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  • Français malgré eux

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    Français malgré eux 1.jpegPour les Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo, la France est un pays irréductiblement colonialiste envers les populations d'origine étrangère, l'État français structurellement raciste et sa dette envers les descendants d'esclaves ou de colonisés, inextinguible.

    L'immigration arabo-africaine est donc devenue le prix à payer, et quiconque s'oppose à la fin souhaitée de cette France blanche est invité à la quitter !

    Ils se définissent comme indigénistes, décolonialistes voire racialistes. Ils veulent abolir « le privilège racial blanc » - en fait la France éternelle, celle qui s'est faite sans eux - et établir une sorte de non-mixité ethnoculturelle, bannir peu à peu le Blanc de l'espace public, ce qui, il faut bien l'avouer est l'aboutissement tardif mais logique de la discrimination positive. Ils ont inventé une novlangue et des expressions comme blanchité structurelle, blantriarcat oppressif se sont créés un ennemi fantasmagorique le mâle blanc. Ils veulent légitimer le grand effacement des peuples blancs historiques par des peuples exotiques d'importation. De la France aux Français à la France aux foncés Comme l'explique très clairement Rokhaya Diallo dans son ouvrage au titre très explicite : À nous la France « La France blanche a vécu et ceux qui n'aiment pas cette nouvelle France en devenir peuvent la quitter »

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  • Covid-19 : le tribunal administratif de Toulouse suspend un arrêté préfectoral qui ordonnait la fermeture des bars et imposait des mesures restrictives aux restaurants de Toulouse et de ses environs

    RT-  Saisi par des restaurateurs et cafetiers, le tribunal administratif toulousain a suspendu un arrêté préfectoral qui ordonnait la fermeture des bars et imposait des mesures restrictives aux restaurants de Toulouse et de 16 communes limitrophes.

    Ainsi que le rapporte La Dépêche du Midi, le tribunal administratif de Toulouse a suspendu le 16 octobre 2020 l’arrêté préfectoral qui, quatre jours plus tôt, ordonnait la fermeture des bars et instaurait des mesures supplémentaires dans les restaurants de Toulouse, ainsi que de 16 communes limitrophes.

    Le maire de la ville, Jean-Luc Moudenc (Les Républicains), avait immédiatement fait part de sa désapprobation vis-à-vis d’une telle décision. «Il y a une mesure que je n’approuve pas, c’est la fermeture totale des bars», avait ainsi déclaré l’édile en référence à l’imposition de nouvelles mesures restrictives.

    (…) RT

    https://www.tvlibertes.com/actus/covid-19-le-tribunal-administratif-de-toulouse-suspend-un-arrete-prefectoral-qui-ordonnait-la-fermeture-des-bars-et-imposait-des-mesures-restrictives-aux-restaurants-de-toulouse-et-des-environs

  • CONFLANS : DES ACTES ET NON DES DISCOURS !

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    Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».

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  • Benghazi "Vous allez voir des documents explosifs faire surface"

  • Jean-Paul Brighelli : « Il faut éradiquer l’hydre islamiste, fanatique qui veut faire régner une loi qui n’est pas celle de la République »

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    Le 16 octobre, un professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine (78) qui, lors d’un cours sur la liberté d’expression, a montré les caricatures de Mahomet a été décapité devant son collège par un terroriste islamiste âgé de 18 ans, après avoir subi des menaces de mort.

    Réaction de Jean-Paul Brighelli, qui dénonce cet acte barbare et demande des mesures urgentes contre « la menace terroriste permanente ».

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-brighelli-il-faut-eradiquer-lhydre-islamiste-fanatique-qui-veut-faire-regner-une-loi-qui-nest-pas-celle-de-la-republique/

  • François Bousquet, Jean-Yves Le Gallou : Le réchauffement en débat

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    Deux hommes de droite débattent du réchauffement climatique. François Bousquet, journaliste et directeur de la rédaction du Choc du mois(1), croit que l'activité humaine en est la principale responsable, Jean-Yves Le Gallou, fondateur du site Polémia et directeur du journal de la réinformation sur Radio-Courtoisie, est sceptique. Monde et Vie leur donne la parole.

    M&V: L'écologie semble aujourd'hui prise en otage par l'idéologie. Est-ce vraiment le cas ?

    François Bousquet : Oui. Depuis 30 ans, la droite a laissé écologie à la gauche, qui l’a monopolisée, et le discours tiers-mondiste et trotskiste s'est recyclé dans les thématiques écologiques. Je le déplore et j'aimerais que la droite réintègre un discours et une vision écologiques du monde. Historiquement, la droite légitimiste et nationaliste est la première à avoir critiqué efficacement l'idée de progrès, voilà 150 ans. Il est dommage qu’on l'ait oublié.

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  • « France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène

    Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
    A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.

    « La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]

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  • Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    De Jacques Bompard :

    Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.

    Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.

    Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».

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  • Le « Planning familial » veut l’avortement libre jusqu’au terme de la grossesse

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    La « culture de mort » progresse à grands pas en France, et c’est logique.
    Les députés sont en train de faire passer le délai légal de l’infanticide in utero – sans motif – de 12 à 14 semaines.  Et il y a quelques semaines la députaille autorisait l’avortement jusqu’au terme de la grossesse en cas de « détresse psycho-sociale », prétexte flou et bidon.

    Mais pour le Planning familial, ce n’est qu’une étape avant la libéralisation totale de l’avortement volontaire, sans motif, jusqu’au terme (et pourquoi pas après d’ailleurs ? Le bébé ne change pas substantiellement entre la veille de l’accouchement et le lendemain…).
    Il faut préciser que cette organisation extrémiste n’a pas qu’une action de militantisme et de lobbying.

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  • 14-18 : POURQUOI NOS GRANDS-PÈRES ONT TENU

    Des dizaines de livres racontent la Première Guerre mondiale, ses héros et ses horreurs. Mais pour vraiment comprendre ce conflit, il faut connaître les mentalités de l’époque.

    Sur la photo, il sourit. Quel âge-t-il, ce soldat de la 5e compagnie du 94e régiment d’infanterie ? Environ 25 ans. Devant l’objectif, il brandit une boîte en fer. Et sur le couvercle de la boîte, qu’y a-t-il ? Une main. Une main arrachée, dont dépasse un entrelacs de veines, de nerfs et de chair. Et le soldat sourit : cette main soignée porte une chevalière. La chevalière d’un officier allemand. Un von und zu quelque chose, qui a dû être désintégré, quelques heures plus tôt, par un crapouillot français.

    La Grande Guerre, c’est cet instant où la violence atteint un tel degré qu’un garçon de 25 ans, parce qu’il est français, sourit en voyant les restes sanguinolents d’un autre garçon, de son âge peut-être, mais qui était «un Boche».

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