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anti-national - Page 345

  • Hidalgo a ruiné Paris

     
    Hidalgo a ruiné Paris
    En 2014, le programme du parti socialiste pour la mairie de Paris s’intitulait « Paris qui ose » et annonçait donc clairement la couleur : le mandat d’Anne Hidalgo serait placé sous le signe de l’audace, budgétaire notamment.
    Cinq ans plus tard, le constat est sans appel : la mairie a effectivement osé, l’audace fut au rendez-vous et Paris est en ruine. C’est à la faveur d’une récente étude de l’IFRAP que les plus naïfs d’entre nous (dont, il semble, la presse francophone fait largement partie) découvriront l’ampleur des dégâts. Pour ceux qui lisent ces colonnes en revanche, la surprise sera fort modérée. D’une part, il est maintenant de notoriété publique que différents projets se sont soldés par des fiascos et des ratages mémorables, entraînant de lourdes pertes pour le contribuable parisien (est-il besoin de revenir en détail sur Autolib, Velib et les manifestations aussi festives que déficitaires que la mairie de Paris enchaîne dans un tourbillon de flonflons coûteux ?).
    D’autre part, les choix culturels et sociétaux de cette même mairie amènent de façon visible et rapide la capitale française à découvrir des plaies qu’on croyait disparues depuis longtemps : poubelles pleines, insécurité galopante, rats grouillants et autres nuisibles, parasites divers et variés, la liste des problèmes que la mairie semble décidée à traiter par dessus la jambe continue de grossir à mesure que le temps passe.
    Dans ce contexte, l’étude de l’IFRAP constitue surtout une confirmation de ce qu’on savait déjà, et permet de brosser un tableau complet là où chacun des points précédents ne constitue qu’une touche d’un désastreux ensemble plus vaste. C’est ainsi qu’on prend la mesure de l’accroissement de la dette sous le mandat d’Anne Hidalgo.  Si cette dernière s’évaluait à 507€ par habitant en 2001 pour atteindre 1636€ par habitant en 2013 (soit 94€ par habitant et par an sur cette période), elle atteint maintenant 2835€ par habitant en 2018, après avoir subi une augmentation annuelle de 239€ par habitant. 
    Pas de doute : les boosters à dette ont été utilisés par l’équipe de la mairie de Paris qui n’ont donc lésiné sur aucune dépense… Malheureusement, cet accroissement des dépenses et de la dette de la mairie de Paris, qui atteint maintenant la coquette somme de 5,7 milliards d’euros, ne se traduisent absolument pas en une capitale plus propre, plus facile à vivre pour les Parisiens, plus agréable à visiter pour les touristes et globalement plus sûre pour ceux qui y vivent ou y travaillent.
    En fait, c’est même parfaitement l’inverse.
    C’est l’explosion du nombre de chantiers, qui rendent la vie impossible aux piétons, cyclistes, motards, automobilistes, chauffeurs de bus et autres trottinetteurs métrosexuels. On compte ainsi plus de 7000 chantiers ouverts dans la capitale, et si une part d’entre eux sont des travaux de ravalement de façade ou d’autres dépendants de tiers, 3219 dépendent d’opérateurs de réseau (gaz, électricité, infrastructure de communication) et 643 relèvent de la Ville de Paris.
    La lutte contre les nuisibles (notamment les rats) ne semble guère porter ses fruits : les riverains des parcs inondent internet de vidéos pas toujours amusantes où des groupes de rongeurs s’égayent joyeusement à la recherche de nourriture ; sur la promenade Barbès-Chapelle-Stalingrad, les rats grouillent. Il faut dire que ces charmants mammifères sont largement aidés par d’autres qui produisent un nombre assez phénoménal de détritus alimentaires, et d’autres encore qui « oublient » de les ramasser : entre la diminution des effectifs affectés à la propreté, l’absentéisme qui mine les rangs des éboueurs et une gestion de plus en plus discutable des services, l’état sanitaire de la capitale française est catastrophique, au point que les touristes ne manquent pas de le remarquer
    Quant à la sécurité, elle n’est plus qu’un vaste souvenir pour les habitants de certains quartiers maintenant à peu près laissés à l’abandon des forces publiques. Les camps de fortune, véritable cloaques à ciel ouvert pour lesquels tant la mairie de Paris que chacune des mairies d’arrondissement semblent complètement dépassés, recueillent aussi bien les immigrants que la pire des racailles, les zones où règnent des faunes interlopes qui profitent de méchants trottoirs trop étroits pour harceler les habitants ou pratiquer le trafic de drogues en toute impunité. En quelques années, Paris est devenue une ville plus dangereuse qu’elle ne l’était avant : cambriolages en hausse fulgurante, hausse des vols, vols avec violence
    Si l’on y ajoute les choix idéologiques de faire une guerre constante aux automobilistes (par exemple en fermant les voies sur berge, ce qui a provoqué une hausse de la pollution), force est de constater que ces 5,7 milliards d’euros de dette semblent s’être évaporés avant d’avoir irrigué les services compétents pour résoudre tous ces problèmes
    Mais où est donc parti l’argent ? C’est là que les travaux de l’IFRAP éclairent la situation : il apparaît que pour la seule année 2018, les dépenses de la Ville atteignent la coquette somme de 9,4 milliards d’euros, dont 7,8 milliards de dépenses de fonctionnement (en hausse de 35% depuis 2010). Or, les plus importants coûts de fonctionnement sont les charges du personnel ce qui est logique puisqu’en l’espace de 20 ans, le nombre d’agents employés par la ville est passé de 40.300 à 52.000, pendant que la population, elle, diminue depuis le début des années 2010, permettant à Paris de compter un agent pour 43 habitants. 
    Par comparaison, Rome n’en compte qu’un pour 95 et Londres 1 pour 107. À ce constat effarant s’ajoute celui des primes, avantages et indemnités qui ont augmenté de 7% entre 2007 et 2015.
    En somme, la mairie de Paris emploie beaucoup trop d’agents aux avantages trop importants et les indemnise de façon trop large, pendant que le service rendu diminue de façon affolante en quantité et en qualité.
    De façon intéressante, l’étude de l’IFRAP estime qu’une partie de ces problèmes de gestion provient d’une dilution des compétences et des responsabilités dans le millefeuille administratif municipal, départemental, régional et national. On ne peut pas leur donner tort tant il est réputé que les guerres picrocholines agitent régulièrement ces différentes administrations pour savoir qui évitera avec le plus de brio de faire un travail pourtant de sa compétence. La solution préconisée par le think-tank spécialisé sur la recherche et l’efficacité des politiques publiques est intéressante puisqu’elle consiste, in fine, à supprimer purement et simplement la mairie de Paris en s’inspirant de l’organisation territoriale du Grand Londres…
    On le comprend, une telle révolution ne risque pas d’arriver, d’autant plus qu’approchent les élections municipales : compte-tenu de la brochettes de semi-habiles qui se présentent en face d’Anne Hidalgo, aussi pourri soit son bilan, il lui reste une chance non négligeable de reprendre la queue du Mickey pour refaire un tour gratuit. Autrement dit, Anne Hidalgo a ruiné Paris et va fort probablement continuer à le faire.
     H16 anime le blog Hashtable

