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anti-national - Page 338

  • Agression au couteau dans une école à Marseille: "une véritable épidémie de déséquilibrés dans notre pays !”, selon Stéphane Ravier

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    Vendredi matin, un individu a fait irruption dans  une cantine scolaire de Marseille et blessé deux cantinières à l’arme blanche. L’homme, dont les propos étaient confus, aurait proféré “Allahou Akbar”.

    Stéphane Ravier réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Stéphane Ravier
    Président du groupe RN au conseil municipal de Marseille
    Sénateur des Bouches-du-Rhône (13)
    Source: bvoltaire.fr

    https://www.peupledefrance.com/2019/09/agression-couteau-ecole-marseille-stephane-ravier.html#more

  • "Chute catastrophique" du niveau scolaire : les attaques d’une professeure de l’Éducation nationale

    En ce jour de rentrée scolaire, ce lien semble s'imposer : il a été partagé sur notre page facebook par l'une de nos "amies" :

    https://www.linfo.re/france/societe/chute-catastrophique-du-niveau-scolaire-les-attaques-d-une-professeure-de-l-education-nationale?fbclid=IwAR1gwa7w1HUZl-F-c0Ab6aAF-xu4PtXnb6Aq4I42Hdtur4OOV4_Kwx6nYTg

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/10/chute-catastrophique-du-niveau-la-charge-d-une-professeure-6168863.html

  • Charles Prats : « La fraude aux prestations sociales est massive, mais l’évoquer nous expose à des insultes ! »

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    La députée Carole Grandjean et la sénatrice Nathalie Goulet ont mené une mission parlementaire sur la fraude sociale. Elles ont présenté, ce mardi 3 septembre, leurs premières propositions pour lutter contre le phénomène grandissant : sur 450 milliards de prestations versées, la fraude est estimée entre 3 et 10 %.

    Explications du magistrat Charles Prats au micro de Boulevard Voltaire.

    Entre trois 3 et 10 % de fraude, soit jusqu’à 20 milliards d’euros de fraude annuelle rien que sur le périmètre de la CNAM. Cela confirme-t-il ce que vous redoutiez ?

    Le principal scoop du rapport d’État rendu avant-hier était le nombre de numéros de Sécurité sociale. 84,2 millions de personnes réputées en vie, dont 3,1 millions de centenaires. Cela ne veut pas dire qu’il y a 84 millions de personnes qui touchent des prestations, mais cela signifie qu’il faut évidemment regarder ce qu’il se passe lorsqu’on a un écart de 17 millions de numéros de Sécurité sociale. Cela mérite tout de même qu’on vérifie.
    Je rappelle qu’en 2013, un rapport conjoint de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale des affaires sociales avait détecté 7 millions de bénéficiaires supplémentaires par rapport aux personnes qui étaient censées être sur le territoire. Depuis, nous n’avons pas eu beaucoup de nouvelles sur ce qui a été entrepris pour vérifier ce point.
    Aujourd’hui, on découvre qu’il y a de nouveau un « gap » entre les numéros de Sécurité sociale existants et le nombre de gens qui sont censés être sur le territoire. C’est très inquiétant.
    Ce soir, sur Twitter, on vient de découvrir que des documents à en-tête de la Cour des comptes circulaient. Il semblerait que le chiffrage de 3 à 10 % de taux de fraude au niveau de l’assurance maladie émane de la Cour des comptes. Je ne sais pas si ce document est officiel ou provisoire. Mais les dépenses d’assurance maladie représentant 200 milliards d’euros par an, 3 à 10 % de fraude sur l’assurance maladie pourrait représenter jusqu’à 20 milliards de fraudes. C’est assez cohérent. Cela correspond au chiffrage qu’avait déjà fait un réseau anti-fraude européen de l’assurance maladie. Il chiffrait déjà la fraude de l’assurance maladie entre 5,5 et 7,3 % annuellement. On est dans les mêmes ordres de grandeur.
    En 2010, 10,5 milliards de fraudes ont été estimés pour la France. Un an ou deux après, on était à 14 milliards, rien que pour la branche maladie.
    Pour la Cour des comptes, on serait entre 6 et 20 milliards. Cela corrobore les chiffres qui ont été donnés par les parlementaires. Ils se font, d’ailleurs, très violemment agresser et de manière assez incompréhensible dans la presse et par les organismes sociaux. Ces derniers ont sorti des communiqués très violents contre les deux parlementaires qui sont missionnées par le gouvernement. C’est très étonnant. Je pense qu’elles doivent poursuivre leur travail.

    Comment est-il possible que la Sécurité sociale enregistre 3 millions de centenaires en France ?

