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anti-national - Page 392

  • « Ces milliardaires qui veulent… plus de socialisme pour survivre !!» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    C’est un article du site financier américain Barron’s que je vous propose en ce lundi pour bien démarrer cette semaine. Un article en anglais intitulé « Ray Dalio and Other Billionaires Bemoan Broken System, Prep For Coming Class War » ce qui donne en traduction littérale:

    Ray Dalio et d’autres milliardaires déplorent le système brisé, se préparent à la guerre des classes à venir

    En France nous ne parlons pas tant de « guerre des classes » que de « lutte des classes », sauf que cette fois, c’est l’expression américaine qui semble le plus appropriée à la situation.

    Il y a un peu plus d’un siècle en 1917, lorsque survient la révolution russe, c’est tout simplement, parce que quelques nantis de l’époque ont souhaité conserver leurs privbilèges à tout prix, qu’ils n’ont rien souhaité partager, qu’ils ont excédé les populations et qu’au bout d’un moment, les gamelles vides et la misère poussent au désespoir et le désespoir à la violence, et la violence… fait les révolutions.

    Dans un tel contexte, les riches du moment terminent presque toujours la tête au bout d’une pique, sauf ceux, qui sentant le vent tourner prennent la poudre d’escampette avant que cela ne tourne au vinaigre pour eux.

    Ces leçons historiques ont été parfaitement retenues par les moins crétins de nos milliardaires, je dis les moins crétins, parce que c’est une évidence de bon sens qu’il faut savoir, pour faire tenir sa fortune la partager au minimum! A défaut de la faire par humanité, il faut savoir le faire par intérêt bien compris!

    Et bien même ainsi, si les milliardaires les plus futés dressent le constat du nécessaire partage (ne serait-ce encore une fois que par réflexe de survie) d’autres, persistent dans leur égoïsme le plus aveugle.

    Voici la traduction de cet article concernant Ray Dalio… 

    Pour information Ray Dalio, est tout, mais alors tout sauf un imbécile, c’est un homme brillant qui a créé, monté, développé et géré le plus gros fonds obligataire de tous les temps. C’est un peu le Warren Buffet des obligations, alors que le Warren, lui s’occupe d’actions. Ce n’est rien les actions. Tout le monde peut vivre sans action. Personne n’épargne sans obligation, car les obligations c’est la dette et la dette… c’est la monnaie! Moins flamboyant, plus discret et moins connu que le Warren, Ray Dalio, mérite largement que l’on écoute ce qu’il a à dire. Vraiment!

    « Le fondateur milliardaire de fonds spéculatifs, Ray Dalio, pense que le capitalisme est brisé et que nous devons le réformer de toute urgence. Mais cette semaine, la Conférence mondiale du Milken Institute a clairement montré que, parmi ses pairs ultra riches et puissants, il est en bonne compagnie.

    « Chaque système a besoin d’être rénové, d’être amélioré. Pouvons-nous convenir que nous devons le faire ? a-t-il dit lors de la clôture de la conférence, avant d’ajouter :  » Si nous ne sommes pas d’accord, nous aurons une certaine forme de révolution ; cela pourrait être d’abandonner le capitalisme ou d’aller à un autre extrême « .

    Il a demandé à l’auditoire s’il était d’accord avec son évaluation ; la plupart des membres de la salle bondée ont levé la main.

    L’anxiété au sujet du capitalisme a sous-tendu l’ensemble de la conférence, y compris le thème choisi,  » Driveving Shared Prosperity « . Mark Attanasio de Crescent Capital a cité l’inégalité, Sir Michael Hintze, fondateur du fonds de couverture, a parlé de Karl Marx et de nombreux milliardaires, dont Dalio, ont cité une peur largement partagée de la véritable guerre des classes!!

    Le groupe réuni à Los Angeles cette semaine comprenait certains des dirigeants et chefs d’entreprise les plus influents et les plus riches des États-Unis et du monde, et leur « remue-méninges » (brainstorming en anglais) sur les moyens de réparer ce système était sincère.

    C’est en partie dans leur propre intérêt : ils veulent soutenir le système qui a si bien fonctionné pour eux, et ne veulent pas qu’on leur enlève leur richesse. Mais dans les sondages et les interviews, ils ont aussi dit clairement qu’ils pensent que c’est un système qui peut fonctionner pour la plupart des gens : le capitalisme a sorti les gens de la pauvreté et a contribué à favoriser les progrès technologiques, comme en médecine, qui ont permis d’économiser des millions.

