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  • Bernard Lugan déconstruit le mythe de « Mai 68 » sur Sud Radio

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    Le 14 mai 2018 dernier, Bernard Lugan intervenait dans l’émission “André Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio pour évoquer son ouvrage : Mai 68 vu d’en face.

    https://fr.novopress.info/

  • Sarcasme et incorrection

    3088189598.jpgLa chronique de Philippe Randa

    Le plus étonnant avec François Marchand, ce n’est pas qu’il est ait écrit jadis un premier roman extrêmement dérangeant pour la bien-pensance, c’est qu’il ait pû récidiver une… sixième fois !

    Car Nager dans les dollars (Le Rocher) est à peine moins idéologiquement incorrect que ses précédents livres… Après nous avoir entraîné dans l’univers « j’m’enfoutiste » de la (très) Haute Fonction publique (L’Imposteur), celui du petit patronat obligé par désespoir de s’acoquiner avec une CGT des plus cynique (Plan social, Grand Prix Littéraire du Web Cultura du roman français), l’enfer familial (Un week-end en famille), le complotisme anti-vélibs dans Paris (Cycle mortel)… et surtout Enfilades, un recueil de nouvelles dont le sarcasme le dispute au politiquement ultra-incorrect, l’auteur s’en prend aux grandes multinationales où l’on peut détourner 15 millions d’euro (18 avec le change) sans déranger plus que cela leurs anonymes dirigeants, mais tout de même attiser la convoitise d’un banlieusard, modeste employé d’une société de recouvrement, qui voit là l’occasion de « changer sa vie »… et à François Marchand, celle de ridiculiser les comportements d’humanoïdes qui sont, hélas ! nos contemporains.

    « Il semblerait qu’il y ait dans cette société beaucoup de pognon accumulé par les générations précédentes qu’il s’agit maintenant de répartir entre les rentiers d’aujourd’hui », constate avec dépit son héros en regardant le portait de son arrière-grand-père Émile, mort à Verdun.

    Ce roman nous entraîne de la banlieue (pourrie) parisienne, via les Tours (inhumaines) qu’on suppose être celles du quartier de la Défense, jusqu’au fin fond de l’Alabama où la sainte trinité est « Bible, arme à feu et drapeau »… « Et pas d’éoliennes. C’est rare ça. »

    L’auteur jure que pour une fois, il a tâché d’être modéré. C’est raté !… Mais on ne va pas s’en plaindre ! Oh que non !

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/05/27/sarcasme-et-incorrection-6054886.html

  • Le président italien refuse l’équipe gouvernementale anti-système. Di Maio veut engager la destitution du président.

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    « Le Président du conseil désigné Giuseppe Conte a remis son mandat au président Mattarella », selon le secrétaire général de la présidence. Le président italien, Matarella a rejeté la désignation de Paolo Savona au poste de ministre des Finances, en raison de son hostilité à l’euro et aux institutions européennes. Comme en Grèce la Haute banque s’interpose contre la volonté populaire clairement exprimée dans les urnes.

    Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les chefs de file antisystèmes qui ont remporté les élections et s’étaient entendus pour désigner Guiseppe Conté comme Premier ministre sont en fureur:

     « C’est une crise institutionnelle sans précédent », s’est emporté le leader du mouvement 5-Etoiles, Luigi Di Maio, sur une vidéo diffusée en direct sur Facebook, jugeant « inacceptable » le rejet de Paolo Savona comme ministre de l’Economie par le président Mattarella. « Quel est l’intérêt d’aller voter si ce sont les agences de notation qui décident? », a poursuivi Di Maio, qui a appelé à « destituer » le président pour avoir « trahi la Constitution ».

    De son côté Mattéo Salvini de la Ligue enrage: « Nous avons travaillé pendant des semaines pour faire naître un gouvernement qui défende les intérêts des citoyens italiens. Mais quelqu’un, sur la pression de qui ?, nous a dit NON », a réagi M. Salvini,  sur les réseaux sociaux. « Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L’Italie n’est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread , [qui est l’écart entre les taux d’emprunt à 10 ans allemand et italien, ndlr], ou de la finance », a-t-il insisté. « Les Italiens d’abord. Moi je ne lâche rien », a-t-il ajouté.

    Vers de nouvelles élections ?