    Cette histoire des 3,1 millions de centenaires, 1,5 million nés en France et 1,6 million nés à l’étranger, est très surprenante et inquiétante.
    Cela peut s’expliquer pour les gens nés à l’étranger. Ils sont considérés comme décédés dans le registre national lorsqu’un acte de décès est transmis à l’INSEE ou à l’assurance vieillesse. Pour des personnes nées à l’étranger, on peut comprendre que l’acte de décès soit difficilement transmissible ou pas transmis du tout.
    En revanche, pour les gens nés en France et qui, a priori, vivent en France, l’INSEE explique que la mise à jour est hebdomadaire. Il y a un tel différentiel que c’est assez incompréhensible !
    À la suite de cette mission, les parlementaires doivent aller dans le répertoire national commun de la protection sociale pour faire des requêtes informatiques et voir combien de personnes de plus de cent ans perçoivent des prestations sociales. Cela permet de voir si cela correspond à la démographie ou s’il y a un vrai souci.
    Ces requêtes devront être faites. Elles sont d’ailleurs prévues par le Code de la Sécurité sociale.
    Très objectivement, je ne pense pas qu’un grand nombre de centenaires touchent des prestations. On est davantage en phase d’un problème de mise à jour du système. Cela est révélateur de la nécessité d’avoir un système moderne. Avoir 20 % des identités réputées en vie en supplément par rapport aux gens qui vivent en France, c’est juste pas possible !

    La première partie de ce rapport s’appelle « Une politique en apparence active, aux résultats modestes et aux ressources fragmentées ». En termes très polis, cela veut dire « on ne sait pas vraiment ce qui s’y passe, rien n’est vraiment fait pour que cela change ». Comment la Sécurité sociale a-t-elle pu laisser passer cela ? Pourquoi ne fait-elle pas énormément d’efforts pour juguler ces fraudes ?

    Je ne connais pas ce document de la Cour des comptes. J’ai simplement vu passer une photo. Les parlementaires ne me donnent pas leurs documents. J’ai été entendu par cette mission comme d’autres experts. Il se trouve que je connais un peu le sujet. C’est mon métier. Je lutte contre la fraude fiscale et sociale depuis 25 ans. Il faut attendre qu’il soit peut-être publié pour qu’on puisse l’analyser.
    La Cour des comptes faisait un constat très alarmiste sur le niveau de la fraude en matière d’assurance maladie. On peut se dire que c’est peut-être la même chose dans les autres branches.
    On dit depuis très longtemps que la fraude aux prestations sociales est massive.
    Dès qu’on parle de lutter contre la fraude aux prestations sociales, la levée de boucliers médiatique et politique est impressionnante. Depuis 48 heures, nous sommes insultés et traînés dans la boue pour avoir simplement évoqué la possibilité de l’existence de fraudes aux prestations sociales.

    Charles Prats

    https://www.bvoltaire.fr/charles-prats-la-fraude-aux-prestations-sociales-est-massive-mais-levoquer-nous-expose-a-des-insultes/

  • Villeurbanne ou ailleurs : les tueurs immigrés sont parmi nous.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Quelle que soit la compassion qui est la nôtre pour les victimes et leurs familles, qu'il nous soit permis de dire que l'attaque au couteau de Villeurbanne n'est qu'un "point de détail" de la guerre menée contre la France, contre l'Europe et contre la Civilisation par les "déséquilibrés" planétaires. 
    Elle n'est qu'une partie d'un tout. Un tout qui veut notre annéantissement.
    Islamiste avéré ou pas, l'auteur de ce nouveau carnage qui vient après tant d'autres en attendant les suivants, est un élément toxique délibérément lancé parmi nous comme la plupart de ses prédécesseurs, grâce au subterfuge de la demande d'asile ou aux filières migratoires, avec la complicité criminelle des pouvoirs politiques depuis plus d'un demi siècle.
    Les commentateurs qui, sur les chaînes d'information, conversent à l'infini sur la nature des tueurs, sur leurs motivations et sur le contexte des villes où ils opèrent, le font en pure perte tant les données sont connues: les tueurs sont des sauvages venus d'ailleurs: leurs motivations se résument à la haine de l'Occident, de la chrétienté et en l'occurrence de la France et des Français ; leurs territoires est le Pays tout entier puisque c'est le Pays tout entier qui leur est livré.
    Oui, l'attaque de Villeurbanne est un point de détail de l'histoire d'une guerre globale que nous ne gagnerons que lorsque le camp national aura en mains les moyens de la mener. Pas avant !

