anti-national - Page 388
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L'ISLAMO-GAUCHISME DANS LES UNIVERSITÉS FRANÇAISES
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Sectarisme LR
Certains élus LR se sont indignés du sectarisme de LREM, qui a exclu le député Agnès Thill qui a eu le tort de penser autrement sur la PMA. Mais cette indignation peut être retournée contre les élus LR, qui font preuve du même type de sectarisme.
Les élus régionaux des Pays de la Loire vont en effet statuer vendredi 12 juillet sur le retrait des délégations de Sébastien Pilard, en raison de la présence de ce dernier à un dîner privé (pas un meeting) en compagnie de Marion Maréchal.
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Paris : une marche des “mutilés gilets jaunes” qui “ne lâcheront rien”
400 personnes ont défilé dans le calme dimanche à Paris pour dénoncer les “mutilations policières” et réclamer l’interdiction des lanceurs de balle de défense (LBD) et de certaines grenades lacrymogènes “inutilement dangereux”.…
https://fr.novopress.info/214704/paris-une-marche-des-mutiles-gilets-jaunes-qui-ne-lacheront-rien/ -
Des policiers en correctionnelle pour violences illégitimes
Le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, l’a assuré : certains des policiers mis en cause pour des violences illégitimes à l’occasion des manifestations des gilets jaunes seront jugés. Et le chef du parquet parisien d’ajouter qu’à ce jour, une soixantaine de procédures étaient bouclées.
Bien entendu, côté policier, ces déclarations ne sont pas passées inaperçues. Et certains syndicats de police sont déjà montés au créneau, dénonçant « la tournure politique » de ces déclarations (Unité SGP Police-FO). Ou encore la volonté de jeter « en patûre sur la place publique » les forces de l’ordre (Alliance police nationale). Rappelons, pour mémoire, que, depuis le 17 novembre 2018, date de la première manifestation des gilets jaunes, près de 2.500 manifestants ont été blessés, dont certains gravement, ainsi que 1.700 membres des forces de l’ordre.
Rappelons, également, que de nombreux participants à ces manifestations ont fait l’objet de jugements « expéditifs » dans le cadre de procédures en comparution immédiate. Et qu’ils ont été nombreux à se voir condamner à des peines de prison ferme avec, pour certains, des mandats de dépôt délivrés en fin d’audience.
Jamais le nombre des gardes à vue n’avait été aussi important, ni celui des interpellations en amont des manifestations. La répression mise en œuvre à l’occasion de ce vaste mouvement populaire fut sans doute une première depuis des décennies.
Dans ce contexte, l’action des forces de l’ordre a parfois été d’une rare violence. Souvent dépassées à cause de stratégies et de décisions tactiques inadaptées – en particulier lors des mouvements de décembre 2018 et janvier 2019 -, elles furent parfois livrées à elles-mêmes et contraintes d’utiliser des moyens disproportionnés aux agressions subies. Ainsi, l’utilisation abusive des LBD (lanceurs de balle de défense) ou de grenades de désencerclement contribua à de nombreuses blessures qui, dans un autre contexte, auraient pu être évitées. Aujourd’hui sonne donc, pour un certain nombre de policiers, l’heure de rendre des comptes. Ils devront expliquer pourquoi, comment et dans quelles circonstances ils ont pu être amenés à faire usage d’une force dont les juges diront, in fine, si oui ou non elle était proportionnée aux circonstances.
Pour cela, les magistrats devront tenir compte de plusieurs éléments. Tout d’abord, du contexte juridique dans lequel se sont situées les actions. Était-on dans le cadre d’une manifestation devenue un attroupement illégal ? La menace physique qui pesait sur les policiers et les gendarmes était bien réelle et immédiate : les actions mises en place par les forces de l’ordre étaient-elles proportionnées à ces menaces ? Ensuite, les actions individuelles dont il sera question lors de ces procès étaient-elles commandées ou pas par une autorité légitime ? Car une question de fond restera en arrière-plan : l’autorité chargée du maintien de l’ordre, en l’occurrence le ministre de l’Intérieur, a-t-elle bien pris toutes les mesures nécessaires pour éviter les débordements qui ont été observés au fil des mois et des manifestations ? Les ordres qui ont été donnés en ces circonstances étaient-ils adaptés à la réalité du terrain et à la menace qui pesait sur l’ordre public ? Enfin, la hiérarchie policière en charge de la mise en œuvre de ces ordres a-t-elle été à la hauteur des événements ? Toutes ces questions n’exonéreront pas forcément les policiers incriminés, qui restent en toutes circonstances pénalement responsables de leurs actes. Mais elles devront être posées afin d’éclairer le comportement de ceux auxquels il serait trop facile, aujourd’hui, de faire porter un chapeau trop grand pour eux.
