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anti-national - Page 550

  • Marine Le Pen accuse l'Union européenne de souhaiter «l'abjuration des valeurs chrétiennes»

    Marine Le Pen accuse l'Union européenne de souhaiter «l'abjuration des valeurs chrétiennes»
    © Nikolay Doychinov Source: AFP
    Marine Le Penà Sofia le 16 novembre 2018.

    En déplacement en Bulgarie, Marine Le Pen a fustigé l'Union européenne «fédéraliste et marchande, sentencieuse et autoritaire» et réitéré son souhait de la transformer en une «alliance européenne des nations», sans «big-bang institutionnel».

    L'Union européenne (UE) «tente d'imposer par la force» un projet conduisant à «l'abjuration» de valeurs fondatrices, dont les «valeurs chrétiennes qui font partie intégrante de l'identité européenne», a estimé ce 16 novembre à Sofia Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national (RN).

    A l'occasion d'un déplacement en Bulgarie, elle s'en est prise à «l'UE, la triste UE, fédéraliste et marchande, sentencieuse et autoritaire, [qui] n'est forte que de ses milliards».

    La période de mondialisation sauvage, qui correspondait au rêve oligarchique d'un gouvernement planétaire par la caste mondiale, se referme

    «Elle les propose en échange de la renonciation des peuples d'Europe à être eux-mêmes [...] en échange de l'abjuration de valeurs qui fondent nos civilisations, et tout particulièrement ici sur cette terre bulgare, des valeurs chrétiennes qui font partie intégrante de votre identité, de notre identité européenne», a ajouté Marine le Pen.

    Elle a rencontré à Sofia des responsables d'autres formations européennes souverainistes. Etaient ainsi représentés le parti bulgare Volya, le SPD tchèque, la Ligue italienne, le Vlaams Belang belge et le parti grec Nouvelle droite.

    Marine Le Pen donne rendez-vous en mai 2019 pour le «grand basculement politique»

    Ces partis politiques travaillent à la formation d'alliances pour les élections européennes de mai 2019, dont Marine le Pen a dit espérer «un grand basculement politique». «Nous sommes en train de vivre un moment historique, la fin d'un monde, la fin d'un cycle», a-t-elle ajouté. «La période de mondialisation sauvage, qui correspondait au rêve oligarchique d'un gouvernement planétaire par la caste mondiale, se referme», selon elle. Elle a réaffirmé sa préférence pour «une alliance européenne des nations», sans «big-bang institutionnel» où chaque pays européen pourrait «participer à cette alliance européenne des nations [...] chaque nation conserverait sa souveraineté, sa liberté, la maîtrise de ses frontières».

    Voir l'image sur Twitter
    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    "Nous sommes en train de vivre un moment historique, la fin d’un cycle et avec la révolution idéologique et politique en cours, la possibilité d’entrevoir un grand basculement politique en Europe et dans chacun de nos pays !" @menleuropa  

    91 personnes parlent à ce sujet
     
    Elle a également estimé que «si l'Union européenne n'était pas ce qu'elle est, probablement la Grande-Bretagne y serait encore». «Est-ce que l'UE a souhaité punir la Grande-Bretagne ? Evidemment», a poursuivi la candidate déçue des l'élections présidentielles de 2012 et 2017. «L'idée était de faire le plus de mal à la Grande-Bretagne pour qu'aucune autre nation n'ait envie de s'élever contre l'Union européenne», a-t-elle ajouté, parlant de «conditions inadmissibles imposées» à Londres.

    «Ce chantage a été effectué par la voix d'un Français, [Michel] Barnier, qui ne s'est pas grandi, allant jusqu'à souffler sur les braises d'une guerre civile éteinte pour pouvoir arriver à ses fins», selon Marine le Pen. Le Français a été le négociateur en chef de l'UE dans les discussions avec Londres qui ont abouti ce 14 novembre à un projet d'accord sur le Brexit.

    https://francais.rt.com/international/55464-marine-pen-accuse-union-europeenne-souhaiter-abjuration-valeurs-chretiennes

  • Gilets jaunes – Éric Zemmour : “Le 17 novembre, une jacquerie fiscale”

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    Blocages des routes et points stratégiques, actions de sensibilisation symboliques, manifestations contre la hausse du prix des carburants… Les “gilets jaunes” veulent mettre la France à l’arrêt, samedi 17 novembre. Plus de 1.500 actions sont attendues sur tout le territoire. Mais seule une centaine a été déclarée en bonne et due forme auprès des autorités. Ces dernières ne craignent pas forcément de débordements majeurs mais restent vigilantes face au haut degré d’improvisation du mouvement.

