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anti-national - Page 342

  • Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite

    Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite
    Jean-Paul Delevoye, le 10 septembre 2019, à Paris (image d'illutration).
    Alors qu'il est en charge d'offrir des pistes au gouvernement sur la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye bénéficie en plus de son salaire de différentes pensions de retraite.
    Une méthode qui n'est pourtant pas illégale.                      
    Dans son édition du 10 septembre, la publication numérique La Lettre A révèle que depuis son entrée au gouvernement, le 3 septembre dernier, le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, bénéficie, en plus de son salaire, de plusieurs pensions de retraite.
    L’ancien ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’Etat et de l’Aménagement du territoire sous Jacques Chirac percevra sa retraite du régime général en plus de celle d’ancien élu local.
    Néanmoins, celui qui a été député et sénateur, actuellement engagé dans une réforme des retraites de grande ampleur, ne touchera aucune des deux pensions auxquelles il aurait le droit en tant qu’ancien parlementaire.
    Celles-ci seront, comme le prévoit la loi, suspendues pendant toute la durée de son passage au gouvernement.
    En effet, les règlements des deux institutions ne permettent pas de les agréger à un salaire de ministre.                   
    En tant que ministre délégué auprès de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, Jean-Paul Delevoye touchera un salaire brut mensuel de 10 135 euros auxquels s’ajouteront donc ces quelques émoluments. La pratique n’a rien d’illégal puisque, comme le rappelle La Lettre A, cette possibilité de double rémunération, cumulant salaire et pension de retraite, n’est pas encadrée légalement.
    L'ancien président de l’Association des maires de France, qui exerçait en dehors du gouvernement, avait dans un premier temps renoncé à bénéficier de ces sommes.
    Lorsqu’il avait été nommé haut-commissaire à la réforme des retraites, en septembre 2017, il avait choisi de déduire ses pensions de retraites de sa rémunération individuelle.
    Il lui aura fallu deux ans pour changer d’avis.
    «En tant que ministre, sa rémunération est indexée à celles des autres membres du gouvernement, et arrêtée par décret», explique son cabinet auprès de La Lettre A.
    «Sa mission étant par essence temporaire, il ne voulait pas abandonner définitivement ses droits», confirme son entourage.
    RT France

  • 1500 personnes à Lyon rassemblées contre l’extension de la PMA

    1500 personnes à Lyon rassemblées contre l’extension de la PMA
  • I-Média n°263 – Les médias découvrent le racisme anti-blanc

    Les médias découvrent le racisme anti-blanc

    Lilian Thuram a provoqué la polémique en tenant des propos racistes contre les Blancs. Et certains journalistes ont semblé découvrir le phénomène.

    03:39 Les médias découvrent le racisme anti-blanc

    Lilian Thuram a provoqué la polémique en tenant des propos racistes contre les Blancs. Et certains journalistes ont semblé découvrir le phénomène.

    18:18 La Revue de presse

    Le drôle de regard de Serge July et Olivier Duhamel sur la mort de Timothy à Villeurbanne, la révolte des journalistes du Monde… Retour sur la semaine médiatique.

    28:25 L’offensive anti-Zemmour

    Depuis l’annonce de sa participation à la Convention de la Droite, Eric Zemmour est redevenu l’ennemi public numéro 1.

    33:34 Propagande publique contre les Identitaires

    Enfin, nous verrons que France 2 a produit un téléfilm dans lequel les Identitaires sont attaqués. Ce qui n’a pas empêché les militants de garder le sourire !

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n263-les-medias-decouvrent-le-racisme-anti-blanc

  • Fraude : il y a des gens qui déclarent avoir 70 enfants

    Fraude : il y a des gens qui déclarent avoir 70 enfants

    Le député Nathalie Goulet (UDI) vient de rendre un pré-rapport et des propositions pour mieux lutter contre la fraude sociale. Elle est interrogée dans Valeurs Actuelles :

    […] Le profil des fraudeurs est assez diversifié. Il y a des gens qui déclarent avoir 70 enfants ! Mais aussi et surtout, beaucoup qui utilisent la porosité de nos services sociaux. Je pense notamment aux cas de personnes qui ouvrent une entreprise éphémère avec un faible capital social, embauchent des dizaines de salariés avant de mettre tout le monde au chômage et de déposer le bilan. Si c’est réalisé dans le seul objectif de bénéficier de prestations sociales, il s’agit d’une organisation frauduleuse ! […]

    Revenons sur la fraude des étrangers, vous préconisez de mieux surveiller les prestations sociales versées à l’étranger…qui est concerné ?

