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On a payé un cabinet américain pour définir notre stratégie vaccinale !
McKinsey : à part le nom, ça vous dit quelque chose ? Non, ce n’est pas un héros de Dallas. Quoique… C’est un cabinet américain spécialisé dans le conseil international.
Sur son site, l’entreprise se définit ainsi : « McKinsey est la référence mondiale du conseil en stratégie, avec 120 bureaux sur les cinq continents, 14.000 consultants, dont environ 350 en France. Le cabinet sert régulièrement des clients aussi différents que Saudi Aramco, la Banque mondiale, l’OCDE et des start-up de la Silicon Valley. » Le must, comme on dit. Le nec plus ultra, comme on ne dit plus. Bref, de la quintessence de jus de business crânien.
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Les bonnes affaires de Buzyn pour mauvais services rendus
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L’affaire Duhamel : plongée dans les égouts de la gauche morale
C’est l’affolement, depuis lundi soir. Sur les plateaux, les journalistes prennent un ton feutré, baissent le regard, s’habillent de noir… Encore un mort ? Non. Juste un moment de vérité. Un petit coup de projecteur sur les égouts de la gauche morale.
On n’est pas chez les pouilleux, non, on est dans le haut du panier, au cœur de la haute bourgeoisie socialiste, dans le saint des saints du Paris intellectuel et politique.
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La faillite du jupiterisme, par Maxime Tandonnet
« Ca doit changer vite et fort! » Bien sûr. Mais qui prétend diriger ? Qui est responsable ? Le début de 2021 est marqué par une nouvelle débâcle nationale sur les vaccinations contre le covid 19 : une vertigineuse crise de méfiance (60% des Français ne veulent pas se faire vacciner faute de confiance en la parole publique) et la France une fois de plus au dernier rang du nombre des vaccinations réalisées.
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Philippe de Villiers « La France est une surprise de l'histoire »
Philippe de Villiers n'est pas seulement un homme politique qui compte ou un scénariste de talent. Son dernier livre sur Clovis montre un historien intuitif, qui offre, à travers Clovis, une nouvelle vision de l’histoire de la France.
Philippe de Villiers, j'ai eu l'impression que votre livre sur Clovis est un livre contemporain, ou plutôt d'histoire contemporaine.
Oui - et c’est à peine volontaire. Il y a entre la période de Clovis et la nôtre quelques points communs vertigineux car la société romaine du temps de Clovis était, comme la nôtre, au bord du gouffre.
Il y a au moins deux points communs.
Le premier, c'est que lorsque Clovis est hissé sur le pavois la romanité s’effondre, parce que, depuis plusieurs décennies et même plusieurs siècles, le limes (les frontières de l'empire romain) se sont effacées. Du coup, l'identité de l’empire s’est trouvée dissoute. Deuxième point commun : le mos majorum, la coutume reçue des ancêtres, a elle-même disparu, ce Mos majorum tenait ensemble d'une part la fides on peut traduire par fidélité, ou fiabilité dans les rapports sociaux, et d'autre part la pietas, c'est-à-dire le culte des ancêtres qui produit la fierté civique.
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Covid, variant, vaccin : ce que dit le Pr Raoult – JT du mercredi 6 janvier 2021
Au programme de cette édition, retour sur la mise au point de Didier Raoult. Régulièrement, le professeur Marseillais publie des vidéos pour communiquer directement sans passer par l’intermédiaire des médias et donner sa lecture de l’épidémie. Le dernier opus a le mérite de revenir aux fondamentaux de la médecine.
Nous partirons ensuite en Hongrie. Nos correspondants reviennent sur la situation économique du pays qui affrontent les mêmes restrictions sanitaires qu’une grande partie des pays européens.
Et puis nous franchirons l’Atlantique en direction des Etats-Unis où se déroulaient les dernières élections sénatoriales. Un scrutin crucial pour l’avenir de la politique du pays.
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L'émission Synthèse sur TV Libertés avec le dessinateur Ignace
Le dessinateur Ignace… les téléspectateurs de TVLibertés le connaissent bien. Lors de chaque émission « Bistro Libertés », il croque avec humour et talent à la fois l’actualité et les invités de Martial Bild. Mais Ignace ne se contente pas de passer à la télé. Chaque jour, il taille ses crayons et il se creuse la tête pour illustrer différents sites non conformistes comme, par exemple, TV Libertés et Media Presse-infos… Depuis plusieurs années, l’ensemble de ses dessins sont réunis dans des albums publiés dans le cadre des Bouquins de Synthèse nationale. La livraison 2020, intitulée « Dictature sanitaire, la France est bêle », vient de sortir des presses : 210 pages, 600 dessins… un régal. Il était donc de bon aloi d’inviter Ignace à venir à l’émission « Synthèse » de cette semaine, animée par Roland Hélie et par Philippe Randa.
Pour se procurer cet album : www.synthese-editions.com
ÉMISSION PRÉENREGISTRÉE
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Soyez français, soyez jugés !
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Georges Sorel : socialisme et violence 3/4
Dans son ouvrage sur la « droite révolutionnaire », suivi de Ni droite, ni gauche, l’historien Z. Sternhell intitule un de ses chapitres : « La révolution des moralistes ». Sorel est donné dans ce chapitre comme l’un des représentants les plus remarquables de ce courant « moraliste ». Face au révisionnisme libéral de Bernstein et de Jaurès, attachés aux valeurs libérales traditionnelles (à propos de ces valeurs, Lafargue parlait de « grues métaphysiques », cité par Sternhell p.81), les « moralistes » sont les hommes du refus de tout compromis déshonorant : compromis avec les valeurs de la société bourgeoise, compromis avec le matérialisme sous toutes ses formes, c-à-d. : marxiste, bourgeois (on retrouve ce même sentiment dans d’autres groupements européens de notre époque: Congrès de Hoppenheim (1928), Congrès du Parti Ouvrier Belge (manifeste du 3 juillet 1940), où De Man évoque une révolution spirituelle et éthique devant les congressistes). Ce « socialisme éthique », on le retrouve à l’origine de ce mythe de la violence.