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  • Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

    Le communiqué de la Dissidence française :

    Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

    MOBILISATION GÉNÉRALE !

    Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

    Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

    RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
    PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

    L'appel de Vincent Vauclin :

  • Délivrer les Français de l’emprise des médias

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle ♦ Les médias représentent aujourd’hui le premier pouvoir, avant le judiciaire, l’exécutif et le législatif. Mais s’ils dominent les politiques, ils ont aussi placé les Français sous influence. Tous adeptes de la pensée unique, ils cherchent à les endoctriner en utilisant les méthodes classiques de manipulation de l’opinion. Les Français se trouvent dès lors privés d’informations objectives et soumis à une propagande qui n’est pas sans effet. Ligne droite considère donc comme essentiel de délivrer nos compatriotes de cette emprise et pour ce faire d’imposer la pluralité aux médias.

    La mise sous influence des Français

    Aujourd’hui, ceux-ci contrôlent en effet la vie nationale. Ils ont pris le pas sur le pouvoir politique, mais ils se sont aussi imposés auprès des autres acteurs du pays. Il n’est guère d’activité qui échappe à leur impérium. Les entreprises les craignent, les fonctionnaires et les professionnels aussi. Ils font et défont les carrières et décident de ce qu’il faut penser. Ce sont eux qui désignent ceux qu’on doit aimer et ceux qu’il est bon de détester.

    Or, ce pouvoir d’influence n’est évidemment pas neutre idéologiquement ni politiquement. Derrière l’affichage d’un pseudo-professionnalisme souvent caricatural, ce sont les mêmes mots d’ordre et les mêmes techniques qui sont utilisés, quel que soit la chaîne ou le support, pour défendre et promouvoir l’idéologie du Système.

    Une atteinte aux libertés et à la démocratie

    Dès lors, soyons clairs, les Français se retrouvent dans une situation comparable à celle des citoyens des démocraties populaires à l’époque de l’URSS. S’ils ne risquent pas le Goulag, ils sont en revanche confrontés à un système médiatique totalement verrouillé ainsi qu’à une idéologie officielle qui leur est imposée. Et s’il n’y a pas de médias officiels, la configuration n’en est que plus malsaine, car elle est dissimulée au point que beaucoup de Français n’ont pas conscience d’être la cible d’une manipulation. Nos compatriotes sont ainsi privés d’informations objectives et soumis à un endoctrinement caractérisé. Et malgré leur esprit critique, nombre d’entre eux se laissent aveugler et renoncent à s’opposer.

    Il est vrai que le Système utilise pour se protéger un argument très fort, celui de l’émotion et des bons sentiments. Pour obscurcir l’esprit des Français et les détourner de leur instinct identitaire, les tenants du politiquement correct n’hésitent pas en effet à montrer par exemple la misère des migrants, voire la mort de certains d’entre eux, fussent-ils des enfants. L’idée est d’émouvoir nos compatriotes en faisant appel à leurs bons sentiments pour les amener à accepter le volet le plus traumatisant de la pensée unique, à savoir l’immigration. Et beaucoup, n’entendant aucune voix contraire, se laissent entraîner sur un chemin qu’ils n’auraient peut-être pas suivi autrement.

    On peut dès lors affirmer que, les médias, par leur puissance et leur quasi-monopole, limitent les libertés de nos compatriotes. De ce fait ils faussent les votes et assurent artificiellement la survie du Système tout en empêchant le grand changement.

    Remettre les médias à leur place

    Devant cette situation, ô combien malsaine, Ligne droite estime nécessaire de remettre les médias à leur place. Jusqu’à présent, aucun dirigeant n’a eu le courage de tenter une telle mise en ordre, car c’est à une réaction violente et dévastatrice qu’il s’exposerait ainsi qu’à l’accusation terrible de vouloir mettre en cause la liberté de la presse. Un mot d’ordre incapacitant qui vise à neutraliser par avance toute tentative de remise en cause du statut actuel des médias.

    La liberté de la presse : pour les journalistes ou pour les Français ?

    La question de la liberté de la presse est pourtant très ambiguë. Si nous vivions sous un régime officiellement totalitaire, il s’agirait de mettre fin à la censure. Mais il y a longtemps que celle-ci n’existe plus dans notre pays.

    Dès lors, quelle est cette liberté de la presse qui serait si importante à préserver ? Est-ce la liberté des journalistes d’écrire ce qu’ils veulent ? Sans doute est-ce l’idée que s’en font les intéressés mais une telle conception est totalement illégitime car elle conférerait à la caste des journalistes des privilèges hors du commun.

