Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Lille : à 19 ans, elle a le courage d’affronter une bande de barbares

    Une courageuse jeune fille a su faire face à la violence verbale et physique de jeunes désorientés, inéduqués et probablement inéducables.

    Sur Boulevard Voltaire, vous appreniez qu’un homme s’était fait poignarder dans un train près d’Agen par une jeune chance pour la France pour lui avoir demandé gentiment d’arrêter d’importuner trois jeunes demoiselles. Aucune réaction des autres passagers. C’était le 28 décembre. Dimanche dernier, autre scène violente, mais au McDo de la gare de Lille. Un autre exemple de la lâcheté d’autrui, mais en pire, celui-là, car il va opposer une jeune fille, un handicapé mental et une bande nombreuse de « jeunes ».
    Axelle, une étudiant de 19 ans, venait de fêter la nouvelle année à Lambersart et s’apprêtait à rentrer chez elle à Douai. Elle avait un peu de temps et avait choisi d’aller se restaurer au McDo de la gare de Lille-Flandres en compagnie de deux amis. Comment pouvait-elle imaginer que les dix prochaines minutes allaient se transformer en cauchemar ?

    Elle a raconté à La Voix du Nord, qui n’a pas mentionné l’origine des « jeunes », ce qui s’est passé : « Une personne handicapée mentale était assise à côté de nous. Elle parlait très fort. Il y avait un groupe d’une quinzaine de jeunes installés à proximité d’elle. L’un d’eux a commencé à l’insulter : “Bitche (sic), incapable, grosse débile, tu sers à rien !” »
    L’amie d’Axelle ose prendre la défense du handicapé et se fait aussitôt insulter avec force gestes par l’individu. Axelle prend naturellement la défense du handicapé et apostrophe l’excité : « Je lui ai dit de se calmer. Il est venu devant moi, avec une dizaine de ses potes derrière, et voulait que je sorte pour s’expliquer. Je lui ai demandé d’aller se rasseoir. Il m’a mis une gifle en plein visage. Puis il m’a porté un coup de poing dans l’œil gauche et un coup de pied dans le haut de la cuisse.

    Je suis tombée sur ma copine. »
    Cette frêle jeuna fille face à ce barbare et à ses « potes » venait d’avoir le courage de la résistance. On se dit toujours que « si j’avais été là, moi aussi, je serais intervenu »… Mais un coup de couteau est si vite arrivé que l’on réfléchit à deux, voire trois fois et plus, avant d’affronter le fou, le violent, l’agresseur qui importune le restaurant, le wagon ou une passante dans la rue. Alors, oui, Axelle peut à juste titre dénoncer l’indifférence des clients et du personnel de ce McDonald’s lillois. Mais l’homme restera l’homme, égoïste et indifférent à son environnement, surtout lorsque de celui-ci surgit l’hostilité. 

Le second ami d’Axelle a bien essayé d’interpeller, à son tour, le groupe, mais son intervention n’a fait qu’empirer la violence et… l’indifférence des autres. Elle a exprimé son ressentiment à La Voix Du Nord : « Dans le restaurant, personne n’a réagi ! Pourtant, il était plein, il y avait des hommes. Tout le monde a vu la scène. Même s’ils avaient peur, les gens auraient pu appeler des policiers en gare ! Je suis choquée par ce comportement indigne. »
    La plainte qu’elle a déposée ne sera sans doute que symbolique. Pourtant, elle affirme : « Physiquement, j’ai eu des troubles de la vision pendant quelques jours et, psychologiquement, je me méfie dans la rue, alors que ce n’était pas mon tempérament. » On peut espérer aussi que la direction de McDonald’s va rappeler à ses employés qu’ils sont là pour servir. Des hamburgers, certes, mais aussi servir. 

    Une courageuse jeune fille a su faire face à la violence verbale et physique de jeunes désorientés, inéduqués et probablement inéducables. Un simple fait divers qui doit nous rappeler que survivre dans ce monde nécessite une force de résistance que nombre de nos aînés ont eue, eux, pour affronter d’autres barbares.

    http://www.bvoltaire.fr/florisdebonneville/lille-a-19-ans-elle-a-le-courage-daffronter-une-bande-de-barbares,304781

  • Bonne nouvelle : Washington écarté des négociations du plan de paix syrien

    Pendant que les médias traditionnels se focalisaient sur le « piratage » présumé des élections américaines par des hackers russes et les sanctions prises par le président Obama en guise de dernier round, un événement plus significatif a échappé à leur radar : la rencontre organisée le mois dernier entre les ministres des Affaires étrangères de Russie, d’Iran et de Turquie, s’est conclue par un accord de cessez le feu en Syrie. A ce jour, son application  semble être en bonne voie, offrant aux Syriens, au terme de presque six années de guerre, la possibilité de reconstruire leurs vies.

