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  • I-Média n°217 : Y-a-t-il un racisme anti-blanc ?

    Nick Conrad, Y’a-t-il un racisme anti blanc ?

    « Je rentre dans les crèches, je tue les bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents », ce sont les paroles du rappeur Nick Conrad dans sa chanson PLB. Les journalistes tombent des nues, le racisme anti blanc existe.

    Le Zapping d’I-Média

    Frédéric Taddeï est arrivé sur RT France jeudi 27 pour son émission quotidienne Interdit d’interdire. Sur France Inter, au micro de Sonia Deviller, l’ancien journaliste de France télévision souligne l’absence de débat à la télévision française. Pour exercer ce qu’il a fait pendant dix ans, Frédéric Taddeï est donc obligé de s’exiler sur une chaine Russe.

    Mariage homo, PMA homo, En marche, en avant !

    Le conseil national d’éthique rend son rapport et se déclare favorable à la PMA pour les couples homosexuels. Enfin ça bouge ! se réjouie libération. Une fois de plus, le débat est truqué, biaisé par les accusations d’homophobie.

    Les tweets de la semaine

    La parodie dans le viseur de plusieurs députés LREM. Le « Journal de L’Élysée », un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés. Ils réclament la suppression du compte twitter et accusent le compte de propager des fakenews. Mais dans cette histoire, il est à se demander si les députés ne parodient pas la démocratie.

    Ornellas, Bastié, Consigny, Moix, la semaine de Clash et bad buzz,

    Une semaine de clash et de bad buzz dans les médias, des pseudo « dérapages » qui fixent bien la ligne rouge à respecter pour exister dans la sphère médiatique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/28/25986/i-media-n217-y-a-t-racisme-anti-blanc

  • DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018 : TOUS À RUNGIS (94) POUR LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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    NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !

    Chaque jour qui passe confirme nos pires craintes, Macron et sa clique ne sont que les petits serviteurs du mondialisme. Ils ne sont que les exécutants serviles de la finance arrogante chargés de liquider ce qui s’appelle encore « la France »…

    Leurs objectifs : la destruction des nations et des civilisations et l’édification d’un vaste espace aux dimensions planétaires dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs interchangeables juste bons à enrichir les multinationales. Ils veulent un monde uniformisé, sans identités et privé de libertés. Un monde issu du grand brassage des populations déracinées. Un monde dans lequel les Soros et autres Attali seraient les maîtres à penser incontestés… Un monde dans lequel la Goldman Sachs et les autres institutions financières apatrides feraient la pluie et le beau temps…

    Eh bien, il se trouve que ce monde-là, nous n’en voulons pas. Un peu partout en Europe et ailleurs les peuples se réveillent. En Hongrie, en Autriche, en Flandre bien sûr, mais aussi en Italie, en Allemagne, en Grèce et même en Suède, la riposte populaire s’organise et s’amplifie. De manifestations en élections, les mouvements de résistances nationales et identitaires commencent à faire trembler la trahison.

    Aujourd’hui, deux conceptions de l’Europe s’affrontent : celle de la soumission, incarnée par Macron, la Merkel et leurs semblables d’un côté et, de l’autre, celle des Droites nationales, sociales, populaires et identitaires qui n’entendent pas laisser l’hégémonie mondialiste asservir les peuples.

    La France ne doit pas rester en dehors de cette nouvelle croisade salvatrice. Avec les autres peuples d’Europe nous devons entamer la reconquête de notre continent menacé. Les forces nationales et identitaires doivent se rassembler, nous avons perdu trop de temps. Assez d’égarements, assez d’aveuglement, reprenons en mains notre destin, ne laissons pas mourir la France !