    Certains n’étaient pas convaincus que le « système » avait besoin d’être réparé ; Ken Griffin de Citadel a dit que le marché libre avait fonctionné pour lui et ses employés. En effet, c’est le cas : le classement annuel « Rich List » de l’Institutional Investor, publié le même jour que son exposé, classe Griffin au troisième rang des gestionnaires de hedge funds les mieux rémunérés, avec 870 millions de dollars l’an dernier. Et l’ancien gouverneur de Virginie Terry McAuliffe et le conférencier Niall Ferguson ont rejeté l’intérêt croissant des jeunes pour le « socialisme » comme un manque d’éducation ou de conscience historique… ( NDLR Là je pense qu’ils se trompent lourdement, dans un monde où tout se voit les mensonges aussi, l’injustice devient encore mois supportable par les peuples et le degré d’exigence augmente considérablement). 

    Plus d’accord avec Dalio, Robert Smith, fondateur de la société de capital-investissement Vista Equity Partners et l’homme noir le plus riche d’Amérique, a déclaré : « Il est temps de ré-architecturer ce qu’est ce tissu » qui constitue le rêve américain, rappelant au public qu’à 56 ans, il est le premier dans sa famille à « jouir pleinement de ses droits dans ce pays », du droit de vote, à la possibilité de vivre où il veut.

    « Les possibilités économiques qui m’étaient offertes ont changé, elles se sont rétrécies, a-t-il dit. « Nous avons eu une période de temps, une fenêtre ouverte – grâce à la chance de la vie, j’étais l’un de ces enfants qui a réussi à passer à travers cette fenêtre « , dit-il. Mais aujourd’hui, ces mêmes écoles et communautés  » sont aussi ségréguées qu’elles l’étaient dans les années 50 « .

    Même parmi ceux qui voient un problème avec le capitalisme sous sa forme actuelle, il y avait peu d’accord ou d’idées réalisables sur ce qu’il fallait faire à ce sujet. M. Smith a cité le travail qu’il a fait pour créer des stages et mettre les gens en contact avec les possibilités qui s’offrent à eux. Dalio a proscrit les partenariats public-privé  examinant le retour sur investissement du système carcéral et l’amélioration de l’éducation, citant son propre don récent aux écoles du Connecticut.

    Dalio a également suggéré qu’un groupe se constitue et fasse un remue-méninges : si nous pouvions  » se calmer et ne pas être en colère les uns contre les autres  » et aborder le problème comme des ingénieurs, réunir un groupe bipartisan compétent  » et presque les enfermer dans une pièce, ou les enfermer quelque part pendant assez longtemps, sans sortir, ils s’entendront sur quoi faire, nous serions beaucoup mieux  » dit-il.

    Alan Schwartz, président exécutif de Guggenheim Partners et ancien directeur général de Bear Stearns, a également suggéré la création d’une commission bipartisane qui pourrait s’attaquer à des problèmes tels que la réduction du nombre de permis professionnels, qui, selon certains, restreint la mobilité professionnelle.

    Quelle que soit la solution qu’ils préfèrent, les participants de Milken peuvent la faire connaître à des personnes influentes. Les participants à la conférence ont pu côtoyer des représentants du gouvernement de Jared Kushner et Ivanka Trump au secrétaire au Commerce Wilbur Ross. Mercredi, Milken a dévoilé les plans d’un nouveau « Center for the American Dream », un musée et le siège de son Institut, juste en face du département du Trésor à Washington D.C. – un hommage physique à l’influence de Milken dans la politique américaine, et représentatif de la capacité croissante des ultra riches à peser sur les idées politiques et réglementaires.

    Mais malgré toute la consternation et le poids de la conversation, certains considèrent que la question est simple. Comme l’a dit Sir Hintze : « Si vous n’avez pas de capital, pourquoi être capitaliste ? »

    Comment réparer le système?

    Vaste question n’est-ce pas?

    Voici non pas quelques pistes mais quelques éléments de bon sens sur l’évolution des choses.

    Même lors de rupture brutale nous parlons toujours de « mouvement », de « processus ». Une révolution dure de 20 à 50 ans pour permettre l’émergence de nouveaux équilibres plus durables.

    La révolution russe verra le pouvoir de Staline stabilisé qu’à l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

    Pour la révolution française ce fut nettement plus long puisque 1789 enfanta… plus de Napoléon que de la république! Je peux multiplier les exemples à l’infini.

    Alors le point d’arrivée pourrait sembler presque connu. Un système plus égalitaire avec des incitations positives capitalistiques mais un socle de droit et de confort minimum le tout dans un système économique plus vertueux en termes environnementaux et de soutenabilité. Comprendre par là, que c’est la fin de la consommation de masse telle que nous l’avons connue.

    Pour arriver à cela il faut démondialiser (ce que fait Trump) mais c’est un processus lent et long sinon, drames, pénuries, manques, etc… La mondialisation actuelle a mis 30 ans à se faire. Elle mettra autant ou presque à être défaite!

    Pour rendre supportable tout cela, il y aura des phases intermédiaires où par exemple, il faudra bien imprimer plus de billets!