    M. Salvini, le chef de file de la Ligue a annoncé que la seule solution désormais était la tenue de nouvelles élections législatives, probablement cette année. « Dans une démocratie, si nous sommes toujours en démocratie, il n’y a qu’une seule chose à faire, laisser les Italiens avoir leur mot à dire », a déclaré Matteo Salvini devant des partisans rassemblés dans le centre de l’Italie.

    De son côté, Sergio Mattarella a déclaré lors d’une allocution télévisée ne pas être celui à blâmer pour l’impasse politique. Il a dit avoir joué, en tant que chef de l’Etat, son rôle de garant. Il a proposé des alternatives pour le portefeuille des Finances, mais ses suggestions ont toutes repoussées par le M5S et la Ligue, a-t-il précisé. Mattarella prendra « rapidement » une décision sur la marche à suivre. Il n’a pas voulu se prononcer sur la tenue ou non d’élections anticipées. Source Le Figaro

    Plutôt qu’engager des élections législatives qui ont déjà eu lieu, ne vaudrait-il pas mieux destituer le président Matarella qui sert d’entrave à l’expression populaire italienne ? 

    C’est exactement ce que pense Luigi Di Maio:

    Le chef de file du Mouvement5 Etoiles, Luigi Di Maio, a déclaré dimanche soir que la seule solution à cette crise était d’obtenir du nouveau Parlement la destitution du président de la République, Sergio Matterella qui a refusé de nommer le ministre des Finance présenti: Savona.

    « La Ligue ne peut pas se défiler ». Luigi Di Maio a dit au cours d’un entretien téléphonique avec une émission de télévision qu’il comptait invoquer l’article 90 de la Constitution italienne, qui permet de mettre en accusation le chef de l’Etat devant le Parlement pour « haute trahison » ou s’il porte « atteinte à la Constitution ». « En portant cette crise au Parlement, nous éviterons qu’elle ne se répande hors du Parlement », a-t-il affirmé plus tard devant ses partisans rassemblés à Fiumicino, près de Rome. « Avec la Ligue (extrême droite, ndlr), nous avons la majorité, et la Ligue ne peut pas se défiler, elle doit aller au bout », a-t-il encore dit.  Source Europe 1

    Steeve Bannon qui s’était de nouveau rendu en Italie pour se réjouir de l’élection du gouvernement en gestation avait déclaré peu avant la démission de Guiseppe Conte que Di Maio et Salvini « doivent insister sur le professeur Savona [finances], ce sera une personne très dure, un grand négociateur, avec des idées très claires qui pourra faire entendre sa voix en Europe ». Bonnon, l’homme qui a fait élire Donald Trump aux USA était venu soutenir Marine Le Pen lors du congrès du Front national cette année.

     

    http://www.medias-presse.info/le-president-italien-refuse-lequipe-gouvernementale-anti-systeme-di-maio-veut-engager-la-destitution-du-president/92458/

  • Éric Zemmour : “On détruit un peuple avec l’immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme

    Voir l'image sur Twitter
    Fdesouche@F_Desouche
     

    Éric Zemmour : "On détruit un peuple avec l'immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme" http://www.fdesouche.com/1011819-eric-zemmour-on-detruit-un-peuple-avec-limmigration-et-on-detruit-une-nation-avec-le-multiculturalisme 

  • Une femme égorgée à Orléans par un récidiviste

    Samedi, une femme de 31 ans, mère de trois enfants, a été poignardée à plusieurs reprises, à Orléans. La presse indique qu'elle présentait des plaies au niveau du cou et du thorax. Autrement dit, elle a été égorgée.

    Un homme a été interpellé, samedi soir, à Paris dans le 12e arrondissement. Le meurtrier présumé est actuellement en garde à vue à l’hôtel de police d’Orléans. L’individu âgé de 34 ans, Malik S., a déjà été condamné par le passé pour avoir tué un jeune homme à l’arme blanche. Il est actuellement en... libération conditionnelle depuis 2012 et il est suivi par un juge d'application des peines. Il devait terminer son aménagement de peine en décembre 2018.