    Les Français vivant à l’étranger, principalement. La question qui se pose après 80 auditions : on a constaté des versements de prestation sur des comptes qui atteignent des plafonds avant d’être versés à l’étranger. On demande qu’avant de partir à l’étranger, l’argent transite sur des comptes français. […]

    Votre pré-rapport souligne quelques chiffres effarants…

    Oui, il y a notamment une très grande différence entre le nombre de personnes inscrites au Répertoire national d’identification des personnes physiques (RNIPP) et le nombre de bénéficiaire de prestations sociales. 110 millions de personnes y sont inscrites et parmi elles, 84,2 millions sont réputées “en vie”… Rappelons que le pays compte… 67 millions d’habitants ! Le même répertoire compte 3,1 millions de personnes âgées de plus de cent ans “en vie” alors que l’Insee en comptait 21 000 en 2016 ! […]

    https://www.lesalonbeige.fr/fraude-il-y-a-des-gens-qui-declarent-avoir-70-enfants/

  • Immigration : l'aveu.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    En couplant dans un même intitulé de commissariat européen les mots "migrations" et "protection du mode de vie européen", la nouvelle présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a, sans doute par inadvertance et étourderie, créé une polémique qui en dit long sur les vraies intentions des tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme.

    En hurlant au scandale et en exigeant la modification  du nom de ce portefeuille, la gauche, les Verts, le centre, la fausse droite, les libéraux planétaristes, tous unis dans une même réprobation idéologique, formulent l'aveu éclatant de leurs intentions véritables : changer le mode vie européen, transformer l'identité des peuples, saper les principes et valeurs traditionnels, substituer un soubassement culturel à un autre.
    Ce tohu-bohu, pensé, voulu et organisé porte un nom : c'est LE GRAND REMPLACEMENT. 
    Qui a parlé de fantasme ?
  • Décodeur d’Alliance Vita sur le projet de loi bioéthique 2019

    Décodeur d’Alliance Vita sur le projet de loi bioéthique 2019

    Document très intéressant, à lire ici. Extrait :

    […] Les premières lois de bioéthique ont été votées en 1994 puis révisées en 2004 et 2011. Conformément à la loi de 2011, cette révision a été précédée par une consultation citoyenne. Organisés par le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), des Etats généraux se sont tenus de janvier à avril 2018 et ont fait l’objet d’un rapport. Le Conseil d’Etat, le CCNE, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), une mission d’information parlementaire sur la révision de la loi, ont procédé à des auditions et rendu des rapports (l’ensemble des liens vers ces rapports est disponible en annexe du présent décodeur).

    Le chiffre

    310 000 embryons humains sont conçus en éprouvette chaque année : 52% sont détruits, 22% congelés, 25% immédiatement utilisés pour des tentatives d’implantation dans l’utérus.

    18 650 enfants naissent chaque année par FIV, soit 6 % du total des embryons conçus.

    Après les 4 tentatives de fécondation in vitro remboursées par la Sécurité sociale, la moitié des couples restent sans enfant. Toutes méthodes confondues, le taux de succès des techniques d’AMP est de 17%. En moyenne, il aura fallu concevoir environ 17 embryons pour 1 naissance.

    Les principaux enjeux éthiques du projet de loi

    Le projet de loi bioéthique soulève des enjeux éthiques majeurs dans trois domaines principaux :

      1. l’accès aux techniques artificielles de procréation humaine,
      2. le développement de la recherche sur les embryons humains
      3. l’accroissement de la sélection anténatale.

    1 – Procréation assistée (Articles 1,2,3,4) 

    Quatre changements sont projetés :

      1. l’abandon du critère de l’infertilité pour l’accès à l’Assistance médicale à la procréation (AMP),
      2. le double don de gamètes,
      3. la levée de l’anonymat du don de gamètes,
      4. et, plus généralement, un bouleversement des règles de la filiation.

    […]

    2 – Dérégulation accrue des recherches sur l’embryon humain (articles 14,15,17) :

    De nouvelles digues qui prétendaient protéger l’embryon humain tombent : on pourrait

      1. le cultiver jusqu’à 14 jours,
      2. créer des embryons transgéniques, des gamètes artificiels et même des embryons chimères…
      3. La recherche à partir de cellules souches embryonnaires serait également dérégulée.

