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  • Lyon : le maire écolo boycotte une fête chrétienne mais pose la première pierre de la mosquée de Gerland

    Sous couvert de “laïcité”, Grégory Doucet ne s’était pas rendu à la traditionnelle cérémonie du Vœu des Echevins datant de 1643. 

    L’incohérence écologiste à nouveau affichée au grand jour. Mardi 8 septembre, le maire EELV de Lyon Grégory Doucet s’était fait remarquer en boycottant, sous couvert de « laïcité », la cérémonie du Vœu des Echevins, grande tradition catholique mais aussi populaire datant de 1643. S’il avait consenti à « prendre la parole à l’issue de la cérémonie », il est devenu le premier maire lyonnais à manquer cet événement majeur dans la culture rhodanienne depuis des décennies. Pourtant, dès le lendemain, l’édile posait la première pierre de la mosquée de Gerland.

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    https://www.tvlibertes.com/actus/lyon-le-maire-ecolo-boycotte-une-fete-chretienne-mais-pose-la-premiere-pierre-de-la-mosquee-de-gerland

  • Finkielkraut passe aux aveux

    Finkielkraut passe aux aveux.jpeg

    Alain Finkielkraut écrit cette fois « à la première personne » et cela donne son titre au ivre que nous avons entre les mains, dans lequel il revient avec franchise sur son itinéraire intellectuel.

    Il ne suffit pas de dire ce que l'on pense pour être sincère. Encore faut-il être capable de nommer ses propres états d'âme et ce n'est pas donné à tout le monde. Alain Finkielkraut nous explique comment il est devenu sincère après avoir connu le grand vent de Mai 68, cette période où l'on était souvent plus conformiste que sincère. Reprenant les mots des autres, le lexique révolutionnaire qui fleurit en quelques semaines, on se barbouillait d'un jargon, avec lequel il était très difficile d'être soi-même.

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  • Ce que nous devons à Claude Lévi-Strauss 1/2

    Ce que nous devons à Claude Lévi-Strauss.jpegClaude Lévi-Strauss est mort le 30 octobre dernier, à moins d'un mois de son 101e anniversaire. Mais l'hommage qui lui a été rendu était trop unanime pour être honnête... Raison de plus pour revenir sur l'œuvre fondatrice du grand anthropologue. En voici quelques principaux aperçus.

    Qui était donc Claude Lévi-Strauss ? Assurément l'anthropologue traduit dans le plus grand nombre de langues au XXe siècle et l'introducteur du structuralisme comme méthode pour les sciences sociales. Élu en 1959 au Collège de France, Claude Lévi-Strauss y inaugure une chaire d'anthropologie sociale. Avançant en âge, il devient l'écrivain classique désormais publié dans la Pléiade (2008), le premier de sa spécialité à avoir occupé un fauteuil à l'Académie française (1973). Et c'est pourquoi, à l'heure où l'on célébrait sa disparition, les commentateurs penchaient volontiers du côté de la dimension littéraire de son œuvre(1) moins sujette aux modes que peut l'être un projet scientifique et intellectuel. Un savant, donc, qui sait manier le verbe avec brio, dont le goût pour l'art est sûr, aimant la botanique (ce dont témoigne l'appendice final La pensée sauvage consacré à la fleur Viola tricolor), mais aussi, et malgré lui, un philosophe et un humaniste qui, étudiant sur le terrain, les mœurs des civilisations « primitives », a pénétré ce qui détermine notre humanité commune. Tous différents, et cependant tous semblables ?

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  • Les journalistes français se foutent de ce nouveau totalitarisme qu’est le terrorisme islamiste

    Les journalistes français se foutent de ce nouveau totalitarisme qu’est le terrorisme islamiste

    Le journaliste Fabrice Nicolino a témoigné mercredi au procès des attentats de janvier 2015. Il s’en est pris aux journalistes qui suivent aujourd’hui le procès, mais ne se sont pas intéressés à la façon dont la liberté de la presse était entravée dans le Paris de 2020. Il s’adresse « aux grands esprits qui défendent la liberté à Pétaouchnok ou en Biélorussie », mais ne regardent pas ce qu’ils ont sous les yeux. Aux

    « gens épouvantables qui nous attaquent et qui ruinent notre réputation, à ceux qui ne comprennent pas que la liberté, ça ne se discute pas, ça se défend. Je les vomis, tous. »

    A commencer par le trotskiste Edwy Plenel, « Plenel, la conscience morale de cette société », qui s’était fâché en 2017 d’un dessin de Coco – elle avait imaginé « les fameuses moustaches de Plenel qui s’entortillaient, lui bouchaient les yeux, les oreilles et l’empêchaient de voir que Tariq Ramadan était un petit salaud. »

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  • “Charles de Gaulle, mythifié mais trahi” (II/III), par Arnaud Imatz (2/2)

