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anti-national - Page 389

  • Wikileaks : Julien Assange hospitalisé en prison, “sa santé se détériore”

    Alors que devait se tenir une audience hier jeudi 30 mai, concernant une possible extradition aux États-Unis, Julian Assange n’a pas pu comparaître pour des raisons de santé, ont indiqué ses avocats. L’audience est donc reportée à la semaine du 12 juin.  Le lanceur d’alerte, Julien Assange, vient d’être transféré dans le service hospitalisé de la prison de Belmarsh, au Royaume-Uni, où il est détenu depuis le mois dernier.

    L’information a été donné par l’organisation Wikileaks qui a exprimé sa préoccupation quand à la santé de son fondateur. Dans un communiqué, WikiLeaks a annoncé que l’état de santé de l’accusé « s’était gravement détérioré après ces sept années passées à l’ambassade équatorienne » où il avait été accueilli en tant que réfugié pour échapper à la justice britannique.

    « Au cours des sept semaines passées à Belmarsh, sa santé a continué à se détériorer, il a fortement maigri. La décision des autorités de la prison de le transférer à l’hôpital en dit long », a ajouté WikiLeaks.

    Vendredi dernier, son avocat Per Samuelson avait déclaré que l’Australien dont l’état de santé s’est fortement dégradé, à tel point qu’il était « impossible de mener avec lui une conversation normale ».

    La justice américaine réclame son extradition en vertu des lois anti-espionnage. Il lui est reproché d’avoir mis en danger la sécurité nationale américaine et certaines sources qui ont été révélées par WikiLeaks lors de la publication d’environ 500.000 documents confidentiels et de 250.000 câbles diplomatiques, tous sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.

    Julian Assange est emprisonné en Grande-Bretagne après son arrestation le 11 avril. Il a été condamné à 50 semaines de prison le 1er mai pour avoir violé ses conditions de liberté provisoire.

    Pour l’instant aucun gouvernement occidental ne lui propose ce fameux droit d’asile dont les immigrationnistes rêvent pour tous les clandestins !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/wikileaks-julien-assange-hospitalise-en-prison-sa-sante-se-deteriore/109037/

  • Une juriste explique aux migrants comment obtenir l’aide médicale d’État

    « Tu vis en France? Tu n’as pas de papiers? N’attends pas d’être malade, avant de te demander comment te faire soigner. Essaye d’obtenir ton AME. Je t’explique tout dans la video!« 

    Merci à paolus

    http://www.fdesouche.com/1216101-une-juriste-explique-aux-migrants-comment-obtenir-laide-medicale-detat
  • Dossier Trump : La preuve que Mueller est une ordure

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    Prenant la parole pour la première fois en deux ans, le procureur spécial Robert Mueller a affirmé mercredi que « Si nous avions eu la conviction que le président n’avait clairement pas commis de délit, nous l’aurions dit ». En d’autres mots, Mueller refuse d’exonérer le président en dépit de l’absence de preuves qu’il a, en vain, mis deux ans à chercher.

    Honte à Robert Mueller d’avoir abusé de son rôle

    La déclaration du procureur spécial, Robert Mueller, lors d’une conférence de presse mercredi (29 mai), selon laquelle « si nous étions confiants que le président n’a manifestement pas commis de crime, nous l’aurions dit », est pire que la déclaration faite par James Comey, alors directeur du FBI, concernant Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle de 2016.

    Comey avait déclaré lors de sa conférence de presse de juillet 2016 :

    « Bien que nous n’ayons pas trouvé de preuves claires que la secrétaire d’État Clinton ou ses collègues avaient l’intention de violer les lois régissant le traitement des informations classifiées, il est prouvé qu’ils ont été extrêmement négligents dans leur traitement des informations hautement confidentielles très sensibles ».

    Comey a été universellement critiqué pour avoir outrepassé sa responsabilité en se prononçant sur le fait qu’il y avait suffisamment de preuves pour inculper Clinton.

    Mueller, cependant, a fait pire. Il est allé au-delà de la conclusion de son rapport et a fait un cadeau politique aux Démocrates du Congrès qui cherchent à entamer des procédures de destitution contre le président Trump.