    De même, la liberté de la presse ce n’est pas la liberté des patrons propriétaires de médias de faire dire ou écrire ce qui leur plaît. Une telle conception, qui correspond pourtant aux usages actuels, est là encore totalement illégitime car elle accorderait un avantage indu aux milieux d’argent.

    Non, dans le monde d’aujourd’hui, la liberté de la presse devrait plutôt se définir comme la possibilité offerte à tous les Français de disposer de journaux ou d’émissions qui correspondent à leur sensibilité. En d’autres termes, la liberté de la presse c’est le pluralisme dans les médias.

    Imposer le pluralisme

    Aussi, pour délivrer les Français de l’emprise médiatique, la droite nouvelle devra rétablir une véritable diversité politique et idéologique de la presse ainsi que des chaînes de radio et de télévision. De nombreuses dispositions pourront être prises à cet égard, à commencer par la réforme du financement public des médias. Dans la mesure où il est assuré avec des crédits publics venant de toute la population, le système actuel exige qu’une partie des contribuables payent pour des médias qui s’en prennent à leurs convictions et bafouent leurs valeurs. Il s’agira donc de remplacer ce système par un dispositif démocratique et transparent qui permettra aux Français de financer directement les médias de leur choix.

    Quant au secteur de la publicité qui procure aux médias une fraction déterminante de leurs ressources et qui utilise cette position stratégique pour empêcher toute émergence d’un média nouveau non politiquement correct, il devra faire l’objet d’une restructuration notamment pour casser la prééminence de Publicis.

    Il conviendra en outre de réformer le CSA pour qu’il reflète enfin la réalité de l’opinion et intervenir dans les écoles de journalisme, aujourd’hui totalement soumises à la pensée unique, pour y introduire une véritable diversité de convictions.

    Libérer la parole

    Par ailleurs, la parole devra être libérée aussi bien pour les journalistes de droite que pour les Français en général. La répression qui s’exerce actuellement sur tous ceux qui ne communient pas dans la pensée unique devra être supprimée. Il conviendra pour cela de priver la justice des lois prétendument antiracistes dont elle se sert à cette fin.

    Le rétablissement du pluralisme dans les médias et la remise en cause de leurs pouvoirs et de leur prééminence aideront à rendre leur liberté aux Français et leur permettront ce faisant de mieux discerner la voie de leur intérêt collectif.

    Ligne droite 28/10/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Noah Fischer via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/delivrer-les-francais-de-lemprise-des-medias/

  • Un lopin de terre agricole offert pour la naissance du troisième enfant

    Un lopin de terre agricole offert pour la naissance du troisième enfant

    Le gouvernement italien n’aura pas tardé à prendre de bonnes initiatives en faveur de la Famille :

    “Le gouvernement populiste italien veut encourager la natalité en offrant un terrain agricole aux parents qui auront un troisième enfant dans les prochaines années, ont rapporté aujourd’hui les médias italiens. La mesure, élaborée par la Ligue (extrême droite) et insérée dans le projet de budget 2019, prévoit d’offrir une concession pour 20 ans sur un terrain agricole public aux familles qui s’élargiront entre 2019 et 2021. “On dit que les Italiens font peu d’enfant et qu’il faut renverser la tendance”, a expliqué à la presse le ministre de l’Agriculture Gian Marco Centinaio, issu de la Ligue. “Le ministère veut contribuer, en favorisant les zones rurales, où les gens ont encore des enfants”.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-lopin-de-terre-agricole-offert-pour-la-naissance-du-troisieme-enfant/

  • De l'Occidentalisme: les subversions conservatrices

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    Ex: http://lheureasie.hautetfort.com

    Nous vous encourageons à développer votre construction idéologique occidentaliste plus en avant et à hauteur d'une théorie politique ; de lui donner les lettres de noblesse que cette idée porte à travers des essais critiques et de combat, par de véritables travaux pratiques qui feront date et aboutiront aux termes d'une philosophie-politique révolutionnaire. Vous devez fonder votre « école » comme l'ont fait les eurasistes, ne pas renoncer à vous hisser à l'échelle de l'histoire, à retrouver vos filiations, à relier vos références ; à voir un couché de soleil à Fisterra.

    L'occidentalisme est à l'origine un courant de pensée qui est né en Russie, c'est intéressant de le souligner pour nos lecteurs. Sans doute Suavelos et la nouvelle école occidentaliste française auraient des débats plus enrichissants avec des russes et des eurasistes pour le développement de leur théorie politique qu'ils en ont avec les nationalistes et les patriotes français, ainsi qu'un accès à l'université et aux intellectuels russes, qui lisent les auteurs anglo-saxons à la différence des « dissidents »...

