Dans une effroyable synthèse, le Hamas, l’organisation terroriste islamiste qui tient la bande de Gaza a frappé Israël. Comme pour le 11/9 aux Etats-Unis, le renseignement réputé le meilleur du monde n’a rien vu venir, la sécurité n’a rien empêché, et l’armée manifestement occupée en Cisjordanie est arrivée trop tard. Comme lors de la guerre du Kippour en 1973, l’effet de surprise a joué alors que la population israélienne célébrait le Sim’hat Torah après la Fête des Tentes, respectait le Shabbat et même faisait parfois la fête, la tête ailleurs. Comme le 13 novembre 2015 à Paris, au Bataclan, la lâcheté indissociable du terrorisme a massacré sans retenue les participants à une “rave party”, à deux pas de Gaza, plongeant dans l’horreur des festivaliers désarmés.
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