    Ray Dalio veut réparer le système. C’est plutôt une bonne idée. Le problème est plutôt le suivant: le système est-il réparable avant son effondrement?

    Je n’ai pas la prétention d’avoir la réponse avec certitude. Mais je préfère me préparer au pire en espérant le meilleur.

    La logique immédiate veut que le système va vouloir survivre par tous les moyens, parce que, au fond, personne ne veut vraiment qu’il s’arrête même ceux qui le contestent. Personne ne veut se remettre à laver les couches des marmots, ou à nettoyez des mouchoirs plein de morve au lavoir du village!!

    La phase intermédiaire de l’économie administrée est le modèle… chinois!

    C’est parce que cette logique immédiate de survie du système est très forte que le système a tenu jusqu’à maintenant alors qu’il est objectivement totalement défaillant et dysfonctionnel. Il a tenu parce que l’on a imprimé ce qu’il fallait de billets pour faire croire que tout allait bien, et tout le monde a eu la gentillesse de croire à ces fadaises.

    La logique immédiate veut donc, que nous allions encore plus loin dans la fiction imaginaire et partagée par tous que tout va bien dans le meilleur des mondes. Même les milliardaires seront les premiers à signer pour plus de monnaie, plus d’impression, plus de TMM et au bout du compte pour ce qui aboutira à la mise en place d’une économie administrée que nous voyons tous les jours se développer au niveau mondial.

    Le futur immédiat, c’est l’évolution des économies occidentales vers le système chinois. Une économie administrée où l’Etat contrôle la monnaie, le crédit, les lois et la force policière, tandis que le privé peut s’amuser à créer ce qu’il veut ou presque tant que cela ne menace pas l’Etat. Un système sans droit, avec une dictature politique réelle mais feutrée jusqu’à certaines limites et la mise en place d’un autoritarisme numérique.

    Voici notre futur immédiat, une économie totalement administrée, plus de monnaie, plus de répression, moins de liberté, mais aussi plus de miettes pour les gueux pour les faire taire, mais certainement pas la baguette!

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    « Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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    « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

    « Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

    https://insolentiae.com/ces-milliardaires-qui-veulent-plus-de-socialisme-pour-survivre-ledito-de-charles-sannat/

  • Aveuglement des «bien-pensants» face à l’islam

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    La tuerie anti-musulmane de Christchurch en Nouvelle-Zélande, survenue il y a six semaines environ, le 15 mars dernier, a causé cinquante morts et des dizaines de blessés
    Elle a suscité un élan d’horreur planétaire.

    Le tueur, a-t-on lu, était un être abject, abominable, à éliminer au plus vite.

    Il incarnait des idées à rejeter et à éliminer.

    Quand bien même il se disait écologiste, rejetait explicitement le conservatisme, et se disait surtout hostile aux migrations et à la surpopulation, il a été présenté comme un «conservateur».
    Nombre de juifs et de chrétiens ont affirmé aussitôt leur solidarité avec les musulmans.

    La tuerie anti-chrétienne qui s’est produite le 21 avril au Sri Lanka a été bien plus meurtrière, puisqu’il y a plus de trois cents morts et plus de cinq cents blessés, certains dans un état très grave, mais l’élan d’horreur a été moins important.

    Les tueurs (car, cette fois, il y en avait plusieurs) n’ont pas été insultés et traînés dans la fange.

    Leurs idées n’ont pas été fustigées, mais traitées avec précautions: pendant plusieurs heures, alors qu’il était absolument flagrant, au vu du mode opératoire, qu’il s’agissait d’une tuerie islamique, le mot «islam» n’a pas même été prononcé.

    Lorsqu’il l’a été, il a été accompagné de circonlocutions évoquant un groupe bien particulier lié à l’État islamique.

    Dire que cela a été une attaque anti-chrétienne, alors que c’était tout aussi flagrant, ne s’est fait qu’avec réticence.

    Des dirigeants politiques ont même publié des communiqués désignant des «gens qui célébraient Pâques».

    D’autres ont parlé d’attaques «contre des églises et contre des hôtels», comme si c’étaient surtout les bâtiments qui avaient été visés.

    Le moins qu’on puisse dire est que les autorités religieuses musulmanes sont restées très discrètes.

    Cette différence est terriblement significative.

    La tuerie de Christchurch attaquait des musulmans sur un territoire occidental, et elle ne pouvait qu’être immédiatement condamnée par tous les «bien-pensants» du monde occidental.

    Elle ne pouvait qu’être utilisée pour s’en prendre à tous ceux que les «bien-pensants» du monde occidental ciblent en général, fût-ce en pratiquant des amalgames abusifs.

    La tuerie du Sri Lanka était gênante pour les «bien-pensants» du monde occidental: elle donnait le très mauvais rôle à des musulmans, et les victimes étaient des gens envers qui les «bien-pensants» éprouvent de l’indifférence, voire du dédain.

