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anti-national - Page 548

  • Accord Macron-Facebook – Nous protéger ? Nous fliquer, plutôt !, par Francis Bergeron

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    Lutter contre la haine, contre la violence dans le cyberespace ? Qui pourrait s’y opposer ? Dans l’absolu, personne, bien entendu. Mais derrière cette noble cause, s’élabore un projet totalitaire de contrôle de l’information, et aussi de contrôle de nos propos, de nos pensées. Il s’appelle : « Appel de Paris pour la confiance et la sécurité dans le cyberespace ».

    Tout a commencé au début de l’année 2018, de l’autre côté du Rhin. Pour « lutter contre les extrémistes », et en fait surtout contre les succès électoraux annoncés de l’AFD, l’Allemagne de Merkel a décidé d’infliger de très lourdes amendes aux réseaux sociaux qui ne supprimeraient pas rapidement des messages à « contenus violents ou racistes ». Il était impossible d’imaginer loi plus stupide. C’est un peu comme si la Poste ou les compagnies téléphoniques se trouvaient mises à l’amende au motif que quelqu’un enverrait des lettres de menace ou passerait des appels téléphoniques inappropriés. Cette loi était quasiment inapplicable. Comment surveiller, contrôler, censurer, couper des contenus qui sont partagés, au niveau mondial, par plus de deux milliards d’utilisateurs ? Cette complexité, cette extraordinaire abondance d’échanges sur la toile interdit de telles surveillances. Bien plus, en censurant les échanges à partir de mots-clés, les plateformes courent le risque de provoquer d’innombrables interruptions de sites sans rapport avec les sujets que l’on prétend combattre.

    Prenez le racisme : si un dispositif de censure entend le combattre en identifiant et censurant les textes comportant le mot « nazisme », la Licra… peut fermer boutique !

    Une police de l’information, les « régulateurs »

    C’est pour éviter une loi à l’allemande que Macron et Facebook ont pris langue, et s’acheminent vers la mise en place d’une police de l’information mixte fonctionnaires-informaticiens. On les appellera les « régulateurs ». Pour l’heure ils ne sont qu’une dizaine : 50 % de salariés de Facebook, et 50 % de fonctionnaires (ingénieurs et juristes). On a bien compris que, conformément aux discours de Macron de dimanche après-midi et lundi à La Villette, les « régulateurs » vont faire la chasse aux « contenus racistes, antisémites, homophobes ou sexistes ». Qui va définir ce qu’est un tel contenu ? Les « régulateurs » eux-mêmes.

    Ces « régulateurs » auront accès à tout. Ils n’auront pas de pouvoir de réquisition, mais dans les faits, cette collaboration est grosse de toutes les violations du secret de la correspondance. La « méthode coopérative », validée par Macron, permettra de lutter contre ces mots qui doivent être interdits de toile, en agissant sur les procédures à mettre en place dans les réseaux sociaux, pour identifier et filtrer les « propos haineux, racistes etc. ». On a bien compris que, démarrant à dix, ils pourraient se retrouver cent ou mille d’ici à quelques mois. Il est quasiment impossible de travailler sur les contenus haineux eux-mêmes, « qui sont très difficiles à caractériser légalement », note ingénument la presse de gauche. Les « régulateurs » arbitreront, mais en dehors de toute décision de justice.

    Vous êtes opposé à l’ordination de femmes dans l’église ? « Sexisme », pourront dire les « régulateurs », et hop ! votre messagerie disparaîtra. Vous affichez du matériel de propagande pour « la Manif pour tous » ? « Homophobie » ! Et hop, plus de site ! Etc. La mise en place d’une telle « brigade de la pensée unique » est une première, la plus incroyable des menaces contre nos libertés.