    C’est dans cet esprit que nous organisons notre 12eJournée nationaliste et identitaire à Rungis le dimanche 14 octobre 2018. Nous comptons sur votre présence à tous…

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

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  • Patries. Un film choc de Cheyenne Carron sur le racisme anti-blanc et la remigration

     

    Le 21 octobre 2015 est sorti le nouveau film de la cinéaste indépendante Cheyenne Marie Carron , intitulé « Patries ». Un film particulièrement attendu car controversé avant même sa sortie, un film que nous avons pu visionner en exclusivité et en avant-première.
    Cinéaste engagée, Cheyenne Marie Carron fait des films depuis 2001 sans bénéficier de la promotion et de l’aide dont bénéficient beaucoup de films qui ne font pourtant pas honneur au cinéma français. Sorti en 2014, son film L’Apôtre avait même suscité de violentes critiques et menaces parce qu’il évoquait l’histoire d’un jeune musulman désireux de se convertir au catholicisme. On se souvient même qu’une salle, à Nantes, avait déprogrammé le film après les attentats de janvier, de peur de représailles de la part d’islamistes.
    N’ayant pas vu L’Apôtre, mon regard a donc pu se porter en toute objectivité sur le film Patries, film présenté comme traitant du racisme anti-blanc, dont j’avais vu la bande annonce au mois de mars dernier et lu le synopsis : « Sébastien et ses parents viennent d’emménager en banlieue parisienne. À son arrivée, il essaie de se faire accepter par un groupe de jeunes issus de l’immigration africaine. Malgré le rejet qu’il subit, une amitié complexe se noue avec Pierre, un jeune Camerounais en quête d’identité » 
    Quelle agréable surprise. Ou plutôt, quelle violente surprise. Car Patries est un film long-métrage coup de poing, une gifle en pleine figure, réalisé avec un budget équivalent à celui d’un clip publicitaire de 3 minutes effectués par des professionnels de la communication.
    Un film intégralement tourné en noir et blanc et qui se divise en deux parties ; on suit d’abord principalement Sébastien (et le jeune acteur Augustin Raguenet) , jeune de la France périphérique obligé de suivre ses parents (dont son père aveugle) en banlieue parisienne, sa mère ayant trouvé un emploi à Paris. Très vite, il fait la connaissance de Pierre, un Camerounais qui le prends sous son aile et tente d’intégrer Sébastien à « sa bande », sans succès. Car Sébastien – éduqué par des parents ayant porté le « vivre ensemble » au statut de quasi-religion – va vite se rendre compte qu’il n’est pas le bienvenue dans cette banlieue, lui, le blanc, le babtou, la face de craie. La réalité des métropoles françaises et notamment de ses banlieues lui explose alors en plein visage sans que ses parents n’y comprennent rien et il deviendra rapidement une sorte de bouc émissaire pour deux « racailles » africaines ayant dès la première rencontre refusé de lui serrer la main en raison de sa couleur de peau. Seule solution pour lui ? Fuir, retourner dans la France périphérique, ou bien faire face, physiquement, et « s’intégrer » dans son propre pays.
    La deuxième partie est centrée sur le personnage de Pierre, incarné par le brillant Jacky Toto, jeune Camerounais qui prend Sébastien sous son aile mais qui, suite à un mensonge non avoué de sa part, rompra de fait leur amitié et leur confiance naissante. Pierre – qui ne trouve pas de travail malgré sa volonté manifeste de réussir – est victime de DRH sans scrupules et d’une administration française qui ne pense qu’à l’aider, à l’assister, là où il voudrait réussir par lui même. Dans le même temps, il est en pleine crise identitaire, lui le Camerounais arrivé à 5 ans en France, jamais retourné au pays, mais n’ayant jamais su creuser sa place dans un pays qui n’est pas le sien. Doit-il partir et monter une entreprise au Cameroun, afin de réussir sa vie et d’aider son peuple , sur la terre de ses ancêtres ? Doit-il rester aux côtés de cette mère qui a tout sacrifié pour lui permettre une vie meilleure en France, et aux côtés de sa soeur, qui par le jeu d’une union mixte avec un bobo parisien français de souche, se sent beaucoup plus intégrée que lui ?
    Le résultat est un film abouti, dont la scène finale ne pourra surprendre que ceux qui, habitant la France périphérique, ne connaissent pas ou n’ont pas connu la vie en banlieue, la vie d’un jeune blanc devenu étranger dans son propre pays. Durant ce film, qui, non sans un clin d’œil appuyé à La Haine de Kassovitz , provoque un retour très violent au réel pour le spectateur, on se dit que du côté des enfants d’immigrés comme du côté des jeunes Français de souche, la cohabitation pacifique sera tout simplement impossible dans le futur, si ce n’est à la marge. Seuls les nantis ou les « vieux » comme dirait Julien Langella, et non pas les « anciens » , refusent de voir cette réalité, de l’admettre, alors même qu’elle est aujourd’hui communément admise par toute la jeunesse, quelle que soit sa couleur de peau ou son identité.
    Patries est un film dur, violent psychologiquement, porté par une superbe bande-son particulièrement adaptée qui dévoile tantôt la foi chrétienne profonde de la réalisatrice, tantôt le ressenti de la rue, avec quelques morceaux de rap bien trouvés. C’est un film qui lève le voile sur une réalité jamais évoquée jusqu’ici par le cinéma français, trop souvent englué ces dernières années dans le politiquement correct et la médiocrité. Un film qui mériterait lui aussi d’être projeté dans toutes les salles obscures de France et d’être montré à la jeunesse de France, dans les collèges et les lycées. Car la réalité de la France des villes d’aujourd’hui, c’est plus Patries que L’Esquive, film médiocre sur des « jeunes de banlieue » qui avait, politiquement correct oblige, remporté 4 Césars alors même que la critique spectateurs ne lui accorde aujourd’hui que 2,6 sur 5 (2 962 notes) sur Allo Ciné.
    Cheyenne Marie Carron est une cinéaste courageuse, au caractère bien trempé. C’est pourquoi elle a réussi avec brio ce film qui, au delà de ce qu’il montre, est techniquement réussi, surtout quand on connait le faible budget alloué. C’est pourquoi aussi, une certaine presse pourrait lui tomber rapidement dessus, ne pouvant admettre qu’une réalité certaine soit portée sur les écrans. Patries est en cette année 2015 au cinéma Français ce que « Catch Me Daddy » fut au cinéma anglais en 2014. Une révélation, une claque, à voir absolument à partir du mois d’octobre.

