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anti-national - Page 341

  • Immigration : comment « la carpe et le lapin » est devenu « le loup dans la bergerie »

    Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »

    Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.

    Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.

    Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.

    Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.

    Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.

    Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.

     La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le  premier quinquennat de François Mitterrand.

    Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.

    Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

    https://www.dreuz.info/2019/09/10/immigration-comment-la-carpe-et-le-lapin-est-devenu-le-loup-dans-la-bergerie/

  • La France ? 84 millions d'habitants et 3 millions de centenaires ! Le Système, c'est le grand foutoir généralisé...

    https://www.francetvinfo.fr/economie/fraude/fraude-sociale-pour-l-administration-nous-sommes-84-millions-d-habitants_3602027.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/06/la-france-84-millions-d-habitants-et-3-millions-de-centenair-6173736.html

  • De Panurge au Sheeple : l’espoir d’une Renaissance occidentale ?

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    Bernard Plouvier

    Au début de notre nouvelle ère globalo-mondialiste, des résistants nord-américains ont forgé un néologisme, celui de Sheeple : le peuple de moutons, asservi à la désinformation des chaînes télévisées et devenus dépendants de la nouvelle drogue, les réseaux sociaux.

    De fait, une majorité d’adolescent(e)s luttent contre leur angoisse existentielle en étant rivé(e)s, vissé(e)s, « scotché(e)s » à leur tablette Net ou à leur téléphone-microordinateur portable.

    Quant aux adultes, ils sont devenus des consommateurs béats de l’opium télévisuel, qui leur apporte des images (remaniées), des informations triées, voire « reforgées » par des orfèvres en manipulation.

    On comprend fort bien que l’ordinateur ou un téléphone portable branchés sur le Net distribuent l’information de façon quasi-instantanée et aseptisée. On élimine ce qu’il peut y avoir d’offensant pour la vue ou l’odorat dans les contacts humains pour n’en retenir que l’échange d’idées, le ping-pong des réactions, dans l’ambiance parfois survoltée, mais si délicieusement primaire du commentaire incisif, enthousiaste ou indigné.

    L’on assiste presque partout, du moins dans les zones couvertes par les satellites de télécommunications, au triomphe de la pensée réflexe, de l’automatisme idéatoire, résultat du formidable bourrage de crânes, du formatage de la pensée des moutons, dominés, bernés, dirigés par des loups.

    C’est ainsi que l’on en vient – grâce à un exemple, à peine semestriel, de tuerie perpétrée par un psychotique blanc, alors que l’on cache les milliers de meurtres effectués quotidiennement par des Noirs, des Maghrébins, des Latino-Américains, des Moyen-Orientaux – à exiger des Européens ou des Nord-Américains blancs qu’ils se dessaisissent de leurs armes  – « Turn in your guns » signifie : livrez vos armes à feu à la police… alors que l’exemple de l’Afrique du Sud démontre les risques évidents pour les Blancs de leur désarmement, face aux hordes noires surarmées.

    Certes, l’exemple cité n’est pas bon : « L’Afrique aux Africains » est un slogan légitime. Mais un jour, en Europe ou en Amérique du Nord, les populations de race européenne seront confrontées chez elles à la même stupidité : on aura désarmé la race civilisatrice, alors que l’islamo-pétrodollar et l’argent des trafics de drogue alimente d’énormes ventes d’armes aux à ceux venus d'ailleurs.

    Lorsque le prêtre (atypique) et médecin François Rabelais fixait pour la postérité l’image des « moutons de Panurge », l’Europe était bien installée dans sa Grande Renaissance, qui fit des Européens la race civilisatrice par excellence, non sans ratés c’est évident : rien de ce qui est humain ne peut prétendre à l’approche de la perfection.

    Le mouvement Sheeple, né au début du XXIsiècle aux USA, est l’avatar nord-américain des mouvements populistes, nés en Europe occidentale au contact des aspects les plus sordides et les plus dangereux pour notre avenir de l’imposition de l’American way of life.

    Il faut combattre le Mal par tous les moyens : des idées pour l’élite ; des slogans et des images pour la masse et c’est ce que fait le mouvement Sheeple et sa lutte « for Freedom ».