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  • Invasion, l'organisation

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    Bruno Pacchiele
    Je relaye cette Information à vérifier, mais qui semble plausible. De toutes façons qui pose questions et fait réfléchir...
    Concernant les migrants, plusieurs questions de bon sens :
     Comment leurs téléphones peuvent continuer à fonctionner dans un pays à moitié détruit, sur une barque, etc....
      Comment sont payés les abonnements ?
      Où les téléphones sont-ils branchés après un séjour en mer de plusieurs jours sans prise électrique à bord ?
      Comment les caméras des Journalistes sont là et au bon moment et cela même en pleine mer ?
    Voici l'explication : Voilà comment ça marche. 
    Le coup du téléphone satellitaire bien rôdé, miraculeux même ! 
    Sur mon Journal quotidien ce matin, mon attention fut attirée par une grande photo montrant des naufragés clandestins voguant sur un canot pneumatique. 
    Banal, me direz-vous, on ne parle plus que de ça, je décide donc de tourner la page. 
    Mais c'est à ce moment que la Légende incrustée dans la Photo m'interpelle : "en pleine mer, ils appellent Strasbourg!!" 
    Des migrants en détresse peuvent composer un numéro d'appel téléphonique (0033486517161) dont le destinataire est le Bureau strasbourgeois de l'Association des Travailleurs Maghrébins de France. J’ai appelé moi-même ce matin ce téléphone. 
    Une femme m’a répondu pour savoir si j’avais un problème avec un bateau ! 
    Essayez par vous-même vous verrez ! 
    Là, un correspondant décroche, demande la position du bateau, le nombre de personnes à bord, s'il y a des blessés, etc... 
    Son collègue transfère le Message aux Garde-Côtes de l'Organisation FRONTEX Organisme EUROPÉEN de Surveillance des Frontières de l'Europe, pour que le Bateau soit secouru le plus rapidement possible, et ensuite pour s'assurer que les Garde-Côtes se portent bien au Secours des Migrants en difficultés. 
    Ces Appels au Secours sont planifiés bien à l'avance par le Collectif "Watch the Med" qui distribue aux candidats à l’Émigration des cartons comportant un N° de Téléphone et l'intitulé du Collectif. C'est écrit en Anglais, Arabe, Français et Persan. 
    Au verso, il est précisé que s'ils n'étaient pas rapidement secourus, le Collectif ferait pression sur les médias et les politiques. 
    Il y a aussi des contacts au Maroc et en Tunisie où les cartons sont distribués sur place. 
    On en distribue même à Calais, Vintimille et d'autres lieux en Europe. 
    Vous pourrez faire remarquer qu'ils sauvent des vies humaines. 
    Vous n'allez pas nous faire croire que ces gens ne connaissent pas les risques encourus. 
    Ils viennent peut être du fin fond de la Somalie, mais ils regardent aussi les informations télévisées et savent exactement ce qui les attend. 
    Et puis, on parle surtout de ceux qui sont en détresse (forcément, quand on monte à 200 sur un bateau prévu pour 20), mais combien d'entre eux passent sans trop d'encombres sauf dans la dernière ligne droite, car le truc est bien connu désormais. 
    On provoque une avarie de moteur et on appelle le numéro de Strasbourg par téléphone satellitaire, facile ! 
    Les garde-côtes embarquent tout le monde et une heure plus tard tous les passagers mettent les pieds dans une Europe où ils seront inexpulsables. 
    Comme ils n'ont effectué aucune formalité pour obtenir une autorisation de séjour, de migrants, ils sont passés au stade de clandestins. 
    Ainsi donc, sous couvert d'une action humanitaire, un collectif ayant pignon sur rue en France, et relayé par l'association des travailleurs maghrébins de Strasbourg organise l'immigration clandestine en Europe et par conséquent dans notre pays, sans que cela n'émeuve personne ! 
     Ainsi donc, ce collectif et cette association sont un maillon de la grande chaîne des passeurs que notre ministre de l'intérieur promet à moultes reprises de sanctionner avec la plus grande sévérité (Pipeau) 
     Jean-Louis Burtscher 
    À Faire suivre le plus possible , il faut informer le Peuple sur ce scandale que la Presse ne veut pas expliquer... et que les Associations arrêtent de nous sensibiliser sur cette affaire qui à moyen terme détruira le pays totalement soit en Guerre civile on commence déjà à avoir un aperçu avec les Banlieues et autres endroits de "squat"...

  • PMA : sur France info, Ludovine de la Rochère alerte sur la marchandisation de l'humain...