    Elle donnait une image très négative de l’islam et montrait que des musulmans pouvaient tuer des gens pour la seule raison qu’ils ne sont pas musulmans.
    Cette différence est effroyable et inquiétante.

    La «bien-pensance» qui sévit dans le monde occidental propage un aveuglement qui permet à l’islam de se répandre sur la planète.

    Elle ment sur l’islam dans le cadre de cet aveuglement, en dépeignant celui-ci comme imprégné d’un esprit de paix et de fraternité, alors qu’il est un dogme guerrier incitant au meurtre et au massacre, et que ses victimes chaque année se comptent par milliers sur toute la surface de la terre.

    Elle se fait ainsi complice des crimes et des massacres déjà commis et de ceux qui se produiront dans le futur.

    Elle fait tout pour occulter ce qui devrait alarmer. Les chrétiens sont aujourd’hui le groupe religieux le plus persécuté du monde. Ce qui s’est passé au Sri Lanka est une horreur, mais des scènes d’horreur semblables se produisent sans cesse dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, en particulier au Nigéria. Les Coptes, dont la présence en Égypte préexiste à l’émergence de l’islam, sont fréquemment massacrés.

    Des pays tels que l’Irak et la Syrie ont subi une véritable épuration ethnico-religieuse anti-chrétienne. En Europe, églises, basiliques et cathédrales sont saccagées, profanées, incendiées par centaines chaque année. Tous les pays d’Europe où des communautés musulmanes nombreuses se sont implantées ont vu émerger des zones de non-droit qui sont en réalité des zones musulmanes autonomes.

    Il est difficile de ne pas penser que la «bien-pensance » qui sévit dans le monde occidental cherche le pire et est imprégnée d’un amour vénéneux pour la haine et la destruction. L’arrêter dans ses basses œuvres relève maintenant de l’extrême urgence.

    Guy Milliere

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/214495/aveuglement-des-bien-pensants-face-a-lislam/

  • L'Église ne peut pas coopérer à des trafics humains qui ressemblent à un nouvel esclavage.

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    Cardinal Sarah

    Je suis scandalisé par tous ces hommes qui meurent en mer, par les trafics humains, par les réseaux mafieux, par l'esclavage organisé. Je reste perplexe devant ces gens qui émigrent sans papier, sans projet, sans famille. Ils pensent trouver ici le paradis terrestre ? Il n'est pas en Occident ! S'il faut les aider, je pense que c'est sur place, dans leurs villages, dans leurs ethnies. On ne peut cautionner ces déséquilibres économiques et ces drames humains. Vous ne pouvez pas accueillir tous les migrants du monde. Accueillir, ce n'est pas seulement laisser entrer les gens chez soit, c'est leur donner du travail. Vous en avez ? Non. Leur donner un logement Vous en avez ? Non. Les parquer dans un endroit indécent, sans dignité, sans travail, ce n'est pas ce que j'appelle accueillir les gens. Cela ressemble plus à une organisation mafieuse ! L'Église ne peut pas coopérer à des trafics humains qui ressemblent à un nouvel esclavage.

    Ce que je trouve également scandaleux, c'est qu'on utilise la Parole de Dieu pour justifier cela, Dieu ne veut pas la migration. Le Christ, enfant, s'est réfugié en Égypte, à cause d'Hérode, mais il est rentré chez lui ensuite. De même, Dieu a toujours ramené son peuple en Israël, après chaque famine et chaque déportation en Babylonie. Un pays est un grand trésor, c'est là que nous sommes nés, c'est là où sont enterrés nos ancêtres. Quand on accueille quelqu'un, c'est pour qu'il ait une vie meilleure, et ce n'est pas dans un camp qu'on a une vie meilleure. Quand on est nourri sans travailler, on n'a aucune dignité. Quelle culture avez-vous à leur offrir ? Est-ce que vous êtes encore capable de partager votre culture et vos racines chrétiennes ? J'ai peur que le déséquilibre démographique engendré par ces vagues migratoires vous fasse perdre votre identité et ce qui fait votre spécificité. L'Europe a une mission spéciale que Dieu lui a donnée c'est par vous que nous avons connu l'Évangile, que nous avons connu les valeurs de la famille, la dignité de la personne, et la liberté. Si vous renoncez à votre identité, si vous êtes noyés par une population qui ne partage pas votre culture, vos valeurs chrétiennes et votre identité risquent de disparaître. C'est comme la Rome ancienne envahie par les barbares. Il faut réfléchir aux migrations c'est un nouvel esclavage qu'on organise parce qu'on a besoin de travailleurs. Toutes ces personnes qui viennent ici en croyant trouver une vie rêvée. Quel mensonge ! Quel cynisme ! Benoît XVI fut particulièrement clair et prophétique sur toutes ces questions. [...]