  • « Une Bibliothèque idéale » : un acte de résistance contre le déracinement de la jeunesse européenne

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    Par Michel Geoffroy, essayiste, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples  

    Il faut saluer l’initiative salutaire d’Anne-Laure Blanc, de Valérie d’Aubigny et d’Hélène Fruchard qui viennent de publier un excellent guide Une Bibliothèque idéale. Que Lire de 0 à 16 ans, aux éditions Critérion/Fondation pour l’Ecole. Il s’agit en effet d’un guide destiné aux familles, aux écoles, aux enseignants et aux bibliothèques pour les aider à sélectionner quels livres proposer aux enfants et aux adolescents. Pour les distraire mais aussi pour leur faire aimer la lecture et découvrir la richesse de notre patrimoine littéraire et de notre culture.
    A l’âge de la tyrannie du numérique, de l’idéologiquement correct et de la submersion de la sous-culture nord-américaine, cette ambition est déjà tout un programme. Un programme de résistance à la gigantesque entreprise de déculturation de la jeunesse européenne. Comme le rappellent les auteurs, Jean-Jacques Rousseau ne recommandait-il pas déjà de ne faire lire qu’un seul livre aux enfants ? C’était… Robinson Crusoé.

    Une œuvre collective

    Ce guide est aussi une œuvre collective puisqu’il reprend et enrichit les travaux du blog Chouette un livre ! et du site 123loisirs.com.
    C’est donc le fruit de ce travail en commun, entrepris dans la durée, que nous livrent Anne-Laure Blanc, Valérie d’Aubigny et Hélène Fruchard, toutes trois passionnées de littérature jeunesse et expertes en la matière.