    Législation actuelle et mesures proposées 

    Le régime encadrant la recherche a évolué par étapes depuis la loi de 1994 qui posait son interdiction. Cette interdiction a été fragilisée par des dérogations croissantes en 2004 et en 2011, puis a été supprimée en 2013 sans vrai débat (ni les états généraux prévus par la loi). Les conditions de cette recherche ont aussi énormément évolué, l’impératif de « progrès thérapeutiques majeurs » de 2004 étant devenu de simples « finalités médicales » en 2013.

    […]

    3 – Intensification de la sélection prénatale (articles 19, 20, 21)

    Législation actuelle et mesures proposées 

    Le diagnostic prénatal (DPN) s’est intensifié depuis 30 ans. S’il a heureusement permis un meilleur suivi des grossesses pour accompagner la mère et l’enfant à naître, notamment par sa prise en charge précoce, parfois in utero et plus souvent à la naissance, il est régulièrement assorti de propositions d’interruption médicale de grossesse (IMG, plus de 7000 annuellement) en cas d’affection d’une particulière gravité. L’IMG peut intervenir légalement jusqu’à la veille de la naissance. Beaucoup s’alarment d’une nouvelle forme d’eugénisme en France, qui stigmatise particulièrement les personnes porteuses de trisomie : 96% des diagnostics de trisomie conduisent à une IMG. L’autorisation récente de nouveaux tests génétiques, dits non invasifs (DPNI), qui permettent par une simple prise de sang de la mère d’analyser le code génétique du fœtus, interroge sur de nouvelles pratiques qui peuvent conduire à un accroissement de la sélection prénatale. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/decodeur-dalliance-vita-sur-le-projet-de-loi-bioethique-2019/

  • Richard Ferrand s’accroche à son perchoir – Journal du 12 septembre 2019

    Richard Ferrand s’accroche à son perchoir

    Une vilaine affaire de prise illégale d’intérêt ressort le bout de son nez et le président de l’Assemblée Nationale, Richard Ferrand, mis en examen, semble sur la sellette ! Nouvelle affaire Rugy ou feu de paille ? L’intégrité des gouvernants semble en tout cas plus que jamais mise à mal.

    Le football : un sport heureux mais pas très gay ?

    Les supporters de football accusés d’homophobie. Depuis la reprise du championnat de france de football, de nombreux matchs ont été arrêtés après le déploiement de banderoles qualifiées d’homophobie par le gouvernement et la Ligue de football professionnel. Une véritable chasse aux sorcières est ouverte pour une nouvelle fois promouvoir une minorité.

    “Movie Money”, les faux billets font leur retour !

    La France championne d’Europe du faux billet ! La movie money, une monnaie fiduciaire qui tire son origine des tournages de film, a fait son apparition dans les commerces ! Une arnaque à l’ancienne qui fait son chemin !

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/richard-ferrand-saccroche-a-son-perchoir-journal-du-12-septembre-2019

  • Contre Zemmour, un nouveau délit : « La délinquance de la pensée » (Présent)

    Présent – Le Monde du 10 septembre, sous la plume du dénommé Gérard Noiriel, lance un appel à la répression des « délinquants de la pensée » personnifiés par Eric Zemmour, présenté comme une sorte d’Edouard Drumont du XXIe siècle.

    Selon la définition classique, la délinquance est un ensemble d’infractions, de délits, commis sur une période et en un lieu donnés. Le mot même de délinquance a la même racine que le mot délit (du latin delictum) et suppose des fautes pénalement sanctionnables. Un quotidien comme Le Monde, qui ne se veut pas un brûlot gauchiste, le sait parfaitement.

    Or Le Monde du 10 septembre met en une l’accusation selon laquelle Eric Zemmour commettrait et légitimerait, par ses écrits et ses propos, « une forme de délinquance de la pensée ». Le Monde consacre en effet une page entière à démontrer que Zemmour serait notre nouvel Edouard Drumont. Le dénommé Noiriel – nous devrions plutôt écrire le procureur Noiriel –, à l’issue d’une laborieuse démonstration, présente Zemmour comme le nouveau chantre de l’antisémitisme, un doctrinaire de la haine « qui s’attaque aux musulmans […], aux femmes, aux homosexuels, aux universitaires, etc. ».

    Cette énorme tribune donnée à un universitaire communiste pour le moins controversé et à la pensée désormais très minoritaire, Dieu soit loué ! dans le paysage intellectuel français, est un signal. C’est un signal pour mettre sur Eric Zemmour et ses « suiveurs » le maximum de pression, c’est un signal pour inciter les réseaux sociaux et les médias à accentuer leur censure, c’est une piste en direction du gouvernement et des associations du prétendu antiracisme pour les pousser toujours plus loin dans la criminalisation de mots, de pensées, de concepts, un processus de type communiste en effet, à l’œuvre en France et ailleurs depuis les lois Gayssot et autres.

