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  • Avec 42,6 millions en 2020 : L’avortement est la première cause de décès dans le monde

    L’avortement est la première cause de décès dans le monde

    Alors que le nombre d’avortement progresse toujours en France, cela constitue au niveau mondial la première cause de décès avec 42,6 millions en 2020 :

    42,6 millions! C’est le nombre d’avortements pratiqués au cours de l’année 2020. Ce chiffre publié par Worldometer qui s’appuie sur des données mises à disposition par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), fait froid dans le dos (…)

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  • L'aujourd'hui de Dieu dans la littérature

    Michel Onfray, dans La stricte observance et Franz-Olivier Giesbert dans La dernière fois que j’ai rencontré Dieu, évoquent, chacun à leur manière ce Seigneur, avec des affirmations précautionneuses et aussi des négations brutales, ce Dieu que l’on ne peut pas s’empêcher de chercher  mais aussi de trouver dans la beauté du monde, comme le montre de son côté Christian Bobin.

    Il est devenu presque inconvenant ou obscène de parler de Dieu. Pourtant les membres de notre République des Lettres, ceux dont le métier est de parler, ne peuvent pas s'empêcher de prononcer son nom, en lui rendant quelque chose de leur verbe à eux, leur verbe trop humain. Nous avons eu récemment Michel Houellebecq qui dans Soumission raconte d'abord l'histoire d'une conversion manquée au christianisme…

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  • ADIEU 2020? L’ANNÉE OÙ LE VIRUS TUA LA DÉMOCRATIE… (III)

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    “La peur est le commencement de la sagesse” , cette formule de Mauriac paraît une évidence de bon sens. Pourtant, celle de Roosevelt qui disait que la seule chose qu’il fallait craindre était la peur elle-même est beaucoup plus pertinente en politique car elle enseigne le courage, en obligeant à “affronter le tigre”, à “conquérir sa peur”. Il n’y a pas de démocratie sans le courage des dirigeants, sans le civisme des citoyens.

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  • Zoom – Laurent Wetzel : Les intellectuels sous l’occupation

    Dans « Vingt intellectuels sous l’Occupation », Laurent Wetzel décortique l’attitude et l’engagement de lettrés au cours de la Seconde guerre mondiale. En 2021, on voit que nos intellectuels ont du mal à résister à la censure et à la dictature de la bien-pensance. Pendant la guerre, les intellectuels font des choix contraires : la résistance, la collaboration ou l’attentisme. Mais parmi les vingt portraits réalisés par l’historien, on retient surtout le comportement de quelques ambivalents : Mitterrand, Pompidou et Jean-Paul Sartre. Ce dernier, qui participe à l’épuration à la Libération, est le résistant du « Café de Flore », capable de déclarer qu’il n’a jamais été plus libre que sous l’Occupation allemande. Ambivalence ou lâcheté ?

     

  • Politiquement correct : Google demande à ses chercheurs de modérer leurs études sur les sujets sensibles

    Google Fisc

    Google semble imposer de nouvelles restrictions auprès de ses chercheurs, et plus particulièrement dans le domaine de l’intelligence artificielle. Selon certains rapports, la société souhaiterait avoir le contrôle sur les sujets sensibles.

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  • Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes (6)

    Aujourd'hui (6) : La Révolution a "fait" un Oradour 150 ans avant Oradour...

    (documents tirés de notre Album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerre de géants...")

    Aujourd'hui, Robespierre porte costume et cravate, il affiche une apparence distinguée, et loge sans vergogne dans les appartements de la Royauté, tâchant de ressembler à ces autres Rois ou Présidents du monde.

    Mais il ne s'agit que d'un masque, d'une leurre, d'une Tartuferie institutionnalisée : c'est "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui est en place, sous des apparences "normales" et policées; et ce chaos n'est rien d'autre que l'héritier assumé du "chaos explosif des révolutionnaires".

    Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...

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  • Pourquoi la gauche a-t-elle perdu les classes populaires, par Stéphane Beaud, Michel Pialoux.

    On se souvient de cette apostrophe prémonitoire de Pierre Mauroy, dans son fief socialiste du Nord, quinze jours avant la fin de la campagne du premier tour des élections présidentielles de 2002, rappelant à Lionel Jospin qu’il pouvait employer le mot de « travailleur » dans sa campagne.

    Cet « oubli » du candidat, qui est aussi celui de son « atelier de campagne », était significatif : le « cœur de cible » du PS, comme disent les spécialistes du marketing, était bel et bien les classes moyennes, celles pour lesquelles avaient été faites les principales réformes de la seconde partie de la législature Jospin, notamment la baisse d’impôts inspirée par Laurent Fabius. À ce titre, il entérinait la disparition des ouvriers dans la tête des hiérarques du PS, qui ont sans doute pensé qu’en dépit de tout, la baisse du chômage, les 35 heures, les emplois jeunes, la prime à l’emploi, etc. leur feraient regagner naturellement « leur camp » et retourner « au bercail », comme si le retour de la croissance et la baisse du chômage devaient se traduire mécaniquement par la fin du désamour entre la gauche et les classes populaires.

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  • Georges Sorel : socialisme et violence 2/4

    L’apologie concomitante du monde rural constitue, chez les socialistes français, une véritable critique de « la réduction économiste de la réalité humaine » (Idée générale de la Révolution). Mais cette apologie ne doit pas être confondue avec un quelconque attachement réactionnaire au monde paysan. L’idéologie socialiste de Proudhon défend la production agricole sans lui coller des valeurs de droite, telles que le fit l’État français entre 1940 et 1944.

    La terre et l’industrie sont 2 facteurs de travail et de production reliées par un système englobant de fédérations. Et la révolution est « le refus de la réduction d’un ordre social pluridimensionnel à la seule finalité économique » (P. Pastori, op. cit.).

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  • Écologie cette transition qui n'existe pas

    La transition énergétique, qu’on nous présente comme un ensemble rationnel de mesures progressives et coordonnées, n’est pas non plus un chemin tout tracé…

    La transition écologique n'est pas une route qui se projette et aplanit les difficultés une à une. Ce n’est d'ailleurs même pas une route mais un réseau complet, avec autoroutes, nationales et même chemins vicinaux. Pourquoi ? Parce que le système de production et de consommation tel qu'il est installé ne permet pas de transformer progressivement, de substituer progressivement. Il ne peut pas y avoir de « transition » pour parler comme Nicolas Hulot(1), il doit y avoir une conversion écologique, pour parler comme François.

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  • Un pédophile nommé Olivier Duhamel, grande conscience de gauche

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    C’est une des grandes figures de cette gauche caviar qui fait la pluie et le beau temps et qui impose à une classe intellectuelle à bout de souffle  et politique, exsangue, sa conception du bien et du mal qui prend sa source dans une interprétation des droits de l’homme totalement dévoyée.

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