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anti-national - Page 389

  • Européennes : Viktor Orban se tourne vers les partis souverainistes

    Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, se rapproche des souverainistes, notamment Matteo Salvini. A quelques semaines des élections européennes, le Hongrois a reçu le ministre de l’Intérieur italien, jeudi 2 mai. En invitant Salvini, Orban montre qu’il se tourne vers des formations politiques qui lui sont plus proches politiquement.

    C’est aussi le signal que le bras de fer engagé par le PPE, le Parti Populaire Européen, afin d’exclure le Fidesz, le parti d’Orban, arrive à sa conclusion. Le PPE, cette fausse droite européenne, a fait son choix : Soros plutôt qu’Orban !

    Orban a fait le sien : Salvini et leurs valeurs communes anti-immigration et en défense de la civilisation chrétienne d’Europe.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/europeennes-viktor-orban-se-tourne-vers-les-partis-souverainistes/108191/

  • Selon un sondage, l'immigration est la préoccupation n°1 des Français

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    Selon le sondage Harris Interactive, le Rassemblement National reste en tête des intentions de vote aux Européennes devant En Marche.
    Le sujet de préoccupation n°1 des Français reste l’immigration (41%), devant le pouvoir d’achat (37%), les impôts, l’environnement et le terrorisme.
  • Radars embarqués : un bide, mais on continue…

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    Après les radars fixes, les radars travaux, les radars tronçons, fut annoncé, il y a un an, un nouveau « progrès décisif » dans la répression routière : les radars embarqués confiés au secteur privé. Le nec plus ultra de la technologie, flashant par devant, par derrière, de jour comme de nuit, par pluie ou par neige, aussi bien les excès de vitesse que les téléphones à la main et peut-être, demain, les conducteurs qui lâcheraient le volant d’une main pour se gratter le nez…

    L’affaire partait mal dès le début puisque, selon une note du ministère de l’Intérieur, le contrat passé entre l’État et les sociétés privés pouvait s’interpréter comme du « prêt de main-d’œuvre illicite » dans une « activité matérielle de police ». Ce qui n’empêcha pas de commencer une expérimentation en Normandie, dont on a aujourd’hui les résultats : un bide !

    Dans la Manche, par exemple, ça n’a flashé que 965 fois en trois mois, soit à peine plus de dix fois par jour : pas de quoi rembourser les 120.000 euros par an pour chacune des 26 voitures banalisées appartenant à des sociétés privées. Et ce, alors que, dans le même temps, le nombre total d’excès de vitesse enregistrés dans le département a augmenté de moitié. Même Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, y alla de sa critique du système. C’est assez dire le succès…

    On conviendra qu’ici, tout entrepreneur rationnel aurait décidé qu’il était temps d’arrêter les frais. Mais pas les hommes de l’État, ontologiquement victimes du syndrome « trop investi pour faire marche arrière », doublé de la conviction que si ça ne marche pas, c’est qu’ils n’y sont pas allés assez fort. Et c’est logique : ce n’est pas leur argent qu’ils balancent, c’est le vôtre…

    Conclusion, la Sécurité rentière routière nous annonce, aujourd’hui, que la conduite des voitures radars par des contrôleurs privés allait bientôt être étendue à trois nouvelles régions : Bretagne, Pays de la Loire et Centre-Val de Loire.

    Des régions chères à Breizh Info qui, il y a un an jour pour jour, et six mois avant les premiers gilets jaunes, prophétisait « Limitation de vitesse à 80 km/h, radars embarqués, et si la politique de répression routière menée par le gouvernement finissait par provoquer sa perte ? »

    Richard Hanlet

    https://www.bvoltaire.fr/radars-embarques-un-bide-mais-on-continue/

  • Pinocchio en Europe

    6a00d8341c715453ef0240a4867251200d-320wi.jpgUne bonne part de l'opinion française se passionne, et la polémique s'enfle, depuis trois jours, à juste titre, pour l'héroïque sacrifice de deux soldats. Leur mission tendait à sauver deux voyageurs irresponsables et deux touristes étrangères. Ils l'ont accomplie, au prix de leur vie. Ils méritent un véritable hommage d’une nation, qui gagnerait en la circonstance à se savoir unanime. Il importe de le leur rendre ainsi qu'à leurs camarades des forces spéciales de l’Armée française. Car les soldats français se trouvent engagés, une fois encore, en Afrique, dans la défense du flanc sud d'une Europe insouciante et consommatique[1]. Ne l’oublions pas. Mémoire éternelle.

