Au sommaire :
– 1918, l’année de la victoire
– Marie-Thérèse Figueur, Madame sans-gêne
https://www.tvlibertes.com/2018/09/25/25936/passe-present-n210-1918-lannee-de-victoire
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Au sommaire :
– 1918, l’année de la victoire
– Marie-Thérèse Figueur, Madame sans-gêne
https://www.tvlibertes.com/2018/09/25/25936/passe-present-n210-1918-lannee-de-victoire
Lu sur l’OJIM cette alliance entre des marxistes et le grand capital :
En 2016 (source Lettre A) le fonds Google avait financé deux projets numériques du journal communiste. Le premier Cerise prenait la forme d’un réseau social. Le second Partage social club (PSC) se présentait comme une plate forme de partage de vidéos et d’informations. Ni l’un ni l’autre n’ont connu le succès escompté.
En 2018 Google remet au pot sous la forme d’une aide pour la réalisation d’Humagora, le futur support digital du journal. La responsabilité en a été confiée à Valère Staraselski qui n’a aucune expérience en la matière mais présente l’avantage d’avoir été le directeur de la culture de la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) du comité d’entreprise EDF. La CCAS a servi de tiroir caisse pendant de nombreuses années au PCF et à la CGT, l’ami Valère saura se montrer loyal.
Humagora se présenterait sous la forme d’un site de débats style FigaroVox. Google remettra la main à la poche (comme sans doute l’État).
https://www.lesalonbeige.fr/google-finance-le-quotidien-communiste-lhumanite/
La France, terre de contrastes ou plutôt de contradictions. Notre pays n’en est plus à une près. On pourrait même dire qu’elle les cumule et, au fond, que c’est peut-être sa principale caractéristique. Prenez ce sujet de la PMA. Sujet fondamental, s’il en est. Tout le monde savait bien qu’Emmanuel Macron et le mouvement En Marche ! étaient favorables à la procréation médicalement assistée pour les couples de femmes : ceux qui étaient sensibles au sujet, partisans ou opposants, comme ceux qui y étaient indifférents.
Sujet fondamental, disions-nous, plus important qu’un taux de CSG ou d’imposition sur le revenu. Alors, quelle fut la place de la PMA (et de la GPA, car la suite est écrite d’avance, on le sait bien) à l’occasion du second tour de l’élection présidentielle de 2017 dans le choix des Français qui se disent attachés à la forme traditionnelle de la famille ? Car, rappelons-le, nous avions face à face un candidat favorable à la PMA et une candidate farouchement opposée. On se souvient même que quelques évêques (moins qu’en 2002 !) avaient clairement indiqué pour quoi il ne fallait pas voter… Comme quoi, les questions fondamentales de société ne sont pas centrales dans l’isoloir ! Et pourtant, on devrait comprendre qu’on peut modifier, corriger une loi dans les domaines économique, social, etc. En revanche, il est bien plus difficile de revenir sur ce qu’il est convenu d’appeler un « progrès sociétal ».
Autre contradiction intéressante, autour de la question des origines. La semaine dernière, polémique monstre autour de « l’affaire du prénom ». Hapsatou est-il un prénom français ? On aurait pu débattre calmement du sujet. L’affaire a tourné à l’hystérie et fut l’occasion de dresser le bûcher sur la place publique où l’on y a jeté le petit juif de Montreuil. Donc, Hapsatou est un prénom français. Mettons. Et si on disait que c’est un prénom français d’origine sénégalaise, comme Édouard est un prénom français d’origine anglaise (lire, à ce sujet, la tribune d’Alain de Benoist dans ces colonnes, le 26 septembre) ? Si les parents de Mme Sy ont voulu donner ce prénom à leur fille, c’est sans doute pour lui rappeler ses origines, ses racines, pour la rattacher à une lignée, une histoire familiale. Et, d’ailleurs, il serait contraire aux « droits humains » d’interdire à tous ces enfants de la République de pouvoir se rattacher à leur culture d’origine en leur imposant un prénom français (vieux style, dirons-nous) et en leur enseignant cette billevesée que les Gaulois sont leurs ancêtres. Alors, admettons encore.