    Dans tous les cas, le but est de « désabrutir »… un néologisme vaut parfois mieux que cent discours.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/02/de-panurge-au-sheeple%C2%A0-l-espoir-d-une-renaissance%C2%A0occidental-6173345.html

  • Erdogan : l'arme de dissuasion migratoire

    6a00d8341c715453ef0240a4cf5c55200b-320wi.jpgCe 4 septembre à Ankara Erdogan s'est livré dans un discours télévisé à un nouveau chantage. Il demande en effet le soutien de l'Europe dans son opération pour le dépècement du territoire syrien.

    Il cherche également la pression sur les États-Unis, avec lesquels la Turquie négocie la création d'une "zone de sécurité" dans le nord-est de la Syrie, M. Erdogan s'est dit "déterminé" à ce qu'elle soit créée "d'ici la dernière semaine de septembre".

    Il se préoccupe surtout des opérations à Idleb, province syrienne frontalière où résident environ 3 millions de personnes dont un nombre croissant de réfugiés venus d'Afghanistan. Quoique Russes, Iraniens et Turcs aient coopéré en Syrie dans la phase récente, Erdogan se trouve isolé dans son but réel qui est de prendre définitivement pied dans ce pays, première étape de son rêve néo-ottoman. Au contraire, Moscou voit dans le régime syrien le dernier représentant du vieil allié Baath "socialiste arabe", attendant surtout de lui une base méditerranéenne. De son côté le pouvoir des mollahs à Téhéran reconnaît dans la secte des nosayris "alaouites" une branche du chiisme dans sa lutte millénaire contre les sunnites.

    "Nous n'avons pas reçu de soutien suffisant, et nous allons être obligés d'agir pour l'obtenir", ajoute Erdogan. Il affirme que la Turquie aurait dépensé 40 milliards de dollars pour l'accueil des réfugiés et n'aurait obtenu que 3 milliards d'euros de l'Union européenne.

    Qu'en est-il en réalité ? La Turquie et l'Union européenne ont conclu en 2016 un accord qui prévoyant le renvoi de migrants entrés illégalement en Europe, notamment dans les îles grecques, avec le soutien de la mafia turque mais aussi avec la complicité discrète d'une partie de la gendarmerie turque. La coopération euro-turque, prévue mais très mollement mise en œuvre depuis 3 ans, était programmée en échange d'une aide financière de l'Europe à Ankara de 6 milliards d'euros.

    La Commission européenne rappelle à cet égard que l'Union européenne a effectivement alloué 5,6 milliards d'euros sur les 6 alors approuvés et souligne que le reste sera versé prochainement.

    Erdogan en demande maintenant beaucoup plus. Il fait état, dans sa rhétorique d'un coût exorbitant supporté par son pays, incluant dans celui-ci par exemple les salaires versés aux travailleurs recrutés dans la population immigrée.

    Au-delà de la bataille de chiffres, on doit mesurer qu'il recherche sinon des alliés du moins des complices géopolitiques silencieux. Pour leur tordre le bras il joue de la menace migratoire qui n'apparaît clairement plus comme "une chance pour la France", ou pour l'Allemagne, mais comme un danger pesant sur l'ensemble de 27 pays, du Portugal jusqu'à la Suède.

    La Turquie accueille jusqu'ici environ 4 millions de réfugiés.

    Plus de 3,5 millions d'entre eux seraient de nationalité syrienne. Ankara réclame la création en Syrie d'une "zone de sécurité". Ils y seraient réimplantés de force. Et, désormais à Istanbul, les Syriens vivent dans la peur.

    Affirmant que 350 000 Syriens étaient déjà retournés dans les zones effectivement contrôlées par la Turquie dans le nord de la Syrie, Erdogan souligne qu'il vise à en installer un million "dans une zone de sécurité de 450 kilomètres le long de la frontière".

    En fait ce territoire tampon est devenu au fil des mois une pomme de discorde entre Turcs et Russes. Moscou s'attache à consolider le pouvoir baasiste à Damas. Ankara cherche au contraire à ce que la liquidation politique de Bachar el-Assad soit le préalable à un accord lui laissant les coudées franches. Le projet d'Erdogan est dirigé à la fois contre les Kurdes plus ou moins majoritaire dans la région frontalière[1]

    "Si cela ne se fait pas, nous serons obligés d'ouvrir les portes. Soit vous nous aidez, soit, si vous ne le faites pas, désolé, mais il y a des limites à ce que l'on peut supporter", a déclaré Erdogan. "Nous disons, établissons une zone de sécurité (...) si nous faisons une telle chose, cela soulagera la Turquie", a-t-il poursuivi.