    Dans un tel contexte, votre chroniqueur ne cherchera pas à hurler avec les loups, exprimant leur colère contre ces otages, certes quelque peu comptables, par leur imprudence, d'avoir fait verser le sang français de Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello.

    Car le pouvoir, qui s'enorgueillit de leur geste, s'expose de nouveau à retrouver à un tout autre débat au sein de l'Union européenne où il s'est si imprudemment engagé lui aussi.

    Il ne s'agit pas seulement d'une campagne électorale à haut risque. Les mauvais sondages et les perspectives très floues quant au rôle du parti présidentiel, représentant de l'Hexagone au sein du parlement des Vingt-Huit, devraient suffire à préoccuper le gouvernement de Paris.

    Voilà qu'il s'investit en effet, au sein de l'Union européenne dans un débat parfaitement glauque autour de la future composition et de la présidence de la Commission de Bruxelles.

    Le 10 mai en Roumanie, les chefs d'États et de gouvernements se réunissaient dans la bonne ville de Sibiu. Ils n'ont pas manqué d'évoquer dans ce cadre l'application d'une clause, certes encore mal comprise, mais décisive, du traité de Lisbonne signé en 2007. Ce document s'étale sur 145 pages, dans sa version française. Il n'est évidemment guère connu du grand public. En France, le public n'y a vu que le décalque son prédécesseur, jeté à la poubelle par référendum. Cuisiné sous les ordres du chef Giscard, tendu sans conviction par les serveurs Chirac et Villepin, le plat n'avait pas plu aux électeurs de la république jacobine en 2005. On le leur a donc resservi, sans décrire la recette, en changeant d'appellation, et en glissant sur les ingrédients supposés indigestes. Étrange conception, ont pensé beaucoup Français de la démocratie, théoriquement pouvoir du peuple.

    Or, l'une des quelques nouveautés[2]adoptées en 2007 dans le cadre du nouveau traité concernait l'investiture du Président de la Commission et du collège par le Parlement.

    Jusque-là l'exécutif bruxellois était composé de personnages essentiellement consensuels. Ils étaient choisis, en particulier par les dirigeants tant français qu'allemands ou britanniques en se souciant qu'ils ne procurent aucun ombrage aux gloires souveraines respectives d'un Sarkozy, d'un Cameron ou d'une Merkel. On créait simultanément un poste de Président du conseil européen, élu pour un court mandat de deux ans et demi, renouvelable une fois, et on l'attribua d'abord à Herman van Rompuy. On nommait aussi Catherine Ashton d'Upholland haute représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Tout cela ne mangeait pas trop de pain. Plus tard Jean-Claude Juncker accéderait à la présidence de la commission dans un processus à peine inchangé, conforté par l'accord, au sein de l'assemblée désormais maîtresse du jeu entre les anciens démocrates chrétiens du PPE et les socialistes du PSE.

    Or, aujourd'hui, et conformément à la règle démocratique les cartes ont été rebattues par les parlementaires. S'appuyant sur le traité ils considèrent d'une façon fort logique que, tenant compte du résultat futur des élections du 26 mai, la présidence de la commission doit revenir à la tête de liste du groupe ayant remporté le plus grand nombre de suffrages et de sièges.

    Or, au nom des autorités publiques parisiennes le président Pinocchio dont le nez s'allonge chaque fois qu'il parle, se trouve le seul à publiquement prétendre s'y opposer[3]. Tel Corne d'Auroch refusant, dans la chanson de Brassens, de se soigner "parce que c'était à un Allemand qu'on devait le médicament", la candidature du Bavarois Manfred Weber déplaît à Sa Grandeur jupitérienne.