    Emmanuel Macron n’est pas l’expression d’un nouveau monde mais l’aboutissement ultime d’un système qui a plusieurs décennies, déclare Éric Zemmour. C’est l’incarnation de la fin du système qui fait la même politique depuis 30 ou 40 ans (…) qui privilégie les métropoles contre tous les autres territoires“, ajoute-t-il.

    Selon Éric Zemmour, la mobilisation du 17 novembre “est ce qu’on appelle une jacquerie. C’est une jacquerie fiscale. C’est très inquiétant mais c’est le gouvernement qui a créé ça“, estime-t-il, à travers “l’augmentation de la fiscalité que l’on dissimule derrière un paravent écologique“.

    https://fr.novopress.info/212611/gilets-jaunes-eric-zemmour-le-17-novembre-une-jacquerie-fiscale/

  • Non à la crise identitaire en Europe : oui à une politique nataliste, non à l’immigration de peuplement

    Depuis le Parlement européen, Marie-Christine Arnautu (RN) évoque la fracture béante qui oppose les élites européistes, partisanes du changement des peuples, à un nombre croissant de nations européennes (Hongrie, Pologne, Italie…) résolument favorables, elles, à une politique à la fois nataliste et anti-immigration.

    “À l’heure où l’ONU s’apprête à établir un Pacte mondial sur les migrations, sorte de gouvernance supranationale destinée à consacrer le droit de migrer au prétexte que la « riche » Europe devrait pallier son déficit démographique en faisant venir des millions d’immigrés, plusieurs États occidentaux adoptent une tout autre approche, fondée sur une politique nataliste forte, au nom du droit des peuples à préserver leur indépendance, leur civilisation, leur identité et leur culture.

    Le ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, lors d’une conférence sur les migrations et la sécurité organisée par l’Autriche, le 13 septembre dernier, a parfaitement résumé la politique que tout dirigeant européen soucieux du bien de son peuple devrait suivre : « Je suis payé par les citoyens pour faire en sorte que nos jeunes aient de nouveau des enfants, comme c’était le cas il y a des années. Et non pas pour déraciner les meilleurs jeunes d’Afrique afin qu’ils viennent remplacer les Européens qui n’ont plus d’enfants […]. En Italie, notre besoin, c’est de permettre à nos enfants d’avoir des enfants, et non pas d’avoir de nouveaux esclaves pour remplacer les enfants que nous n’avons pas. » 

    Tandis que l’unité de la France, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne, etc. se disloque sous les coups de boutoir du communautarisme islamique, de la dictature des minorités imposée par les activistes LGBTIQ, du fanatisme des féministes radicales et de la culpabilisation des Européens obtenue par des décennies d’antiracisme militant, tandis que ces mêmes pays s’acharnent à détruire le socle de la famille en instaurant l’indifférenciation sexuelle et en bouleversant les règles de la filiation, des pays comme la Hongrie, la Russie, l’Italie empruntent le chemin inverse. Rejetant avec vigueur ce modèle mortifère des soi-disant « progressistes », ils proposent des alternatives qui sont la voie de la renaissance des peuples européens.”

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/non-a-la-crise-identitaire-en-europe-oui-a-une-politique-nataliste-non-a-limmigration-de-peuplement/100993/

  • Damien Rieu : « L’armée prend cette affaire très au sérieux. Il faut obliger les médias à ne plus passer ces faits-là sous silence. »

    Damien Rieu, lanceur d’alerte qui a mobilisé l’opinion au moment de l’affaire Médine, revient sur cette vidéo d’un soldat de l’armée de terre affirmant, le 13 novembre : « Ne vous engagez pas dans l’armée, vous travaillerez avec des porcs. »

    Il dénonce aussi les projets du gouvernement de contrôler l’information et les vidéos pour éviter la sortie de ce type d’affaires.

     

    Vous avez alerté l’Armée de terre après la réception sur Twitter d’une vidéo montrant un soldat français masqué disant : « ne vous engagez pas dans l’Armée, vous travaillerez avec des porcs ».
    Comment avez-vous récupéré cette vidéo ?