    Leur guide s’ouvre d’ailleurs sur une remarquable histoire de la littérature de jeunesse et ses vicissitudes à l’époque moderne. Elle montre comment cette littérature a été longtemps conçue comme un tremplin vers l’accès à la culture et comme le moyen de diffuser des valeurs positives dans la jeunesse. D’où aussi la loi du 16 juillet 1949 sur la protection de la jeunesse, aujourd’hui ouvertement bafouée par certains éditeurs.

    L’amnésie programmée

    Mais ce modèle a été mis à mal avec l’avènement du marketing mondial d’une littérature conformiste et standardisée, qui organise sur une grande échelle le déracinement mémoriel. Avec le terrorisme audiovisuel qui fait reculer la capacité de concentration et donc la lecture.

    Avec enfin le rouleau compresseur de l’Education nationale qui, au nom de l’utopie égocentrique d’une auto-construction des savoirs, organise sciemment la rupture de la transmission culturelle. Une utopie car, comme l’écrit si bien Renaud Camus, « l’œil est idiot » : sans le soutien d’une culture on peut certes regarder le monde, comme on regarde la télévision, mais on ne peut pas le comprendre ni apprécier sa richesse. Ni encore moins agir dessus.

    Mais n’est-ce pas justement ce que recherche un Système qui n’a besoin que d’une ressource humaine amnésique et donc manipulable à l’envi ?

    Revenir aux fondamentaux

    Anne-Laure Blanc, Valérie d’Aubigny et Hélène Fruchard nous proposent au contraire de revenir aux fondamentaux de notre culture et de faire entrer l’enfant puis l’adolescent dans le monde enchanté mais formateur des contes et des légendes, des belles histoires, des romans historiques, des ouvrages religieux et des trésors de notre littérature classique. Mais aussi d’avoir recours aux beaux livres, bien écrits, avec de belles illustrations, pour stimuler le sens esthétique.

    Le guide a sélectionné pour ce faire près de 2 000 titres, classés par âge des lecteurs, par nature de livres et accessibles pour toutes les bourses : contes, abécédaires, aventures, histoire, romans, grands auteurs, etc. Il s’agit bien d’une sélection et les auteurs ne s’en cachent pas : à chacun d’y trouver son bonheur, de forger ses propres « clés » de lecture – voire de faire partager d’autres trouvailles.

    Mais leur choix permet justement de s’orienter dans le maquis – sinon le marécage – des publications destinées aux enfants et qui représente 14 % du marché de l’édition (hors bandes dessinées) : une bonne affaire pour certains mais pas forcément pour les familles.

    En outre leur choix est explicité car il s’appuie sur un « carré magique » : le respect de la langue française, la qualité esthétique du livre, la cohérence avec les valeurs morales et les traditions de notre société, enfin un regard positif et optimiste porté sur les personnages et les situations.

    Bref, tout le contraire du conformisme repentant, déracinant, consumériste voire LGBT friendly que le Système impose à nos enfants !

    Suivez le guide !

    Le guide, didactique, est enfin très bien conçu pour être d’usage facile, car il repose sur une progression en fonction de l’âge, avec notamment une découverte graduée des grands auteurs classiques mais pas seulement : les romans policiers, les romans d’aventure et la science-fiction ont aussi droit de cité ! Il s’agit en effet d’un guide actuel et non pas passéiste. Les Petites Filles modèlesaccueillent bien volontiers la Famille Saint-Arthur et le Prince Eric de Serge Dalens y côtoie le Sergent Flamme du Capitaine Caval. De même, les grandes figures mythologiques y conversent avec les héros de notre Moyen Age, croqués par des plumes contemporaines de qualité.