    Pour lutter contre les messages téléphoniques supposés inadaptés, nos ancêtres n’avaient pas imaginé mettre en place des écoutes téléphoniques mondialisées. Mais dans le domaine d’internet, c’est bien l’équivalent de cela qui se prépare.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 13 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/212591/accord-macron-facebook-nous-proteger-nous-fliquer-plutot-par-francis-bergeron/

  • Un Brexit qui n’en a plus que le nom – Journal du jeudi 15 novembre 2018

    Union Européenne / Un Brexit qui n’en a plus que le nom
    Malgré plusieurs démissions, Theresa May est parvenue à faire accepter l’accord sur le Brexit par son gouvernement. Un accord maintenant l’union douanière qui ne satisfait personne.

    Social / Marseille au bord de l’explosion ? 
    10 jours après l’effondrement de trois immeubles en plein coeur de Marseille, la colère monte dans la cité phocéenne. Des manifestations orchestrées par l’extrême gauche appellent à la démission du maire Jean-Claude gaudin. Le bilan de ce dernier à la tête de la cité phocéenne suscite à présent de sérieuses interrogations.

    Société / La Mie Caline sous le signe du croissant
    L’entreprise d’agroalimentaire La Mie Caline converti au halal !
    La polémique enfle après la publication d’une vidéo d’un consommateur mécontent de ne pas être informé…

    Économie / Télétravail et arrêt maladie : la fausse bonne idée
    Lien serveur TVL

    Lien DailyMotion :

  • Les MNA : ces immigrés clandestins “Mineurs Non Accompagnés”

    Les MNA : ces immigrés clandestins “Mineurs Non Accompagnés”

    C’est le nouveau problème des départements, qui voient croître ces mineurs, ou soit-disants tels, pour lesquels il faut débourser pas moins de 50 000€ par an. Minute écrit :

    Conseiller départemental de Gironde, à majorité socialiste, Grégoire de Fournas, élu du Rassemblement national, raconte à Minute :

    Il y a un mois, en séance plénière, il y avait une délibération pour aider ces mineurs isolés à communiquer avec leurs familles, restées au pays. J’ai alors souligné que, puisqu’on avait des contacts avec les familles, ils n’étaient plus des mineurs isolés. On pouvait donc organiser le retour dans leur pays. Les socialistes m’ont répondu qu’ils y avaient songé, mais encore faut-il qu’un tel retour corresponde « au projet de vie du jeune ».

    Bref, ils assument totalement d’organiser et de faciliter l’immigration. Avec les conséquences que l’on connaît…

    https://www.lesalonbeige.fr/les-mna-ces-immigres-clandestins-mineurs-non-accompagnes/

  • Blocages : Christophe Castaner montre les muscles… mais contre qui ?

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    À propos du mouvement de ce 17 novembre, Christophe Castaner prévient : « Partout où il y aura des blocages, nous interviendrons. »

    Notre sidérant ministre de l’Intérieur aurait-il vu la lumière ? Va-t-il donc intervenir contre les prières de rue, contre les zadistes, contre les gens du voyage bloquant les routes, contre les squatteurs de résidences ?

    Oh que non, courageux mais pas téméraire : il vaut mieux envoyer les compagnies de CRS contre des papis et autres pères de famille qui paient leurs impôts et en ont assez de remplir le tonneau des Danaïdes qu’est le budget de l’État. Après tout, la Manif pour tous l’a démontré : le Français moyen se laisse gazer sans incendier de voitures, docile qu’il est.

    Mais de qui parle-t-il, quand il dit « nous » ? De la bande à Benalla ? Des collaborateurs de ministère dopés par leur nouvelle augmentation de 27 % ? À moins qu’il ne parle des policiers…

    Quelle police, exactement ? Celle qu’il a soutenue comme Maggy Biskupski ? Celle qui est obligée d’exercer dans des commissariats insalubres ? Celle qui arrête des délinquants qui sont relâchés aussitôt ? Celle qui doit subir la suspicion de l’IGPN dès qu’elle éternue ? Celle qui peine à obtenir du matériel ou alors celle qui peine aussi à faire le plein de ses véhicules ?