    Pétain n’est sans doute pas aussi déphasé qu’on l’a dit si l’on en juge par quelques uns de ses propos. Le 9 avril 1935, dans un discours à l’École supérieure de guerre, il met en garde contre la tentation de figer l’art militaire, sous peine d’être surpris par l’adversaire : « Les unités mécanisées sont capables de donner aux opérations un rythme et une amplitude jusqu’ici inconnus. L’avion fait éclater le cadre de la bataille, limité autrefois à la portée des coups d’artillerie, et modifie les conditions de l’action stratégique. Les règles essentielles de l’art militaire risquent d’en être profondément atteintes. On peut même se demander si l’avion ne dictera pas sa loi dans les conflits de l’avenir […]. En fait, la victoire appartiendra à celui qui sera le premier à exploiter les propriétés des engins modernes et combiner leur action, à quelques plans que ce soit (sur le plan technique comme sur le plan stratégique), pour anéantir les moyens de lutte de l’adversaire ». Les idées qu’il exprime dans un discours à Saint-Quentin, le 4 octobre 1936, semblent même très proches de celles de De Gaulle. La thèse de l’armée défensive qui a prévalu après Versailles « a fait son temps », dit-il, « Tout en utilisant et développant au maximum les fortifications heureusement implantées sur nos frontières, nous devons orienter notre activité de manière à disposer sur terre et dans l’air des forces puissantes à déclenchement immédiat qui seront de nature à imposer le respect à l’ennemi éventuel ».

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  • Turquie : l’Europe face à un second Munich

    Selon un adage immémorial qu’un long usage n’a pas usé, l’histoire serait un éternel recommencement. En réalité, les quelque cinq millénaires d’histoire humaine ont déjà mis l’homme devant toutes les situations. Si bien que celui qui est cultivé a toujours un coup d’avance puisqu’il bénéficie de l’expérience des anciens. Parfois, l’histoire est une boussole qui indique le Nord, comme Charles Martel à Poitiers. Parfois, c’est malheureusement une boussole qui indique le Sud, comme le comportement des nations d’Europe de l’Ouest à Munich en 1938.

    La Seconde Guerre mondiale aurait pu être évitée en 1936 : lorsque l’Allemagne militarise la Rhénanie, les troupes françaises sont encore capables de les battre et d’arrêter la course en avant qui a mené à la troisième manche d’un cycle de guerres commencé en 1870. Mais la gauche du Front populaire est arrivée au pouvoir et n’a pas voulu voir le danger. La France était désarmée, et perdra. En 1938, date jusqu’à laquelle l’Angleterre soutenait l’Allemagne nazie pour affaiblir la France, conformément à sa politique de toujours, à savoir systématiquement soutenir les ennemis de la puissance majeure du continent, quelle qu’elle soit. En cet automne, l’Europe retient son souffle : Daladier, Chamberlain, Hitler et Mussolini se sont mis d’accord ; l’Allemagne peut annexer le territoire des Sudètes, en Tchéquie, sans que rien ne lui soit demandé. Chamberlain sera salué outre-Manche ; Daladier sera hué en France. La suite, tout le monde la connaît : Hitler s’est senti encouragé par les gestes d’apaisement qu’il a pris pour des encouragements ; la Pologne, puis la Belgique, la France, la Hollande, le Danemark, la Norvège, la Russie, et tant d’autres connurent le vrombissement des panzers.

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  • La torture au XXIe siècle : le port obligatoire du masque

    3899412567.jpgBernard Plouvier

    La Covid-mania de l’An 2020 aura permis de faire croire en l’utilité des avis des géniaux « experts » de l’OMS (l’Organisation Mondiale de la santé, dont les dirigeants ne sont que des politiciens aux ordres des super-politiciens), d’éviter de stigmatiser la Chine pour la médiocrité extrême de l’hygiène publique de ses populations rurales et urbaines pauvres (70% de la population) et surtout de transformer nos minables dirigeants en dictateurs au petit pied.

    Il est idiot de continuer d’évoquer un complot dans l’origine de cette pandémie. La déforestation sauvage en Chine a provoqué l’invasion de vastes zones urbaines surpeuplées par des nuées de chauves-souris, réservoir naturel du virus. L’absurde étroitesse des relations entre Chinois et animaux de toutes espèces et leurs curieuses habitudes alimentaires ont créé un foyer épidémique local, transformé en pandémie par les transports de l’ère mondialiste. 

    Le gouvernement chinois a exigé de l’OMS que l’on impose à l’hémisphère Nord, puis au Sud, un isolement grotesque – qui ne serait adapté que face à une maladie aussi puissamment mortelle que la peste ou le choléra. On a ainsi empêché l’immunisation naturelle des populations, comme celle que l’on observe à chaque pandémie de grippe et qui permet de classer l’affaire au moins pour une génération.

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  • Charles PRATS: «La fraude sociale, c’est 30milliards d’euros par an», par Alexandre Devecchio et Luc Lenoir.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

    Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus «fantômes» bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.

     

    Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB.

    Où va l’argent ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/09/charles-prats-la-fraude-sociale-c-est-30-milliards-d-euros-p-6262192.html

  • Quand la Une du Parisien démonte une fausse nouvelle des Décodeurs du Monde

    Quand la Une du Parisien démonte une fausse nouvelle des Décodeurs du Monde

    En septembre 2019, Le Monde publiait un article pour contester les chiffres “alarmistes” concernant les fraudes à la Sécurité sociale, chiffres jugés exagérés. Le Monde comptait 59,4 millions de cartes Vitale (sachant que les enfants de moins de 16 ans sont rattachés à celle de leurs parents.

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