    Depuis que je lance des alertes, les gens m’envoient parfois des vidéos de ce qu’ils voient sur leurs réseaux sociaux ou reçoivent de leurs amis. Dans le cas de cette vidéo, quelqu’un qui avait Snapchat me l’a envoyée. Je l’ai mise ensuite sur Twitter. Beaucoup de monde a été indigné et a partagé la vidéo.

    L’Armée de terre vous a répondu que des sanctions très lourdes seraient prises contre ce militaire. En savez-vous plus ?

    Non, je n’en sais pas plus. Je n’ai pas eu plus de précisions. Mais il n’y a pas de raison de douter de cela. L’Armée de terre prend cela très sérieusement.
    L’auteur de cette vidéo m’a appelé pour me dire que c’était une blague et qu’il fallait la prendre au second degré. Je ne sais pas si c’est vrai ou pas. Je n’ai pas les éléments de réponse. L’Armée déterminera si c’était du premier ou du second degré. Même si c’est du second degré, je pense que faire cela un 13 novembre dans le contexte actuel, ce n’est pas très malin et que ça mérite en effet une sanction au moins symbolique.

    On vous a connu lanceur d’alerte au moment de l’affaire Médine. Vous aviez ensuite rencontré Médine pour débattre avec lui. Vous en recevez beaucoup des documents de ce type ?

    Nous sommes plusieurs sur Twitter soit à chercher soit à diffuser des informations. Le travail est fait par fdesouche notamment. Je ne sais pas si vous avez suivi, mais hier, des révélations ont été faites grâce à une caméra cachée. Une Canadienne a réussi à piéger une directrice d’une ONG qui expliquait comment elle briefait les migrants pour qu’ils inventent des histoires. Elles leur disaient de raconter combien ils étaient persécutés.
    Il y a donc un vrai travail d’investigation et de veille à faire. Nous sommes plusieurs à le faire sur les réseaux sociaux, y compris à l’étranger. Je crois que c’est très important pour la démocratie. Pour montrer que le réel illustre nos diagnostics.
    Nous voulons partager au maximum ces informations et continuer à obliger les médias. Il y a un vrai enjeu de ce point de vue. Les médias par eux-mêmes ne vont jamais sur ces sujets-là. Il faut les obliger à parler de ces sujets. Le JDD fait un article sur la vidéo du militaire. On parvient à obliger les médias qui essayent bien souvent de passer sous silence tout cela à parler de ces phénomènes en les faisant buzzer sur les réseaux sociaux.

    Au final, vous faites le travail que les médias ne font pas…

    Les médias ne parlent jamais des vidéos de violence. Castaner veut renforcer la répression contre les vidéos. Il veut négocier avec les hébergeurs pour que les vidéos montrant des actes de violence soient retirés le plus rapidement possible. Ils savent très bien que ça indigne les gens. Les gens sont de fait en colère. Or, ce qu’on ne voit pas, n’existe pas. Si on continue à diffuser des vidéos de ce qui se passe dans la rue, comme des agressions ou des choses scandaleuses comme on a vu avec le militaire, le gouvernement est obligé de réagir face à la réalité. Il ne peut pas la cacher. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Castaner veut les censurer. Il va falloir se mobiliser dans les mois à venir contre ce projet de mesures. Elles seraient très graves pour les libertés et pour la diversité d’opinion.

    Cela fait écho au braquage de cette professeure en plein cours. Cela avait été révélé grâce à un téléphone portable. La conséquence était que nos responsables voulaient interdire le téléphone portable. On agit finalement non pas sur l’insécurité, mais sur ce qui la révèle…

    C’est tout à fait cela. C’est ce que Blanquer a dit, même si ses propos ont été, semble-t-il, un peu tronqués. Il n’aurait pas dit que cela.
    Sans le téléphone portable et les réseaux sociaux, nous n’aurions pas su. La prof n’aurait pas porté plainte.
    On voit dans cette affaire que si les faits ne sortent pas et ne sont pas partagés sur les réseaux, ils n’existent pas. Il en va donc de la transparence et de la justice. Et pour que les choses avancent, il faut que ces vidéos existent. Il faut protéger la liberté d’information.

    Damien Rieu

    http://www.bvoltaire.fr/damien-rieu-larmee-prend-cette-affaire-tres-au-serieux-il-faut-obliger-les-medias-a-ne-plus-passer-ces-faits-la-sous-silence/

  • Gilets jaunes : les forces de l’ordre appréhendent l’ampleur du blocage

    Les autorités sont décontenancées face à ce phénomène hétéroclite, né hors de tout parti et syndicat, qui prévoit de déferler sur la France samedi 17 novembre. Les organisateurs avaient jusque 72 heures avant la journée d’action de samedi pour déclarer leurs manifestations en préfecture, « mais il y a sûrement un peu de souplesse», espère une source policière.