    Courageusement, clairement, brillamment... Ecoutez, et participez à la manif du 6 octobre à Paris :

    https://www.francetvinfo.fr/societe/mariage/mariage-et-homoparentalite/video-pma-on-va-demultiplier-les-besoins-en-gametes-masculins-alors-que-nous-n-en-avons-pas-suffisamment-selon-la-manif-pour-tous_3592389.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Suite à la condamnation des identitaires : un entretien avec Jean-Yves Le Gallou

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    Source Polémia cliquez ici

    Au lendemain de la scandaleuse condamnation de trois jeunes identitaires à six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amendes pour avoir conduit une action de défense de la souveraineté des frontières françaises dans les Hautes Alpes, l’émoi ne retombe pas. Entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur cette actualité brûlante et sur le rôle de la justice dans ce verdict inique.

    Polémia : La condamnation des militants identitaires a déclenché une tempête de protestation sur les réseaux sociaux. Certains internautes sont allés jusqu’à souhaiter une épuration du corps judiciaire. Qu’en pensez-vous ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pour aussi choquante qu’elle puisse paraître, la question n’en est pas moins légitime. D’abord au regard de la démocratie.

    Aujourd’hui, le corps judiciaire rend des décisions idéologico-politiques profondément contraires à l’idéal de liberté et à la volonté populaire :

    • En appliquant avec beaucoup de zèle des lois liberticides : poursuites, voire condamnations, pour de simples délits d’opinion de Menard, Camus, Zemmour et tant d’autres. Des lois pénales liberticides qui ne sont pas appliquées de manière restrictive mais au contraire de manière extensive.

    • En montrant une extrême indulgence pour les étrangers clandestins, leurs passeurs et leurs complices (affaire Herrou notamment).

    • En prononçant de sévères peines de prison pour des délits politiques, comme on l’a vu hier pour les Gilets Jaunes, aujourd’hui pour les Identitaires, et sans doute demain pour la Manif pour tous.

    • En étant d’une grande mansuétude avec beaucoup de délinquants immigrés et en refusant toute forme de légitime défense.

    • En faisant instruire exclusivement à charge beaucoup d’affaires politiques (Sarkozy, Guéant, Marine Le Pen, Melenchon) par des juges militants (Buresi, Tournaire et tant d’autres).

    De plus en plus de Français ont le sentiment que la « justice » n’est plus rendue en leur nom mais au nom de préjugés idéologiques et politiques et de lobbys étrangers. La «justice » est en train de perdre sa légitimité démocratique. C’est grave !

    Polémia : Mais n’est-il pas encore plus grave de parler d’épuration ?

    Jean-Yves Le Gallou : Regardons l’histoire ! La magistrature actuelle – administrative et judiciaire – est la fille de quatre épurations.

    Polémia : Vous pensez à Vichy, à 1940

    Jean-Yves Le Gallou : Pas seulement ! Il y eut, de fait, peu d’épuration judiciaire sous Vichy puisque la quasi-totalité des magistrats prêta, sans problème, serment de fidélité au maréchal Pétain… Des magistrats dont beaucoup furent d’ailleurs de zélés épurateurs des collaborateurs… en 1945.

    La nature humaine est ce qu’elle est… Et l’appât des postes et des décorations est un puissant facteur de soumission.

    Polémia : Il y eut d’autres épurations, plus « républicaines » alors ?

    Jean-Yves Le Gallou : Au XIXsiècle d’abord. Pas lors des bouleversements de 1830, 1848, 1852 et 1870 où le corps judiciaire fut respecté par les nouveaux pouvoirs. Mais en 1883, pour conforter la République. L’épuration de la Magistrature donna lieu à des discours d’une rare violence de la part des députés républicains et déboucha sur une mise au pas brutale : 614 magistrats inamovibles furent mis à la retraite d’office ! Les « valeurs républicaines » n’ont pas été imposées par des bisounours…

    Polémia : Et ensuite ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y eut évidemment une épuration du corps judiciaire en 1945. 20 % des magistrats durent justifier leurs décisions et la moitié, soit 266, furent suspendus et la plupart révoqués.

    Polémia : Rebelote avec la guerre d’Algérie ?

    Jean-Yves Le Gallou : On ne peut pas vraiment parler d’épuration mais il y eut de sacrés remous au Conseil d’Etat et dans la haute magistrature judiciaire.

    Polémia : Et aujourd’hui ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est plus subtil. Il n’y a pas de remise en cause de l’inamovibilité des magistrats. Mais des interdits professionnels relatifs.
    Je m’explique : un magistrat judiciaire ou administratif immigrationniste peut intervenir et militer dans une association immigrationniste et continuer à rendre des jugements y compris sur ces sujets-là.
    Un magistrat moins politiquement correct doit absolument se taire et être très prudent dans ses jugements. Sinon les médias et les syndicats d’avocats et de magistrats lui tomberont dessus comme on l’a vu dans l’affaire du juge Lagarde.