    Ce que cet accord a aussi de remarquable, c’est qu’il a été conçu, signé et mis en oeuvre en dehors de toute implication du gouvernement américain.

    En réalité, la recherche d’une issue au conflit syrien par ces trois pays est le résultat d’une frustration face à l’entêtement de Washington, qui a toujours refusé de faire le tri entre les « rebelles modérés” et les groupes terroristes et a misé jusqu’au bout sur le renversement du régime syrien. Le gouvernement d’Assad et une grande partie de l’opposition ont été eux aussi partie prenante de cet accord, dont le gouvernement américain ne voulait pas.

    Les néoconservateurs et les « interventionnistes humanitaires » nous rabâchent depuis des années que les Etats-Unis ont un rôle central à jouer dans la résolution de toute crise survenant dans le monde. Nous sommes « la nation indispensable » proclament-ils, sans notre implication, le monde s’effondre. Notre crédibilité est en jeu, et si nous n’y allons pas, personne ne le fera à notre place. Les événements de la semaine dernière ont prouvé le contraire.

    Le fait est que la façon dont les Etats-Unis s’impliquent pour  « résoudre » les crises revient le plus souvent à les faire perdurer. Prenons l’exemple du conflit qui sévit depuis plus de soixante ans entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. L’intervention américaine a-t-elle apporté quoi que ce soit dans la résolution du problème ? Et que dire de nos décennies d’ingérence dans le conflit israélo-palestinien ? Les milliards que nous y avons investis en dessous de table et en actions d’ingérence nous ont-ils rapprochés de la  paix ?

    La non-ingérence dans les affaires des autres ne décrédibilise aucunement les Etats-Unis aux yeux du monde. C’est au contraire à cause de nos actes d’ingérence, de nos bombardements, de nos drones et de notre engagement en faveur de renversements de régimes que nous sommes déconsidérés. L’obstruction américaine en Syrie a contribué à la poursuite de la guerre. Pendant que les Syriens et les Russes libéraient Alep-Est après quatre années d’occupation par al-Qaida, l’administration d’Obama réclamait un cessez-le-feu. Pendant que les Syriens commençaient à regagner leurs demeures dans Alep-Est, le Département d’Etat s’évertuait à nous persuader que les Russes et le gouvernement syrien s’amusaient à assassiner des civils.

    Alors pourquoi cette obsession médiatique sur les accusations non prouvées de piratage informatique russe et sur la riposte prévisible et tout aussi absurde du président Obama ? Parce que ces grands médias sont inféodés aux interventionnistes de Washington et s’acharnent à détourner l’attention de ce qui pourrait être le début de la fin de cet interminable cauchemar syrien.

    Ils ne veulent pas que les Américains apprennent que le reste du monde peut résoudre ses crises sans que les Etats-Unis aient à jouer le rôle de gendarme. Quand il sera admis que nous n’avons pas besoin de nous impliquer dans des conflits extérieurs à notre pays, les néoconservateurs auront perdu. Espérons que cette prise de conscience sera rapide!

    Ron Paul  Traduit par Sylvie Jolivet pour Arrêt sur Info

    Source | 3 janvier 2017

    http://www.voxnr.com/7567/bonne-nouvelle-washington-ecarte-des-negociations-du-plan-de-paix-syrien

  • Table ronde « Produire et innover en France » à la convention sur l’entrepreneuriat et l’innovation.

  • Trump, les débuts d’un mandat 2.0

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: « Avec tout le respect que je vous dois, M. le président élu, l’Amérique ne peut s’offrir le luxe d’une présidence Twitter. » C’est par ces mots que le nouveau chef de l’opposition, Charles Schumer, espère arrêter une politique qui semble bien réussir à M. Trump. On se souvient que les médias nous avaient dit que Trump avait été privé de son compte Twitter (18,8 millions d’abonnés !) les quelques jours qui précédèrent son élection.