  • Organiser l'Islam en France (I/III) : attention, danger ! Comment Macron veut procéder...

    Comment Macron feint d'ignorer le danger des Frères musulmans, et comment il s'imagine qu'il pourra - là où Sarkozy a échoué - organiser l'Islam chez nous, le prenant, comme dit Zemmour, comme une sorte de christianisme des arabes : ce en quoi il se trompe lourdement, évidemment

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/attention-danger-comment-macron-entend-organiser-l-islam-en-6167554.html

  • Après avoir milité pour les migrants, Richard Gere profite de la vie sur un yacht de luxe, entouré de jolies filles et de coupes de champagne

    La star hollywoodienne a été photographiée sur un bateau de luxe à Giglio (Toscane). Richard Gere passe du bateau de l’ONG Open Arms au yacht de luxe. Internet le lynche.

    L’engagement par intermittence des personnalités du star system ne convainc plus personne.

    La venue de l’ancien sex-symbole hollywoodien sur le navire de l’ONG au large de Lampedusa avait déjà suscité controverses et critiques ainsi qu’un échange indirect de blagues à distance entre Richard Gere et le ministre de l’intérieur, Matteo Salvini. L’acteur avait critiqué le décret Sicurezza bis qui, selon lui, mettait en danger la vie des migrants alors que le ministre de l’intérieur l’avait invité à faire venir tous les migrants aux Etats-Unis avec son avion personnel.

