tête pour les sept autres impétrants, comme Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet ou Hervé Mariton. « Ils sont onze au départ. Mais combien seront-ils à l'arrivée ? » s'interroge, dubitatif, Thierry Solère, président de la commission nationale d'organisation de la primaire.
    Jean-Frédéric Poisson, lui, sera de la course
    A partir de vendredi matin, chaque parrain pourra télécharger un formulaire sur le site de la haute autorité de la primaire, l'instance indépendante chargée du bon fonctionnement de ce scrutin et présidée par la juriste Anne Levade. « Une fois rempli et envoyé, le parrainage sera validé. Plus de possibilité de faire machine arrière ! » avertit un responsable des opérations, qui s'attend à recevoir un afflux de formulaires dans les jours qui suivront la mise en ligne. « Et pour cause, un parlementaire qui s'engage pour untel, c'est un soutien de moins pour un autre. Et comme aucun plafond n'a été fixé, les grosses écuries ne vont pas se priver d'en recueillir très vite un maximum pour décourager les autres. »
    Comme Fillon, qui, même s'il est loin d'être le favori des sondages, est paradoxalement celui qui a le plus entretenu ses réseaux parlementaires. Selon nos informations, 120 députés et sénateurs de droite seraient déjà prêts à signer pour lui... alors qu'il en suffit de 25. « Il va ratisser à mort et assécher le vivier des autres », redoute un proche de Le Maire, qui n'a pourtant pas de souci à se faire avec l'assurance, à ce stade, de 70 parrainages de parlementaires, comme Alain Juppé. Quant à Nicolas Sarkozy, en vacances cette semaine à Los Angeles avec son épouse Carla, même s'il n'est pas encore officiellement déclaré, il pourrait déjà compter sur une cinquantaine de soutiens.
    D'autres sont loin, bien loin du compte. Si elle affirme avoir déjà les 2 500 signatures d'adhérents, Nadine Morano connaît les pires difficultés chez les élus. Même galère pour Hervé Mariton qui, cependant, revendique une quinzaine de signatures de députés. Quant à Jean-François Copé, il jure qu'il aura ses précieux sésames. « Mais dans son propre département, la Seine-et-Marne, il n'y a aucun député qui lui apportera un parrainage. Même pas son vieil ami Christian Jacob... » persifle un ténor des Républicains.
    Dans ce maelström, un homme n'a aucune frayeur à se faire : parce que sa formation est affiliée à LR, l'obscur candidat Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, est directement qualifié pour le scrutin... sans passer par la case parrainages.

    Olivier Beaumont Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuyEEkZFlAJLHSBgzz.shtml

  • Éditorial de L’Action Française 2920 - JEUNESSE : LA FAILLITE MORALE DE LA GAUCHE

    Jusqu’où la gauche descendra-t-elle ? Je ne parle ni des sondages ni des élections partielles, mais de sa faillite morale. Il ne s’agit pas des nombreuses affaires dans lesquelles elle est engluée. Le candidat Hollande, en 2012, avait fait de la jeunesse sa priorité.

    Quatre ans plus tard, le gouvernement socialiste, incapable d’offrir un emploi aux jeunes Français, cherche à les appâter en libéralisant l’usage de la drogue. Fumez, vous ne penserez plus que votre avenir est bouché ! Qui dira après cela que Hollande, à douze mois de la prochaine présidentielle, ne fait pas à nouveau de la jeunesse sa priorité ? D’autant qu’un drogué est rarement inscrit au chômage et cherche plus rarement encore du travail. Il n’apparaît dans aucune statistique de Pôle Emploi : c’est gagnant-gagnant ! Alors que le Premier ministre annonçait en parallèle, le 11 avril dernier, une série de mesures en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes pour un coût de 400 à 500 millions d’euros par an, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, a souhaité sur BFM TV que « le Parti socialiste ouvre un débat sur la fin de la prohibition » du cannabis. Certes, ce médecin de profession reconnaît que le cannabis « est une très mauvaise chose pour la santé publique, en particulier chez les jeunes », mais, compte tenu de sa large consommation, « il faut peut-être aller vers des mécanismes de légalisation contrôlée ».