En revanche, priver un enfant de père ne semble pas du tout un problème. Exemple : mardi soir, reportage dans l’émission « C dans l’air » de la 5 sur un couple de lesbiennes qui ont bénéficié de la PMA en se rendant au Danemark, ce pays luthérien cher à Emmanuel Macron. Pas de père, donc, mais un « donneur ». « On a des photos de lui, on a beaucoup de critères physiques, on a ses goûts, ce qu’il fait dans la vie… Ce qu’on n’a pas, c’est son prénom, son âge… », explique l’une des deux femmes. La seconde poursuit : « Nous, ce qu’on a choisi en faisant une PMA au Danemark, c’est de sortir de l’équation cette notion de « père ». Charline aura un donneur mais n’aura pas cette filiation avec un homme, ce qui n’est pas grave. Par contre, si un jour elle a besoin d’avoir accès à ses origines… elle aura accès au dossier. » La filiation en option, comme pour une voiture.
Voilà donc dans quelle nouvelle contradiction la société française est entrée. Il est quasiment criminel de reprocher à une maman d’avoir appelé sa fille Hapsatou pour lui rappeler ses origines. Il n’est pas « grave » qu’un enfant n’ait pas de filiation avec un homme.
Et la généalogie, dit-on, est une passion française…
http://lepeuple.be/714-des-bruxellois-sont-dorigine-etrangere/92934
Il suffit de se promener dans les communes de la Région bruxelloise : ici, c’est le voile islamique qui domine, là la communauté africaine occupe le terrain. Et on pourrait poursuivre en dénombrant les rues et les quartiers se « polognisant », se « tchétchènisant », se « roumanisant », se « bulgarisant », sans compter une commune comme Saint-Josse-ten-Noode devenue véritable fief turc d’Erdogan. Des chiffres officiels viennent de tomber. Ils sont très parlants.
C’est de Flandre que viennent ces statistiques qui interpellent. Ce qui laisse supposer que les médias francophones et subsidiés risquent de ne pas les relayer.
Pourtant l’organe qui les produit est tout ce qu’il y a d’officiel : Statistiek Vlaanderen, créé par un décret du gouvernement flamand, daté du 22 avril 2016, est accessible par tous via Internet (site : www.statistiekvlaanderen.be/statistiek-demografie).
Dans son édition du 26 septembre la chronique quotidienne de Valeurs actuelles donnait des indications fort instructives, et inquiétantes, sur la déprogrammation du passage d'Éric Zemmour sur France 2.
Valeurs actuelles fait le bilan: "Pas de Zemmour dans Histoire d’une nation, la série documentaire de France 2 qui raconte le rôle des immigrés en France de 1870 à 2005, à travers notamment le récit des histoires familiales de certaines personnalités issues de l’immigration. Pas de Zemmour dans Les 4 Vérités, pas de Zemmour dans l’Émission politique, qui reçoit ce jeudi le Premier ministre Édouard Philippe, et pas de Zemmour, donc, dans On n’est pas couché, malgré la volonté de certains animateurs de ces grandes émissions qui se sont systématiquement heurtés à un refus de la chaîne. Son absence du service public télévisuel pour la promotion de son nouveau livre, alors même qu’il constitue l’un des événements médiatique de la rentrée, pose la question de sa censure par la direction de France Télévisions."
La marée du sectarisme semble ainsi monter comme inéluctablement.
Or, en bas de page, peut-être simple effet du hasard, car la rédaction ne souligne aucun rapprochement, est publiée entre autres la courbe d'évolution de ce qu'on appelle la redevance. Cette taxe que l'on paye depuis quelques années avec la taxe d'habitation a pour vocation de financer les chaînes publiques de radio et de télévision.
Il n'est guère possible de s'y soustraire volontairement même si on ne désire jamais écouter les médias contrôlés par l'État.
Les conditions d'exonération ou de réduction de cette taxe, fixée par la loi de finanaces pour 2018 à 138 euros, en attendant d'être encore augmentée, révèlent d'ailleurs, une fois de plus, les tares du système : les ressortissants de l'outremer, où la plupart des autres prix sont plus élevés, payent 88 euros, et un nombre non négligeable de gâteux ou d'illettrés sont gavés gratuitement de propagande marxisto-gouvernementale.
Ne laissons pas croire à nos lecteurs francophones résidant à l’étranger qu’en échange de cette contribution, les citoyens de l’Hexagone seraient libérés de la part publicitaire de l’abrutissoir : les chaînes étatiques ont été autorisées à capter une partie des budgets d’annonces qui permettraient au secteur privé de s’exprimer plus librement.