    « Je n’arrive pas à croire que mes amis italiens puissent sortir une telle chose », a déclaré l’acteur dès qu’il est monté à bord du navire espagnole. La réponse de Salvini fuse : « Puisque le généreux millionnaire claironne son inquiétude pour le sort des immigrants de l’Open Arms, nous le remercions : il pourra emmener toutes les personnes à bord à Hollywood avec son avion privé, et les garder dans ses villas. Merci Richard », a écrit le leader sur les réseaux sociaux.

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    Les images de Richard Gere à bord du yacht de luxe, entouré non plus de migrants mais de belles et très jeunes filles, et par-dessus tout la désinvolture avec laquelle il est passé sans problème de l’appel aux migrants et de la distribution des repas à un Riva [NDLR : bateau de prestige et de luxe] rempli de modèles en bikini et de verres de champagne semble donner raison à ceux qui le critiquent.

    Le protagoniste de Pretty woman est apparu dans le petit port de Isola del Giglio, en Toscane, en fin d’après-midi à la mi-août. Chemise bleue impeccable malgré la chaleur, casquette de baseball et lunettes de soleil […].

    Selon Richard Gere, sa visite sur le navire de l’ONG avait pour but d’attirer l’attention sur la condition des migrants, mais l’opinion publique est divisée. Beaucoup l’ont accusé de vouloir attirer l’attention, mais seulement sur lui-même, car au fil des années, son image de star s’est définitivement ternie. Pas étonnant que le changement soudain de décor de Richard Gere ait provoqué la colère du Web. […]

    Ilgiornale.it / Leggo.it

    http://www.fdesouche.com/1249513-apres-avoir-milite-pour-les-migrants-richard-gere-profite-de-la-vie-sur-un-yacht-de-luxe-entoure-de-jolis-filles-et-de-coupes-de-champagne

  • La fièvre monte ? Cassons le thermomètre !

    6a00d8341c715453ef0240a4c5ea9a200b-320wi.jpgLa publication ce 15 août du fameux classement de Shanghai, comparatif peut-être discutable des universités du monde entier, n'a pas laissé le journal officiel de Boboland indifférent. Le quotidien Le Monde en effet s'empresse de réfuter cette information puisqu'elle lui déplaît.

    Horrible révélation pour le peuple qui, non seulement se croyait, mais osait se dire naguère, le plus intelligent de la terre : sur les 100 premières structures d'enseignement supérieur du monde, ce palmarès ne recense que 3 institutions françaises. Exit, incidemment bien sûr, celles qui ont si bien formé, depuis un siècle, l'oligarchie parisienne : l'école polytechnique et l'école nationale d'administration, excellentes maisons fondées respectivement en 1794 et 1945, l’une pour donner des artilleurs à une république guerrière, l’autre pour servir l’État, non pour le régenter.

    Mais la rédaction du Monde ne capitule jamais quand il s'agit pour elle de maquiller les faits, tout en se donnant l'apparence de les mentionner.

    On en jugera par les titres des 3 articles publiés par le journal sur le sujet.

    1° Classement de Shanghai : "pourquoi les universités françaises sont à la traîne"[1].

    2° Qu'on se rassure... car "le classement de Shanghai n’est pas fait pour mesurer la qualité des universités françaises"[2]

    3° Et pourtant, le 18 juillet 2018, annonce triomphale : "Classement thématique de Shanghai 2018 : la France monte sur le podium."[3]

    Avec une machine à décrypter, ces trois papiers donnent, reconnaissons-le d'emblée, des éléments d'information suffisants pour une réflexion civique.

    Hélas, ceux-ci sont rendus inutilisables pour le lecteur moyen. Car il est suggéré que le vrai critère ne se mesure pas à la valeur de la formation dispensée par nos écoles, nos universités et par l'éducation nationale monopoliste d'État, évaluée à l'international ni même sur le marché de l'emploi, mais au niveau de mixité sociale. Ainsi le classement de Shanghai ne servirait qu'à répercuter, depuis la Chine, de pervers mots d'ordre au service du monde anglo-américain détesté.