    En laissant entendre que le président Trump aurait pu faire obstruction à la justice, Mueller a effectivement invité les Démocrates à engager une procédure de destitution. L’entrave à la justice est un « crime grave avec méfait » qui, en vertu de la Constitution, autorise la destitution du président.

    Jusqu’à aujourd’hui, j’ai défendu Mueller contre les accusations selon lesquelles il est un partisan anti-Trump. Je ne pensais pas qu’il favorisait les Démocrates ou les Républicains, ni qu’il avait un point de vue personnel sur la question de savoir si le président Trump devait être destitué.

    Mais j’ai changé d’avis.

    En mettant son pouce, voire son coude, sur l’échelle de la justice en faveur de la destitution fondée sur l’obstruction à la justice, Mueller a révélé son parti pris partisan.

    Il a également perverti le rôle crucial que doit jouer un procureur dans notre système de justice.

    Pratiquement tout le monde convient que, dans une affaire normale, un procureur ne doit jamais aller au-delà de la divulgation publique du fait qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour porter des accusations. Aucun procureur responsable ne devrait jamais laisser entendre que la personne faisant l’objet de son enquête pourrait effectivement être coupable même s’il n’y a pas suffisamment de preuves ou d’autres raisons de ne pas l’inculper.

    Les partisans de Mueller soutiendront qu’il ne s’agit pas d’une affaire ordinaire, qu’il ne s’agit pas d’un procureur ordinaire et que le président Trump n’est pas un sujet ordinaire d’une enquête. Ils ont tort. Les règles ne devraient pas être différentes.

    N’oubliez pas que les enquêtes fédérales menées par les procureurs, y compris les avocats spéciaux, sont, de par leur nature même, partiales. Ils n’entendent que des preuves de culpabilité et non des preuves à décharge. Leurs témoins ne sont pas soumis au processus accusatoire. Il n’y a pas de contre-interrogatoire. Les preuves sont recueillies en secret derrière les portes closes d’un grand jury.

    Pour cette raison même, les procureurs ne peuvent que conclure s’il y a ou non suffisamment de preuves pour intenter une poursuite. Ils ne sont pas en mesure de décider si la personne faisant l’objet de l’enquête est coupable ou non d’un crime.

    La détermination de culpabilité ou d’innocence exige un procès contradictoire complet avec un avocat de la défense zélé, un contre-interrogatoire vigoureux, des règles d’exclusion de la preuve et d’autres garanties d’une procédure régulière. De telles mesures de protection n’étaient pas présentes dans cette enquête, de sorte que la suggestion de Mueller selon laquelle Trump pourrait bien être coupable n’a aucune crédibilité.

    Sa déclaration, si incompatible avec sa longue histoire (sic), sera utilisée à des fins partisanes par les Démocrates, en particulier par tous les radicaux qui cherchent à faire destituer le Président.

    Aucun procureur ne devrait jamais dire ou faire quoi que ce soit dans le but d’aider l’une ou l’autre partie.

    Je ne peux imaginer une raison plausible pour laquelle Mueller est allé au-delà de son rapport et a suggéré gratuitement que le président Trump pourrait être coupable, sauf s’il vise à aider les Démocrates au Congrès et cherche à encourager le discours et l’action de destitution.

    Honte à Mueller d’avoir abusé de sa position de confiance et d’autoriser qu’on se serve de lui pour un avantage partisan.

    * Alan M. Dershowitz est professeur émérite de droit à la Harvard Law School. Son nouveau livre s’intitule « The Case Against the Democratic House Impeaching Trump. » (L’argument contre la mise en accusation de Trump par la Chambre des Représentants majoritairement démocrate).

    © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

    Sources :

    https://www.alterinfo.ch/2019/05/31/dossier-trump-la-preuve-que-mueller-est-une-ordure/

  • Vous avez aimé la machine à perdre ? Avec Geoffroy Didier, vous allez la garder

    Vous avez aimé la machine à perdre ? Avec Geoffroy Didier, vous allez la garder

    Geoffroy Didier, secrétaire général des Républicains, s’est livré à une charge contre “la droite”, dans une tribune publiée sur le site du Monde. N’ayant pas encore compris que les électeurs libertaires de LR sont partis chez Macron tandis que les autres se rallient au RN, il appelle à gauchir encore plus son parti :

    Je propose que la droite se pose au moins la question de l’ouverture de la procréation médicalement assistée, qui serait une avancée sociale comme le furent de fait le mariage pour tous, et avant le PACS, et avant l’IVG”.

    https://www.lesalonbeige.fr/vous-avez-aime-la-machine-a-perdre-avec-geoffroy-didier-vous-allez-la-garder/

  • Le message insultant d’une élue de la France insoumise qui en dit long

    Le message insultant d’une élue de la France insoumise qui en dit long
    Manon Monmirel est la suppléante du député (LFI) Éric Cocquerel. Eric Cocquerel - FacebookPar  
    Publié le 30/05/2019   
    FIGAROVOX/TRIBUNE - 
    Manon Monmirel, la suppléante du député de la France insoumise Éric Coquerel, a posté dimanche soir sur les réseaux sociaux un message insultant à l’égard de la France et des Français. 
    Pour Anne-Sophie Chazaud, même si l’élue a regretté son message, il s’agit d’un lapsus très révélateur.

    Anne-Sophie Chazaud est philosophe, haut-fonctionnaire et auteur d’un livre à paraître consacré à la liberté d’expression. 

    Dans un message publié le soir des élections européennes, qu’elle a ensuite retiré, mais qui a toutefois rapidement enflammé les réseaux sociaux, Manon Monmirel suggérait que «la France et tous les Français aillent niquer leurs mères» (sic).
    La suppléante du député de la France Insoumise Éric Coquerel était manifestement mécontente du résultat démocratique du scrutin...
    La jeune militante s’est ensuite longuement excusée dans un message circonstancié, manifestement sincère (au moins en apparence, mais en matière de communication, c’est largement suffisant). 
    La parole et l’engagement publics à l’heure des réseaux sociaux permettent une spontanéité et une réactivité qui n’étaient autrefois pas permises, pour le meilleur et pour le pire. 
    Se lisent certes les cris du cœur mais aussi, en filigrane, l’empressement, la colère, la passion, le dépit... 
    Chacun en aura fait l’expérience un jour ou l’autre, et cela ne mérite pas nécessairement des anathèmes définitifs.
    Le problème provient de ce que ce message révèle politiquement, de ce dont il est l’expression.
     Tout un pan de la gauche est fasciné par les «racailles».
    La question se pose tout d’abord du niveau de langue employé, qui n’a rien à envier à la prose des paroles de chansons de Nick Conrad.
    L’appauvrissement du langage mais aussi la connotation «racaille» qui le caractérise, en disent long sur le poids et la fascination exercés par cet imaginaire et ce registre sémantique sur tout un pan de la gauche.
    Il y a quelques jours, l’obscur rappeur partageait son désir manifestement irrépressible de «baiser la France jusqu’à l’agonie»…
    Là, un résultat d’élection qui déplaît et c’est toute «la France et tous les Français» qui sont sommés d’aller «niquer leurs mères».
    Ce n’est pas sans évoquer la dérive indigéniste caractéristique de la France Insoumise telle qu’elle a été précisément dénoncée par Djordje Kuzmanovic pour expliquer son désaccord puis son départ de la formation de Jean-Luc Mélenchon en novembre dernier, reflétant l’avis de nombreux sympathisants déçus voire rebutés: «Pire, le choix de ne s’appuyer, parmi les classes populaires, que sur «les quartiers» a amené la FI à laisser s’installer une approche quasi communautariste, proche du modèle anglo-saxon et profondément contraire au républicanisme français. 
    La complaisance des segments gauchistes de la FI à l’égard des thèses indigénistes, le mépris affiché pour les forces de l’ordre, la négation du problème posé par l’islamisme et le refus de regarder en face les défis posés par l’immigration ont produit des ravages dans notre électorat potentiel, faisant apparaître la FI comme la vieille gauche à peine repeinte, coupable du même angélisme, incapable de réalisme et de fermeté».
    S’il avait fallu illustrer la justesse des propos de l’ancien conseiller aux affaires internationales de Jean-Luc Mélenchon, on n’aurait pas pu s’y prendre mieux qu’avec ce tweet qui ressemble dans le fond à un gigantesque lapsus politique.
    C’est bien parce que la France Insoumise s’est indigénisée, communautarisée et auto-caricaturée dans les pires errements du gauchisme culturel qu’elle a perdu une partie importante de ses soutiens.
    Plus amusante est la cécité des personnalités qui incarnent cette dérive suicidaire de la France Insoumise et qui, telle Clémentine Autain, invoquent une insuffisante gauchisation du mouvement pour tenter d’expliquer la débâcle des élections de dimanche dernier. 
    Fustigeant la méchante «haine» qui aurait gagné la ligne politique du mouvement, il faut comprendre par ce terme de «haine» le populisme de gauche et une vision trop républicaine du combat politique, la députée France Insoumise regrette une insuffisante gauchisation du parti, selon elle pas assez rassembleur, alors même que l’évidence des chiffres démontre l’inverse. 