    Sans doute, en 2017, un certain nombre d'électeurs français et de dirigeants étrangers se sont-ils illusionnés quant à la nature réelle du pouvoir technocratique élyséen, quant aux projets de réformes, quant aux perspectives européennes. Tout cela semble bien dissipé désormais. On pense à cette histoire qui se racontait en Pologne sous domination soviétique. La maîtresse d'école interroge la petite élève heureuse la semaine précédente d'annoncer la naissance de six chatons, tous communistes… "le sont-ils toujours ?". Non, répond l'enfant, un seul : les autres ont ouvert les yeux.

    JG Malliarakis

    [1]Cette lutte peut et doit aussi être comprise comme une défense de la Chrétienté"Six personnes tuées dans une église dans le nord du Burkina Faso""
    [2] cf. fiches de la Fondation Robert-Schuman

    [3] cf. article de L'Opinion "Emmanuel Macron ne veut pas de Manfred Weber à la tête de la Commission."

    https://www.insolent.fr/2019/05/pinocchio-en-europe.html

  • Réfugié en Allemagne avec trois femmes et 13 enfants, il ne travaille pas : « J’ai hâte qu’on devienne Allemand ».

    L’une de ses femmes attend un 14ème enfant.Abboud Sweid (40 ans) est un réfugié syrien qui a obtenu l’asile en Allemagne en 2015. 
    Il a trois femmes et 13 enfants. 
    Puisqu’il ne travaille pas, l’État allemand lui verse environ 3800 euros par mois pour subvenir aux besoins de l’homme et de sa grande famille. 
    En plus de ces revenus, les 17 Syriens (bientôt 18) ont trois appartements payés par l’Etat à leur disposition. 
    Dans une interview au journal allemand « Bild », le polygame déclare : « Je serais heureux si nous pouvions devenir Allemands ».
    En 2006, il a épousé sa première femme Raeiaa (45 ans). 
    Avec elle, il a eu quatre enfants âgés entre 9 et 14 ans. 
    Moins de trois ans plus tard, il s’est remarié avec Ebtisam (33 ans), avec qui il a eu six enfants. 
    En 2013, deux ans avant son émigration vers le pays d’Angela Merkel, il a épousé sa troisième femme [NDLR : Avec laquelle il aura bientôt quatre enfants].
    La question de la polygamie a récemment fait la une des journaux en Allemagne, après que le ministère de la Justice eut bloqué un amendement de loi sur la citoyenneté qui aurait empêché des polygames comme Sweid d’obtenir le passeport allemand. 
    Ainsi, Sweid et sa famille pourront obtenir légalement la nationalité allemande.
    Le Syrien raconte fièrement au journal Bild que chaque soir, conformément au Coran, il passe la nuit avec une autre épouse et fait des enfants avec elles.
    Le Syrien réside dans trois appartements payés par l’Etat, répartis entre deux maisons, tandis que les bénéficiaires de l’aide sociale allemande doivent vivre sur des campings ou, comme une retraitée près de Heidelberg, dans un vestiaire sans fenêtre pour arbitre.
    « La discussion sur la reconnaissance de la polygamie en Allemagne est une question politique », poursuit BILD, qui disserte ensuite sur l’histoire mouvementée de la fondation du harem d’Abboud :
    Lorsque la famille est arrivée en Allemagne après avoir prétendument fui l’Etat islamique en 2015, Sweid s’est dit étonné que les autorités n’aient pas voulu reconnaître ses trois mariages. 
    Il n’a été forcé de s’inscrire qu’auprès de sa première femme. 
    Par la suite, les autorités allemandes ont modifié cette pratique et aujourd’hui, ses trois épouses, comme ses enfants, sont reconnus par les autorités. 
    Et dans quelques années, les 18 membres de cette famille seront en mesure d’acquérir la citoyenneté allemande. 
    D’après le journal Bild, ils vivent à présent dans « trois appartements différents, dont deux se situent dans la même maison ». 
    Le troisième est à quelques minutes de là.
    Jusqu’à présent, personne ne travaille dans cette grande famille. 
    Selon le mari, la famille reçoit un total de 3785 euros de l’Office, composé de Hartz IV (aide sociale et chômage) et des allocations familiales. 
    Le loyer des appartements est payé par l’Etat.
    Bild.de / Philosophia-perennis.com / Mattinonline.ch

  • À l’université française, un communautarisme religieux, racial et idéologique

    L’université française, jadis renommée, jadis enviée, observée et prise en exemple n’est plus.