    Depuis que le nouveau gouvernement grec, issu des dernières élections, a adopté une nouvelle politique vis-à-vis du flux migratoire, à la fois plus restrictive, plus rigoureuse et plus respectueuse du droit des gens, c'est un autre État-Membre de l'Union européenne avec lequel la Turquie n'entretient aucune relation, la république de Chypre, qui est devenue la nouvelle route de l'exil pour les migrants venus de Turquie et du Liban voisin.

    L'Europe se laissera-t-elle intimider par le nouveau sultan-calife ?

    JG Malliarakis
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    Une réunion des Amis de l'Insolent

    Mercredi 18 septembre JG Malliarakis donnera une conférence de 18 h à 20 h suivie d'un débat sur le thème

    "Le Moment conservateur"
    de 18 h à 20 h Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er M° Louvre/Pont Neuf/Châtelet

    Apostilles

    [1] Comme ils l'étaient en 1939 dans le sandjak d'Alexandrette, territoire syrien millénaire qui fut alors livré à la Turquie par la France, puissance mandataire, aux termes de l'accord anglo-franco-turc. J'explore le caractère scandaleux de ce traité dans un chapitre mon petit livre "La Question turque et l'Europe", Trident, 2009

    https://www.insolent.fr/2019/09/erdogan-larme-de-dissuasion-migratoire.html

  • Pierre Ménès et Cédric Villani dans le collimateur des ligues de vertu antiracistes !

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    Peut-on imaginer plus dissemblables que Cédric Villani et Pierre Ménès ? Pourtant, ces deux personnalités, l’un député macroniste de l’Essonne, candidat dissident à la mairie de Paris, et l’autre commentateur sportif, ont ceci de commun : une certaine liberté de ton devenue rare, en ces temps de sourcilleuse « bienveillance ».

    Le premier semble être le seul à pouvoir mettre Anne Hidalgo en danger dans la capitale, la candidature, même estampillée LREM, d’un Benjamin Griveaux demeurant une erreur de casting à peu près aussi cataclysmique que celle d’une Nathalie Loiseau lors des dernières élections européennes. Du coup, Ian Brossat, adjoint au Logement, à l’Habitat durable et à l’Hébergement d’urgence de la mairie de Paris, tente de coincer l’homme à l’araignée sur le prix du mètre carré local, histoire de voir s’il est homme de terrain ou non.

    Pour l’édile, Cédric Villani se serait emberlificoté dans ses chiffres et ses calculs. Pour ce dernier, ses déclarations auraient été tronquées. Ces deux informations doivent sûrement être plus ou moins fondées.

    Mais ensuite, quoi de mieux, pour mettre ce candidat fantasque à la peine qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ? Soit le très opportun rappel d’un entretien accordé en 2017, à RTL, à l’occasion duquel Cédric Villani affirmait : « On ne peut pas comparer directement les résultats du système éducatif français aux systèmes étrangers. Le système français est l’un de ceux dans lesquels il y a le plus de complexité, parce que la France est une terre d’immigration. Ça a fait partie aussi de la force de la science française, mais il y a des difficultés, des questions d’assimilation qui sont à gérer. La France est une société qui est très chamarrée, très colorée. » Le voilà donc lepénisé pour la campagne municipale à venir.

    De l’autre côté de la galaxie médiatique, Pierre Ménès, qui, dans le même temps, a le malheur de répondre à Lilian Thuram, héros national en 1998 qui, ayant stigmatisé « le sentiment de supériorité des Blancs sur les Noirs », se fait tacler de la sorte : « Le vrai problème, en tout cas en France et dans le foot, c’est le racisme anti-Blancs. J’incite les gens à prendre leur voiture et à aller faire le tour des matchs en région parisienne, le week-end. Allez voir ces matchs-là et comptez les Blancs sur le terrain. En général, il y a le gardien de but et l’arrière-droit. »

    Mieux, ou pis, comme toujours, c’est question de point de vue, le même en appelle à son expérience personnelle, ayant voulu inscrire son fils, même « s’il n’avait aucun talent », à un club de football : « Il y est allé et, au bout de deux fois, il a dit : “Papa, je n’y vais plus”. Et quand j’ai demandé pourquoi, il a répondu : “On ne me parle pas, on ne me dit pas bonjour, on ne me passe pas la balle, on ne prend pas la douche avec moi”. »