    Vous avez été façonnés par le christianisme, tout est chrétien en Europe. Pourquoi nier cela ? Aucun musulman ne nie son identité. Si vous ne retrouvez pas ce que vous êtes, vous disparaîtrez. Et si l'Europe disparaît, il y aura un bouleversement épouvantable: le christianisme risquerait de disparaître sur la surface de la terre. Voyez bien que vous êtes envahis par l'islam: ils veulent islamiser le monde entier, et ils ont les moyens financiers. Ils ne réussiront pas, parce que le Seigneur est avec nous jusqu'à la fin du monde. Mais il ne faut pas nier ce que vous êtes : ceux que vous accueillez doivent s'intégrer à votre culture. Encore faut-il que vous ayez une culture : vous ne pourrez pas les accueillir dans votre athéisme, dans votre matérialisme, dont ils ne veulent pas.

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  • Jordan Bardella : « Le grand risque qui est en face de nous, c’est la partition de la société »

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    Jordan Bardella est tête de liste RN aux élections européennes. Originaire de Seine-Saint-Denis, le benjamin (23 ans) des candidats répond sans ambages à toutes les grandes questions de l’heure : Macron, Salvini, banlieues, immigration.

    Découvrez quelques extraits de cet entretien publié sur Causeur.

    Daoud Boughezala. Marine Le Pen vous présente comme un jeune militant issu des banlieues arrivé à la force du poignet. En vous ayant désigné tête de liste aux dépens d’eurodéputés plus expérimentés tels que Bruno Gollnisch ou Nicolas Bay, le Rassemblement cède-t-il aux idéologies à la mode ?

    Jordan Bardella. Non. Ce n’est pas une élection de personnes. Une liste est avant tout une équipe. Marine Le Pen a fait le choix un peu audacieux de confier la tête de liste à un jeune de 23 ans. Malgré mon âge, j’ai déjà une petite expérience politique puisque je suis élu au Conseil régional d’ïle-de-France en Seine-Saint-Denis, un territoire difficile dans lequel j’ai grandi. Cela a toujours été une des qualités du mouvement de donner une chance à la jeunesse. On a fait élire en 2012 la plus jeune députée Marion Maréchal, en 2014 le plus jeune sénateur David Rachline, on fera sans doute élire le plus jeune député européen. On a beaucoup de jeunes élus et de jeunes maires qui font leurs preuves. Le RN est un mouvement politique pour lequel les jeunes votent beaucoup. Selon les sondages, un tiers des jeunes voterait pour le RN aux européennes.

    Il y a une cohérence dans le choix de la tête de liste, d’autant que ces élections sont un peu l’épilogue de la refondation du mouvement que Marine Le Pen a lancée en 2011. Cela nous a menés au second tour de l’élection présidentielle (2017), au changement de nom du FN, à nous ouvrir à des gens de l’extérieur (issus des Républicains comme Thierry Mariani ou de la société civile comme Hervé Juvin).

    Concrètement, proposez-vous le retour aux frontières nationales ?

    Absolument. Il faut remettre des portes à la maison France pour décider qui entre et qui sort de chez nous. L’espace Schengen nous avait promis la libre circulation des biens et des personnes mais on a vu que c’était aussi la libre circulation des terroristes, des armes, des trafics. L’absence de frontière en matière économique crée aussi une absence de protection pour les entreprises et les emplois français. Nous sommes favorables à la sortie de l’Espace Schengen tout en prévoyant des dispositifs simplifiés pour les travailleurs frontaliers comme les 60 000 qui passent chaque jour en la France et l’Allemagne. C’est ce qu’on a toujours fait : le mythe de la libre circulation n’a que quelques années. La frontière n’est pas un mur ou un barbelé mais une porte, un filtre, une écluse, une limite. Mais, comme le dit Salvini, la première des frontières en matière d’immigration, c’est la dissuasion.
    C’est-à-dire ?

    Tant qu’on continuera à avoir un système de prestations sociales extrêmement attractif pour des personnes qui viennent de l’étranger, il est évident que l’immigration se poursuivra. La réponse à la question de l’immigration doit être à la fois des frontières nationales – rétablir des postes de douane alors que Sarkozy en a fermés 6500 – et une politique de dissuasion. Il faut réserver les moyens de l’Etat et la solidarité nationale aux Français tout en raccompagnant les bateaux de migrants dans les ports de départ. C’est ce que fait Salvini.