    Qu’en termes délicats ces choses-là sont dites ! Comme si la solution était de baisser les bras en encadrant le mal ! Comme si l’augmentation de la consommation de drogue n’était pas l’effet d’une situation anxiogène dû avant tout à la crise et au délitement social ? Est-ce d’ailleurs un effet du hasard si, dans le même temps et alors que l’ouverture, voulue elle aussi par le pouvoir socialiste, d’une salle de shoot dans le Xe arrondissement de Paris, adossée à l’hôpital Lariboisière, fait toujours débat, la Fédération française d’addictologie recommande dans un rapport rendu public lundi 18 avril 2016 que la consommation de drogue soit également permise dans les centres d’accueil pour toxicomanes ? Ce qui aboutirait à une dépénalisation de fait non plus seulement de la consommation des drogues prétendument douces, telles que le cannabis, mais aussi des stupéfiants les plus dévastateurs.

    Que la gauche en soit arrivée là en dit long sur sa déliquescence morale. Quelle déchéance que de ne proposer comme horizon à la jeunesse de son pays que la libéralisation du cannabis, l’ouverture de salles de shoot et l’assistance avec la création, dès 18 ans, d’un revenu minimum d’existence, en remplacement, au nom d’un égalitarisme simpliste, du maquis actuel des minima sociaux. Oui, la gauche paniquée par la perspective en 2017 d’un nouveau 21-Avril, ne gouverne plus : elle fait campagne, tous azimuts, cherchant à raccrocher, par tous les moyens, même nauséabonds, des électorats qu’elle croyait captifs et qu’elle voit lui échapper. La dégradation préméditée de l’instruction, à laquelle préside Najat Vallaud-Belkacem, certes entamée par ses prédécesseurs de droite et de gauche, mais accélérée de manière méthodique par l’actuel gouvernement, est une composante de cette politique en direction à la fois de la jeunesse et de certaines « communautés ». Un peuple mal instruit est plus malléable, notamment à ces discours de haine qui, sous couvert de vivre-ensemble, sont ceux du communautarisme militant.

    Même si cela n’a pas profité au candidat socialiste aux régionales en Île-de-France, il est toutefois patent que la gauche cherche à communautariser, voire à racialiser de plus en plus sa propagande, opposant la France « périphérique », constituée des Français de souche et des immigrés assimilés, à la « diversité », soutenue par ces dhimmis masochistes qui ont les moyens de s’enfermer dans leurs beaux quartiers et espèrent que leur argent leur assurera durablement la tranquillité au sein du grand remplacement civilisationnel qu’ils ont d’ores-et-déjà acté. Il en est des spots « Tous unis contre la haine » prétendant dénoncer le racisme comme des 2 000 affiches visant à condamner les discriminations à l’embauche : en insultant, tout en l’inventant comme catégorie économique et sociale, le « Français blanc » comme profiteur et raciste, ces deux campagnes gouvernementales en cours cherchent, par un racialisme grossier, à créer cet apartheid mental que Valls a infusé dans le discours politique en janvier 2015, dans le seul but d’opposer de manière irrémédiable deux électorats : d’un côté les Français périphériques jugés irrécupérables car désormais tournés vers le FN, de l’autre, la « diversité », électorat de remplacement en cours de constitution.

    Cette politique racialiste et communautariste de la gauche est d’autant plus violente qu’il lui faut réparer deux bévues qui lui ont aliéné un électorat qui lui avait été acquis en 2012 : sa politique étrangère de lutte contre le terrorisme islamiste entamée dès janvier 2013 au Mali, comme la politique sociétale — mariage pour tous, théorie du genre enseignée à l’école. Comme quoi, contrairement à ce que pensent des esprits courts au FN, qui risque de s’en mordre les doigts en 2017, la gauche sait, elle, qu’il n’y a pas de sujets « bonsaïs » en politique. Comment ne pas voir également que les propos de mars 2015 de Vallaud-Belkacem sur le porc comme « aliment confessionnel » étaient un message communautariste envoyé à certains jeunes ?