    Nous avons compris que votre concept original d'occidentalisme ne fait pas référence à un occidentalisme passé, qu'il procède d'une construction idéologique en temps réel dont le départ serait le trumpisme, mais nous pensons que, outre la politique de Donald Trump et l'innovation politique, c'est une erreur d'orientation à moyen-long terme de se construire en actualité et, disons, une incompréhension de la nature métaphysique de la Révolution conservatrice ; erreur d'incompréhension et d'interprétation que vous rectifierez par vous-même, nous n'essayons pas de vous faire la leçon : nous vous proposons des pistes de réflexion.

    Premièrement, la notion civilisationnelle d'occident est religieusement et intimement liée à l'Empire romain et chrétien d'Occident dans l’imaginaire politique collectif. La référence positive à l'occident dans le terme occidentalisme est cognitivement incompatible avec votre critique extrême et réductrice du principe de religion justifiée et de l’Église catholique romaine pour vous situer clairement dans le paysage politique ; à l'innovation libéral-progressiste et à l'avant-garde d'un mouvement révolutionnaire du soleil couché qui s'ouvre sur la raie de Gaspard Koening. Deuxièmement, la respiration qu'offre Donald Trump au monde occidental ne surmonte pas les réalités géopolitiques, les conflits d’intérêts, entre l'atlantisme étasunien et le rimland européen qui reviendront tambours battants à la prochaine expiration. Troisièmement, nous pensons que l'idée d'occidentalisme provient d'un excès de « réelle politique » sans vision géopolitique et de pragmatisme sans projet politique qui ne conçoit pas l'historique des subversions mondialistes à l'intérieur des révolutions conservatrices et la puissance des états-profonds contre-initiatiques. Quatrièmement, le terme occidentalisme n'est pas conforme aux mouvements géopolitiques actuels qui correspondent à des replis et rapprochements continentaux et régionaux. Cinquièmement, un certain conservatisme occidental et un certain occidentalisme atlantiste sont main dans la main avec les pétromonarchies conservatrices et l'islam réformateur qui rachètent la France et accélèrent les phénomènes migratoires en Europe dont se lave les mains la Maison blanche.

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  • Du carnaval moche au vandalisme, voire au terrorisme

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    Bernard Plouvier

    Passé du rituel celtique au Nouveau Monde anglo-saxon, revenu en Europe occidentale pour familiariser les enfants, grands et petits, avec le parfum de l’horreur, Halloween pourrait bien devenir une occasion d’émeutes pour la racaille autochtone et immigrée.

    Vous la connaissez – même si le pouvoir et les media font semblant de la minimiser voire de l’ignorer -, cette racaille qui règne en France sur deux mille cités de non-droit et vomit régulièrement ses hordes sur les quartiers adjacents et les centres-villes (un mot composé que chacun peut conjuguer à son aise, car les chenus académiciens ne sont point parvenus à s’accorder sur son pluriel... encore un symbole du laisser-aller post-soixante-huitard).

    La violence sous toutes ses formes a envahi jusqu’aux églises (mais pas les mosquées, allez savoir pourquoi), les hôpitaux et les écoles. Nos excellences jouent aux matamores, mais aucune n’ose présenter la cause véritable de ce déchaînement de bestialité, qui depuis les années 1950 avait disparu d’Occident.

    Les mahométans, soutenus par les roitelets des terrains pétrolifères, des champs de haschisch et de pavot, sont intouchables. Oser parler des Africains et des Moyen-Orientaux comme cause essentielle de la violence, c’est faire du « wouacisme ». Prétendre qu’il existe en France, en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne un racisme anti-Blancs effarant, c’est délirer !

    Certes, il existe une minime source autochtone de violence : celle des gauchistes, trotskistes et autres fils à papa friqués jouant avec le feu, comme un honteux procès récent l’a démontré. Mais ces tristes sires – encouragés par quelques politiciens que nul n’inquiète pour leur machiavélisme de débiles – ne représentent que quelques dizaines d’attardés, qu’un unique affrontement avec une horde de « jeunes chances pour la France » anéantirait.

    Il n’est pas étonnant qu’en tout pays envahi, les populistes gagnent en crédibilité. À dire vrai, ils remporteraient toutes les élections si, au lieu de parler lors des périodes pré-électorales, ils montraient simplement les images exactes des quartiers de cités européennes saturés d’individus exotiques, des émeutes raciales, des actes de violence menés individuellement ou plus souvent en bande par nos « chers immigrés »... et c’est vrai qu’ils sont « chers » : les impôts et taxes à la consommation grimpent à chaque nouvelle arrivée massive de ces « invités ».