    L’ouvrage comporte aussi des monographies sur des auteurs incontournables comme les frères Grimm, Jules Verne ou la comtesse de Ségur, un index détaillé des auteurs et des illustrateurs ainsi que différents tableaux de synthèse.

    Lire c’est résister

    On retiendra pour conclure, la belle recommandation qu’Anne-Laure Blanc, Valérie d’Aubigny et Hélène Fruchard adressent aux parents ou aux enseignants : lisez d’abord les livres que vous offrirez à vos jeunes lecteurs.

    À l’âge de l’ahurissement médiatique de masse, lire c’est aussi résister.

    Ce n’est pas pour rien si les auteurs recommandent la lecture du chef d’œuvre de Ray Bradbury Fahrenheit 451….

    Michel Geoffroy 27/09/2018

    Anne-Laure Blanc, Valérie d’Aubigny et Hélène Fruchard, Une Bibliothèque idéale. Que Lire de 0 à 16 ans, 2018, Éditions Critérion/Fondation pour l’Ecole, 286 p., 17,90 €

    https://www.polemia.com/une-bibliotheque-ideale-acte-resistance-deracinement-jeunesse-europeenne/

  • Le chef de la police de Rodez poignardé par un individu interpellé 42 fois pour violence

    Le chef de la police de Rodez poignardé par un individu interpellé 42 fois pour violence

    Le criminel qui a poignardé le chef de la police à Rodez avait été interpellé 42 fois pour des faits de violence.

    Alexandre Dainotti, réputé violent, avait menacé à plusieurs reprises le maire de Rodez Christian Teyssèdre et proféré des menaces de mort à l’encontre de fonctionnaires de la ville. D’après la mairie de Rodez, il a tendu jeudi matin un guet-apens à Pascal Filoé : alors que celui-ci quittait la mairie pour se rendre à une réunion, l’homme, qui l’attendait dans une ruelle, lui a sauté dans le dos. Il a alors été frappé à coups de couteau, à 9 reprises. Pire : placé en garde à vue, le suspect se serait vanté d’avoir tué sa victime.

    Dainotti n’a jamais été sanctionné ou verbalisé par les agents municipaux. Un jour, il a croisé le maire et Pascal Filoé dans une rue, et les a menacés tous deux de mort.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-chef-de-la-police-de-rodez-poignarde-par-un-individu-interpelle-42-fois-pour-violence/

  • La Nouvelle Librairie a organisé avec succès sa première dédicace avec Eric Zemmour

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’était un événement dans le Quartier latin. Malgré les menaces et intimidations de mouvements antifascistes, la venue d’Eric Zemmour hier à la Nouvelle Librairie a rencontré un succès inattendu. Une manche gagnée pour François Bousquet et la revue Eléments, qui ont récemment rouvert l’ancienne librairie de l’Action française, en plein Quartier latin, 11 rue de Médicis. Un important dispositif policier protégeait la librairie toute la journée, et plusieurs militants d’ultra-gauche ont été arrêtés.

    Pour leur première signature, ils ont invité Eric Zemmour, en pleine polémique sur la sortie de son livre.

    Plus de 400 personnes ont pu rencontrer Eric Zemmour et obtenir une dédicace de son dernier livre. Intitulé « Destin Français ».

    Lire la suite

  • Destin français, d’Éric Zemmour

    3153493209.jpgC'est une intéressante recension du dernier livre d'Eric Zemmour que Gabrielle Cluzel nous donne ici. [Boulevard Voltaire, 18.09].  