    Mais votre allié Salvini, ministre de l’Intérieur italien, ne partage pas forcément vos intérêts. Ainsi, il souhaiterait que la France accueille davantage de quotas de migrants…

    Ce n’est pas tout fait à juste. En demandant à la France d’accueillir plus, Salvini répond à ceux qui lui donnent des leçons sur l’accueil des migrants mais qui ne veulent pas en assumer l’intégralité de la charge. Par exemple, Macron avait refusé d’accueillir l’Aquarius mais accepté de prendre les migrants si l’Aquarius accostait en Espagne. Salvini pointait donc le double discours de la classe politique européenne. Avec l’environnement, l’immigration est sans doute l’un des deux grands défis majeurs de l’Europe au XXIe siècle. D’ici 2050, la population africaine va doubler. Il faut lire le très bon livre de Stephen Smith La ruée vers l’Europe. On fait face à un continent qui est en train de devenir une bombe démographique. La population africaine est très jeune et voudra ensuite aller vers des terres plus riches qu’ils considèrent – à tort – comme un eldorado : l’Europe. La seule question à se poser est : accepte-t-on cette ruée progressive vers l’Europe qui est déjà en cours ? Cela aurait d’énormes conséquences économiques, sociales, culturelles et cultuelles. L’Italie a accueilli 700 000 migrants sur ses côtes depuis 2013. Depuis que Salvini est aux responsabilités, il a fait baisser de 95% le nombre de débarquements. Cette fermeté est aussi une forme d’humanité parce qu’il a fait baisser de moitié le nombre de morts en Méditerranée.

    Entretien repris du du site Causeur.fr

    https://fr.novopress.info/214489/jordan-bardella-le-grand-risque-qui-est-en-face-de-nous-cest-la-partition-de-la-societe/

  • Autriche : le vice-chancelier dénonce le grand remplacement

    Autriche : le vice-chancelier dénonce le grand remplacement

    En Autriche, le chef du FPÖ, parti au pouvoir aux côtés des conservateurs, le vice-chancelier Heinz-Christian Strache FPÖ a expliqué que son parti lutte contre “le remplacement de population” :

    “Nous ne voulons pas devenir une minorité dans notre propre patrie”.

    Suite à la polémique alimentée par les gauchistes, Heinz-Christian Strache, lors du conseil des ministres, mercredi dernier a déclaré :

    “Nous avons été élus pour mettre fin à cette tendance nocive car les citoyens disent, à juste titre, que cette situation ne leur plaît pas et qu’ils se sentent déjà comme des étrangers dans de nombreux endroits de leur pays. Je ne me laisserai donc pas museler, les citoyens comptent sur nous !”.

    Le lendemain des déclarations de Heinz-Christian Strache, Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, rendait visite à Viktor Orbán en Hongrie. Il a mis en garde contre le risque que l’Europe ne devienne “un califat islamique”. 

    https://www.lesalonbeige.fr/autriche-le-vice-chancelier-denonce-le-grand-remplacement/

  • Mathieu Bock-Côté: « Ce que veut dire “patriotisme inclusif” »

    Par Mathieu Bock-Côté 

    CHRONIQUE - « On ne cesse de parler d’ouverture à l’autre. Mais ne faudrait-il pas demander à l’autre de s’ouvrir à nous et d’embrasser la civilisation qu’il a décidé de rejoindre ? » écrit ici Mathieu Bock-Côté. [Le Figaro, 3.05]. On sera bien d'accord avec sa réflexion comme toujours lucide et pertinente. Nous aurions cependant envie d'ajouter que celui qui a décidé de rejoindre notre nation, notre civilisation, devra faire l'objet d'une décision d'acceptation de notre part, laquelle ne doit être ni automatique ni illimitée.  LFAR 

    « ... La peur de devenir étranger chez soi est devenue palpable ... »

    Dans sa conférence de presse du 25 avril, Emmanuel Macron a dit vouloir pour la France un « patriotisme inclusif ». La formule, qui se voulait positive, a peut-être néanmoins écorché certaines oreilles dans la mesure où elle laissait entendre que le patriotisme français, jusqu’à tout récemment, avait été « exclusif ». Doit-il connaître une mue idéologique pour redevenir moralement acceptable ? En quoi le patriotisme français d’hier et d’avant-hier échouait-il le test humaniste de l’hospitalité ? On serait en droit de poser la question à ceux qui se réclament de cette notion : que veut dire devenir inclusif ? Quels critères distinguent le bon patriotisme du mauvais ? Le patriotisme tragique du général de Gaulle était-il suffisamment inclusif ? On l’aura compris, en termes macroniens, le patriotisme français devrait passer de la société fermée à la société ouverte, ce qui n’est peut-être qu’une manière de reconduire en de nouveaux termes le clivage apparemment insurmontable entre progressistes et populistes que les premiers cherchent à imposer.