    L'expérience désastreuse de feu "Richie" Descoings a-t-elle positivement détruit l'Institut d'études politiques de Paris en rabaissant, notamment, la connaissance de l'histoire sous prétexte de ne pas humilier les enfants de la banlieue ? On étendra le processus à la France entière.

    La fièvre progresse-t-elle dans le corps de l'organisme social ? La république jacobine ne dissimule même plus sa solution : casser joyeusement le thermomètre.

    Évoquons à cet égard, deux absurdes cocoricos venant ainsi en illustration de cette méthode.

    On n'en finirait plus, hélas, de tenir la rubrique du nombrilisme dans lequel les médias et le pouvoir parisiens entretiennent les ressortissants de l'Hexagone. On croit ainsi rêver en les entendant répéter que ce qu'ils appellent la "lèpre nationaliste" porterait la responsabilité des guerres, tandis que, bien sûr, leur délicat mondialisme assurerait l'œuvre de paix.

    Cette contre-vérité remonte à Mitterrand. Intellectuellement, on peut sans rougir soutenir exactement la thèse opposée. En 1914, ce n'était pas les nationalistes qui exerçaient le pouvoir mais les radicaux-socialistes. Les inspirateurs des actuelles institutions internationales n'ont su résoudre aucun conflit : seul l'équilibre de la terreur nucléaire a maintenu, depuis 1947, la rivalité des grandes puissances à la gestion d'affrontements limités. À l’inverse le peu que j'ai pu retenir d'une lecture, peut-être superficielle, des maîtres du nationalisme français, illustrerait plutôt le contraire. La pensée de Barrès, apologie de l'enracinement, amène à considérer que chaque peuple possède son génie propre et que le mieux consiste à vivre chacun chez soi. La doctrine de Maurras se préoccupe de guérir les maux dont la république a infesté la France : le chauvinisme[4], l'impérialisme, le jacobinisme n'appartiennent guère à son registre. On gagnerait donc à méditer cette forte pensée de Otto Klemperer : "Quand on se cogne la tête avec un livre et que ça sonne creux, cela ne veut pas dire que le livre est vide".

    Mais au-delà de telles considérations philosophiques, on se doit de constater qu'en ce milieu de l'été deux nouveaux cocoricos franchement ridicules et pervers ont été chantés, hélas impunément, par les professionnels médiatiques de la brosse à reluire.

    Premier délire : le recul du taux de chômage, acclamé comme si nos technocrates avaient su créer un seul emploi. Les statistiques l'ont ramené de 8,7 % à 8,5 %. "Fascinant de pavoiser, ironisait de toute façon Marc Fiorentino dans un tweet[5], avec 8.5 % de chômage quand l’Allemagne et les États-Unis sont à 3.8 % et le Japon à 2.3 %". Reste surtout, doit-on ajouter, à s'interroger sur ce taux, sur le niveau de l'emploi et surtout sur la zone grise de tous ceux qui ont renoncé à chercher du travail.

    Deuxième manipulation : l'Hexagone et l'Outremer réunis détiendraient le maillot jaune de la natalité en Europe. On mobilise pour cela des démographes officiels. Ils parlent au nom des trois organismes officiels en la matière. Or, ils ratiocinent autour de l'indicateur conjoncturel de fécondité qu'ils appellent bien sûr taux de fécondité[6]. C'est plus parlant sans doute, bien que cela soit faux. Reste quand même à s'interroger sur ce qu'induit la natalité en France confondue avec la démographie du peuple français qui, toutes origines confondues, se révèle inférieure, à un niveau de 1,8 au taux de remplacement qui se situe à 2,1 enfants par femme. On ne parlera pas d'ailleurs d'un autre "remplacement". Le débat est interdit ; le mot lui-même est devenu tabou ; la question ne se pose même pas. La connotation du terme impose qu’on renonce à y réfléchir.