Par exemple "C'est Canteloup" à 20 h 50 sur TF1[1] constitue, à l'évidence, l’une des rares sources d’information presque objective du PAF. Ici paf ne doit pas être compris comme l'onomatopée retraçant le coup qui nous est assené dans le visage. PAF veut dire paysage audiovisuel français. Et bien entendu l'émission est diffusée par une télévision privée. Si l’on souhaite l'écouter, on supporte patiemment les fadaises publicitaires qui précèdent la séquence, qui sera rehaussée par la collaboration de la ravissante Alessandra Sublet. On sait qu'il s'agit de la rançon de la liberté.
Si des subventionnaires, surpayés, sectaires et en sureffectif s'emploient à siphonner ces ressources, cela signe aussi les cyniques censures du système.
Qu'on ne vienne pas parler du rôle régulateur du CSA, qui depuis sa fondation par Mitterrand fonctionne en vue du Contrôle socialiste sur l'audiovisuel. Cette instance est actuellement, depuis 2013 et en principe jusqu'en 2019, présidée de droit divin par Olivier Schrameck. Cet ancien directeur du cabinet et ami de Jospin, pilier de cet hypocrite laïcisme républicain camouflant mal la tyrannie jacobine, ne fait que continuer la longue série de censures feutrées dont l'instance a fait sa fonction.
Quand nous payons la redevance nous ne payons pas pour un service public mais pour financer à la fois le bourrage de crâne monopoliste de gauche et les sinécures des radioteurs de la médiocrité.
JG Malliarakis
Apostilles
[1] Les internautes ne payant pas encore de redevance au titre de leur ordinateur, nous suggérons à ceux qui ne la connaîtraient pas de prendre connaissance comme échantillon de "C'est Canteloup" du 24 septembre 2018.
Selon un document confidentiel du parlement, consulté parLe Parisien , les dépenses de l’Assemblée nationale ont largement dépassé les prévisions du budget 2019. Le Palais Bourbon devra ainsi, selon le quotidien, puiser dans ses réserves près de 47 millions d’euros l’an prochain – sur un total de 318 millions d’euros -, contre 28,4 millions d’euros prévus à la fin de l’année 2017.
«Les charges prévisionnelles de l’exercice 2019 sont supérieures à la dotation de l’État et aux recettes propres de l’Assemblée», pointe ce document cité par Le Parisien. Le quotidien relève notamment l’acquisition de l’Hôtel de Broglie en 2016 pour 63 millions d’euros. En décembre 2017, les députés avaient voté à une large majorité en faveur de la conservation de ce site de 7 000 m² où seront aménagés des bureaux-couchettes et des espaces de travail pour les élus et leurs collaborateurs.
[…] Mais le document consulté par Le Parisien fait surtout apparaître les effets pervers de la réforme des retraites votée l’an dernier. Car si la baisse des pensions ne touchera que les futurs retraités, la réduction de l’assiette des cotisations est d’ores et déjà entrée en vigueur. Un déficit aggravé que l’Assemblée nationale doit aujourd’hui combler grâce à une subvention interne d’équilibre d’environ 40 millions d’euros. […]
Bernard Plouvier
D’abord, il y eut la chienlit gauchiste. Et L’occident devint plus grossier, moins beau et plus stupide : orgies sexuelles et promotion de l’avortement de complaisance (vite remboursé SS dans le cas français), flambée de la consommation de tabac, d’alcools, d’antidépresseurs et de stupéfiants, institutionnalisation de la paresse par les syndicats et les politiciens les plus démagogues, féminisation outrancière des postes de prise de décisions, montée en puissance du lobby des « bizarres » en tous genres (comprenne qui pourra : les rédacteurs-en-chefs ont tous peur des poursuites pénales et on peut les comprendre !).
Car, dans cette Europe post-soixante-huitarde, les lois restreignant la liberté d’information et d’expression se sont multipliées (Loi Pleven de 1972 et Loi Fabius-Gayssot de 1990, pour le cas français). Et cette répression fait le lien avec l’autre période de décomposition accélérée : celle des années 1980-90, amenant la tyrannie globalo-mondialiste, imaginée par le Roosevelt des années 1937-45, mise en place par un consortium de gérants d’empires multinationaux et de super-États.
Et l’Occident fut le miroir aux alouettes de populations parmi lesquelles se distinguèrent un certain nombre de sous-doués et de sous-évolués, parfois violents et avides, introduits à la fois pour consommer (avec le produit des taxes et impôts soutirés aux contribuables occidentaux) et, par la force des choses, pour métisser les populations occidentales, rétives aux charmes de la surconsommation et de l’hédonisme béat, du seul fait d’un fort sens critique chez 20 à 25% des membres de ces populations.