    Le 18 décembre 2004, la cour d’assise du Loiret avait reconnu Malik S. coupable d’homicide volontaire pour un crime de 2002. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Appel d’Angers - Pour l’unité de la droite

    6a00d83451619c69e20224e03cf342200d-200wi.pngLa plupart des appareils politiques Parisiens bloquent toute idée d’entente à droite.

    Mais l’entente ne cesse de progresser à la base.

    Chaque semaine, de nouvelles réunions dans l’esprit de l’appel d’Angers s’organisent, un peu partout en France.

    Et des Dizaines d’élus locaux et de militants associatifs ont déjà signé cet appel.

    Vous pouvez les rejoindre: http://appel-angers.org/

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Demain, la grande expropriation

    853060743.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Voir Macron. 8 scénarios pour un quinquennat (NDLR : Michel Drac, Le retour aux sources, 17 € cliquez ici) comporte une terrifiante hypothèse pour les contribuables français qui viennent de remplir leur déclaration annuelle. Dans un troisième scénario intitulé « La grande spolation », Michel Drac envisage qu’à la suite de conflits locaux et de coups d’État financiaristes, des « ajustements financiers sont opérés dans tous les pays de la zone [Euro] par confiscation pure et simple des propriétés, via le plus souvent des moyens insidieux et indirects. En France, par exemple, l’État est maintenant copropriétaire de toutes les propriétés immobilières. Il perçoit donc une redevance de copropriété (p. 144) ». « Fumisterie ! Exagération anxiogène ! Complotisme ! » réagit le Système.

    Pourtant, l’ISF transformé en Impôt sur la fortune immobilière (IFI) ne concerne plus les valeurs mobilières. Typiquement bougiste, ce nouvel impôt convient bien à la finance anonyme et vagabonde. Pendant la crise de l’euro, les Grecs ont vu leurs retraits bancaires hebdomadaires limités tandis que les comptes courants des Chypriotes subissaient une forte ponction de la part des organismes financiers. L’Union pseudo-européenne prévoit la généralisation de ce prélèvement non consenti à l’ensemble des titulaires des comptes courants de l’Eurolande en cas de situation grave.

    La chronique dans Libération du 15 mai 2018 d’Iona Marinescu, enseignante en économie à l’Université de Pennsylvanie, évoque Radical Markets, un ouvrage d’Eric Posner et Glen Weyl. Les deux universitaires de Chicago dénoncent la propriété privée qu’ils jugent criminelle parce que monopolistique. Ils suggèrent de fiscaliser toutes les formes de propriété, « sauf peut-être, précise la chroniqueuse, les effets personnels ». Cette proposition obligerait ainsi les propriétaires à vendre leur bien si une tierce personne souhaite l’acquérir. Par exemple, une personne déclare au fisc la valeur de sa maison, soit 70 000 €. Si un acquéreur souhaite l’acheter à ce prix, il l’obtiendra sans aucune discussion possible.

    Iona Marinescu pense que les rentrées fiscales qui en découleront pourraient alimenter un revenu universel. Bref, cet impôt sur la propriété « est radical, parce qu’il transforme la notion de propriété privée en une notion de propriété collective qu’on loue au plus offrant ». Déjà les cartes bancaires de retrait et les cartes magnétiques de transports tels Navigo en Île-de-France sont la propriété des banques et du STIF… Une nouvelle fois se manifeste un « communisme de marché », titre de l’ouvrage prémonitoire de Flora Montcorbier paru en 2000. Eric Posner et Glen Weyl confirment l’inquiétante convergence entre certains pans de la pensée libertarienne et un gauchisme économique le plus égalitariste, soit l’immense marchandisation de la vie, de la nature et du monde.

    Financiers, banquiers et autres cloportes du Capital planétaire nous préparent vraiment un monde affreux. Faisons donc cesser leurs manigances infernales, de gré ou de force !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°80, diffusée sur Radio-Libertés, le 25 mai 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • QUAND ÉDOUARD PHILIPPE MET EN CAUSE LA DÉMOCRATIE EN PRÉTENDANT LA DÉFENDRE

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    Jean-Luc Mélenchon avait promis, pour le 26 mai, une « marée populaire » : ce fut « un petit coefficient de marée », ironise le Premier ministre, dans un entretien au JDD. Il est de bonne guerre de discréditer l’adversaire par un mot d’esprit. Mais un bon mot n’a jamais fait une bonne politique, même s’il aide à la faire passer. Surtout quand l’argumentation qui l’entoure débouche sur d’autres débats, comme la légitimité du gouvernement et, plus généralement, des formes actuelles de la démocratie.