    Il semblerait que les dernières remontées syndicales fassent état d’une police qui en a assez, également. Lasse de se faire taper à longueur de journée par nos « chances des banlieues », elle ne semble pas particulièrement pressée d’en découdre avec cette partie du peuple qui la soutient encore réellement, bien loin de ces élites qui les utilisent comme des denrées périssables.

    Bien sûr, cette manifestation n’est pas un aboutissement. Bien sûr, la réduire au seul coût du carburant serait un raccourci ridicule. Il faut, cependant, y voir un mal plus profond, qui cristallise un ras-le-bol qui ne date pas d’hier mais qui est arrivé à son paroxysme.

    Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.

    Ce n’est sans doute pas le Grand Soir, mais si cette manifestation peut être le début du réveil de cette France méprisée, assommée d’impôts, dépossédée de son histoire et de ses traditions, ça peut être le début de quelque chose de salutaire.

    Il est trop tôt pour dire s’il s’agit d’une révolte ou d’une révolution, mais une chose est certaine : l’élection présidentielle de 2017 a été confisquée. Le premier tour a eu lieu sans le sortant et sans son opposant de droite, savamment exclu du jeu par un mouvement médiatico-judiciaire, et le second tour a été un non-choix pour beaucoup. Le système a mis en place son candidat et, la nature ayant horreur du vide, les Français ne se sentant ni écoutés ni représentés par le locataire hors-sol de l’Élysée, tentent de reprendre leur destin en main.

    Il va sans dire que ce destin ne peut passer par le projet purement comptable de Macron.

    http://www.bvoltaire.fr/blocages-christophe-castaner-montre-les-muscles-mais-contre-qui/

  • La fronde monte contre le pacte de l’ONU sur les migrations

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    Les 10 et 11 décembre prochain, les États membres des Nations unies seront invités à signer à Marrakech un « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ». Cette convention internationale a été élaborée sous l’égide de l’ONU, en parallèle d’un autre pacte en cours d’élaboration, qui portera quant à lui sur les réfugiés. Selon l’ONU, le pacte vise, à « faire face aux défis qui sont associés aux migrations d’aujourd’hui, et [à] renforcer la contribution des migrants et des migrations dans le développement durable ».

    Que signifie concrètement ce charabia ?

    Hormis le droit d’asile, régi par la convention de Genève sur les réfugiés, les migrations internationales ne sont aujourd’hui en tant que telles pas réglementées par les conventions internationales. Elles relèvent donc du pouvoir souverain des États. L’objectif de l’ONU est de commencer à encadrer l’action des États en vue d’organiser une gestion coordonnée des mouvements de personnes au niveau mondial.

    Le pacte comporte 23 objectifs, formulés en termes assez généraux et qui peuvent paraître équilibrés…

    D’un côté, par exemple, le pacte affirme que les immigrants contribuent à la prospérité mondiale et devraient être davantage protégés dans les pays d’immigration. D’un autre côté, « en même temps », le pacte indique que la lutte contre les filières de passeurs devrait être accentuée et que les États devraient mieux collaborer pour organiser le retour dans leur pays des émigrés.
    Pour rassurer les peuples, les partisans du pacte font valoir qu’il ne sera pas juridiquement contraignant…

    Sauf qu’en signant le pacte, les États s’engageront politiquement auprès des autres signataires à agir de manière conforme aux objectifs du texte, sous le contrôle de l’ONU et de la Cour internationale de justice de La Haye, voire des juges nationaux. On ne peut exclure qu’un juge écarte un jour une législation restrictive contre l’immigration au motif qu’elle est contraire au pacte mondial sur les migrations.

    Pour sauvegarder leur souveraineté, plusieurs États ont déclaré qu’ils ne signeraient pas le texte.