    «Ce sont des gens qui n’ont pas l’habitude des manifestations, qui peuvent ne pas les déclarer. Nos services de renseignements ont un gros travail» à fournir, confirme Christophe Rouget, du syndicat de police SCSI-CFDT.. […]

    «C’est un vrai casse-tête. Sans déclarations, les préfets ne peuvent pas faire une demande précise de renforts policiers, ni savoir combien de forces de l’ordre sont nécessaires, et où», note une source policière. «Il y a le problème de la mobilisation policière, mais aussi celui des consignes qui seront données», s’inquiète une autre source au sein de la police. «Est-ce qu’il faudra évacuer les manifestants, au risque que ce soit des familles avec enfants, ou verbaliser ? » s’interroge-t-elle. […]

    Le Point

    http://www.fdesouche.com/1106825-gilets-jaunes-les-forces-de-lordre-apprehendent-lampleur-du-blocage

  • Accord Macron-Facebook – Nous protéger ? Nous fliquer, plutôt !, par Francis Bergeron

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    Lutter contre la haine, contre la violence dans le cyberespace ? Qui pourrait s’y opposer ? Dans l’absolu, personne, bien entendu. Mais derrière cette noble cause, s’élabore un projet totalitaire de contrôle de l’information, et aussi de contrôle de nos propos, de nos pensées. Il s’appelle : « Appel de Paris pour la confiance et la sécurité dans le cyberespace ».

    Tout a commencé au début de l’année 2018, de l’autre côté du Rhin. Pour « lutter contre les extrémistes », et en fait surtout contre les succès électoraux annoncés de l’AFD, l’Allemagne de Merkel a décidé d’infliger de très lourdes amendes aux réseaux sociaux qui ne supprimeraient pas rapidement des messages à « contenus violents ou racistes ». Il était impossible d’imaginer loi plus stupide. C’est un peu comme si la Poste ou les compagnies téléphoniques se trouvaient mises à l’amende au motif que quelqu’un enverrait des lettres de menace ou passerait des appels téléphoniques inappropriés. Cette loi était quasiment inapplicable. Comment surveiller, contrôler, censurer, couper des contenus qui sont partagés, au niveau mondial, par plus de deux milliards d’utilisateurs ? Cette complexité, cette extraordinaire abondance d’échanges sur la toile interdit de telles surveillances. Bien plus, en censurant les échanges à partir de mots-clés, les plateformes courent le risque de provoquer d’innombrables interruptions de sites sans rapport avec les sujets que l’on prétend combattre.

    Prenez le racisme : si un dispositif de censure entend le combattre en identifiant et censurant les textes comportant le mot « nazisme », la Licra… peut fermer boutique !

    Une police de l’information, les « régulateurs »

    C’est pour éviter une loi à l’allemande que Macron et Facebook ont pris langue, et s’acheminent vers la mise en place d’une police de l’information mixte fonctionnaires-informaticiens. On les appellera les « régulateurs ». Pour l’heure ils ne sont qu’une dizaine : 50 % de salariés de Facebook, et 50 % de fonctionnaires (ingénieurs et juristes). On a bien compris que, conformément aux discours de Macron de dimanche après-midi et lundi à La Villette, les « régulateurs » vont faire la chasse aux « contenus racistes, antisémites, homophobes ou sexistes ». Qui va définir ce qu’est un tel contenu ? Les « régulateurs » eux-mêmes.

    Ces « régulateurs » auront accès à tout. Ils n’auront pas de pouvoir de réquisition, mais dans les faits, cette collaboration est grosse de toutes les violations du secret de la correspondance. La « méthode coopérative », validée par Macron, permettra de lutter contre ces mots qui doivent être interdits de toile, en agissant sur les procédures à mettre en place dans les réseaux sociaux, pour identifier et filtrer les « propos haineux, racistes etc. ». On a bien compris que, démarrant à dix, ils pourraient se retrouver cent ou mille d’ici à quelques mois. Il est quasiment impossible de travailler sur les contenus haineux eux-mêmes, « qui sont très difficiles à caractériser légalement », note ingénument la presse de gauche. Les « régulateurs » arbitreront, mais en dehors de toute décision de justice.