    Dans une enquête publiée, aujourd’hui, dans Le Figaro, Judith Waintraub dénonce le « noyautage de l’université » par des syndicats, des groupuscules et des idéologies totalitaires.

    Tout cela n’est pas nouveau, la grande université française, la Sorbonne, les grandes écoles comme Sciences Po, Normale Sup, sont devenues progressivement le ferment des idées les plus « progressistes » et les plus totalitaires : gender, indigénisme, islamo-gauchisme, appropriation culturelle, LGBT, décolonialisme.

    Plusieurs indicateurs montrent que ces idéologies ont pénétré au cœur de l’université française : la création de parcours d’étude du genre, de séminaires sur le décolonialisme, l’intersectionnalité, etc. Ces formations sont, d’ailleurs, des lieux du totalitarisme de la pensée : aucun contradicteur, participants triés sur le volet… et les enseignants qui ont le malheur de s’opposer, en raison de la pertinence ou de la présence d’une personnalité douteuse comme c’est souvent le cas, sont sanctionnés et montrés du doigt par la hiérarchie.

    En parallèle de cette promotion subversive, il existe un véritable carcan moral sur toute pensée divergente à la nouvelle doxa de ces nouveaux bien-pensants. En effet, on ne compte plus les tentatives d’interdiction de pièces de théâtre jugées « pas assez racisées » ou « homophobes » ou autres et d’intimidations à l’égard de conférenciers. Alain Finkielkraut en a fait les frais, tout comme Éric Zemmour et bien d’autres. Dans ces cas-là, l’université ou l’école sont souvent comme « paralysées », de peur d’être associées à l’anathème moral et d’être accusées de raciste, islamophobe ou homophobe.

    Il faut, d’ailleurs, noter le cocasse de la situation. D’un côté, l’islamo-gauchisme gagne de plus en plus de terrain – il suffit de voir les représentantes de l’UNEF voilées et les intervenants de certaines conférences proches des Frères musulmans – et, de l’autre, les lobbys LGBT et théories du genre qui s’imposent dans les programmes. Une drôle de cohabitation, quand on voit la porosité entre ces islamo-gauchistes et des organisations comme le CCIF, le CRAN ou les Indigènes de la République, qui ne sont pas connus pour leur amour de ces « avancées » sociétales.

    Les grands perdants de l’histoire ?

    Tout d’abord les enseignants et les élèves. En cause : ce communautarisme religieux, racial et idéologique fait qu’ils ne peuvent plus enseigner et apprendre dans la sérénité. Les enseignants sont soumis à la pression permanente de leurs collègues, à celle des associations et des fatwas médiatiques. Il leur faut ne pas faire de vague, ne pas s’opposer, ne pas choquer telle ou telle communauté, et même parfois adhérer. Ils doivent travestir le savoir qu’ils sont désireux de transmettre en une bouillie informe qui ne choquerait personne.

    De même, le savoir, l’excellence de l’université française a du mal à perdurer, entre histoire globale, sociologie des inégalités, théories du genre. Tout cela mêlé à l’histoire d’un racisme d’État, d’une renaissance italienne trop genrée, de statues grecques phallocrates et autres sombres stupidités.

    Les autres « communautés », puisqu’il faut, aujourd’hui, les définir de la sorte, c’est-à-dire les juifs, les chrétiens, les hétéros, les « anti-mariage pour tous », en fait les « obscurantistes », « les homophobes », « les islamophobes », « les balance ton porc », sont aussi les grands perdants. Il est certain que la communauté juive est la plus touchée, comme dans certains quartiers de la République. Quand l’on voit la situation en Seine-Saint-Denis, par exemple, on peut se dire que les étudiants juifs vont se faire de plus en plus rares dans ces « sanctuaires républicains », maintenant que les islamistes et les indigénistes font la loi.