    C’est notamment le cas des Etats-Unis, mais aussi de la Pologne, de la Hongrie, de l’Autriche ou encore de la Bulgarie. Le vice-chancelier autrichien, Heinz-Christian Strache, a expliqué qu’il ne devait pas y avoir de droit de l’Homme à la migration. Une position prudente à l’heure ou certains parlent de « réfugiés climatiques » que les États développés auraient l’obligation morale d’accueillir.

    https://fr.novopress.info/

  • Zoom – Bernard Gantois : “Les 10 commandements du mondialisme”

    Polytechnicien et ingénieur civil des Ponts et Chaussées, Bernard Gantois vient de publier un ouvrage corrosif intitulé :”Le mirage des valeurs de la République”. L’expert n’y va pas par quatre chemins : dans “valeurs de la République”, le mot valeur ne veut rien dire ! Cette “incantation vertueuse” est utilisée par les intellectuels, les politiciens et les journalistes, tous apôtres de la nouvelle religion du mondialisme.

    https://www.tvlibertes.com/2018/11/14/26762/bernard-gantois-mirage-valeurs-de-republique

  • Les Serbes (et les Français) ont aussi le droit au respect!

    14-18-konk-300x266.jpgJupiter-chef des armées posait  devant un Rafale sur le porte-avions Charles De Gaulle  pour s’entretenir hier soir avec Gilles Bouleau dans le cadre du JT de TF1. Mais un Emmanuel Macron dans la peau du  candidat en campagne,  qui a joué la carte de l’humilité, de la proximité,   de celui qui  veut  « aller au plus près du terrain », « décider différemment, pas tout à Paris. » Et qui a confessé  ses échecs :  « Je n’ai pas réussi à réconcilier le peuple français avec ses dirigeants. Ce divorce, on le voit dans toutes les démocraties occidentales, et il m’inquiète. » « Il y a de l’impatience et de la colère. Cette colère, je la partage(…). Nos concitoyens veulent qu’on les considère, qu’on les protège et qu’on leur apporte des solutions, pas des déclarations. » « J’entends la colère et c’est un droit fondamental de pouvoir l’exprimer », a-t-il dit aussi en direction des Français qui iront manifester le 17 novembre ou qui soutiennent le mouvement des gilets jaunes. Mais  « je dis méfiance, car il y a beaucoup de gens qui veulent récupérer cette colère», a-t-il assuré, dénonçant  le « poujadisme contemporain.  »

    Pour autant, comme le disait Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine,  Les faits sont têtus  et au nombre de ceux-ci figure l’insupportable fiscalisme confiscatoire qui est aussi la marque de  laMacronie. Le mois  dernier c’était une dépêche de l’Afp qui  relayait  « le rapport parlementaire sur le projet de loi de finances 2019, publié (le) 12 octobre. » Il indiquait que « le taux de prélèvements obligatoires a atteint en 2017 son point le plus haut, à 45,3% du PIB, c’est-à-dire  1038 milliards d’euros » ! Soit  « 43,3 milliards de plus que le chiffre atteint en 2016 (994,7 milliards) ; 59,6 milliards de plus qu’en 2015 (978,4 milliards) et surtout 368,5 milliards de plus qu’en 2002, précise le rapport. »

    Toutes choses sur lesquelles  Emmanuel Macron a jeté un voile pudique, préférant  donner une leçon de maintien  à un  Donald Trump qui ne l’a pas menagé dans une rafale de tweets à son retour des cérémonies du 11 novembre:  «Tout cela n’a pas d’importance. Il fait de la politique américaine. (…) Moi, je ne fais pas de diplomatie ou de politique par des tweets. »   « À chaque moment de notre histoire, nous avons été des alliés. Entre alliés, on se doit le respect. »