    Criminalisation de la pensée non conformiste

    Comme l’écrit à juste titre l’Agrif, « il y a aujourd’hui de la graine de Pol Pot culturel dans un Gérard Noiriel, l’idéologue de la répression de la “délinquance de la pensée”, idéologue du parfait racisme en sens contraire qu’est le soi-disant antiracisme ».

    Pour parler comme Noiriel, prenez les « grammaires » de Noiriel, c’est-à-dire les règles qui sous-tendent son discours totalitaire, remplacez les mots « identitaires » par « impérialistes » et vous aurez du Pol Pot dans le texte. Quant au prétendu « renversement de la rhétorique dominants/dominés » (Zemmour, les identitaires, les patriotes, se feraient passer pour des dominés, des victimes en puissance, alors qu’ils seraient en fait les dominants), l’appel du Monde et de Noiriel à la criminalisation et à la répression judiciaire de toute pensée non conformiste en est la démonstration contraire.

    Car si on suit bien Le Monde et Noiriel dans leur logique totalitaire, des expressions comme « grand remplacement », « parti de l’étranger », « islamo-gauchistes » doivent rejoindre d’urgence, « avant qu’il ne soit trop tard », le catalogue des formules pénalement sanctionnables, et déjà interdites de médias.

    Francis Bergeron pour Présent

    https://www.tvlibertes.com/actus/contre-zemmour-un-nouveau-delit-la-delinquance-de-la-pensee-present

  • Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, proche de Macron, mis en examen

    Macron avait dit vouloir incarner une « République irréprochable » et avait fait de l’exemplarité un de ses marqueurs de la campagne présidentielle. Mais depuis le début du quinquennat, plusieurs de ses proches ou de ses soutiens ont dû quitter leurs fonctions à la suite de démêlés judiciaires. Sylvie Goulard, François Bayrou et Marielle de Sarnez, avaient été contraints de sortir du gouvernement à cause de l’affaire des emplois présumés fictifs des assistants parlementaires du MoDem. En juillet, l’ex-ministre de l’écologie, François de Rugy, a dû démissionner pour une polémique provoquée notamment par des dîners fastueux.

    Dernier en date à faire la Une des quotidiens : Richard Ferrand, qui avait dû abandonner son poste de ministre en juin 2017 après l’ouverture de l’enquête sur les Mutuelles de Bretagne, mais avait été propulsé président de l’Assemblée nationale, vient d’être mis en examen, ce jeudi 12 septembre, à Lille pour « prise illégale d’intérêts » dans cette même affaire des Mutuelles. Il est soupçonné d’avoir favorisé sa compagne.

    Bien qu’Emmanuel Macron ait annoncé lui conserver « toute sa confiance », Richard Ferrand pourrait ne pas garder son portefeuille. D’ailleurs pour un gouvernement se disant vouloir appliquer la la jurisprudence « un ministre mis en examen doit démissionner », la démission de Ferrand devrait être automatique. Et est en effet demandée par de nombreux opposants politiques.

    Le quatrième personnage de l’État a cependant aussitôt annoncé, dans un communiqué, être « déterminé à poursuivre [sa] mission » à la tête de l’Assemblée, en affirmant vouloir « poursuivre sa défense » pour « obtenir un non-lieu ». « Il n’est pas question d’une démission car une instruction n’est en aucun cas une condamnation », a indiqué son entourage, en rappelant que l’enquête avait d’abord été classée sans suite par le parquet de Brest, en octobre 2017. Bref, on voilà un qui ne veut pas perdre son fauteuil ! Le même, qui lors de l’affaire Fillon écrivait sur Twitter :

    « Une droite voudrait que soit placé dans nos mairies et nos écoles le portrait d’un homme mis en examen, qui a perdu toute autorité morale. »

    Bruno Jeudy
    @JeudyBruno

    Ce tweet de Richard Ferrand (exhumé par @GuillaumeDaret) au sujet de l'affaire Fillon risque de rattraper le president de l'Assemblee nationale apres sa mise en examen https://twitter.com/richardferrand/status/852938381365522434 

    Richard Ferrand
    @RichardFerrand

    Une droite voudrait que soit placé dans nos mairies et nos écoles le portrait d'un homme mis en examen, qui a perdu toute autorité morale.

    428 personnes parlent à ce sujet

    Ferrand a du oublier depuis ses leçons de morale politique…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/richard-ferrand-president-de-lassemblee-nationale-proche-de-macron-mis-en-examen/112205/