    Ainsi, deux idéologies prennent le pas sur les « temples du savoir » de l’université française, les deux sont aussi subversives et antifrançaises, mais leur convergence (des luttes) s’arrête là et des tensions naissent déjà…

    En bref, l’université française va bien mal, on en regretterait presque les hussards noirs de la République…

    Nicolas Pécari

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Soldats tués au Burkina Faso : les raisons de la colère – Journal du lundi 13 mai 2019

    Soldats tués au Burkina Faso : les raisons de la colère

    La mort des deux soldats français tués dans la libération des otages au Burkina Faso suscite un émoi tout particulier en France. Entre l’imprudence des otages accueillis par Emmanuel Macron et le courage des soldats, retour sur un cas de conscience.

    Européennes : le souk des 34 listes

    C’est un record ! 34 listes seront présentes pour les élections européennes du 26 mai prochain dont des candidats affichés comme musulmans. Une profusion de candidats qui devraient atomiser les oppositions pour faire les affaires d’Emmanuel Macron.

    Européennes : Quand En Marche manipule la toile

    Ils sont organisés comme un bataillon de soldats, des comptes sur les réseaux sociaux pour défendre la majorité en marche sillonnent la toile pour influencer les électeurs… Un comble pour un parti qui explique vouloir lutter contre la manipulation des citoyens sur internet.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/soldats-tues-au-burkina-faso-les-raisons-de-la-colere-journal-du-lundi-13-mai-2019

  • Nathalie Loiseau en Super Mario : le naufrage de LREM à la portée des enfants

    Prestations sans relief, bourdes et charisme de portemanteau ont été jugés insuffisants à convaincre l’électeur de ne pas voter pour la candidate LREM. Chez les macroniens, on ne rigole pas avec l’inefficacité. 
    L’impopularité est une affaire de professionnels. 
    À cette fin, et en guise de touche finale, le mouvement a dévoilé sa dernière trouvaille : un jeu vidéo façon Super Mario dans lequel le rôle du héros à moustache est tenu par Nathalie Loiseau.
    Vêtue de sa célèbre veste rouge, la candidate, pilotée par le joueur, caracole, saute en l’air, risque sa vie pour tenter de récupérer les étoiles du drapeau européen volées par le tandem Mélenchon-Le Pen. Les élèves des classes maternelles et primaires exigent le droit de vote. 
    Leurs parents, en revanche, sont désormais convaincus que LREM les prend pour des simples d’esprit. 
    L’objectif est atteint. 
    La deuxième place est à portée de la main.
    Par une logique qui échappera à l’électeur moyen, Donald Trump figure aux côtés des deux méchants Français voleurs d’étoiles. 
    Dans cette confusion, il n’est pas exclu que le président américain obtienne 1 ou 2 % aux européennes. 
    Une occasion de perdre encore quelques voix ne se refuse pas.
    La plaisanterie aurait coûté entre 5.000 et 10.000 euros, selon les estimations. 
    Chiffre que le parti n’a pas souhaité commenter. 
    Piloter Nathalie Loiseau avec un joystick n’a pas de prix. 
    Qui n’a pas rêvé de la mener jusqu’à une réunion Tupperware® ou à un concours de Miss Camping ?
    Jean-Luc Mélenchon n’apprécie pas de se voir incarné par un personnage nommé « Mélenrus ». 
    Allié de la Russie de Poutine ? Lui ? Jamais ! 
    Il s’agirait d’une boulette, selon la chargée de communication. « C’est le prestataire qui a choisi les noms… », se défend-elle. 
    Amateurs jusqu’au bout des ongles ! Baltringues en toutes circonstances. 
    Le cahier des charges est respecté à la lettre.
    Alexis Corbière se joint à son chef de file pour faire remarquer que les « Jeunes avec Macron » ont copié les « Insoumis » qui avaient, eux aussi, proposé un jeu vidéo pour la campagne de 2017. 
    À l’avant-garde de l’infantilisme ! 
    Même gadget, même idée ridicule. Ils étaient les premiers ! Que leur reste-t-il, désormais ?
     Le hochet, le bavoir à l’effigie de Mélenchon, le collier de nouilles garanties sans OGM ? 
    Le désarroi se lit dans le regard de Corbière. 
    Faire plus couillon ne sera pas facile.
    Signe du destin : la programmation du jeu n’est pas au point. Trop compliqué. 
    Super Loiseau ne parvient pas à attraper les étoiles ! CQFD. 
    L’hyperréalisme du concept est impressionnant.
    Les bouffons avec Macron ont encore quelques jours pour propulser leur candidate en troisième position. 
    Les idées fusent : la faire apparaître déguisée en Batman dans un meeting, la gonfler à l’hélium et la promener au-dessus des grandes villes de France à l’aide d’une ficelle tenue par Édouard Philippe, lui faire prendre 50 kilos… 
    Rien n’est perdu. Elle peut encore descendre dans les sondages.
    Après l’échec électoral, le public attend le parc d’attractions Loiseauland. 
    Le seul parc européen sans manège, ni grand huit, ni rien. 
    Juste Nathalie Loiseau qui sourit à l’entrée. 
    Le vide à l’intérieur. 
    Son programme grandeur nature, accessible par le RER. 
    Des volontaires, pour réserver ? 
    Jany Leroy