    Un respect qui n’a pas été accordé par M. Macron  au président serbe Aleksandar Vučić qui, comme le rappelait Jean-Christophe Buisson  dans un article bien senti sur le site du Figaro, a été exclu de la tribune officielle du 11 novembre,  « alors que la Serbie, alliée de la France en 14-18, a perdu 1,2 million de ses enfants dans le conflit.» «Un pays   venu à Paris (sous les traits de son président) avec son cortège de souffrances, de douleurs et de sacrifices pour la cause alliée, que la France a choisi d’humilier le 11 novembre. Humilier: le mot n’est pas trop fort. On imagine ce que (le président serbe)  a pu ressentir en voyant, face à lui, tout sourire, assis entre Trump, Poutine et Macron, le sinistre Recep Erdogan, le sultan turc héritier de l’empire ottoman génocidaire, ou Hashim Thaçi, président d’un pays (la république fantoche du Kosovo, NDLR)  qu’il ne reconnaît pas et qui, en tout état de cause, était une région intégrée à la Serbie en 1914. »

    Invité d’Elise Blaise sur  TVL le 10 novembre, le colonel de la Légion  Jacques Hogard qui a brillamment servi la France sur divers  théâtres d’opérations, et notamment dans les Balkans,  grand ami de la Serbie, s’est offusqué  de ce que Hashim Thaçi ait été  reçu à l’Elysée. Thaçi est certes  à la tête de cette autoproclamée (en 2008)  république du Kosovo, mais elle est en réalité une province de la république de Serbie, comme le stipule «la résolution  1244 de l’ONU»,  et  en est même pour le peuple serbe « le   coeur historique, spirituel, identitaire.»

    Alors certes a-t-il ajouté, l’exercice du jeu  diplomatique peut permettre de comprendre la présence d’Hashim Thaçi à l’Elysée… mais pas  les embrassades  et la complicité tactile entre  Macron et Thaçi   qui   apparaissent sur les photos. Et de rappeler  encore que le drapeau du Kosovo, province où les chrétiens sont désormais persécutés par les islamistes,  a été affiché  à Notre-Dame de Paris,  à côté de ceux de nos alliés pendant la  Grande Guerre!

    « Thaçi  chef mafieux et terroriste », est une   « créature »  de la très mondialiste et  sinistre Madeleine  Albright,  triste figure du parti démocrate, secrétaire d’État des États-Unis entre 1997 et 2001 dans l‘administration   Clinton.  Le colonel Hogard a souligné à bon escient que le parti de Thaçi, celui des islamo-mafieux de l’UCK, parti de la guérilla indépendantiste kosovare albanaise aujourd’hui à la tête du Kosovo, a été accusé de crimes de guerre, au terme d’une procédure  initiée par l’Union Europèenne. Mais une procédure  qui  s’est perdue dans les sables, des témoins disparaissant  au fur et à mesure, alors qu’il y avait moyen d’inculper les auteurs de toutes ses exactions.

    Nous nous étions fait l’écho sur ce blogue de l’enquête menée sur le trafic d’organes prélevés sur des Serbes par la guérilla kosovare. Notamment du rapport du parlementaire suisse Dick Marty, adopté en janvier 2011 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, décrivant ce trafic. M. Marty évoquait les noms dirigeants de l’UCK, dont celui d‘Hashim Thaçi.

    Nous avions fait état en avril en 2008 des investigations de Carla del Ponte, ancienne présidente du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY). Dans un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d’origine croate, elle accusait les chefs Albanais du Kosovo, d’avoir fait entre autres, un trafic d’organes prélevés sur des  centaines de prisonniers serbes, dont des femmes.