    Vous êtes opposé à l’ordination de femmes dans l’église ? « Sexisme », pourront dire les « régulateurs », et hop ! votre messagerie disparaîtra. Vous affichez du matériel de propagande pour « la Manif pour tous » ? « Homophobie » ! Et hop, plus de site ! Etc. La mise en place d’une telle « brigade de la pensée unique » est une première, la plus incroyable des menaces contre nos libertés.

    Pour lutter contre les messages téléphoniques supposés inadaptés, nos ancêtres n’avaient pas imaginé mettre en place des écoutes téléphoniques mondialisées. Mais dans le domaine d’internet, c’est bien l’équivalent de cela qui se prépare.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 13 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/212591/accord-macron-facebook-nous-proteger-nous-fliquer-plutot-par-francis-bergeron/

  • Un Brexit qui n’en a plus que le nom – Journal du jeudi 15 novembre 2018

    Union Européenne / Un Brexit qui n’en a plus que le nom
    Malgré plusieurs démissions, Theresa May est parvenue à faire accepter l’accord sur le Brexit par son gouvernement. Un accord maintenant l’union douanière qui ne satisfait personne.

    Social / Marseille au bord de l’explosion ? 
    10 jours après l’effondrement de trois immeubles en plein coeur de Marseille, la colère monte dans la cité phocéenne. Des manifestations orchestrées par l’extrême gauche appellent à la démission du maire Jean-Claude gaudin. Le bilan de ce dernier à la tête de la cité phocéenne suscite à présent de sérieuses interrogations.

    Société / La Mie Caline sous le signe du croissant
    L’entreprise d’agroalimentaire La Mie Caline converti au halal !
    La polémique enfle après la publication d’une vidéo d’un consommateur mécontent de ne pas être informé…

    Économie / Télétravail et arrêt maladie : la fausse bonne idée
    Lien serveur TVL

    Lien DailyMotion :

  • Les MNA : ces immigrés clandestins “Mineurs Non Accompagnés”

    Les MNA : ces immigrés clandestins “Mineurs Non Accompagnés”

    C’est le nouveau problème des départements, qui voient croître ces mineurs, ou soit-disants tels, pour lesquels il faut débourser pas moins de 50 000€ par an. Minute écrit :

    Conseiller départemental de Gironde, à majorité socialiste, Grégoire de Fournas, élu du Rassemblement national, raconte à Minute :

    Il y a un mois, en séance plénière, il y avait une délibération pour aider ces mineurs isolés à communiquer avec leurs familles, restées au pays. J’ai alors souligné que, puisqu’on avait des contacts avec les familles, ils n’étaient plus des mineurs isolés. On pouvait donc organiser le retour dans leur pays. Les socialistes m’ont répondu qu’ils y avaient songé, mais encore faut-il qu’un tel retour corresponde « au projet de vie du jeune ».

    Bref, ils assument totalement d’organiser et de faciliter l’immigration. Avec les conséquences que l’on connaît…

    https://www.lesalonbeige.fr/les-mna-ces-immigres-clandestins-mineurs-non-accompagnes/

  • Blocages : Christophe Castaner montre les muscles… mais contre qui ?

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    À propos du mouvement de ce 17 novembre, Christophe Castaner prévient : « Partout où il y aura des blocages, nous interviendrons. »

    Notre sidérant ministre de l’Intérieur aurait-il vu la lumière ? Va-t-il donc intervenir contre les prières de rue, contre les zadistes, contre les gens du voyage bloquant les routes, contre les squatteurs de résidences ?

    Oh que non, courageux mais pas téméraire : il vaut mieux envoyer les compagnies de CRS contre des papis et autres pères de famille qui paient leurs impôts et en ont assez de remplir le tonneau des Danaïdes qu’est le budget de l’État. Après tout, la Manif pour tous l’a démontré : le Français moyen se laisse gazer sans incendier de voitures, docile qu’il est.

    Mais de qui parle-t-il, quand il dit « nous » ? De la bande à Benalla ? Des collaborateurs de ministère dopés par leur nouvelle augmentation de 27 % ? À moins qu’il ne parle des policiers…

    Quelle police, exactement ? Celle qu’il a soutenue comme Maggy Biskupski ? Celle qui est obligée d’exercer dans des commissariats insalubres ? Celle qui arrête des délinquants qui sont relâchés aussitôt ? Celle qui doit subir la suspicion de l’IGPN dès qu’elle éternue ? Celle qui peine à obtenir du matériel ou alors celle qui peine aussi à faire le plein de ses véhicules ?