    L'important, pour nos soi-disant démographes reste, en effet, non pas d'évaluer la démographie de flatter l'excellence de notre système d'allocations familiales, et bien sûr, comme pour l'éducation, de maintenir coûte que coûte notre intouchable modèle social français.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] Texte cosigné par Eric Nunès et Jessica Gourdon qui résument ainsi la situation :"Comme chaque année, les universités anglo-saxonnes dominent. Et comme en 2018, seuls trois établissements français sont dans les 100 premiers."
    [2] Propos pieusement recueillis par Eric Nunès auprès de Hugo Harari-Kermadec, maître de conférences en économie à l’École normale supérieure (ENS) Paris-Saclay et spécialiste, nous assure-t-on, de l’enseignement supérieur.
    [3] Cet article écrit par Adrien de Tricornot se félicite car "L’université de Montpellier obtient la première place pour sa recherche sur l’écologie, au détriment d’Oxford. Les Etats-Unis continuent de dominer le palmarès, devant la Chine etc."
    [4] Une exception juvénile : il admirait le chauvinisme des supporteurs grecs lors des premiers Jeux Olympiques modernes qu'il "couvre" en 1896 à Athènes pour le quotidien conservateur Le Soleil.
    [5] cf. Son tweet du 16 août en réponse à celui de @murielpenicaud du 14 août, laquelle annonçait : "Au 2e trimestre, la baisse du chômage se poursuit. Il s'établit à 8,5 %, soit le plus bas niveau depuis 10 ans. Depuis le début du quinquennat de @EmmanuelMacron, il y a 300 000 chômeurs de moins en France" [sans se référer ni au niveau de l'emploi lui-même ni à la démographie]
    [6] Lire sur le site de Causeur l'article de Michèle Tribalat du 11 juillet 2019 : "Fécondité en France, immigrées…" ... et les approximations répétées de l'Ined sur la question.

    https://www.insolent.fr/2019/08/la-fievre-monte-cassons-le-thermom%C3%A8tre-.html

  • Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Son voyage en voilier va nécessiter plusieurs vols en avion mais combien de personnes vont naïvement continuer à se faire intoxiquer par cette imposture ?

    “C’est un paradoxe auquel Greta Thunberg, très critique envers les conséquences écologiques des vols en avion, devrait se faire un plaisir de répondre. La jeune militante suédoise, qui doit participer à un sommet sur le climat à New York le 23 septembre prochain, a choisi de s’y rendre en traversant l’océan Atlantique à bord d’un voilier en carbone réputé très écologique – bien que sponsorisé par des marques un peu moins écolos. Problème : l’organisation du périple en mer va nécessiter au moins quatre vols transatlantiques, rapporte le journal allemand Die Tageszeitung. Un comble.

    Et pour cause : selon le quotidien, deux employés, qui auront la tâche de ramener le voilier en Europe, devront avant cela se rendre outre-Atlantique en avion. Le skipper allemand qui accompagne Greta Thunberg, Boris Herrmann, reviendra lui aussi par les airs sur le Vieux Continent (…) Le père de la militante, Svante Thunberg, le fondateur monégasque de l’équipe Malizia détentrice du voilier, Pierre Casiraghi, et un cinéaste sont également du voyage à bord du voilier. Pierre Casiraghi, actionnaire d’une entreprise d’hélicoptères, n’est par ailleurs pas vraiment réputé pour son engagement en faveur de l’environnement. Il rentrera lui aussi des États-Unis en avion.”

    https://www.lesalonbeige.fr/greta-thunberg-limposture-et-les-manipulations-continuent/

  • Participez au combat contre la privatisation d'ADP

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/referendum-contre-la-privatisation-d-aeroports-de-paris-la-collecte-des-signatures-debute-20190612?fbclid=IwAR0ZMt77vyx7LLrehR5FluJqvPVGviZDKWXADOuE0h9hN_kKN9SJBx5m8K4

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Scandale Epstein : politiques et hommes d’affaires mouillés peuvent trembler…

