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  • J’accuse les lâches et les hypocrites

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    Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.

    Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !

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  • "Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'Histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
    Aussi abominable soit-il cet acte n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
    Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc". 
    Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui, non content de cadenasser les libertés publiques et individuelles, abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.
  • Florian Philippot : Agir face au coup d'accélérateur mondialiste (conférence)

  • Une dérive qui nous éloigne d’un État démocratique

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    Le long entretien entre l’hôte de l’Élysée et deux journalistes complaisants, voire admiratifs, était une opération de communication. Un chef d’État n’a pas à rentrer dans des détails ou des commentaires visant à faire croire à une empathie pour « les jeunes » ou à l’intérêt qu’il porte aux gestes quotidiens. Si l’heure est grave, il doit en exposer les enjeux aux Français et tracer une route : quinze minutes suffisaient pour annoncer et justifier le , la demi-heure supplémentaire était du délayage. Cette présidentialisation outrancière du régime a une cause : la fragilité psychologique de M. Macron, sans doute mécontent des sondages plus favorables que les siens de son ex-Premier ministre. Le choix du nouveau, terne à souhait, et son cantonnement dans un rôle ingrat et des tâches subalternes doivent le rassurer et satisfaire son ego après une émission en pleine lumière médiatique.

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