    Si halloween est – comme l’a été la finale de la coupe du monde de football – l’occasion de débordements haineux des indésirables, il faut qu’un maximum de citoyens filment ces émeutes et en fassent circuler les images sur le Net, qui reste encore – mais plus pour très longtemps – un espace de liberté d’expression, alors que les media consensuels jouent le jeu de la désinformation, donc du pourrissement de la situation.

    Il faudra bien un jour que nos princes reconnaissent qu’en terre civilisée, seule la Nation est souveraine. Seule, elle a le pouvoir de statuer sur l’arrêt ou la continuation de l’invasion de sous-doués violents qui nous submerge et sur l’opportunité de renvoyer impitoyablement les inutiles : chômeurs, délinquants et criminels.

    À trop laisser monter la colère du bon peuple, il arrive qu’il se fâche. Les guignols qui se sont succédés aux apparences du pouvoir depuis le milieu des années 1970 n’ont fait qu’accroître les risques pour la Nation. Il ne lui restera bientôt plus qu’une alternative simple : l’expérience populiste ou la révolution, qui toujours et partout fut aussi bête que violente.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/du-carnaval-moche-au-vandalisme-voire-au-terrorisme-6101659.html

  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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    Ligne Droite cliquez ici

    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la VeRépublique. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droitepréconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIe siècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Angela a compris. Et Wauquiez ?

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    Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte.

    Mais la diabolisation qui marchait depuis quarante ans avec l’utilisation des vocables « extrême droite », « fasciste », voire « nazi », ne parvient plus à contenir cette dernière. La chancelière allemande a décidé de passer la main au terme de son mandat, dans deux ans…

    Le vieux monde monarchique s’est écroulé entre 1789 et 1945 sous la poussée d’un socialisme multiforme. Ce monde-là s’écroule aujourd’hui.

    Ses combats sont obsolètes dans un contexte social où dominent le tertiaire, les applis, et le télétravail. Et l’effort de la gauche pour les remplacer par une lutte âpre contre la morale de papa, la consommation de viande ou l’existence de frontières étanches, non seulement n’a pas déchaîné l’enthousiasme, mais a dressé un à un les peuples contre elle.

    Comme jadis au temps des châteaux forts, les peuples cherchent aide et protection auprès de chefs décidés à mettre police et armée à leur service.

    Ces chefs sont « populistes », et alors ?

    Le peuples de l’Est et du Sud disent à la gauche, qui a constellé la planète des plus grands totalitarismes, qu’elle peut désormais garder ses leçons de morale.

    Emmanuel Macron l’a compris, et l’a dit, lors de son voyage à Bratislava en Slovaquie : « Les nationalistes sont là, ils ont déjà gagné. »

    Mais Laurent Wauquiez, interviewé le 30 octobre sur BFM TV au sujet de l’opportunité, pour lui, de changer de stratégie après toutes leurs victoires, s’est contenté de rabâcher le texte récité par tous les UMP – puis LR – depuis dix-sept ans : « C’est parce qu’on ne comprend pas le peuple qu’il vote populiste. »

    La réalité est qu’à LR, « on » comprend très bien – à bac plus 10, quand même ! -, mais « on » ne veut pas faire ce que demande la majorité des citoyens. Ce n’est pas de la bêtise, juste une immense lâcheté.

    Orbán, Salvini, Trump, Poutine se sont levés avec courage, quoi qu’il puisse leur en coûter en termes de réputation, contre la nouvelle doctrine de la gauche mondiale, cocktail de progressisme sociétal et d’écologisme intégrale.

    Fillon aussi avait pris des positions courageuses. Ce n’est pas le peuple qui l’a évincé, lui qui, au contraire, est venu, dans le vent et la pluie, lui crier son soutien au Trocadéro.

    Quand Marine Le Pen dit au JDD, le 28 octobre, que « la ligne de Marion Maréchal, c’est celle de la droite de Laurent Wauquiez » et qu’« elle doit prendre LR », elle ne le dit pas au hasard. Un récent sondage du Point donne 44 % d’opinions favorables pour Marion Maréchal auprès des sympathisants LR, et révèle qu’elle est leur troisième personnalité préférée, devant Wauquiez.

    Ce dernier n’a-t-il pas compris qu’il lui faut changer de stratégie ou disparaître ? Ou guigne-t-il, en protestant de sa vertu anti-populiste, une place auprès de Macron quand, ayant épuisé les charmes des « ralliés » de la première heure comme Philippe, il aura besoin de troupes fraîches ?

    Dans ce cas, il aura été clairement démontré que la mirobolante troisième voie qui connut tant de beaux jours sous la forme de la démocratie chrétienne ou de la social-démocratie est bien devenue une impasse.

