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  • Ces traitements dont on ne parle pas

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    Chirurgien urologue libéral à Grenoble, Gérard Maudrux a présidé pendant 18 ans et jusqu’à la fin de 2015 la Caisse autonome de retraite des médecins de France, la CARMF. Il tient un blog non-conformiste, dans lequel il dénonce notamment le tout-vaccinal, alors qu’il existe des traitements. Invité de l’émission de Bercoff sur Sud radio, il affirme que

     “certains interviennent sur l’OMS pour qu’on ne parle pas des traitements !


    Alors pourquoi le gouvernement ne parle pas de ces traitements et que tout est orienté uniquement vers la vaccination ? Rappelons quelques articles de presse, que nous avions déjà oubliés :

    https://www.lesalonbeige.fr/ces-traitements-dont-on-ne-parle-pas/

  • R. Bachelot : le cas Covid qui dérange Macron – JT du mercredi 24 mars 2021

    Au programme ce soir, un point sur les futures mesures sanitaires et l’hospitalisation de Roselyne Bachelot, testée positif au Covid une dizaine de jours après sa première dose de vaccin.

    Nous partirons ensuite à la rencontre de Nicolas Dupont-Aignan. Le président de Debout la France nous livrera ses propositions pour en finir avec la crise sanitaire.

    Et puis nous nous intéresserons à l’industrie automobile française. Le secteur a atteint un niveau de production équivalent à celui des années 60. De quoi laisser craindre un véritable désastre.


    https://www.tvlibertes.com/r-bachelot-le-cas-covid-qui-derange-macron-jt-du-mercredi-24-mars-2021

  • Les Allemands, leur histoire et leurs névroses 2/2

    Le conflit des générations

    La VB est également le produit d'un conflit de générations, écrit Armin Mohler. Les pè­res, revenus des campagnes de Hitler, infati­gables reconstructeurs de leur pays ravagé, se heurtent aux fils, dorlotés par les bien­faits du miracle économique. Ces enfants de l'abondance s'engouent pour une philosophie néo-marxiste qui se mue rapidement en sec­tarisme irréaliste, car la RFA est, avec la Suède, un des États sociaux les plus perfec­tionnés que l'histoire ait généré. La dimen­sion de “lutte des classes” perd sa raison d'être dans une société où la classe ouvrière est pourvue de droits dûment consignés et pratiqués et reçoit des salaires plus que cor­rects.

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  • Il y a un double besoin de réenracinement : entretien avec Guillaume Travers

     
    Il y a un double besoin de réenracinement : entretien avec Guillaume Travers

    Guillaume Travers est docteur en économie, collaborateur à la revue Éléments et essayiste. Il est l’auteur de plusieurs essais dont Pourquoi tant d’inégalités ?Capitalisme moderne et société de marché : l’Europe sous le règne de la quantité et Économie médiévale et société féodale : un temps de renouveau pour l’Europe.

    Votre ouvrage traite notamment de l’apparition du capitalisme que vous opposez au féodalisme de l’époque médiévale, quels sont les rouages du système économique féodal ?

    Dans une large mesure, le système féodal est un contre-modèle par rapport au capitalisme libéral que nous connaissons aujourd’hui. Ses caractéristiques principales, que je mets en évidence dans un précédent livre (Économie médiévale et société féodale), sont les suivantes.

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  • Cette vieille nuisance de l'UNEF

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    La proposition de dissoudre l'UNEF appelle plusieurs types de débats. Les propos de son insupportable présidente Mélanie Luce, l'idéologie islamo-gauchiste, l'organisation de réunions interdites aux blancs, etc. tout cela justifie une réaction.

    On aimerait qu'elle puisse trouver sa voie sur le terrain de la répression légale.

    On aimerait surtout que l'on réponde aux mensonges et à l'idéologie de la direction de l'UNEF.