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    Avec l’affaire Epstein, on n’est plus dans le simple fait divers concernant du menu fretin pervers qui s’adonne à ses sordides activités de pédophilie.
    Car c’est un vaste réseau mondain qui a été démasqué, un banc de très gros poissons que la justice américaine a bien l’intention de capturer dans ses filets. C’est une enquête tentaculaire qui s’annonce, aux nombreuses ramifications mondiales. De la dynamite, compte tenu de l’ampleur de ce réseau pédophile. On comprend mieux le peu d’empressement du Parquet à lancer une enquête en France.  Le pouvoir joue la montre et ne semble pas pressé de remuer la vase avant de voir ce qui va d’abord ressortir du côté américain. Ceux qui s’imaginent que la justice américaine va mettre la pédale douce et minimiser les faits se trompent lourdement. Nous ne sommes pas en Europe ! Et ce n’est pas le suicide plus que suspect du principal coupable qui va enterrer l’affaire, si l’on en croit le procureur général des États-Unis. « Je peux vous assurer que l’enquête va continuer, visant quiconque ayant été complice de Jeffrey Epstein. Aucun complice ne dormira tranquille. » C’est clair ! En Angleterre, le pouvoir et la police ont couvert pendant des années un viol de masse ayant fait plus de 1 000 jeunes victimes, tombées sous la coupe d’un réseau pakistanais. Mais en Amérique, suite à l’agression sexuelle commise par DSK, les policiers new-yorkais n’ont pas hésité à lui passer les bracelets aux poignets, tout directeur du FMI qu’il était.  Images qui ont fait le tour du monde. Si les faits s’étaient déroulés en France, nul doute que l’affaire aurait été étouffée.  Quel policier aurait osé arrêter celui qui était pressenti pour devenir le futur président de la République ? La justice américaine n’a pas hésité non plus à s’attaquer à Bill Clinton pour ses frasques avec Monica dans le bureau ovale.
    Les complices sont donc dans le collimateur du procureur, avec en tête de liste Ghislaine Maxwell, maîtresse et rabatteuse présumée de proies sexuelles pour Epstein. Fille du magnat de la presse Robert Maxwell, cette Anglaise serait détentrice de secrets inavouables. Le problème, c’est qu’elle a totalement disparu de la sphère mondaine dans laquelle elle évoluait depuis toujours.
    Elle est soupçonnée d’avoir agi en tant qu’entremetteuse, recrutant des mineures pour le vaste réseau.
    Les plaintes de victimes abusées affluent. Recrutées comme « masseuses », les mineures se retrouvent piégées et entraînées dans des orgies sexuelles. Son défunt père, Robert Maxwell, est soupçonné d’avoir été un agent du Mossad, ce qui ajoute au mystère entourant cette affaire devenue planétaire. Le fait est que c’est par le puissant réseau mondain familial que Ghislaine Maxwell a pu intégrer les élites new-yorkaises à la mort de son père. 
    Proche du couple Clinton, son cercle de relations haut placées ne cessera de s’élargir. Et le carnet noir du milliardaire le prouve. Politiques et hommes d’affaires de renom venus de toute la planète y figurent. Mais le clou de l’affaire, et qui rend le suicide encore plus suspect, c’est que le couple Epstein-Maxwell ne se contentait pas de procurer des filles mineures au réseau. Les deux complices se seraient vantés « de posséder des éléments compromettants sur un nombre incroyable de personnalités riches et célèbres. »  De quoi dynamiter le Gotha mondain. On imagine que les ébats torrides des grands de ce monde, invités par Epstein sur son île des Caraïbes lors des orgies sexuelles organisées, ont été filmés sous tous les angles…  L’île était truffée de caméras.
    Une assurance-vie pour Epstein, voire un moyen de chantage ?
    « Je contrôle tout et tout le monde », aurait dit Epstein. « Je rassemble les gens, je possède les gens, je peux nuire aux gens. »
    À la lecture du lien cité plus haut, on mesure l’ampleur du scandale qui couve dans bien des chancelleries à travers le monde. Ce n’est pas de la dynamité que manipule le procureur général des États-Unis, c’est une bombe nucléaire. Et apparemment, il semble bien décidé à la faire exploser.  Et tant pis pour les victimes collatérales de la déflagration !
    Jacques Guillemain
    source

  • Samedi 24 août, en Dordogne : rassemblement contre l'implantation d'éoliennes...

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    Au centre géographique de la Nouvelle Aquitaine, une grande manifestation anti-éolienne est organisée par les associations locales. Ce rassemblement veut réunir le maximum d'opposants aux projets éoliens qui défigurent les paysages, détruisent le monde rural et ruinent les finances publiques.

    Tous à Saint-Aulaye (24) samedi 24 août, on peut même se restaurer sur place. Tout est prévu, en Périgord la gastronomie c'est incontournable.