    Rien ne dit évidemment que cette tactique abjecte réussira. Les « quartiers » sont d’autant moins revenus dans le giron de la gauche qu’elle en a perdu de nombreux et que la droite molle et le centre tiennent désormais le même discours et pratiquent la même politique. Hollande, qui dévisse dans les sondages, a peur : plus généralement la jeunesse, quelles que soient ses origines, lui échappe. Celle qui vote destine ses voix en majorité à la droite parlementaire ou au Front national. La gestion des manifestations, notamment de lycéens, contre la loi El-Khomri, comme celle de Nuit Debout sur la place de la République à Paris, pâle reflet des Indignados espagnols du début des années 2010, est délicate. Il s’agit d’éviter avant tout la constitution d’un Podemos français.

    Les violences policières, encouragées par le pouvoir et occultées par les médias aux ordres lorsqu’elles étaient dirigées contre les pacifiques Manif pour tous ou autres Veilleurs, pourraient, cette fois largement médiatisées, faire à gauche le jeu des dissidents. C’est pourquoi le pays légal ferme les yeux, partout en France, sur les nombreux actes de vandalisme des antifâ et autres gauchistes qui, largement infiltrés, lui ont toujours servi de police supplétive. Laisser libre cours au vandalisme — les commerçants de Nantes, Rennes ou Paris en font régulièrement les frais —, dans l’espoir d’en rendre responsable et de réprimer l’adversaire qu’on jugera utile de désigner, les patriotes, évidemment, qu’on prétend en toute bonne conscience « citoyenne » interdire d’expression : cette politique d’une gauche aux abois est vieille comme la République. A Marseille, les locaux de l’Action française ont été ces jours derniers plusieurs fois vandalisés et nos militants menacés de mort par les idiots utiles du système, sans que cela inquiète autrement la police, voire avec une certaine complaisance des médias de l’oligarchie. L’évocation récurrente par le gouvernement d’un risque de guerre civile n’a rien d’innocent. Pour la gauche, sera « républicain » tout ce qui permettra son maintien au pouvoir.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2920

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,10462

  • Journal du Jeudi 21 Avril 2016 : Immigration / L’humanisme tueur

  • Michael Savage annonce l’effondrement de l’Occident « sans un regain du christianisme »

    « Si le christianisme ne reçoit pas un nouvel élan dans le monde occidental, l’Occident va s’effondrer et cela arrivera de notre vivant », affirme l’écrivain – célèbre outre-Atlantique – Michael Savage, auteurs de nombreux best-sellers et animateur de l’émission de radio primée Savage Nation, qui dénonce à la fois les dangers extérieurs, mais aussi intérieurs. « Cet effondrement possible est pour moi une quasi évidence. Je peux presque le ressentir. C’est palpable… Tous ceux qui ont un peu d’intelligence n’ont qu’à regarder ce qui se passe en Europe pour constater qu’on n’en est pas loin. »
    La fragilisation de l’Occident résulte de l’exclusion du christianisme
    Pour Savage, affirmer que l’érosion de la foi fondatrice de l’Occident est synonyme de l’érosion de sa fondation est une lapalissade. Il cite à ce sujet le second président des Etats-Unis John Adams, qui avertit en 1798 : « Notre Constitution n’a été établie que pour un peuple moral et religieux. Elle est totalement inadéquate pour tout autre peuple ». Ou encore l’homme d’Etat britannique Edmund Burke écrivant en 1791 : « Les hommes méritent les libertés civiles dans une proportion correspondant à leur disposition à mettre des chaînes morales sur leurs appétits personnels. » Il rappelle aussi les propos de George Washington : « La raison et l’expérience nous interdisent de croire que la morale nationale puisse reposer sur l’exclusion du principe religieux. » Enfin il cite Dostoïevski dans Les Frères Karamazov : « Si Dieu n’existe pas, tout est permis. »