    C’est bien parce que la FI s’est indigénisée, communautarisée et auto-caricaturée dans les pires errements du gauchisme culturel qu’elle a perdu une partie importante de ses soutiens tant militants que votants. 
    Et c’est à l’absence de courage politique et de discours clair sur ce point de la part de Jean-Luc Mélenchon que la formation doit son inexorable déclin, passant de plus de 19 % au premier tour de la présidentielle à 6,3 % aux européennes. 
    Manifestement, la ligne républicaine de la présidentielle avait drainé vers elle tout un électorat de gauche qui s’est enfui lorsque le militantisme gauchiste a repris la main, et, comme l’indique Djorde Kuzmanovic, lorsque le sociétal a repris le dessus sur le social, laissant le peuple sur le carreau. 
    Gageons que ceux qui viennent d’être sommés d’aller « niquer leur mère » pour avoir mal voté ne sont pas près de revenir à la France Insoumise
    Désigner tout un pan de l’échiquier politique non plus comme des adversaires mais comme des ennemis, est une technique profondément intolérante propre à la gauche française («pas de liberté pour les ennemis de la liberté»), qui permet commodément de disqualifier l’adversaire tout en s’arrogeant l’onction d’une hypothétique justesse morale. 
    La rhétorique macronienne est de ce point de vue strictement identique à celle qui structure l’interprétation insoumise du vote en faveur du Rassemblement National. 
    On se souvient des embrassades de Mélenchon et Macron sur le Vieux Port de Marseille en septembre dernier. 
    Le président, avec l’aval flatté du député des Bouches du Rhône, déclarait: ««J’ai toujours du plaisir à discuter avec Monsieur Mélenchon. On n’a pas toujours les mêmes idées… c’est toujours respectueux et intéressant. On a des confrontations politiques mais ce n’est pas mon ennemi», désignant le mouvement emmené par Marine Le Pen qui avait recueilli plus de 10 millions de suffrages non plus comme un adversaire politique que l’on respecte et avec qui l’on débat loyalement mais bel et bien comme un ennemi.
    Rappelons enfin qu’Éric Coquerel, dont Manon Monmirel est la suppléante, avait participé et appelé à l’occupation de la basilique de Saint-Denis, nécropole des Rois de France, par des migrants et des sans-papiers en mars 2018 - ce qui, en ces temps d’attaques, de profanations, d’incendies, de pillages et de destructions d’églises catholiques est particulièrement lourd symboliquement. 
    Gageons que ceux qui viennent d’être sommés d’aller «niquer leur mère» pour avoir mal voté ne sont pas près de revenir à la France Insoumise… 

  • Gilets Jaunes : Une répression d’Etat (Documentaire choc )

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    Depuis 6 mois une répression inédite s’abat sur le mouvement des Gilets Jaunes. A travers les témoignages de blessés, spécialistes et militants, le documentaire inédit de StreetPress décrypte les dérives du maintien de l’ordre.