    Ce à quoi l’inénarrable Rokhaya Diallo a cru bon de tweeter en retour : « Mdr il reconnaît lui-même que son fils n’a aucun talent en foot et s’étonne que personne ne lui passe le ballon ? C’est ça le racisme anti-Blancs ? » Certes, que Ménès junior ne soit pas un futur dieu du stade, on peut l’entendre. Mais que personne ne lui dise bonjour à l’entrée ou à la sortie du terrain, c’est une tout autre affaire, susceptible de s’apparenter à une sorte de « racisme anti-Blancs ». Un peu comme si Rokhaya Diallo n’était gratifiée ni d’un bonjour ni d’un au revoir, à l’entrée et à la sortie de ces médias d’État dans lesquels elle possède, manifestement et de longue date, son rond de serviette.

    D’ailleurs (simple hypothèse d’école), si un Bernard Ménès affirmait publiquement refuser de prendre sa douche avec une Rokhaya Diallo, s’agirait-il de « racisme anti-Noirs » ? Il serait intéressant de connaître la réponse de l’animatrice du blog Kiffe ta race dans lequel elle s’interroge, non sans raison, sur le fait que le terme de « race » soit aujourd’hui devenu « tabou ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/pierre-menes-et-cedric-villani-dans-le-collimateur-des-ligues-de-vertu-antiracistes/

  • Eric Zemmour : « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros »

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    « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros. Nos monuments aux morts en sont pleins. Aujourd’hui, on les insulte, on les traite de racistes et on les met en prison ».Telles sont les déclarations d’Eric Zemmour, qui signe là sa rentrée politique et médiatique en référence à la condamnation à de la prison ferme de militants de Génération Identitaire par rapport à leur action menée sur le col de l’Echelle.
    Il s’agit d’une tribune publiée par Le Figaro, dans laquelle on peut lire également : 
    « Le Conseil constitutionnel lui-même bénit celui qui ouvre les frontières, le passeur qui transgresse la loi française, met en danger ses compatriotes, au nom du concept fumeux de «fraternité». Dans l’ancien monde, les fous se prenaient pour Napoléon et posaient leur main sur le ventre: dans le nouveau, ils crient «Allah Akbar» et plantent un couteau dans le ventre des passants.»
    Et de conclure, incisif comme à l’accoutumée :
    « Dans l’ancien monde, l’État avait pour mission de protéger les citoyens français à n’importe quel prix. C’était sa légitimité. D’ailleurs, la justice rend ses jugements au nom du peuple français. Aujourd’hui, l’essentiel pour l’État est d’éviter tout «amalgame». De protéger l’étranger des persécutions imaginaires des Français. De protéger l’islam de toute «stigmatisation» même si nos compatriotes sont massacrés en son nom »
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/eric-zemmour-dans-lancien-monde-les.html

  • Les Gilets jaunes face à la répression

  • La Croatie ne signera PAS le pacte de l’ONU sur les migrations et rejoindra les États-Unis, la Hongrie et l’Autriche

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    La présidente croate, Kolinda Grabar-Kitarovic, ne signera pas le Pacte mondial sur la migration (GCM) des Nations Unies, rapporte le journal croate Direktno.

    Le journal fonde cette information suite à un message publié sur Facebook par le journaliste de la télévision croate, Velimir Bujanec.

    “En raison du grand intérêt exprimé par le biais des réseaux sociaux, notre équipe de rédaction a envoyé une lettre au bureau de la présidente, Mme Kolinda Grabar-Kitarović, avec une question claire: signerez-vous l’Accord de Marrakech sur les migrants?”

    Dans la réponse reçue au comité, la présidente Grabar-Kitarovic a déclaré: «Soyez assuré que je ne signerai pas l’accord de Marrakech», écrit Bujanec sur Facebook. La porte-parole de la Présidente, Mme Ivana Crnić, a notamment déclaré :

    “Votre préoccupation concernant l’immigration clandestine et «l’accord de Marrakech» est parfaitement compréhensible. Toutefois, dans ce cas, il n’est pas question d’accepter des migrants clandestins, de quelque manière que ce soit le bureau du président est impliqué dans les négociations et vous pouvez vous référer au ministère des Affaires étrangères et des Affaires européennes, qui est détenteur de tous les détails liés à ces activités… Mais assurez-vous que je ne signerai pas «l’accord de Marrakech»… ”

    La Croatie se joint à un nombre croissant de pays qui ont décidé de ne pas signer le pacte des Nations unies sur la migration. Auparavant, les États-Unis, la Hongrie et l’Autriche avaient refusé de le signer. Des pays comme la Pologne et la République tchèque s’y opposent également.