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Afrique du Sud : viols et crimes dans l’indifférence internationale
Sous prétexte que les fermiers blancs ont été partie prenante de l’apartheid jusqu’en 1994, les crimes commis contre eux semblent être, pour l’opinion internationale, des crimes mineurs et non dignes d’intérêt. La terre étant aujourd’hui le principal enjeu du panorama politique sud-africain, on saccage les fermes et on tue et viole leurs occupants blancs dans l’indifférence générale du reste du monde, qui pense probablement que la couleur de peau des victimes n’est pas digne d’intérêt.
La dernière victime en date de ces attaques qui restent, la plupart du temps, impunies à cause de l’état de décomposition de la police sud-africaine est Annette Kennealy, 51 ans, tuée la semaine dernière à coups de marteau dans sa ferme du Limpopo, fief de Julius Malema, l’extrémiste qui avait déclaré, il y a un temps, « Un fermier, une balle… »
Dans le sud du pays, la Western Province, la région du Cap, qui avait été jusqu’ici plus ou moins préservée de cette violence, quatre fermes ont été attaquées, il y a quelques jours. Dans l’une d’elles, Dolla Engelbrecht, 72 ans, a été violée, tandis qu’un peu plus loin, un fermier a été abattu alors qu’il emmenait sa fille de 17 ans à l’école.
Devant cet état de choses, la communauté Afrikaner se structure pour faire connaître ce que beaucoup appellent aujourd’hui « un apartheid à l’envers », promouvoir sa culture et lutter pour les droits souvent bafoués de ses membres. C’est ainsi que fut fondée, il y a quelques années, AfriForum, une organisation qui milite non seulement pour ces droits, mais qui intervient aussi légalement à chaque fois que des scandales liés à la corruption éclatent dans ce pays. Parmi ses membres, le célèbre procureur Gerrie Nel, qui avait représenté le ministère public dans la non moins célèbre affaire Oscar Pistorius, accusé d’avoir tué sa petite amie il y a quelques années. Nel a ensuite quitté ses fonctions de procureur pour se mettre au service d’AfriForum.
Il resterait, aujourd’hui, sur l’ensemble du pays, 42.000 familles fermières, contre 60.000 il y a quinze ans. Beaucoup de ces familles ont émigré en Australie devant la détérioration constante de la sécurité dans les fermes. Ils recréent, là-bas, dans les grands espaces australiens, la même passion fermière qui a fait le succès de l’agriculture sud-africaine (et zimbabwéenne avant Mugabe). Pour ceux qui restent, il s’agira de lutter pied à pied contre le projet d’expropriation que mettra en œuvre le nouveau gouvernement sud-africain.
Leur but, et celui d’Afriforum : lutter contre cette idée préconçue selon laquelle 80 % des terres leur appartient. La communauté fermière soutient que seulement 50 % de ces terres sont exploités par elle. Les 50 % des terres restants appartiennent, selon eux, en petite partie à des fermiers noirs, mais surtout au gouvernement sud-africain qui devrait les libérer pour que les fermiers noirs les mettent en valeur, comme l’ont fait les fermiers blancs depuis leur arrivée sur cette terre, il y a plusieurs centaines d’années…
Il y a trois ans eut lieu une première tentative de distribution de fermes volontairement abandonnées par leurs propriétaires, qui furent redécoupées et données à des propriétaires noirs. La grande majorité de ces bénéficiaires s’empressa de les revendre pour empocher le fruit de la vente…
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AfD : « Certaines parties de l’Allemagne sont maintenant sous le contrôle d’un califat islamique »
Le parti de droite allemand AfD a publié un graphique démontrant que certaines parties du pays sont désormais sous le contrôle d’un « califat » islamique. La gauche, quant à elle, dit qu’elle préférerait vivre sous un califat islamique que dans une Allemagne contrôlée par l’AfD.