    Source STRE∃T PRESS

    https://www.alterinfo.ch/2019/05/26/gilets-jaunes-une-repression-detat-documentaire-choc/

  • Gilbert Collard : La propagande finit par s’user

    Gilbert Collard : La propagande finit par s’user

    Gilbert Collard, nouvellement élu député français au Parlement européen pour le Rassemblement National, répond à l’Incorrect; Extrait :

    Est-ce que le score très élevé d’Emmanuel Macron n’est pas un peu préoccupant pour la suite des échéances ? Parce que ça montre qu’il a bien solidifié son bloc…

    Il faut aussi tenir compte de l’énorme effort de propagande qui a été fait, qui est assez unique dans l’histoire d’une campagne électorale. La télévision, les commentateurs, la presse régionale, Youtube, les rencontres au cours du grand débat. Il a eu une énergie propagandiste colossale. Ça il faut quand même l’intégrer avec toujours les mêmes attaques perfides. Au dernier moment, à deux jours du scrutin. Avec l’annonce que Marine devrait rembourser 300 000. Toute sorte de perfidie, qui font de moins en moins leur effet mais qui peuvent encore produire quelque part un effet.

    Je crois que plus il va aller M. Macron, plus il va s’user. Je pense qu’il a été très confiant dans les processus de manipulation, sous forme de pervers narcissique de la politique. Mais ça a ses limites. La première limite on l’a vu lors des élections européennes et la deuxième limite on pourra la voir plus tard, lors des municipales, ou même lors des élections présidentielles. Il a quand même aussi les LR qui se sont rendus compte que leur camp prend complètement l’eau.

    Une bonne partie des électeurs de Mélenchon sont partis chez EELV. Des électeurs qui étaient sur le plan social, proches des propositions du RN. Est-ce que ça veut dire qu’il est définitivement impossible de faire une alliance des populistes en France ?

    Non parce qu’il y des phénomènes qui nous échappent. Il n’y a guère que les historiens qui s’intéressent à l’Histoire. Ils savent qu’il y a le rationnel et l’irrationnel dans les mécanismes de société, dans les mécanismes historiques. Je pense que quelque chose de l’ordre du changement des mentalités est en train de s’opérer. Ça ne se fait pas d’un coup, ça ne se fait pas en une seule fois. Regardez les progrès que nous avons fait en peu de temps.

    Malgré les attaques toujours répétées. Hier encore sur les plateaux on nous traitait de fachos, de xénophobes, d’extrême droite. On n’arrête pas d’être insultés du matin au soir, mais cela porte de moins en moins. Cette propagande va finir par s’user, se retourner contre eux peut être. Pendant cette campagne ils ont lâché BHL contre nous. Cohn Bendit par exemple, chroniqueur payé sur LCI, présenté comme un témoin pendant le débat d’hier, alors qu’il a soutenu publiquement Macron, il est intervenu dans un meeting quelques jours avant le scrutin. Il y a des vilenies politiques qui se font. On fait tout ce qu’on peut pour le faire apparaître du reste.

    Au-delà de ces mécanismes, on s’aperçoit que le principal report de voies qui renforce votre parti vient des Républicains et pas des populistes de gauche. On ne gagne pas une présidentielle tout seul : est-ce que vous comptez vous allier avec la droite sur un aspect plus culturel, ou est-ce que vous allez essayer de faire une convergence avec la gauche sur l’économie ?

    Il faut une convergence droite-gauche, il faut arriver à obtenir une adhésion sur des idées qui peuvent convenir aussi bien à des gens de droite que de gauche.

    Le RN refuse de se catégoriser de droite. Il semble que Marine Le Pen refuse ce paradigme.

    Il n’y a pas de honte à se dire de droite, il faut dépasser les banalités politiques, être de droite ou être de gauche veut dire quelque chose, mais il faut être de l’intérêt général pour les grandes décisions ; il ne faut pas se sacrifier aux lobbies, aux technostructures, il faut être libre. Ne pas être tenu par les banques ou les carrières.

    On n’entend pas non plus le mot conservateur au RN, quand Marine Le Pen ne le renie pas directement.

    Moi je me dis conservateur, ça conserve. Si on me traite de conservateur, ça ne me gêne pas.

    Peut-on considérer que Marine s’est recrédibilisée définitivement à la tête de son parti avec cette campagne, après des présidentielles compliquées sur la fin ?

    Oui tout à fait.

    On pourrait avoir des premières tentatives, avant garde d’alliance avec des partis populistes de gauche ou au contraire avec des partis de droite pour les élections municipales ? Et avec qui ?