    En savoir plus sur les éoliennes cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/18/samedi-24-aout-en-dordogne-rassemblement-contre-l-implantati-6170592.html

  • Liberté d’expression. La France derrière la Russie et la Hongrie ! [Indice LIBERTEX 2018]

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    Article initialement paru le 23 novembre 2018 C’était l’un des moments forts du 4e Forum de la Dissidence : « Face à la censure, tous dissidents ! » La présentation du LIBERTEX 2018 a été chaleureusement saluée par les plus de 400 personnes présentes. Le LIBERTEX, c’est un indice de la liberté d’expression préparé et présenté par Polémia tous les ans. Prenant en compte de multiples facteurs détaillés ci-dessous, cet indice se veut un état des lieux exhaustif de la liberté d’expression dans plusieurs pays du monde.
    Il s’agit de la première édition et quelques éléments sont évidemment perfectibles. Reste que le travail le plus rigoureux et le plus sérieux possible a été réalisé afin de fournir un classement réaliste de la liberté d’expression, notamment en France. Et, même si ce n’est pas véritablement une surprise, les résultats sont très inquiétants.

    La liberté d’expression et la liberté plus généralement sont des sujets centraux du combat politique, et donc doivent l’être pour tout activiste. En effet, sans liberté d’expression, comment exprimer nos idées ? Comment rallier à notre combat et aux causes que nous défendons ? Comment même développer une pensée quand le champ lexical est contrôlé et limité. Quant à la liberté en général, elle touche à peu près tous les sujets politiques, car c’est aussi la restriction progressive des libertés qui force le peuple à accepter certaines situations liées par exemple au système politique ou judiciaire.

    Pour mieux comprendre et décortiquer la situation de la liberté d’expression et des libertés civiques plus généralement en France ainsi qu’aux États-Unis, en Italie, en Hongrie, en Royaume-Uni, en Russie et au Danemark. Polémia vous présente le LIBERTEX, un indice sur la liberté d’expression qui prend en compte quelques autres facteurs qui sont aussi des indicateurs de la liberté des citoyens.

    Cette présentation se déroulera en quatre points. Premièrement, vous retrouverez des graphiques comparatifs des pays étudiés, qui permettent une représentation visuelle des écarts entre les pays. Deuxièmement, l’indice Polémia LIBERTEX 2018, qui prend en compte tous les facteurs présentés ci-dessous sera annoncé. Troisièmement, les facteurs utilisés pour la réalisation de l’indice LIBERTEX sont expliqués. Quatrièmement, les pays étudiés vous seront présentés brièvement. Enfin, il y aura un point sur la méthode utilisée pour mettre en place le LIBERTEX.

    Place aux résultats !

    Résultats par facteur étudié : comparaison graphique

    Liberté d’expression au Danemark, Italie, États-Unis, France, Hongrie, Russie et Royaume-Uni

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  • De quelles poches sortent ces milliards d'euros ? Qui paie pour les mineurs africains ?

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    Et nous ne sommes pas arrivés encore « jusqu’au bout de la nuit » car l’invasion est loin de devoir s’arrêter.

    Au cours du premier semestre 2019, selon les chiffres officiels fournis par l’EASO (Union Européenne pour l’Asile), les demandes d’asile sont en hausse de  plus de 10%, sur le premier semestre 2018.

    Un peu plus de 305.000 migrants ont déposé une demande d’asile, depuis début 2019.

    A ces chiffres, il nous faut ajouter que 50% des mineurs non accompagnés ne déposent pas de demandes d’asile et restent donc des clandestins.

    D’un autre côté, des milliers d’individus rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail puis refusent de partir, à l’expiration de leurs visas et réclament à leur tour des demandes d’asile.

    Le pourcentage d’acceptation de ces demandes d’asile se situe entre 30 et 50% en Europe, avec le pourcentage le plus élevé pour l’Allemagne.

    Bien entendu, il ne s’agit pas majoritairement de réfugiés fuyant des pays en guerre, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration.

    Ainsi, par exemple, le commerce a repris en Méditerranée.

    Le navire de l’ONG « Océan Viking » a recueilli ces derniers jours 356 migrants, dont 103 mineurs non accompagnés, à moins de 40 milles des côtes libyennes. La dernière opération de (sauvetage) a eu lieu ce lundi 12 août.

    Et pendant ce temps le navire de l’ONG espagnole « Open Arms » est bloqué au large de Lampedusa, avec ses 151 migrants.

    Le chantage humanitaire se poursuit et il rapporte gros pour que les ONG y tiennent tant !