    Traduction Fabrice Drapel pour alter INFO

    https://www.alterinfo.ch/2018/11/02/la-croatie-ne-signera-pas-le-pacte-de-lonu-sur-les-migrations-et-rejoindra-les-etats-unis-la-hongrie-et-lautriche/?fbclid=IwAR3YkaKon5NHDfEqri0JPyEIivuV57ZUDhuDDFz_TNPInCLT1WxLqrwEVj8

  • Politique & Eco n° 226 – La liberté de la presse en question : quand un rideau de fer tombe sur le Web

    Francis Bergeron, gérant du quotidien Présent, ancien DRH d’un groupe international, est l’invité d’Olivier Pichon et Pierre Bergerault.

    1) Les identitaires condamnés, Présent censuré sur Facebook

    – Les identitaires contre les illégaux, opération « Defend Europe »
    – Une action qui ne peut pas porter à condamnation et pourtant condamnée
    – Au contraire, une aide à la loi puisqu’il s’agit de migrants qui violent la loi
    – Présent censuré sur Facebook pour publication « contraire au standard de la communauté » !
    – Une règle contre le terrorisme qui se retourne contre les Français
    – Zuckerberg et Macron comme larrons en foire
    – Revanche paradoxale du journal papier sur les réseaux sociaux

    2) Les chances de l’information écrite en dépit des milliardaires

    – Comment aider Présent ?
    – La classe d’âge des moins de 30 ans, une cible
    – Emmanuel Ratier avait vu juste sur la résistance du papier contre le numérique
    – Les 9 propriétaires de la presse en France
    – Facteurs du monopole, lois sociales de la presse et contrôle de l’opinion
    – Un phénomène totalement inédit : 50% de la presse contrôlée par deux personnes : B. Arnaud et X. Niel, son gendre
    – Un danger considérable pire que la censure d’Etat

    3) Comment se porte (et se comporte) la presse en France ?

    – L’affaire Nice Matin
    – Journal de gauche dans une région de droite
    – Les curieux propriétaires de Nice Matin, une société belge contrôlée par le Parti Socialiste belge
    – Niel une fois de plus à la manœuvre contre Iskander Safa, propriétaire de Valeurs Actuelles et candidat à la reprise de Nice Matin
    – La PQR, presse quotidienne régionale, des difficultés, des charges supérieures à la capacité de vente
    – Comparaison USA-France : aux USA 95% de la presse soutenait Clinton, c’est Trump qui a été élu
    – Les chances de Présent, équipe restreinte, charges et coût faibles, un moyen de résister… comparaison avec l’Humanité sous perfusion !
    A lire : »Présent, un défi au quotidien », le livre de Francis Bergeron

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n-226-la-liberte-de-la-presse-en-question-quand-un-rideau-de-fer-tombe-sur-le-web

  • I-Média n°262 – Villeurbanne : islamisme et relativisme

    Nouveau format pour l’émission I-Média sur TV Libertés, avec Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure. Au sommaire (détaillé ci-dessous) : islamisme, censure, justice, Allemagne…

    Sommaire

    02:25 Villeurbanne : islamisme et relativisme

    Un migrant afghan a poignardé mortellement un jeune Savoyard de 19 ans et blessé plusieurs personnes à Villeurbanne. Les médias ont tout fait pour relativiser l’attaque islamiste.

    12:56 Revue de presse

    Dans cette nouvelle rubrique, nous balaierons quelques actualités médiatiques particulièrement intéressantes. Censure, bien-pensance et folie végane, il y en aura pour tous les goûts !

    25:07 Condamnation inique, silence médiatique

    Trois militants identitaires ont été iniquement condamnés pour avoir mené une opération symbolique de sécurisation des frontières dans les Alpes. Les médias ont fait profil bas.

    33:55 Vers le réveil allemand ?

    Pour clore l’émission, Jean-Yves Le Gallou analysera la hausse notable des scores de l’AfD en Allemagne.

    https://fr.novopress.info/