  • Changer de logiciel et vite!

    rodin-le-penseur.jpgL’indignation, les critiques se sont abattues une nouvelle fois cette fin de semaine sur Emmanuel Macron après la mort de deux de nos soldats, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello. Membres du prestigieux commando Hubert, ils ont donné leur vie dans la nuit de jeudi à vendredi dernier pour libérer au Bénin, juste avant qu’ils soient remis aux islamistes du groupe djihadiste de Katiba Macina, deux otages français Laurent Lassimouillas et Patrick Picque, une touriste sud-coréenne et une américaine. Nos deux compatriotes avaient été enlevés le 1er mai lors d’un safari dans le parc de la Pendjari, à la frontière avec le Burkina Faso, dans une zone considérée comme rouge depuis pas mal de temps, dixit Jean-Yves Le Drian,  « fortement déconseillée sauf raison impérative » par le ministère des Affaires étrangères . Toute la région, depuis trois ans, est désormais fragilisée par la multiplication des attaques des fous d’Allah. Hier encore, dernier épisode d’une longue série d’actes de terrorisme, plusieurs fidèles ont été tués hier au cours d’un assaut contre une église catholique à Dablo, dans le centre-nord du Burkina Faso.

    Ce qui en l’espèce a choqué de nombreux Français c’est une libération qui sonne comme une opération de communication à deux semaines des élections européennes, à travers la réception samedi  de MM Lassimouillas et Picque par M. Macron à Villacoublay. La cérémonie d’hommage national aux deux militaires français qui ont perdu leur vie est prévue demain aux Invalides.

    Hubert Falcomaire LR de Toulon, président de la métropole toulonnaise, dont fait partie Saint-Mandrier où est basé le commando Hubert, a estimé que «nos seuls compatriotes qui méritent aujourd’hui l’hommage de la Nation, sont nos 2 soldats varois morts au combat, pour sauver la vie de touristes inconscient et non pas les deux touristes qui se sont aventurées dans une zone dangereuse, vivement déconseillée par le Quai d’Orsay. Ministère dont le Ministre envisage pourtant d’être présent aux côtés du Président de la République pour accueillir les otages libérés !»

    Même un article paru sur le site  Mediapart – c’est dire! -  s’étonne de ce que ces «deux touristes français homosexuels (se soient) rendus au Bénin pour effectuer leur voyage de noces (…). Pourquoi préciser leur orientation sexuelle ? En tant qu’homosexuel, avant de voyager en terres inconnues, ne faut-il pas s’informer sur la situation du pays afin de savoir si les homosexuels n’y sont pas persécutés ? Ces deux individus se sont ainsi rendus dans un pays intolérant envers les homosexuels, et pris en étau par Boko haram (via le Nigéria à l’est) et par Al Qaida au nord (via le Burkina Faso et le Mali). Si cela n’est pas de l’inconscience alors de quoi s’agit-il ? » Ajoutons cependant qu’à l’évidence un couple lambda chrétien, blanc et hétérosexuel n’aurait pas non plus échappé à l’enlèvement…

    Sur Boulevard voltaireChristian Vanneste a estimé que le retour des deux otages français «dans un avion de la République, leur accueil officiel par le Président et deux ministres étaient tout-à-fait déplacés.» «On peut imaginer que M. Macron n’a pas voulu se priver de la page de pub prévue lors d’une opération précipitée, on espère, par autre chose que le calendrier. »Et M Vanneste de souligner que «lorsque nos soldats regagnent la France, ils voient celle-ci telle qu’elle devient : une France qui se décompose en communautés, d’une part grâce à une immigration accueillie les bras ouverts et les yeux fermés, d’autre part par un repli sur soi narcissique, où disparaît le patriotisme indispensable à la survie d’un pays.»