    Mais la question s’impose : inclure à quoi? L’assimilationnisme ne permettait-il pas justement d’inclure dans la nation des populations diverses qui apprenaient à dire « nous » avec elle en prenant le pli de la culture française ? Ne poussait-il pas les immigrés à s’approprier les mœurs françaises, en envoyant même des signes ostentatoires d’appartenance à leur nouveau pays ? Le patriotisme inclusif témoignerait d’un autre rapport au monde. D’ailleurs, la formule n’est pas neuve. En 2013, le rapport Tuot, qui avait suscité un certain écho médiatico-politique, avait cherché à l’imposer en plaidant pour le modèle de la « société inclusive », délivré de toute conception substantielle de l’identité française, comme si cette dernière était autoritaire et poussiéreuse. Avant cela, à la fin des années 1990, un partisan de la Third Way (troisième voie entre le libéralisme et la social-démocratie NDLR) comme Anthony Giddens avait aussi plaidé pour une conception « inclusive » de la nation, pour l’adapter à un univers mondialisé et l’ouvrir aux flux migratoires. Telle était l’orthodoxie du moment.

    Pour peu qu’on traduise ce vocabulaire propre à la novlangue diversitaire, on retrouve tout simplement l’idéologie multiculturaliste. Certes, les théoriciens les plus subtils du multiculturalisme le disent désormais compatible avec la nation, mais c’est à condition de vider cette dernière de toute substance, au point de la rendre fantomatique, comme si chaque pays devenait indifférent à sa réalité identitaire et devait même s’y arracher pour s’engager dans une nouvelle définition de lui-même. Dans la perspective multiculturaliste, le peuple historique qui formait le corps de la nation n’est plus qu’une communauté parmi d’autres dans la société plurielle. Il doit consentir à son déclassement symbolique et consentir à une forme de décolonisation intérieure. S’il le refuse, il devient dès lors le principal obstacle à la reconstruction d’une nation véritablement inclusive, dans la mesure où il refuserait d’accepter une différence déstabilisant ses certitudes. Une telle posture serait condamnable.

    De ce point de vue, le Canada, qui a inscrit le multiculturalisme dans sa Constitution, est à l’avant-garde de l’« inclusion ». Dans les semaines suivant son élection, à l’automne 2015, Justin Trudeau avait expliqué, dans un entretien au New York Times, que le Canada était un pays sans noyau identitaire propre. Les Canadiens n’auraient en commun que leur diversité et les droits qu’ils se reconnaissent mutuellement. Naturellement, il faudrait toujours donner des preuves d’inclusion supplémentaires, la diversité étant une quête infinie porteuse d’une promesse de rédemption. C’est ce qui a amené le Canada, depuis 2015, à valoriser le niqab à la manière d’un symbole d’ouverture à l’autre. C’est aussi pour cela qu’il y a quelques semaines la Commission canadienne des droits de la personne a mis à la une de son rapport annuel une fillette voilée. Il y a une hubris de la diversité. On en revient à la France.

    C’est moins un patriotisme pénitentiel, occupé à s’excuser d’avoir trop longtemps exclu « l’Autre », qu’un patriotisme viscéralement attaché à la France et à son droit à la continuité historique que semble réclamer de mille manières le commun des mortels. Si la question nationale obsède à bon droit nos contemporains, et si elle est de plus en plus indissociable de la question civilisationnelle, c’est que la peur de devenir étranger chez soi est devenue palpable. Les petits inquisiteurs qui ne voient là qu’une forme de paranoïa identitaire témoignent surtout de leur incapacité à comprendre le besoin d’une demeure à soi inscrit dans le cœur de l’homme. Le slogan mériterait d’être renversé : on ne cesse de parler d’ouverture à l’autre. Mais ne faudrait-il pas demander à l’autre de s’ouvrir à nous et d’embrasser la civilisation qu’il a décidé de rejoindre ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le capitalisme à la française a une particularité : la plupart des fortunes privées se sont créées sur de l’argent public

    Le capitalisme à la française a une particularité : la plupart des fortunes privées se sont créées sur de l’argent public

    Si vous ne lisiez pas les chroniques de Julien Jauffret chaque semaine dans l’hebdomadaire Minute, vous pouvez vous rattraper en les retrouvant dans Le Populisme ou la mort. Observateur attentif de la vie littéraire, artistique, politique et sociale de son époque, Olivier Maulin, alias Julien Jauffret, y a rassemblé le meilleur de ses analyses de chroniqueur anticonformiste. Et comme l’écrit François Bousquet dans la préface, “elles ont résisté à l’obsolescence programmée du genre“. Exemple :

