Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 52

  • Quand les Celtes mesuraient le temps

    Le calendrier celtique remonte à des époques extrêmement éloignées. Il était transmis de bouche à oreille. Les Druides furent les gardiens jaloux du calcul traditionnel des jours, des mois, des années et de l'évolution des saisons.

    De la façon dont les Celtes subdivisaient l'année et les saisons, il ne nous reste plus que de rares indications, souvent peu objectives, qui nous viennent d'auteurs latins comme César ou Pline. Mais nous disposons aussi de quelques témoignages directs, très intéressants. Beaucoup d'encre a coulé après la découverte de fragments de calendriers gallo-romains en 1807 près du lac d'Antre, dans le Jura français et, en 1897, à Coligny, dans l'Ain.

    Lire la suite

  • Quand le loup sort du bois, les moutons ont du souci à se faire.

    Il est partout. Sur toutes les antennes de radio, les chaînes d’information et même la presse écrite complaisantes. Il sera même, dès jeudi, sur tous les étals des libraires avec son dernier livre intitulé de façon prémonitoire « La grande illusion » (Gallimard), dans lequel il ne relate certes que ses souvenirs de la négociation avec les Britanniques, sur le Brexit:

    Lire la suite

  • Confrontés à la trahison de la classe dirigeante, la majorité des Français de souche oscillent entre naïveté et fatalisme 2/2

    La classe dirigeante a mis en place cette politique d’immigration avec un double objectif. Le premier est d’empêcher, grâce à l’importation massive de travailleurs low cost, les hausses de salaires dans les secteurs non délocalisables. Le second objectif est pour la classe dirigeante plus important encore : dans des pays européens caractérisés par la faiblesse de leur démographie, l’immigration massive permet d’y augmenter le nombre des consommateurs et d’y maintenir donc d’importants débouchés. Plus généralement, la classe dirigeante veut mettre en place un monde sans frontières, en Occident du moins, au sein duquel la population de consommateurs-producteurs mobiles, interchangeables et sans identité peut augmenter régulièrement grâce à la croissance démographique mondiale.

    Lire la suite

  • Candidature Zemmour et droite hors les murs : Jean-Marie Le Pen siffle la fin de la récréation !

    jean-marie-le-pen.png

    S’il y en a bien un qui pouvait en vouloir à Marine Le Pen, c’est bien lui, son père, Jean-Marie Le Pen. Récemment interrogé par Le Point, l’ancien président du Front national rappelle ainsi : « Elle m’a quand même exclu de mon propre parti, du jamais-vu dans  ! » Ce qui ne l’empêche pas d’ajouter aussitôt : « Marine Le Pen fait un sans-faute, pour l’instant. » Comme quoi le Menhir sait faire passer le sens politique avant celui de la famille.

    Lire la suite

  • Confrontés à la trahison de la classe dirigeante, la majorité des Français de souche oscillent entre naïveté et fatalisme 1/2

    Le drame de la France a une cause et une seule : elle est, depuis plusieurs décennies maintenant, gouvernée par des traîtres.

    Les domaines où la trahison apparaît avec le plus de clarté sont au nombre de deux : la mondialisation et l’immigration. L’épisode de l’épidémie vient fournir, s’il en était besoin, une preuve supplémentaire du phénomène.

    Quant au peuple, il est incapable de s’opposer aux menées de la classe dirigeante et ingurgite de façon candide tout ce qu’elle lui sert. La plupart des gens sont ainsi persuadés que la mondialisation et l’immigration constituent des évolutions inévitables, qui se sont imposées aux gouvernements, impuissants à les enrayer. Or la réalité est exactement inverse : la mondialisation et l’immigration ont été voulues et mises en oeuvre par la classe dirigeante de façon tout à fait délibérée. Contrairement à ce que croient naïvement de nombreux Français, ceux qui les gouvernent ne sont ni impuissants, ni incompétents, ni dépassés, ni coupés des réalités, ni pusillanimes. ni lâches : ils ont conduit les politiques de mondialisation et d’immigration en toute conscience de leurs effets et de leurs implications, en prenant avec constance au fil des décennies une série de décisions parfaitement calculées et cohérentes.

    Lire la suite

  • Doctrine Sociale de l’Egilse (2) Une brève histoire des catholiques sociaux

    (La leçon de catéchisme. Jules-Alexis Muenier, 1890)

    Comme nous avons pu l’exprimer lors d’un précédent article, la DSE puise son eau à la source de l’évangile et se place au service de l’avènement du Royaume de Dieu. Cependant, ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que l’action sociale catholique et le projet social catholique commencent à se penser comme tels et à agir en tant que tels. Les actions des siècles passés avaient eu pour but d’imprimer la marque de l’évangile dans les lois de la Cité, mais aucune doctrine sociale cohérente n’avait été tirée de cette démarche pourtant déjà en accord avec ce que nous appelons aujourd’hui la DSE.

     L’acte de naissance officiel de cette DSE pensée et voulue comme telle est le 15 mai 1891, date de publication de l’encyclique Rerum Novarum par le pape Léon XIII (1810-1903) .

    Lire la suite

  • Mobilisation des Patriotes contre la dictature sanitaire cette fin de semaine

    772533361.34.jpg

    Dans plusieurs villes de France, souvent à l'initiative du mouvement Les Patriotes de Florian Philippot, des rassemblements sont organisés cette fin de semaine pour protester contre la dictature sanitaire. Signalons que le 1er mai dernier, la manifestation parisienne sur ce thème a remporté un grand succès. En voici la liste :

    Lire la suite

  • Génération Mitterrand : la gueule de bois (Présent)

    Couronnée au soir du 10 mai 1981 par une victoire à la présidentielle contre le sortant Valéry Giscard d’Estaing, ce qui fit passer la France « des ténèbres à la lumière » (cf. Jack Lang), la carrière de François Mitterrand avait bien failli capoter le 21 octobre 1959. Ce jour-là parut en effet dans Rivarol– dont le numéro s’arracha dans les buvettes de l’Assemblée et du Sénat, où, heureuse époque, la presse dissidente était la bienvenue – un entretien explosif avec Robert Pesquet ; cet ancien député poujadiste, et maréchaliste convaincu, y relatait avec force détails comment, à la demande du sénateur de la Nièvre, il avait été le complice cinq jours plus tôt dans les jardins de l’Observatoire à Paris d’un faux attentat dont la pseudo-victime était censée se tirer avec héroïsme, ce qui la remettrait politiquement en selle. Bien entendu, le « diffamé » se récria mais les preuves – un vade-mecum écrit de sa main – étaient accablantes  et les deux compères furent inculpés d’outrage à magistrat, délit amnistié en juin 1966.

    Lire la suite

  • Conférence de l’ISSEP avec Philippe de Villiers

    Dans le cadre des conférences de l’ISSEP, Marion Maréchal a reçu Philippe de Villiers :



    https://www.lesalonbeige.fr/conference-de-lissep-avec-philippe-de-villiers/