    C’est ce qui explique le deux poids, deux mesures des décisions judiciaires. Les magistrats politiquement corrects plastronnent, les conformistes les suivent, les autres rasent les murs…

    Polémia : La situation est-elle désespérée ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non ! Les magistrats tiennent compte d’un triple rapport de forces : le pouvoir médiatique, le pouvoir politique et le pouvoir corporatif.

    Ces pouvoirs-là peuvent changer comme on le voit en Pologne et en Hongrie. Et en Italie, si Matteo Salvini a besoin de pouvoirs élargis, c’est bien pour pouvoir briser la dictature des juges sur l’immigration.

    Polémia : Une conclusion ?

    Jean-Yves Le Gallou : Aujourd’hui, en France, il ne faut utiliser le mot « justice » qu’avec des guillemets.
    Et ne pas se laisser enfariner par le mot « État de droit » qui n’est que le masque de la dictature idéologique de juges politiquement corrects à la remorque des médias de grand chemin.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou 30/08/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Kamel Daoudi est un Algérien déchu de la nationalité française condamné pour des faits liés au terrorisme. Kamel Daoudi fut condamné en première instance le 15 mars 2005 à neuf années d’emprisonnement, puis, en appel le 14 novembre 2005 à six années. Compte tenu de la durée de sa détention préventive, il est libéré le 24 avril 2008. En 2009, la Cour européenne des droits de l’homme interdit son expulsion vers l’Algérie en raison du risque de torture dans ce pays qu’il a quitté à l’âge de cinq ans. Depuis 2008, il est assigné à résidence. En 2017, il est contraint par l’État d’habiter dans un hôtel en Charente-Maritime à 450 km de sa famille. À l’occasion d’une question prioritaire de constitutionnalité posée par son avocat Bruno Vinay, le Conseil constitutionnel décide en décembre 2017 d’une censure partielle des dispositions encadrant les assignations à résidence : si celles-ci peuvent être illimitées, elles ne peuvent dépasser douze heures par jour et le lieu d’assignation doit tenir compte « du temps passé sous ce régime et des liens familiaux personnels noués par ce dernier », ce qui ouvrirait la porte à un rapprochement géographique de Kamel Daoudi de sa famille. Le 15 février 2019, il est assigné à résidence à Aurillac.

  • Retraites : inquiétant, 66 % des Français ne font pas confiance à l’exécutif pour réformer

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    66 % : chez les numérologues du macronisme – il y aurait bien des cours de macronologie à Sciences Po, une astrologie macronienne centrée sur Jupiter alors pourquoi pas une numérologie macronienne ? -, c’est le chiffre magique. En 2017, Emmanuel Macron fut élu par 66 % des Français (mais seulement 44 % des inscrits. Tiens, et si, la prochaine fois, les Français décidaient que 44 % serait dorénavant le chiffre magique d’Emmanuel Macron, pour le second tour ?).

    Deux ans et demi plus tard, le même 66 % fait un retour significatif : selon un sondage IFOP publié par Le Journal du dimanche, ce 1er septembre, seuls 34 % des Français déclarent faire confiance à l’exécutif pour réformer les retraites. Mais on retrouve ce même 66 % de Français pour souhaiter la suppression des régimes spéciaux et la création d’un régime universel, « au nom de l’égalité entre les cotisants ». Autrement dit, les Français sont bien d’accord sur le constat du gouvernement, mais sont très méfiants sur les mesures qu’il compte prendre et qui ont commencé à être révélées : le point, la durée de cotisation, l’âge pivot, les bonifications familiales, etc.

    L’analyse du détail du sondage met en relief des clivages intéressants : les plus ouverts sont les 18-24 ans (50 %), les professions libérales et cadres supérieurs (49 %) et les sympathisants de La République en marche (90 %). Les plus méfiants sont les ouvriers (82 %), les proches du Rassemblement national (90 %) et les 35-49 ans (77 %). Si l’on résumait, la fracture se fait entre ceux que la réforme impactera peu (classes supérieures, retraités et très jeunes) et les autres, directement concernés, soit en tant que cotisants, soit en tant que futurs retraités. D’ailleurs, le clivage recoupe aussi celui de l’élection présidentielle et celui de la crise des gilets jaunes.

    L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits. Cela ne ferait qu’exacerber les frustrations et les rancœurs et remettrait le pays en état de révolte.

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/retraites-inquietant-66-des-francais-ne-font-pas-confiance-a-lexecutif-pour-reformer/