    Ils n’espèrent qu’une chose, l’ouverture des ports d’Espagne (l’Open Arms vient de l’obtenir grâce au socialiste Pedro Sanchez), de France et même de Norvège et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’agit pas, en ce qui concerne ce dernier pays, de ports les plus prés des côtes méditerranéennes.

    Il est vrai que les ports les plus proches sont ceux du Maghreb, mais inutile d’en parler puisque les Arabes ne veulent pas de ces migrants et que ces migrants ne veulent pas aller dans ces pays arabes.

    Donc, je le répète, l’invasion se poursuivra et avec comme conséquence première la recrudescence de l’insécurité, en Espagne, en France et dans tous les pays côtiers, et même très éloignés.

    Que ce soit en Espagne ou en France, les services de police dénoncent cette forte recrudescence de la délinquance, dont la cause principale réside par l’arrivée d’une très forte proportion de mineurs isolés clandestins.

    Dans l’Oise, deux de ces mineurs viennent d’être appréhendés après des vols commis dans des maisons à Chantilly, avenue Maréchal Joffre (mineurs d’origine marocaine).

    Trois autres mineurs à Orry-la-Ville, après avoir dérobé la caisse d’un magasin.

    Ils sont d’ailleurs aussitôt relâchés car ils n’ont pas de papier d’identité et c’est ainsi que ces trois mineurs ont été arrêtés quatre jours plus tard, à Luzarches, toujours dans le Val d’Oise, également pour des vols.

    A Montpellier (Hérault), ce sont 11 mineurs isolés qui ont été appréhendés en quelques heures pour des vols avec violence. Et dans ce département les services de police signalent la progression très inquiétante de cette délinquance des mineurs clandestins en situation irrégulière sur notre sol.

    Inutile de rappeler l’insécurité quotidienne que font régner ces mineurs isolés dans les arrondissements du nord de Paris où il est conseillé, aux personnes âgées ou handicapées, d’éviter le plus possible de sortir dès la nuit tombée.

    Et ce n’est pas l’arrivée prochaine de centaines de nouveaux mineurs isolés et clandestins qui rendra la sécurité dans nos villes !

    L’Espagne, à cause de sa politique irresponsable, se trouve aux premières loges et la justice italienne, qui vient de désavouer son ministre de l’Intérieur, Mattéo Salvini, et a autorisé les navires des ONG à pénétrer dans les eaux territoriales, ne donnent certes pas le bon exemple. (Attendons et espérons la réaction de Salvini !).

    Et toujours la même question qui se pose, et nous la posons depuis des années, mais la réponse ne nous parvient toujours pas et, apparemment, elle n’est réclamée que par nous ? Qui paie le passage de ces mineurs isolés, qui ne travaillaient pas dans leurs pays et n’avaient certainement pas les moyens financiers de payer les 2000 à 5000 euros, prix de leur passage ?

    Il faut bien que ces milliards d’Euros sortent de quelques poches, non ?

    Une toute récente information vient contrarier mes affirmations : il est fort possible que, finalement, ces centaines de milliers de migrants clandestins soit des « chances pour la France » car, et cela vient d’être confirmé par la Mairie de Paris, ils permettent la réduction du chômage dans notre pays. Comment ? Le processus est tout simple : ils dégueulassent les places, les rues et les trottoirs de nos villes, en y jetant leurs détritus, leurs ordures, à un point tel que, pour que nos villes tentent de rester un peu plus propre, elles se voient devant l’obligation de « recruter » des centaines d’éboueurs, plus de 550 entre les mois de juin et d’octobre uniquement à Paris, avec des salaires de début d’environ 1600 euros et jusqu’à 2200 euros en fin de carrière.

    Ainsi les migrants clandestins, en situation irrégulière, donnent du travail aux migrants ex clandestins qui se sont vus accorder une demande d’asile.

    Un circuit qui a beaucoup d’avenir car il n’est pas près de cesser.

    Ces déchets, ces détritus, devant ensuite être entassés dans des containers pour être expédiés vers la Malaisie, ou ailleurs.

    Je parle des déchets bien sûr ! Pas des migrants, je préfère le préciser !

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/de-quelles-poches-sortent-ces-milliards-d-euros-qui-paie-pour-les-mineurs-africains.html