Au terme des élections européennes, l’une des succursales d’Alternative for Germany à Berlin (AfD) a publié une image sur Facebook indiquant que les États de l’ouest et du sud, où l’AfD recevait le moins de soutien, avaient été repris par des islamistes.
L’image montre le pays divisé entre la «république d’Allemagne» et le « califat allemand », séparés par une bannière noire sur laquelle figure la déclaration de foi islamique.
242 personnes parlent à ce sujetLe message, qui a par la suite été supprimé, comportait la légende suivante: « Les images parlent plus que les mots ».
En dépit de recevoir des critiques contre cette publication, une personne a suggéré qu’elle préférerait vivre dans un califat islamique plutôt que dans une Allemagne gouvernée par l’AfD.
« Si je devais vivre sous l’égide de l’AfD dans un pays intitulé « République fédérale d’Allemagne », je préférerait le califat, s’il vous plaît. Il y a du soleil et de la nourriture délicieuse ! », à commenté Christina Fischer.
Pour rappel, une affiche créée par le parti AfD avait déjà fait forte polémique au sein du paysage politique allemand, montrant une femme blanche vendue sur un marché d’esclaves islamique à côté des mots « Pour que l’Europe ne devienne pas » Eurabia »… les Européens votent pour l’AfD! »
Plus tôt ce mois-ci, les gauchistes allemands ont applaudi aux menaces de mort proférées contre l’AfD, lors d’un débat politique.
Traduction Carole Compostella pour alter INFO
Lire aussi: L'AfD est devenu le parti le plus fort de l'est de l'Allemagne - les victoires aux élections d'État pourraient forcer Merkel à partir plus tôt que prévuSource Infowars
L’Allemagne est, sans conteste, la première puissance économique d’Europe. Et elle semble vouloir, depuis quelques années, reprendre le poids politique qu’elle avait avant 1945. Va-t-elle reprendre les funestes aventures qui ont, à de nombreuses reprises, mis le feu à notre vieux continent ?
La question mérite d’autant plus d’être posée que la situation allemande a été profondément modifiée, au cours des dernières décennies, par l’afflux massif d’immigrants musulmans.
Il est désormais possible que les démons allemands, associés à l’esprit de conquête de l’islam, fassent de l’Allemagne le chef d’un nouveau califat en Europe.
C’est pour conjurer ce sinistre avenir que cet essai a été rédigé.
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Guillaume Peltier gagne haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste
Guillaume Peltier vient de gagner haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste pour son spectaculaire revirement idéologique après le 26 mai.
201 personnes parlent à ce sujet -
Emmanuel Macron et le financement de l’islam
En acceptant de se rendre à la rupture du jeûne du conseil régional du culte musulman tout en évitant celle de son Conseil national, Christophe Castater a lancé les hostilités inhérentes à la réforme de l’islam voulue par Emmanuel Macron. Nul ne sait si notre Président osera utiliser la voie législative pour donner un coup de pouce à l’islam comme il l’a promis, en réformant la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État, ou s’il avancera sournoisement en choisissant la voie réglementaire, par petites touches. Mais les contours de sa structuration voulue de l’islam en France sont maintenant connus. Il s’agit d’imposer un statut cultuel « rénové » aux associations musulmanes 1901, associant une transparence dans le financement des mosquées à un élargissement de leurs sources de revenus. Mais chercher à structurer un islam que l’on veut « de France » tout en continuant à autoriser le financement provenant de l’étranger est un paradoxe et une contradiction desquels ne sort pas ce projet de réforme. Il est même à craindre que l’islam radical en ressorte finalement renforcé. Pourtant, des mesures urgentes et alternatives sont à prendre.
