Chaque année, l’ONG Reporters sans frontières dresse sa liste des « prédateurs de liberté de la presse ». Elle désigne 37 chefs d’État ou de gouvernement imposant une répression massive de la liberté de la presse. Vincent Bolloré n'est pas chef d'État et ne peut donc figurer sur cette liste. Pour autant, Reporters sans frontières part aussi en guerre contre lui, reprochant aux pratiques de l’homme d’affaires de créer « un précédent dangereux pour la démocratie, par sa conception d’un journalisme aux ordres et d’une télévision d’opinion ».
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L’indignation à géométrie variable de Reporters sans frontières
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Pour faire le buzz, mieux vaut être traîné par les pieds chez Marine Le Pen que chez Emmanuel Macron
La campagne est passée à la vitesse supérieure. Foin des arguties sur les annuités de retraite et les avantages du septennat, le « front républicain », renaissant de ses cendres comme un vieux tube des années 80 - Voyage, voyage, Ève lève-toi… et tutti quanti -, donne de la voix. Toutes les indignations sont bonnes à prendre, même médiocres, la grosse caisse médiatique se chargeant de faire monter la mayonnaise.
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Explosion à Saint-Laurent-de-la-Salanque (66) : un clandestin algérien et deux Tunisiens mis en examen, ils sont soupçonnés d’avoir voulu escroquer l’assurance en incendiant l’épicerie. 8 morts, dont 2 enfants (MàJ)
15/04/2022
La piste criminelle est désormais officiellement privilégiée dans le cadre de l’enquête sur l’incendie et l’explosion qui ont fait huit morts, dont deux jeunes enfants, le 14 février dernier à Saint-Laurent-de-la-Salanque.
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Faute de budget, une frégate protégeant le « Charles de Gaulle » privée de brouilleurs antimissile juste avant un face-à-face tendu avec les Russes en Méditerranée
L’histoire est à peine croyable : la marine a dû démonter un équipement d’autodéfense juste avant un face-à-face tendu avec les Russes en Méditerranée.
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Les opérations militaires en cours et les conséquences pour la Russie et l’Europe – Analyse du Général Pinatel
Billet rédigé par le Général (2s) Jean Bernard Pinatel, Vice-Président de Geopragma et auteur de « Histoire de l’Islam radical et de ceux qui s’en servent ».
Dans le premier paragraphe de mes mémoires destinés à ma famille et à mes amis, j’écrivais en 2020 : « les cinquante prochaines années seront décisives pour la planète tant du point de vue écologique que géopolitique et civilisationnel. Ces défis sont liés. Nous ne pourrons malheureusement pas relever le défi écologique si, d’une part, le monde dépense des ressources immenses dans la course aux armements et qu’il revienne à l’affrontement militaire des puissances du XXe siècle qui a entraîné 70 millions de morts sur notre continent et, d’autre part, fonctionne avec des lois et des pratiques sociales qui existaient en l’an mil. C’est à l’Europe, où la conscience écologique est la plus forte et où se sont déroulées au siècle dernier deux guerres meurtrières, de devenir en la matière le phare du monde. L’humanité ne peut donc se permettre qu’une guerre civile s’y installe parce que nous n’aurons pas su traiter à temps le défi civilisationnel que nous lance l’islam radical, au moment même où tant de décisions sont à prendre pour assurer l’avenir de l’humanité. Les Européens ne peuvent pas non plus accepter sans agir la course actuelle aux armements entre les États-Unis et la Chine dans leur recherche d’une suprématie mortifère. Et quoi qu’il arrive, il faut éviter qu’au Pacifique, champ de bataille désigné de l’affrontement sino-américain, les États-Unis ajoutent un deuxième front en Europe. C’est le risque inadmissible que nous générons en encourageant les provocations américaines et celles de l’OTAN envers la Russie. Elles contraignent ce grand pays à n’avoir d’autre choix stratégique que celui de rejoindre le camp chinois. Nous acceptons ainsi de perdre notre autonomie stratégique et de nous ranger de facto dans le camp anglo-saxon, avec le risque d’être entraîné contre notre volonté dans une troisième guerre mondiale. »
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Le Samedi Politique avec Philippe Prigent – Rothschild, McKinsey : Macron noyé dans les scandales
Cinq ans après l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Elysée, l’heure des comptes a sonné. A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, les affaires s’accumulent. Après une arrivée au pouvoir discutable en 2017 avec une justice aux ordres qui s’est acharnée sur François Fillon, le masque de l’ancien banquier de chez Rothschild se fissure.
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Italie, le banquier Mario Draghi a déjà programmé sa démission
Programmé pour faire entrer l’Italie dans le nouvel ordre mondial théorisé à Davos, une rumeur qui provient directement d’un ministère italien fait état d’une probable démission de Mario Draghi en août.
Affari Italiani écrivait hier, et c’est repris par les grands quotidiens italiens aujourd’hui :
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Emmanuel Macron et Marine Le Pen qualifiés pour le second tour de la présidentielle
Emmanuel Macron (28%) et Marine Le Pen (24%) se sont qualifiés pour le second tour de l’élection présidentielle. Derrière eux, Jean-Luc Mélenchon à 20%, Eric Zemmour à 7%, Valérie Pécresse serait à 5%. Anne Hidalgo, à 2%, appelle à voter pour Emmanuel Macron au deuxième tour.
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Nouveau succès écrasant de Viktor Orbán en Hongrie : pourquoi un tel résultat ?
Dimanche 3 avril se tenaient des élections législatives en Hongrie. Pour la quatrième fois d’affilée, la formation politique de Viktor Orbán remporte une majorité des deux tiers au Parlement. Afin de comprendre ce triomphe inattendu, remettons brièvement le scrutin de dimanche en perspective.
Découvrez cette analyse de Thibaud Gibelin, essayiste, professeur invité au Mathias Corvinus Collegium, auteur de Pourquoi Viktor Orban joue et gagne – Résurgence de l’Europe centrale. -
Les « exemplaires » de Macron : Sébastien Lecornu, ministre des outre-mer, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique »
Alors qu’il nous promettait la « République exemplaire », une trentaine des proches d’Emmanuel Macron, députés, ministres ou encore des membres de son cabinet, ont été visés par des affaires en tout genre durant son quinquennat…Sébastien Lecornu, ministre des outre-mer, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique »