Le couperet est tombé : un tiers de la France est reconfiné. Une décision qui s’ajoute à un couvre-feu qui dure déjà depuis des mois. Seuls les écoles et établissements scolaires échappent heureusement à la règle. La raison : la saturation des services de réanimation. C’est en tout cas le principal argument avancé par l’exécutif. Pourtant, le profil des patients admis en réanimation semble avoir évolué. Que faut-il comprendre ?
- Page 20
-
-
Hommage à l'historien de la monarchie de Juillet 4/4
Les belles pages qu'il a écrites prêtent à des malentendus. Je ne me lasserai pas de le répéter, ni même de le démontrer, quoique ce soit très clair. Ainsi M. Thureau-Dangin signale la fermeture des salons qui résulta de la révolution, l'invasion de la rue dans les lettres, le passage d'un souffle révolutionnaire. Il a mille fois raison. Mais pourquoi s'en plaint-il ? Tout le XVIIIe siècle avait travaillé dans les salons, pour les salons, sur les salons. Le XIXe découvrit une autre matière et des sujets nouveaux. Au point de vue de l'art, est-ce bien regrettable ?
-
Sur Sud Radio, confinement / insécurité / prix des loyers : La région Île De France est elle à fuir ?
Avec Gael Barbotin, conseiller régional d’Ile de France et vice président du parc naturel de la vallée de Chevreuse, Philippe Bilger (magistrat honoraire), Caroline Pilastre et Tom Connan.
-
Sciences Po Strasbourg – « Samuel Paty » rayé des listes, par Paul Vermeulen
Le vendredi 12 mars 2021, les étudiants de Sciences Po Strasbourg étaient appelés à venir voter pour choisir le nom de leur parrain de promotion, un usage courant pour nombre d’écoles d’enseignement supérieur. Ce choix, dans le cas de cet IEP, concerne les quatre années à venir. Les étudiants de 1re année ont placé Samuel Paty parmi les qualifiés pour le tour suivant. Un choix qui ne surprend pas mais qui doit être salué. Sciences Po n’étant guère encline à développer un vivier d’opposants à l’idéologie au pouvoir, il n’est pas anormal que les étudiants, pour beaucoup futurs cadres des différents pouvoirs du système, médiatique, politique, éducatif ou culturel, suivent ce que ces pouvoirs ont fait mine de vouloir faire : rendre hommage à Samuel Paty.
-
Banni de Twitter, Donald Trump pourrait revenir… sur sa propre plateforme.
-
La société multiculturelle, c’est la fin de la société occidentale et française
Frédéric Taddeï a reçu Marion Maréchal, directrice générale de l’ISSEP, pour un entretien d’une heure.
« La liberté pensée par la droite, c’est la liberté de la personne qui pourrait trouver comme limite le bien commun de la communauté nationale. »
« Pour que l’assimilation fonctionne, encore faut-il être en contact avec le peuple historique du pays et sa culture… »
-
Argent et profits en temps de guerres
-
COVID-19 : qu’ils arrêtent de nous emmerder !
Pieter KERSTENS.
Durant les 15 derniers mois, jour après jour, les médias ne cessent de diffuser la propagande hystérique des gouvernements européens et nous submergent par leur stratégie de la terreur.
ORDRES + CONTRORDRES = DESORDRES.
L’épidémie ne devait pas se diffuser en Europe et se cantonner à l’Asie selon les déclarations de certains ministres de la Santé, au début de l’an 2020.
Puis on nous a dit que le port du masque n’était pas essentiel si l’on n’était pas malade.
-
À sa sortie de prison, il menace de mort les contrôleurs du TGV puis hurle « Allah akbar »
Un homme a été interpellé par les gendarmes en gare de Montbard (Côte-d’Or) après avoir insulté et menacé de mort des contrôleurs, dans un TGV Dijon-Paris. Il a également hurlé « Allah akbar », relate le site Actu17.
La gare de Montbard a dû être momentanément évacuée durant l’intervention des forces de l’ordre afin que les gendarmes puissent interpeller l’individu menaçant lors de l’arrêt du train en gare.
Ce dernier venait de sortir de prison et rentrait chez lui en région parisienne. Il était alcoolisé et voyageait sans titre de transport.
« Bien connu des services de police »
L’agresseur, qui est bien connu des services de police, a été placé en garde à vue. Il a été conduit au centre hospitalier de Semur-en-Auxois durant la nuit puis a été entendu samedi par les enquêteurs.
Remis en liberté, il sera convoqué devant la Justice le 24 juin prochain et sera jugé pour des faits de menaces de mort et outrage.
-
COVID : Macron a-t-il vraiment tort de craindre une insurrection ?