L’islam de France est marocain, algérien, turc ou autre, et non français. Le lien, notamment financier, avec la communauté source est essentiel pour les apparatchiks du culte et un contrôle accru de l’État français signifie la perte d’immenses ressources financières semi-clandestines (pèlerinage et halal). Cette réforme sera donc massivement rejetée par les musulmans eux-mêmes. La transparence dans le financement des mosquées n’existe pas aujourd’hui, mais cette réforme risque d’en accentuer l’opacité et de nourrir les courants salafiste, frériste, tabligh ou encore Millî Görüş turc. Ces mouvements sont dans une logique identitaire de reconquête des esprits et vont chercher à profiter de ces nouvelles dispositions pour s’enrichir par tous les moyens, tout en déguisant l’origine des fonds lors des contrôles. L’islam en France doit s’adapter à la loi 1905 et se financer sur fonds propres, comme l’église catholique (deniers, quête, offrandes, legs). La bonne réforme consisterait à imposer le statut cultuel actuel à toutes les associations musulmanes 1901 destinées au culte, tout en interdisant tout financement étranger, significatif d’une volonté d’influence et d’ingérence sur notre territoire.
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a déjà créé sa propre structure financière de type association cultuelle à l’été 2018 afin de prendre les devants, mais c’était sans compter sur Hakim El Karoui, de l’Institut Montaigne et ancien de la banque d’affaires Rothschild, sherpa d’Emmanuel Macron pour cette réforme, qui est à l’origine de la création, le 5 avril 2019, de l’Association musulmane pour l’islam de France (AMIF). À la fois association 1901 culturelle et association 1905 dans un second volet cultuel, elle est destinée à contrecarrer la volonté hégémonique de gestion financière du CFCM. Ces chicayas se produisent sur fond de guerre intestine pour savoir qui va s’imposer aux yeux de l’État. Véritable caisse de financement, l’AMIF espère obtenir la régulation économique des marchés du halal et le statut de régulateur officiel des agences de voyage qui organisent le pèlerinage à La Mecque en percevant, à ce titre, une rémunération. Au CFCM reviendrait le rôle institutionnel, bien qu’il soit de moins en moins représentatif, et à la Fondation pour l’islam de France (FIF) la partie culturelle.
C’est la laïcité et les lois de la République qui ont besoin d’être affirmées dans l’espace public, collectif mais aussi politique, et l’islam radical combattu. Or, Emmanuel Macron a souhaité un engagement politique des catholiques, notamment pour l’Europe, lors de la Conférence des évêques de France au collège des Bernardins, le 8 avril 2018. Quelle curieuse conception de la laïcité ! Desserrer l’étau de l’islam radical dans notre pays nécessite des décisions courageuses telles que l’interdiction de l’organisation frériste des « Musulmans de France » et de tous ses centres satellites, ainsi que la fin de l’expansion de l’influence des pays du Golfe qui bénéficient d’avantages fiscaux incroyables depuis 1990.
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Deux nouveaux djihadistes français condamnés à mort en Irak
La justice irakienne a condamné à mort dimanche 2 juin deux Français reconnus coupables d'avoir rejoint Daech*. Cela porte à neuf le nombre de Français condamnés à la peine capitale pour leur appartenance au groupe terroriste.
Les procès des djihadistes français se poursuivent en Irak. Un tribunal antiterroriste de Bagdad a condamné à mort dimanche 2 juin Fodil Tahar Aouidate, 32 ans, et Vianney Ouraghi, 28 ans. Le premier a rejeté les allégations de torture, l’autre a reconnu devant le juge avoir «travaillé avec Daech*», mais n’a pas reconnu avoir participé aux combats en Syrie et en Irak.
Ces deux nouvelles condamnations font suite à quatre autres qui ont été prononcées contre des Français ayant combattu dans les rangs de l'organisation djihadiste.
Ainsi, neuf Français et un Tunisien ont été condamnés à mort pour appartenance à l'EI⃰ depuis le 26 mai.
*Organisation terroriste interdite en Russie
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Des islamistes en liberté : expulsons-les !