    Depuis, le virtuose des 140 caractères ne se prive pas de ce moyen de communication lapidaire. Au travers de quelque 400 tweets qui ont suivi son élection, cela lui permet de commencer dès maintenant à diriger. Il a ainsi fait plier Ford, Général Motors, ou sur un plan plus politique, jeté un froid avec Pékin, et félicité M. Poutine. Il est probable que son arrivée à la Maison‑Blanche n’arrange pas les choses avec deux comptes Twitter officiels, @POTUS (l’acronyne de President Of The United States), 13 millions d’abonnés, et @WhiteHouse, 13,2 millions.

    http://fr.novopress.info/

  • Les contribuables devront payer une dette de 119 millions d’euros à cause du fiasco Autolib’

    Source cliquez ici

    “Une révolution urbaine “, promettait Bertrand Delanoé le 5 décembre 2011. Seulement voilà, en interne, le groupe Bolloré prévoit en réalité près de 180 millions de pertes, dont les deux tiers seront très probablement payées grâce aux impôts. Avec 131 000 abonnés, le système de voitures électriques est au point mort, comme le montre l’étude du cabinet conseil 6t, de surcroît face à la concurrence des VTC, dont les tarifs égalent presque ceux des Autolib’.

    119 millions de pertes payées par la contribuable ?

    Comme le rapporte Le Canard Enchaîné, le 22 novembre dernier, la société Autolib’ a dressé son bilan financier auprès d’Autolib’ Metropole (un syndicat mixte des 97 villes d’Ile-de-France adhérentes au “service d’autopartage”). L’annonce est fracassante : le groupe Bolloré table sur un déficit de 179 millions d’euros d’ici 2023, date de la fin du contrat.

    “La délégation de service public prévoit que les pertes soient prises en charge par Bolloré, mais à hauteur de 60 millions d’euros”, indique le Volatile. Quid des 119 millions restant ? Les mairies devront se répartir la dette en fonction d’un calcul au prorata du nombre de voitures Autolib’ installées dans leur commune. Une annonce qui affole les élus franciliens.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/01/05/les-contribuables-devront-payer-une-dette-de-119-millions-d-5894957.html

  • Défendre prioritairement la structure naturelle de la famille n'est pas une "incohérence d'ultras"

    Trouvée dans un long article d'Henri Hude consacré à Marion Maréchal Le Pen, cette phrase :

    "Les incohérences de certains catholiques ultras en politique.

    Peut-on d’abord les caractériser ? 

    Ils ont souci de la famille et de la vie, mais ils n’ont pas assez souci du travail, ni surtout conscience qu’il y a là un seul problème à deux dimensions : une de justice sociale / familiale et une de justice économique."

    Cette dialectique, que l'on peut retrouver dans un certain nombre de publications, révèle une méconnaissance profonde de la nature des principes non négociables, que le pape Benoît XVI avait pris soin de définir :

    • "la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;
    • la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille - comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage - et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent  à  sa  déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
    • la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants."

    Ces principes sont les piliers sans lesquels toute société s'écroule. Et c'est pourquoi, avoir le souci de la famille, première cellule vitale de la société, c'est aussi avoir le souci de l'équilibre social. Car l'homme n'est pas un individu isolé, et les problèmes sociaux actuels, comme le mal-logement, la pauvreté, la violence des jeunes, la drogue, etc. ne se résoudront pas avec des pansements artificiels ou étatistes. Les familles monoparentales, dont les mères isolées constituent la très grande majorité représentent la plus grande part des ménages les plus vulnérables à la pauvreté extrême. Et ce n'est pas la nouvelle facilitation du divorce qui va arranger les choses. Les problèmes économiques que connait notre pays ne se réduisent pas à leur aspect matérialiste.

    Dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, Marie-Pauline Deswarte, commentant la devise républicaine et ses contradictions, écrit notamment :

    "Ainsi la destruction de la morale familiale qui est entreprise depuis des décennies et, actuellement réactivée, entraîne une série de maux catastrophiques pour l’ensemble du corps social. On dépense beaucoup d’argent pour venir en aide à des enfants, des étudiants isolés, démunis. Mais on ne recherchera pas à renforcer la structure familiale traditionnelle qui a fait ses preuves au long des siècles, à lui laisser les moyens d’entretenir elle-même ses enfants et ses anciens. La société se substitue à autrui et pratique l’assistance et la distribution des revenus. Substitué à la famille, l’État devient totalitaire."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html