    Catherine Rouvier

    http://www.bvoltaire.fr/angela-a-compris-et-wauquiez/

  • Le choc migratoire a-t-il ébranlé la gauche des valeurs et la droite du travail ?

    arton52620-c9ddc.jpgRT France et Frédéric Taddeï ont organisé le 3 octobre de cette année un débat équilibré sur l’immigration intitulé : « L’immigration nous apporte-t-elle enrichissement ou appauvrissement ? » Ce n’est certainement pas en 58 minutes que cette problématique complexe pourra être résolue mais l’avantage d’Interdit d’interdire, c’est qu’on n’y joue pas les petites musiques mainstream habituelles. Le taux de désinformation par rapport aux émissions qu’on peut trouver sur le service public audiovisuel, encore sous-tendu par les obligations de propagande oligarchique, y est largement moindre.

    « Frédéric Taddeï reçoit Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de Regards Médias, Djordje Kuzmanovic, orateur de LFI et analyste en géopolitique, Élisabeth Lévy, directrice de la rédaction de Causeur.fr et Laurent Pahpy, entrepreneur membre de l’IREF. »

    Si nous posons d’emblée la question de la disparition de la gauche humanitaire naïve et/ou complice sous l’effet du choc migratoire, c’est parce que la gauche française a littéralement explosé en moins de trois ans. Certes, ses fondations étaient vermoulues, mais il fallait encore le coup de pied final, le coup de grâce. 
    Il reste bien sûr la gauche dite réaliste, pas celle du traître à la nation Manuel Valls, qui s’en réclamait, mais celle du lieutenant souverainiste de Mélenchon, Djordje Kuzmanovic, dont la mission consiste à ratisser chez les populistes de gauche, et pourquoi pas de droite. Et à droite, c’est la grande trahison na...sioniste ! 

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    Jacquemain l’immigrationniste humanitaire, ou la gauche des valeurs

    Dans le rôle du représentant en plateau de la gauche (des valeurs) qui plane, Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de Regards médias à l’origine, avec Mediapart et Politis, de la pétition des « 150 » contre le fascisme anti-immigrationniste en France.

    Jacquemain à 15’10 : « La question n’est pas une question de frontières… les frontières n’existent pas, il faut arrêter de penser qu’il y a des frontières ! » En regardant son parcours, on comprend mieux cette phrase surréaliste.

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  • «En Italie, si vous êtes radicalisé, on vous expulse, c’est aussi simple que cela»

    Depuis 2001, l’Italie est le seul grand pays occidental à n’avoir connu aucun attentat terroriste islamiste. Une exception qui perdure grâce à un cocktail unique de répression policière et de facteurs démographiques. Les explications de Lorenzo Vidino, expert du djihadisme à l’Université George-Washington et ancien coordinateur de la Commission italienne d’étude sur la radicalisation.

    […]

    Pourtant, avant même les attentats du 11 septembre 2001, l’Italie était un foyer de l’idéologie djihadiste…

    La mosquée de l’avenue Jenner à Milan était en effet le principal foyer du djihadisme à destination de la Bosnie dans les années 1990. Le premier attentat suicide en Europe a été commis en 1995 à Rijeka (Croatie), par un djihadiste qui venait de là. La mosquée a alors été perquisitionnée et plus de 50 personnes arrêtées. L’Italie a été l’un des premiers pays européens avec la France à ouvrir les yeux sur ce phénomène. Son grand succès a été de faire en sorte que cette mosquée n’attire pas de nouvelles recrues. La pression policière l’a forcée à se refermer sur elle-même.

    Vous avez parlé de la pression policière. En quoi la méthode italienne est-elle différente ou plus efficace ?

    Elle cible avant tout ceux qu’on appelle les «mauvais maîtres», les cattivi maestri, ces mentors qui attirent les jeunes sur la voie de la radicalisation. S’ils ne sont pas Italiens, et la grande majorité ne le sont pas, ils sont expulsés systématiquement. C’est la tolérance zéro: si vous êtes radicalisé ou si vous radicalisez d’autres gens, et que vous n’êtes pas Italien, vous êtes expulsé, c’est aussi simple que cela.

    Depuis le 1er janvier 2018, 109 personnes ont été expulsées d’Italie pour menace à la sécurité nationale. Depuis 2015, cela fait plus de 350 personnes expulsées, soit environ deux par semaine. C’est un outil majeur à disposition du gouvernement italien, issu d’une loi passée après les attentats de Londres en 2005. La déportation est décidée par décret ministériel, sans recours suspensif possible. […]

    Le Temps

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