    Le capitalisme à la française a une particularité, c’est que la plupart des fortunes privées se sont créées sur de l’argent public. Celle de Bernard Arnault n’échappe pas à la règle. En 1984, cet héritier d’une entreprise familiale du bâtiment, réussit à convaincre le Premier ministre Laurent Fabius qu’il est le candidat idoine pour racheter Boussac, le géant de l’industrie textile du Nord. En deux ans, le gouvernement Mauroy avait injecté un milliard de francs de subventions dans le groupe ! Objectif : sauver les 21 000 emplois. L’Etat était donc propriétaire de fait. Pour emporter le morceau, Arnault s’engage par écrit à garantir la “pérennité de l’entreprise et l’essentiel des emplois”; Fabius accepte. L’Etat abandonne la créance d’un milliard de francs, le subventionne à hauteur de la moitié, et roulez jeunesse. “Comment devenir milliardaire en assurant la ‘pérennité’ d’un groupe industriel sous perfusion continue d’argent public ? En le dépeçant minutieusement. Tout simplement”, écrit Olivier Toscer dans son livre Argent public, fortunes privées, Histoire secrète du favoritisme d’Etat (Denoël, 2003). Arnault s’empresse en effet de démanteler l’empire Boussac pour ne garder que les deux perles : le Bon Marché et surtout la maison de couture Christian Dior à partir de laquelle il bâtit le groupe LVMH. La Commission européenne lui demandera bien (treize ans plus tard !) de rembourser une partie des aides publiques dont il avait bénéficié, mais à ce moment-là, le roi du luxe est déjà multimilliardaire. Merci Fabius, merci l’Etat. Ce même Etat que l’on cherche à fuir quand il vous réclame une contribution exceptionnelle pour crise exceptionnelle ! En temps de guerre, Arnault serait fusillé.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-capitalisme-a-la-francaise-a-une-particularite-cest-que-la-plupart-des-fortunes-privees-se-sont-creees-sur-de-largent-public/

  • Une explosion démographique d’un demi-milliard de musulmans risque de balayer notre civilisation

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    Une explosion démographique d’un demi-milliard de personnes dans le monde arabe menace de balayer la culture européenne, et il ressort clairement des données démographiques officielles des Nations Unies que dans quelques décennies, des masses incroyables émigreront du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, a déclaré dans l’émission Polbeat de la chaîne PestiSrácok.hu l’orientaliste Tamás Dezső, ancien doyen de l’Université Eötvös de Budapest et membre de l’Institut hongrois de recherche sur la migration (MKI).

    « Je ne vois pas quel est le projet de l’Occident pour résoudre ce problème », a-t-il déclaré en réponse aux questions d’István Stefka et Gergely Huth.
    « Pourtant il y aurait une solution », a-t-il ajouté. 
    Par exemple, selon une étude, il faudrait 88,2 milliards de dollars pour reconstruire l’Irak. 
    Or c’est à peu près le montant que l’Allemagne a dépensé en quatre ans pour soutenir les migrants.
    De telles explosions démographiques, dans l’histoire, ont toujours conduit à des conflits violents, c’est pourquoi il est très important que la Hongrie accroisse encore son budget défense.
    Cependant, en tant que scientifique, Tamás Dezső plaide pour une solution pacifique, à savoir le développement des régions touchées par le Printemps arabe.
    « En Irak, où je travaille sur une fouille archéologique, tous les jeunes qui nous aident sont sans emploi. 
    Il est compréhensible qu’ils s’en aillent, mais l’Europe n’est pas assez riche pour sauver tous les pauvres du monde.
    Ce qui est totalement incompréhensible, c’est que l’extrême gauche occidentale soutienne l’afflux musulman, alors que l’idéologie représentée par les imams radicaux est diamétralement opposée à la leur. »
    D’après un sondage bien connu, 44% des musulmans britanniques étaient favorables à l’État islamique, chiffre qui était de 27% après l’attentatdu Bataclan.
    En Occident, une bataille sérieuse se joue autour des immigrés musulmans et les partis de l’intégration perdent du terrain contre les imams extrémistes.
    Résumé (du texte écrit) : Cenator
    Pour information :

    Source du tableau : D. Tamás, Démographie et migration (en hongrois), MKI, 5.11.2018 : p. 5.
    Légende : Fig. 1. Tendances démographiques de pays sélectionnés du monde musulman.
    Colonne 1 : p. ex. Törökország = Turquie, Magyarország = Hongrie.
    Colonnes centrales : accroissement.
    A droite : âge moyen et taux de fécondité.
    Commentaire : Que peut faire par exemple un jeune Afghan de 17 ans, analphabète, sans formation, peut-être déjà père ? 
    Comme le relève T. Dezső dans l’interview, il n’a guère d’autre choix que la guerre ou l’émigration, ou peut-être les deux. 
    lesobservateurs.ch

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/une-explosion-demographique-dun-demi.html#more

  • Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk, journaliste franco-tunisienne, anime depuis 2017, quotidiennement, sur CNews, Les Voix de l’info, émission dans laquelle elle invite régulièrement Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), Alexandre del Valle et L’Incorrect. Elle a été interrogée dans le numéro de mai de ce mensuel, dont elle fait la Une. Extraits :