    Il semblerait que les dernières remontées syndicales fassent état d’une police qui en a assez, également. Lasse de se faire taper à longueur de journée par nos « chances des banlieues », elle ne semble pas particulièrement pressée d’en découdre avec cette partie du peuple qui la soutient encore réellement, bien loin de ces élites qui les utilisent comme des denrées périssables.

    Bien sûr, cette manifestation n’est pas un aboutissement. Bien sûr, la réduire au seul coût du carburant serait un raccourci ridicule. Il faut, cependant, y voir un mal plus profond, qui cristallise un ras-le-bol qui ne date pas d’hier mais qui est arrivé à son paroxysme.

    Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.

    Ce n’est sans doute pas le Grand Soir, mais si cette manifestation peut être le début du réveil de cette France méprisée, assommée d’impôts, dépossédée de son histoire et de ses traditions, ça peut être le début de quelque chose de salutaire.

    Il est trop tôt pour dire s’il s’agit d’une révolte ou d’une révolution, mais une chose est certaine : l’élection présidentielle de 2017 a été confisquée. Le premier tour a eu lieu sans le sortant et sans son opposant de droite, savamment exclu du jeu par un mouvement médiatico-judiciaire, et le second tour a été un non-choix pour beaucoup. Le système a mis en place son candidat et, la nature ayant horreur du vide, les Français ne se sentant ni écoutés ni représentés par le locataire hors-sol de l’Élysée, tentent de reprendre leur destin en main.

    Il va sans dire que ce destin ne peut passer par le projet purement comptable de Macron.

    http://www.bvoltaire.fr/blocages-christophe-castaner-montre-les-muscles-mais-contre-qui/

  • La fronde monte contre le pacte de l’ONU sur les migrations

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    Les 10 et 11 décembre prochain, les États membres des Nations unies seront invités à signer à Marrakech un « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ». Cette convention internationale a été élaborée sous l’égide de l’ONU, en parallèle d’un autre pacte en cours d’élaboration, qui portera quant à lui sur les réfugiés. Selon l’ONU, le pacte vise, à « faire face aux défis qui sont associés aux migrations d’aujourd’hui, et [à] renforcer la contribution des migrants et des migrations dans le développement durable ».

    Que signifie concrètement ce charabia ?

    Hormis le droit d’asile, régi par la convention de Genève sur les réfugiés, les migrations internationales ne sont aujourd’hui en tant que telles pas réglementées par les conventions internationales. Elles relèvent donc du pouvoir souverain des États. L’objectif de l’ONU est de commencer à encadrer l’action des États en vue d’organiser une gestion coordonnée des mouvements de personnes au niveau mondial.

    Le pacte comporte 23 objectifs, formulés en termes assez généraux et qui peuvent paraître équilibrés…

    D’un côté, par exemple, le pacte affirme que les immigrants contribuent à la prospérité mondiale et devraient être davantage protégés dans les pays d’immigration. D’un autre côté, « en même temps », le pacte indique que la lutte contre les filières de passeurs devrait être accentuée et que les États devraient mieux collaborer pour organiser le retour dans leur pays des émigrés.
    Pour rassurer les peuples, les partisans du pacte font valoir qu’il ne sera pas juridiquement contraignant…

    Sauf qu’en signant le pacte, les États s’engageront politiquement auprès des autres signataires à agir de manière conforme aux objectifs du texte, sous le contrôle de l’ONU et de la Cour internationale de justice de La Haye, voire des juges nationaux. On ne peut exclure qu’un juge écarte un jour une législation restrictive contre l’immigration au motif qu’elle est contraire au pacte mondial sur les migrations.

    Pour sauvegarder leur souveraineté, plusieurs États ont déclaré qu’ils ne signeraient pas le texte.

    C’est notamment le cas des Etats-Unis, mais aussi de la Pologne, de la Hongrie, de l’Autriche ou encore de la Bulgarie. Le vice-chancelier autrichien, Heinz-Christian Strache, a expliqué qu’il ne devait pas y avoir de droit de l’Homme à la migration. Une position prudente à l’heure ou certains parlent de « réfugiés climatiques » que les États développés auraient l’obligation morale d’accueillir.

    https://fr.novopress.info/