
Le pire n’est pas là mais dans le fait d’envisager de « contrôler les modes de vie ». Pour se dédouaner et se donner une justification morale, on annonce qu’il s’agit des « très très riches », mais dans le cours du débat, on passera du 1 % de très très riches aux 10 % de riches, puis aux pays développés par rapport aux pays émergents ou en voie de développement.