    Lors de sa grande réunion publique à Cers dans l‘Hérault samedi, Jordan Bardella l’a répété fermement: «Au risque de choquer les belles âmes, nous l’affirmons : L’Europe des Nations que nous voulons n’a pas vocation à accueillir la bombe démographique africaine ! » Flux migratoires qui nourrissent aussi mécaniquement non seulement le communautarisme mais qui fournissent également la main d’œuvre des réseaux terroristes installés sur notre sol.

    Une Afrique qui est aussi victime de ses prévaricateurs et nous autres Français et occidentaux avons notre part de responsabilité dans cette gabegie en tout point catastrophique. Exemple écoeurant, pathétique mais éclairant, le site de France info rapportait ainsi samedi que l’ex chef d’Etat de la Gambie, Yahya Jammeh, réfugié en Guinée équatoriale depuis 2016, a vidé les caisses de l’Etat à son seul profit. « Le petit pays a besoin de l’aide internationale pour s’en sortir. Près d’une personne sur deux vit dans la pauvreté et les fonds publics destinés au développement du pays se sont évaporés (…). Si tout le monde savait que l’ancien homme fort menait une vie de luxe avec villas, Rolls-Royce et jets privés, personne ne pouvait imaginer que le pillage du pays n’avait pas de limite.» Personne, vraiment?

    «Fin mars 2019, la Commission d’enquête créée par (l’actuel) président (Adama) Barrow fait part de ses premières découvertes. Elle estime à près de 360 millions de dollars les fonds détournés (…).  Société de télécommunications, Banque centrale, fonds de pension, Bureau d’aide sociale… rien n’échappe à l’avidité de Yahya Jammeh. L’ancien maître du pays avait constitué un vaste réseau comprenant des hommes d’affaires étrangers qui l’aidaient dans ses transactions illicites et la mise en place de sociétés écrans..»

    En mai de l’année dernière, Jeune Afrique se faisait l’écho de la Conférence internationale pour la Gambie qui s'est tenu à Bruxelles, sous l’égide de la la vice-présidente de l’UE Federica Mogherini, du commissaire européen à la Coopération internationale et au développement, Neven Mimica, et du président gambien, Adama Barrow. «Dix organisations internationales – parmi lesquelles l’Union européenne, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), la Banque européenne d’investissement, la Banque mondiale et la Banque islamique de développement – et 43 partenaires bilatéraux (Canada, Chine, Qatar ou encore Maroc) étaient réunies pour se prononcer sur leur soutien financier au Plan national de développement gambien»,  pour un montant annoncé de 1, 45 milliard de dollars. Pour sa part, «L’Union européenne (…) s’est engagée à débloquer 140 millions d’euros d’ici 2020, « une somme qui s’ajoute aux 225 millions d’euros mobilisés depuis le début de la transition » et «la France a annoncé une aide de 50 millions d’euros. »

    Alors redisons-le : en Afrique même, constate Bruno Gollnisch le développement de l’islamisme radical n’est pas uniquement le fait du prosélytisme de l’Arabie saoudite ou du Qatar qui financent l’envoi de prêcheurs, les mosquées et autres écoles coraniques. Cette idéologie prospère aussi sur le spectacle de la corruption des potentats africains qui pillent les ressources de leur pays, se moquent du bien être de leur peuple. Le tout, souvent, avec la complicité,  l’argent des occidentaux…et de l’Union européenne, c’est-à-dire en partie avec l’argent des contribuables français. Là aussi, il faudra urgemment changer de logiciel.

    https://gollnisch.com/2019/05/13/changer-de-logiciel-et-vite/

  • Selon le fondateur du parti “Union des Démocrates Musulmans de France”, le Grand Remplacement est en marche

    Selon le fondateur du parti “Union des Démocrates Musulmans de France”, le Grand Remplacement est en marche