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  • Covid-19 : autopsie d’un désastre français, par Michel Geoffroy

    Depuis une année, nous vivons au rythme d’une épidémie qui, si l’on en croit les experts cathodiques, n’en finit pas. On ne parle d’ailleurs plus que de cela dans les médias. Et voici donc un nouveau confinement, non, pardon, il s’agit de « freiner le virus sans nous enfermer », nous dit le président de la République. Nous ne sommes pas enfermés mais on n’a pas de droit de quitter les zones en question, nuance.
    Cette pandémie a surtout révélé ce que notre prétendue société de l’information tenait bien caché. Elle a démontré que le roi occidental était nu, comme dans le conte d’Andersen, et surtout le roi français.
    Une analyse proposée par Michel Geoffroy.

    Le déclassement de l’Occident

    D’abord, 2020 révèle le déclassement mondial de l’Occident, qui globalement se sort plus mal de l’épidémie que l’Asie pourtant nettement plus peuplée.

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  • Dissertation sur Tacite 1 1/4

    Avec Brutus mourant la liberté s’était pour jamais envolée de Rome ; avec Octave le simulacre en disparut aussi. Des monstres ou des imbéciles s’assirent tour à tour sur le trône des Césars, et la foule qui s’était ruée à la servitude aux pieds d’un Tibère venait avec le même zèle encenser les autels d’un Claude ou d’un Néron. Panem et circenses, du pain et des jeux, telle était la seule clameur qui troublait à Rome le silence à travers lequel s’acheminaient les générations. Jeunes et vieux, tous se pressaient vers l’idole régnante ; seuls, à l’écart, quelques hommes conservaient une attitude calme et digne.

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  • Goldnadel: «La négation du racisme anti-Blancs relève de la névrose collective».

    Gilles-William Goldnadel. JOEL SAGET/AFP

    Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, la lutte antiraciste est aveugle au racisme anti-Blancs et se traduit de plus en plus par une haine obsessionnelle de l’Occident.

    La ségrégation raciale enfin reconnue, quoi que laborieusement, par la présidente de l’UNEF nous permet cette semaine d’explorer une nouvelle face de la folie du temps présent.

    On peut et l’on doit l’analyser sur deux niveaux superposés: la tolérance de l’intolérance raciale par l’antiracisme officiel ainsi et peut-être surtout que la négation du racisme anti-blanc (ou anti-occidental) qui confine par sa cécité butée au négationnisme intellectuel et médiatique.

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  • Les Allemands, leur histoire et leurs névroses 1/2

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    [Ci-contre : L'exode vers l'Ouest des paysans de Prusse orientale en 1945]

    Vergangenheitsbewältigung, c'est un terme germanique qu'aucun francophone ne retien­dra, s'il n'a pas une connaissance assez ap­profondie de la langue de Goethe. Que signi­fie-t-il ? “L'acte de vouloir surmonter le pas­sé” ; dans le contexte de la RFA contemporaine, il s'agit de la volonté de gommer, biffer, araser des mémoires tout ce qui se rapporte objectivement au national-socialis­me et aux années de guerre et traquer tou­tes les traces que cette idéologie et ce ré­gime ont laissées dans la réalité allemande. Sujet généralement tabou, du moins si on veut l'aborder avec un minimum d'objectivi­té, la Vergangenheitsbewältigung (VB), écrit Mohler dans un brillant essai récent, est un sentiment chargé d'émotions puissan­tes. Mais un sentiment qui a son histoire, avant d'être devenu la routine et le lot quo­tidien des Allemands contemporains.

    Le mirage du sensationnel

    Pour Mohler, la VB est objectivement impos­sible à réaliser parce que le passé est bel et bien passé et que les virtuoses du camou­flage, des fumigènes, auront beau jeu d'exercer leurs talents : jamais le passé d'un peuple n'a été entièrement biffé des mémoi­res, même si des distanciations d'inégale im­portance ont pu s'opérer. L'histoire referme toutes les plaies et apaise les haines. La VB a essentiellement été véhiculée par les mé­dia qui, eux, parient systématiquement sur le sensationnel, donc doivent exclure, pour des raisons pragmatiques et commerciales, toute espèce d'objectivité qui apparaîtrait fade. De ce fait, seuls ceux qui sont repré­sentables comme “anges” à 100 % ou comme “démons” à 100 % intéresseront les média. L'homme normal, le fait banal, eux, ne sont pas instrumentalisables dans la lutte contre l'ennui et la morosité qu'engagent quotidien­nement les média.

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