    Oui on va essayer, mais les noms restent encore confidentiels.

    https://www.lesalonbeige.fr/gilbert-collard-la-propagande-finit-par-suser/

  • Lyon : c’était bien un attentat islamiste !Lyon : c’était bien un attentat islamiste !

    C’est un peu comme si on avait subitement ouvert la bonde : le faux étudiant mais authentique clandestin algérien Mohamed Hichem M., auteur de l’attentat qui a fait treize blessés, dont une fillette de 10 ans, dans le cœur de Lyon, a finalement avoué jeudi avoir fait allégeance à l’Etat islamique et à son chef, Abou Bakr al-Baghdadi– confirmant au passage ce que Présent et quelques autres observateurs avaient envisagé dès le 24 mai, à l’annonce de ce que politiciens et grands médias qualifiaient pudiquement d’« explosion ». Il aurait même confié aux policiers avoir volontairement choisi de passer à l’acte à la veille des élections européennes pour « faire monter le vote populiste et raciste » (sic), « afin de pousser les musulmans à la révolte en France »…

    Plus fort encore : alors que certains experts se sont « étonnés » tout le week-end de la mauvaise qualité des photos tirées de la vidéosurveillance et diffusées dans les médias pour l’appel à témoins, l’ancien ministre de l’Intérieur Collomb confiait mercredi que la police avait reçu pour consigne de « flouter » les photos du suspect jusqu’à lundi soir, « de manière à ne pas donner l’alerte » avant le scrutin du 26 mai. Dans la foulée, il avouait même que le suspect avait été identifié et placé sous surveillance dès le samedi…

    Autant de manipulations honteuses qui viennent confirmer ce que Marine Le Pen écrivait si justement mardi sur Twitter, en soulignant que « c’est APRÈS l’élection que l’on apprend que le terroriste de Lyon est un ressortissant algérien » : « ce timing scandaleux est tout sauf un hasard… » Une vérité qui lui vaut malgré tout de se voir accusée aujourd’hui de « complotisme » par les grands médias !

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 31 mai 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Crise à LR : Geoffroy Didier exhorte la droite à « vivre avec son temps »

    Geoffroy Didier, secrétaire général des Républicains, s’est livré jeudi à une sévère charge contre « la droite« , qu’il appelle à « s’ouvrir aux Français et vivre avec son temps« , après la défaite historique de son parti aux Européennes.

    « L’urgence, c’est l’émergence d’une droite moderne, (…) l’acceptation et la régulation des évolutions de la société plutôt que leur déni ou leur contestation« , écrit le député européen dans une tribune publiée sur le site du Monde.

    « La grande question actuelle est sociale, mais la droite ne parle que d’austérité (…). La grande question actuelle est celle des inégalités urbaines, et pourtant la droite parle uniquement de ruralité, délaissant les banlieues et les villes pour ‘le seigle et la châtaigne’ (…). Le seul discours que la droite ait su porter aux plus de 5 millions de fonctionnaires était la suppression de 500.000 d’entre eux, sans jamais, d’ailleurs, dire lesquels« , poursuit M. Didier, en proposant « plutôt une augmentation des salaires des enseignants, véritables boucliers de la République, financée en renonçant à un certain nombre de postes dans les ministères, à Paris« .
    Le secrétaire général de LR avait dès dimanche soir appelé son parti à sortir du « conservatisme sociétal « , après la déroute de la liste de François-Xavier Bellamy aux élections européennes.

    « Je propose que la droite se pose au moins la question de l’ouverture de la procréation médicalement assistée, qui serait une avancée sociale comme le furent de fait le mariage pour tous, et avant le PACS, et avant l’IVG« , fait-il valoir dans sa tribune, en appelant en outre au « respect des autres, comme de ceux qui, par exemple, pratiquent une autre religion que soi« . […]

    Le Point

    http://www.fdesouche.com/1215601-crise-a-lr-geoffroy-didier-exhorte-la-droite-a-vivre-avec-son-temps

  • Les examens décalés pour la fin du ramadan

    Les examens décalés pour la fin du ramadan

    La faculté de médecine de l’université Paris Diderot a décalé de 2 jours les partiels de 700 étudiants à cause de… l’Aïd et l’annonce aux étudiants 5 jours auparavant :