    Que la SNCF et le statut des cheminots doivent être réformés, nul n’en disconvient. Encore faut-il le faire sans arrière-pensées, expliquer clairement pourquoi une réforme est nécessaire et accepter un dialogue constructif. Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire. Pas question de discuter, puisque « la démocratie a parlé » : il est dangereux de « rejouer dans la rue ce qu’ [on] a perdu dans les urnes », souligne-t-il.

    Il faut sans doute avoir mauvais esprit pour n’être pas convaincu par ce raisonnement. Pourtant, au lieu de renforcer la position du gouvernement, il la rend plus contestable. « Nous avançons. Nous mettons en œuvre le programme du président de la République pour lequel les Français ont voté. » Pas de chance : la réforme de la SNCF n’était pas explicitement au programme. L’eût-elle été, cela n’autorise pas l’exécutif à imposer ses décisions.

    Macron a bien été élu par les Français, mais il a été mal élu : c’est incontestable. Insister sur la légitimité du Président, c’est pointer les faiblesses du système démocratique actuel, qui donne à une minorité la capacité d’être majoritaire. On objectera que, si beaucoup d’électeurs ont voté pour Macron sans conviction et par rejet de sa concurrente, les députés LREM, qui portaient son programme, ont obtenu une écrasante majorité.

    Il serait cruel de prétendre que la plupart n’ont été élus que parce qu’ils avaient le soutien de Macron. Et pourtant ! « Un âne aurait l’étiquette En Marche !, il aurait été élu », avait déclaré Edwy Plenel, au soir du premier tour des élections législatives. Pour une fois, avec raison. Tous les élus ne sont pas des ânes, mais force est de constater que rares sont ceux qui ne se comportent pas en godillots. Osent-ils sortir du lot, voire se rebeller, Richard Ferrand (le président du groupe) les rappelle vite à l’ordre et les remet dans le rang.

    Quand on voit la composition de l’Assemblée nationale, peut-on dire qu’elle soit représentative de l’ensemble des Français ? Le scrutin uninominal à deux tours permet, certes, d’avoir une majorité de gouvernement, mais c’est le gouvernement d’une minorité. Ce n’est pas l’introduction d’une petite dose de proportionnelle, tempérée par la diminution du nombre de parlementaires, qui y changera quelque chose. Seule une proportionnelle intégrale répondrait aux impératifs de la représentativité.

    Mais cela supposerait qu’on fasse des compromis. Vous n’y pensez pas ! Voulez-vous que nous connaissions la situation de l’Autriche ou celle de l’Italie (on oublie, généralement, de citer l’Allemagne) ? Pourquoi pas ? Ces pays respectent, plus que la France, le jeu démocratique. N’est-il pas paradoxal que nos dirigeants n’aiment la démocratie que lorsqu’elle leur assure d’avoir les mains libres ? Ils ont dédaigné, en 2005, les résultats du référendum pour une Constitution européenne, qui traduisait l’opinion du peuple.

    Si l’on doit fausser les règles de la démocratie pour pouvoir gouverner, ce n’est pas acceptable. C’est tout le système institutionnel qu’il faut avoir le courage de remettre en question et de refonder. Sans quoi, on joue la comédie de la démocratie en se comportant en despote.

    http://www.bvoltaire.fr/edouard-philippe-met-cause-democratie-pretendant-defendre/

  • Michel Geoffroy : « Pour s’affranchir de la super-classe mondiale, il faut être une puissance »

    Jeudi 24 mai 2018, Michel Geoffroy était invité par la radio Sputnik à présenter son dernier ouvrage : La Super-classe mondiale contre les peuples. Interrogé pendant près d’une demi-heure par Edouard Chanot, Michel Geoffroy a présenté ses travaux et répondu aux questions du journaliste.

    Peut-on évoquer l’élite mondiale et son action sans être taxé de complotisme ? C’est le pari de Michel Geoffroy, ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai La Super-classe mondiale contre les peuples. Entretien.

    Source : Sputnik

    https://www.polemia.com/michel-geoffroy-super-classe-mondiale-puissance/