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    L’œuvre d’Éric Zemmour est un peu comme Star Wars : elle a commencé par la fin, et ce n’est qu’ensuite que l’on comprend, en revenant aux sources. Après Le Suicide français, voici Destin français, magnifique fresque historique qui tient de Bainville, de Castelot, de G. Lenotre, de Bordonove et n’est à la fois rien de tout cela. C’est l’Histoire de France incarnée, spirituelle, prophétie biblique : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées… » Le péché originel des parents sera expié par les fils. « L’Histoire ne repasse pas les plats », disait Céline, mais elle accommode les restes, pour les servir des siècles plus tard : « La France semble condamnée à revivre sans cesse la même histoire, à revivre sans cesse les mêmes passions délétères. »

    Zemmour compare la France à une mourante qui verrait défiler devant ses yeux toute sa vie : « Elle semble repasser par toutes les étapes de son existence millénaire. »

    Chaque chapitre est peu ou prou consacré à une figure emblématique – Clovis, Saint Louis, François Ier, Richelieu, La Pompadour, Robespierre, Napoléon, Clemenceau, Pétain, de Gaulle… – dont le destin s’est un moment confondu avec celui de la France, et dont le courage ou la pusillanimité, la clairvoyance ou l’aveuglement, la détermination ou la légèreté ont infléchi le cours de la vie de nos aïeux, et le cours de la nôtre qui lui est indissolublement lié.

    Il est des livres succincts dont on dit, riant, que s’ils tombent, ils ne risquent pas de vous casser le pied… Méfiez-vous de ne pas laisser choir celui-ci. Et pourtant, aucune longueur. Le livre est lourd mais la plume légère.

    Éric Zemmour l’a dédié à ses parents, et c’est à eux qu’il consacre les première pages, surprenant ses lecteurs qui le savent peu prompt à s’épancher – la proximité de Christine Angot, sur les plateaux, l’a sans doute vacciné. C’est qu’ils sont l’alpha et l’omega de ce bouquin-là : il leur doit son inextinguible fibre française. Pieds-noirs, descendants de Berbères soucieux de faire à Rome comme les Romains (donc, de donner des prénoms « du calendrier » à leurs enfants – confer une controverse récente), ils s’agacent de s’entendre qualifier de « juifs de France » quand ils se considèrent « Français juifs ».

    Éric Zemmour opte résolument pour le roman national, mais un roman qui ne s’inscrirait pas comme le Lavisse dans le courant romantique mais serait résolument réaliste : le féminisme beauvoirien tel que présenté par Éric Zemmour a quelque chose de bovarien, Simone aurait dû s’appeler Emma, James Rothschild a les traits de Nucingen et l’Italienne Catherine de Médicis les états d’âme d’une héroïne de Stendhal. Il les décrit comme ils sont, sans les noircir ni les idéaliser. Le manichéisme ne passera pas par lui et les titres des chapitres respectivement consacrés à Pétain et de Gaulle – « L’homme qu’il faut détester »« l’homme qu’il faut aimer » – parlent d’eux-mêmes. Il sort même du placard de grands oubliés, depuis longtemps remisés parce que trop étrangers à l’esprit du temps pour pouvoir être compris : qui connaît encore Bossuet, dont Zemmour écrit pourtant qu’il « réussit dans une langue d’une pureté inégalée la synthèse française du quadrilatère européen des racines juives, chrétiennes, grecques et romaines ». Qui sait encore que le comte de Chambord, par ce drapeau blanc dont il a fait « le test de sa liberté », a signé un « échec emblématique, matriciel même pour la droite française », « [annonçant] les défaites à venir pour pour ce courant conservateur ».

    On dit d’Éric Zemmour qu’il est misogyne ; il est surtout misanthrope. Atrabilaire amoureux d’une France volage, futile, mondaine, inconséquente et belle comme pas deux, dont il voit avec une acuité féroce tous les travers qui la font courir à sa perte mais dont il ne peut se déprendre. Et nous avec lui.   

     Ecrivain, journaliste

    Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • A Toulon, mercredi 3 octobre, ouverture du Cycle de Conférences du Cercle Pierre Debray...

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  • Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

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    Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien-pensante, s’offusquant, dans un premier temps, de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui, le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

    Eh bien, non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

    Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

    Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

    Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser ses propres citoyens.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-refuse-de-pleurer-sur-le-sort-des-migrants-de-laquarius-et-elle-a-raison/