    De fait, si l’on exclut l’auteur divin, éternel et immuable, des lois du bien et du mal, toutes les questions (et réponses) morales peuvent se voir cyniquement rétorquer : « Qui a dit cela ? Ce sont vos valeurs ; ne me les imposez pas… » On comprend mieux comment une civilisation saine peut s’effondrer en une tyrannie autocéphale. Car seul un pouvoir policier peut maintenir un pays dont les habitants sont devenus barbares.
    L’effondrement de l’Occident annoncé par Michael Savage est lié à son oubli de Dieu
    La morale joue aussi un grand rôle dans la domination par l’extérieur d’une nation qui s’effondre. Une invasion est d’autant plus facile à réaliser que les habitants, plongés dans l’immoralité, ne perçoivent même plus le danger. Quand les gens ne croient plus en Dieu, ils sont prêts à croire en tout, et de manière superficielle. Le Wall Street Journal écrivait l’an dernier : « Les Européens d’aujourd’hui croient en des choses superficielles, et superficiellement : droits de l’homme, tolérance, ouverture, paix, progrès, environnement, plaisir. » Ils sont priés d’accepter qu’un garçon soit considéré « fille » si c’est son « ressenti », et de ne pas s’opposer à ce qu’il utilise les toilettes des filles. Et l’on attend des chrétiens qu’ils se plient à de telles normes quand on en exonère hypocritement les musulmans.

    Et la trahison est la norme. Un conseiller de l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair a reconnu que l’immigration massive en provenance du Tiers Monde avait été orchestrée par le parti travailliste pour « rendre obsolètes les arguments de la droite ». Et l’élue suédoise sociale-démocrate Mona Sahlin a révélé l’islamisation de sa nation en disant en 2001 : « Les Suédois doivent s’intégrer dans la nouvelle Suède. L’ancienne Suède ne reviendra jamais. »

    Pendant ce temps, des Européens patriotes sont punis par les lois réprimant l’islamophobie. Ils sont certes de moins en moins nombreux, étant donné que les peuples européens sont sous le seuil de renouvellement de leur population.

    Source: Réinformation.tv

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/michael-savage-annonce-leffondrement-de-loccident-sans-un-regain-du-christianisme_158451.html#more-158451

  • A Marseille, des militants du Parti de la France manifestent contre l'ouverture d'un centre d'accueil pour clandestins...

    ob_4f576e_marseille-action.jpg

    Suite à l'annonce, le 15 avril 2016, que 20 migrants de la « jungle » de Calais seraient accueillis samedi 16 avril dans un centre d'hébergement, rénové pour l'occasion, dans le quartier de la Croix-Rouge à Allauch dans le 13e arrondissement de Marseille, et que 100 autres pseudo-réfugiés allaient bientôt les rejoindre, les militants du Parti de la France des Bouches-du-Rhône se sont immédiatement mobilisés pour organiser un blocage de ce centre pour clandestins.

    Félicités par les riverains, les militants se sont repliés en bon ordre après cette action symbolique de résistance nationale face à la colonisation migratoire.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Crimée fait des émules: L’Ossétie du Sud organise un référendum pour son rattachement à la Russie

    Le président de l’Ossétie du Sud, Leonid Tibilov, a annoncé l’organisation d’un référendum pour le rattachement de son pays à la Russie prévu avant le mois d’août 2016.  Vladimir Poutine a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de s’opposer à la volonté qui sera exprimée, tout en émettant certaines réserves.

    «Un choix historique», selon Leonid Tibilov, rendu possible par les «réalités politiques actuelles». En rejoignant «ce pays frère qu’est la Russie, [il s’agit] d’assurer pour les siècles à venir la sécurité et la prospérité de l’Ossétie du Sud et de son peuple»« Je suis certain à 100 % que le peuple dira oui ».

    Le président de Russie avait évoqué ce référendum le 14 avril dernier: « Nous ne pouvons pas nous y opposer. Rien ne nous retient, outre les intérêts du peuple sud-ossète lui-même, a déclaré le président russe. Simplement, nous ne savons pas encore ce qui reposera à la base de ce référendum, comment les questions seront formulées définitivement – en fonction de cela, nous y réfléchirons de plus près. » (Source Kremlin.ru)

    Lire la suite