De fait, l’Occident actuel est malade de démence.
Nos soi-disant élites de gouvernement (une dénomination qui ne peut que faire hurler de rire un honnête homme) ne sont que des monuments d’arrogance, de perversité et d’incompétence, parlant sans réfléchir, sous le coup des émotions de l’opinion publique, qu’ils font semblant de partager parce que cela est « bon pour les sondages », mais agissant uniquement dans le cadre étroit des ukases venus du monde de la Finance.
Et l’on retrouve les mêmes caractéristiques chez les petits maîtres des administrations publiques et chez les autoproclamés « killers en col blanc » des multiples postes directoriaux des grandes entreprises privées… des « killers » qui ne tiendraient pas debout trois minutes lors d’une agression dans une zone de non-droit (il en existe plus de 2 000 sur le sol de ce qui fut notre belle France) !
Le plus beau dans l’histoire est qu’il existe une troisième cause à notre déchéance occidentale, que seule l’actualité nous fait redécouvrir, car on l’oubliait de plus en plus : le petit monde des fonctionnaires à-demi fous d’orgueil, opérant dans les Organismes supranationaux qui fonctionnent en roue libre (c’est-à-dire sans contrôle par les vrais maîtres, ceux du Pouvoir économique).
En résumé, les pitres des organismes dépendant vaguement du « machin » (l’ONU en langage gaullien), soit, entre autres exemples, l’Unesco ou l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé).
Ce dernier « sous-machin » avait vomi tellement d’études qui faisaient hurler de rire les médecins placés au contact des réalités, avait tant multiplié d’avis idiots qu’on avait pris l’habitude d’en oublier l’existence… en langage actuel, on dirait : « de le zapper ».
Grave erreur ! On savait- déjà que l’abandon du BCG – ce vaccin contre la tuberculose qui avait fait disparaître les formes très graves de la maladie : tuberculoses pulmonaires aiguës et méningo-encéphalites – était une stupidité sans pareille. On savait surtout que l’ordre d’abandonner la vaccination jennérienne (contre le groupe de virus Vaccine-Variole) serait, un jour plus ou moins lointain, la cause de résurgence d’une des pires calamités de l’humanité, de l’Antiquité au XIXesiècle : les pandémies de variole.
Cela commence ! En Grande-Bretagne, trois cas de variole simiesque, importée d’Afrique, font la Une des journaux et l’on ignore tout de l’état sanitaire des zones africaines et moyen-orientales où la civilisation moderne a disparu en même temps que partait l’homme blanc.
Il serait temps qu’en Occident, on prenne conscience de la profonde capacité de nuisance de nos soi-disant dirigeants qui ne sont que des fumistes… n’oublions pas Montaigne : « Aussi haut qu’on soit assis, on ne l’est jamais que sur son c… » !
Il serait grand temps que le citoyen-électeur prenne le temps de réfléchir, de s’abstraire par simple bon sens d’une propagande qui jure constamment avec la réalité des faits.
Délirons moins et chassons les parasites qui font semblant de nous gouverner. Après tout, les électeurs de Russie, de Hongrie, d’Autriche et d’Italie nous ont montré le chemin.
C’est une visite sur le thème de l’immigration clandestine et du trafic d’être humain. Matteo Salvini est en Tunisie où il a rencontré le président Beji Caid Essebsi, ainsi que son homologue Hichem Fourati.
Le ministre italien de l’intérieur a appelé au rapatriement des Tunisiens arrivés illégalement en Italie, et à “bloquer” l’émigration irrégulière.
Matteo Salvini a notamment déclaré :
Nous nous sommes mis d’accord sur une lutte plus efficace contre le trafic humain, tant pour les départs que pour limiter le nombre de morts et de rapatriements. Avoir une immigration contrôlée, limitée et qualifiée sera une valeur ajoutée pour notre pays, pour la Tunisie également, et pour d’autres pays.
Artiste considérable, Michael Lonsdale est l’un de nos plus grands acteurs de théâtre et de cinéma. Ses apparitions se font très rares et il a accepté de venir sur TV Libertés pour évoquer son récent pèlerinage à Tibhirine sur les traces de Frère Luc dont son émouvante interprétation dans “Des hommes et des dieux” lui a valu un César. Une rencontre unique avec un immense acteur et homme de prière.