Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 41

  • La meilleure équipe de France ?

    38085Ce n'est pas tomber dans un pessimisme peu patriotique que de considérer que le nouveau gouvernement n'est pas la meilleure équipe de France possible.

    Il y a des raisons structurelles, tenant au clivage de notre univers politique et au poids des appartenances partisanes qui empêcheront toujours, quels que soient le président de la République et le Premier ministre, d'opérer un choix garantissant que les plus compétents seront choisis. Pourtant, à gauche, il y aurait des personnalités qui objectivement mériteraient d'être distinguées, et réciproquement si la droite était dans l'opposition.

    Lire la suite

  • « On est chez nous ! Justice pour Thomas ! » : images de la marche aux flambeaux, autorisée par la justice, « de la fierté Parisienne » à Paris

    marche-aux-flambeaux-de-la-fierte-Parisienne-paris.png

    (…) Comme chaque année, l’association identitaire Paris Fierté avait prévu de manifester à la nuit tombée en hommage à sainte Geneviève, « patronne » de la capitale, sur la montagne du même nom, en plein cœur de la ville.

    Lire la suite

  • Rachida Dati arrive à la Culture, torrent de pleurs chez les artistes de gauche

    Ces jours-ci, les cultureux ont la mine boudeuse. En cause, la nomination de Rachida Dati au poste de ministre de la Culture. Pourtant, le nouveau ministre a de quoi plaire à cette gauche new age. Rima Abdul-Malak est une femme, Rachida Dati aussi. Rima Abdul-Malak est racisée, Rachida Dati aussi. Et un point bonus pour Rachida dont le père n’était qu’un humble maçon, tandis que les parents de Rima étaient tous deux professeurs à l’université de Beyrouth. Mais, grand malheur ! Dati est issue de la droite sarkozyste – presque l’extrême droite pour nos cultivés comme il faut. Aucun crédit ne lui est donc accordé. Le petit milieu artistique parisien suffoque à l’idée d’interagir avec un ministre qui promet de l’action et déclare que « la culture est un combat ». Dati promet de se « battre » pour « l’exception culturelle française ».

    Lire la suite

  • Gabriel Attal : tremplin ou risque ?

    Avec-le-choix-attal-le-premier-ministre-c-est-macron-1704826085

    Non, il ne suffit pas de dire, comme Eric Zemmour, « qu’un macronien a remplacé une macronienne ».

    Il ne suffirait même pas de préciser qu’un macronien talentueux et extraverti a pris la place d’une macronienne austère et peu douée pour la communication.

    La nomination de Gabriel Attal, Premier ministre à 34 ans - le plus jeune de notre Histoire -, est bien plus qu’une affaire de jeunesse. Celle-ci ne va rien démontrer, ni pour ni pour contre. Pour ceux qui s’en plaindraient, qu’ils se rappellent Goethe : « S'il est vrai que la jeunesse soit un défaut, on s'en corrige bien vite ».

    Lire la suite

  • Eclats d’indignation

    *Les félons de droite se rendent complices de la plus grande mystification de l’histoire de la Ve R qui consiste à masquer aux Français une politique mêlant renoncement et démolition systématique du pays sous le vernis d’une prétendue « droitisation ».

    *Les gaullistes et derniers résistants de LR, vous devez briser la glace et créer une nouvelle formation rompant avec le passé récent, vous ne pouvez pas continuer à partager une histoire commune avec tant de corrompus, de lèche-culs, d’opportunistes, de crétins et de traîtres…

    Lire la suite

  • Saccagé, remplacé, disparu… Le vieux Paris n’est plus

    Saccagé, remplacé, disparu… Le vieux Paris n’est plus
     
    Constatant les changements profonds réalisés à Paris par le baron Haussmann, Baudelaire soupirait : « La forme d’une ville change, hélas, plus vite que le cœur d’un mortel » (« Le cygne »). Ce constat est encore exprimé de nos jours, de manières très différentes, par deux auteurs parisiens. Dans La disparition de Paris (Les Belles Lettres, 238 pages), le journaliste d’investigation Didier Rykner réalise une minutieuse enquête de terrain dans laquelle il décrit en détail les graves atteintes portées au patrimoine de la ville. De son côté, avec son récit Photos passées (La Manufacture de Livres, 335 pages), le romancier Thierry Marignac délaisse les banlieues new-yorkaises ou les contrées russo-ukrainiennes pour se lancer dans la quête d’un père inconnu, au travers d’un travail de mémoire qui nous rappelle une ambiance parisienne pas si lointaine mais bien révolue.

    Lire la suite

  • Comprendre cette impardonnable défaite du 22 juin 1940

    Cet article didactique recense les principales causes de la défaite de juin 1940. Que de fautes commises depuis novembre 1918 ! 

    Le 22 juin 1940 à 18h50 (Heure allemande), la France signe une réédition déshonorante qui se dissimule sous le nom d'armistice. En six semaines, elle vient de perdre ce que De Gaulle s'emploiera à qualifier depuis Londres de bataille. Mais, c'est belle et bien une guerre que la France vient de perdre contre l'Allemagne revancharde de la Grande Guerre de 1914 -1918.

    L'Histoire officielle actuelle fait toujours état d'une sorte de fatalité attribuant la débâcle au destin de la France, aux "circonstances". Pour se dédouaner de ses responsabilités, la classe politique d'avant-guerre, très majoritairement de Gauche, ira même à considérer cette honteuse défaite de juin 1940 comme "inévitable" ou même "excusable" ! Elle ira même jusqu'à reporter l'exclusivité de la responsabilité sur l'Armée française qui s'est pourtant bien défendue avec les maigres moyens mis à sa disposition durant deux décennies de pacifisme et dix ans de démoralisation orchestrée par le Parti communiste aux ordres de Moscou.

    Lire la suite

  • La crise des banques centrales occidentales

    5448507.jpg

    Source : https://www.geopolitika.ru/pt-br/article/crise-dos-bancos-centrais-ocidentais

    Alors que l'Occident continue de s'enfoncer dans une crise structurelle irréversible, des questions se posent sur le rôle joué par les banques centrales dans les pays libéraux-démocratiques.

    La sonnette d'alarme est tirée dans les pays occidentaux : leurs banques centrales ne sont pas en mesure de résoudre les problèmes économiques actuels. En outre, on n'attend plus d'elles qu'elles résolvent des problèmes que d'autres acteurs peuvent mieux résoudre. Les analystes et les planificateurs demandent de plus en plus aux banques centrales et à leurs gouverneurs de se concentrer sur trois objectifs: la stabilité des prix, la stabilité financière et la stabilité macroéconomique. Or, il est difficile d'atteindre ces trois objectifs.

    Lire la suite