     « Ces organes, indiquait Mme del Ponte, étaient ensuite envoyés depuis l’aéroport de Tirana (Albanie) vers des cliniques à l’étranger pour être implantés sur des patients qui payaient ». « Les victimes privées d’un rein étaient de nouveau enfermées dans une baraque jusqu’au moment où elles étaient tuées pour d’autres organes. »

    « Les dirigeants d’un niveau intermédiaire et élevé de l’UCK étaient au courant et étaient impliqués de manière active dans la contrebande des organes », écrivait Carla Del Ponte qui citait outre Hashim Thaçi, le tout aussi sinistre Agim Ceku, Premier Ministre du Kosovo de mars 2006 à janvier 2008. 1500 Albanais ainsi que 500 Serbes et non albanais sont toujours officiellement portés disparus.

    Une prise de conscience tardive: au lendemain de la guerre de Yougoslavie  relevait alors Bruno Gollnisch, Mme del Ponte était « une vraie passionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais. »

    Dans l’hémicycle européen, le 22 avril 2008, Bruno s’interrogeait  aussi: « Que faut-il penser quand la Commission et plusieurs de ces mêmes États membres reconnaissent aujourd’hui le Kosovo et ses dirigeants, dont certains sont impliqués personnellement dans un trafic d’organes (…). » Une illustration, une de plus, de toutes les tares de cette Europe là…

    Lors de la   guerre livrée par l’Otan à la Serbie en 1999, le FN avait été bien isolé dans sa dénonciation de cette agression atlantiste et de ses conséquences. Une fois encore, nous ne nous étions pas trompés.  Les 120 000 serbes du Kosovo ont été  victimes d’une véritable politique de nettoyage ethnique,  soumis aux violences, intimidations et autres vexations de la majorité de la population devenue musulmane et albanaise par le biais de l’immigration albanophone… Là aussi un exemple que devrait méditer M. Macron au lieu d’embrasser chaleureusement un Hashim Thaçi… et de maintenir sur notre sol les pompes aspirantes de l’immigration de peuplement. L’avertissement de Bruno Gollnisch énoncé au pied de la basilique Saint-Denis il y a plus de huit ans  garde toute sa terrible actualité : « La Seine-Saint-Denis ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kosovo pour la Serbie : berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère ! ».

     https://gollnisch.com/2018/11/15/les-serbes-et-les-francais-ont-aussi-le-droit-au-respect/

  • Marine Le Pen défend la suppression de l'AME réservée aux clandestins !

  • Gilets jaunes : À l’approche des manifestations du 17 novembre, le gouvernement revoit sa copie

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Samedi prochain, 17 novembre, sont prévus partout en France des opérations de blocage en signe de manifestation contre la hausse des prix du carburants. En effet dans un pays où 70% de la population a besoin de sa voiture pour travailler, une telle hausse pèse lourd sur le budget des ménages. Sans compter que, rappelons-le, cette hausse concerne également le fioul. Le mouvement dénonce donc en premier lieu le racket des Français mais également la grande hypocrisie d’un gouvernement prétendant justifier ces taxations par la transition écologique alors que la seule et unique raison et de rapporter plus.

    Qu’est-ce que ce mouvement des gilets jaunes a de particulier ?

    Il n’a pas d’étiquette ! En effet, à l’instar du mouvement des bonnets rouges, aucun parti d’opposition n’a pris l’initiative du mouvement. À ceci près que cette fois, le mouvement touche la France entière. On entend même parler de « jacquerie ». Certaines grandes enseignes médiatiques comme le Monde ou Libération ont bien essayé d’y apposer une étiquette d’extrême droite mais sans succès : Macron se voit piégé devant le vrai peuple, impossible pour lui de diaboliser un opposant. Sa seule réaction jusqu’à aujourd’hui ? Il dit « assumer » ces mesures. Une déclaration largement interprétée comme suit : « je fais fi de vos revendications ». Il s’exprimera ce soir à 20h sur TF1.

    Quelles mesures propose le gouvernement pour calmer la grogne populaire ?

    Des aides multiples dont la nature varie aux gré des déclarations : Chèque énergie, prime à la conversion étendue, programmes d’accompagnement dans la transition etc. Pour ce qui est de la prime à la conversion, qui désigne des aides de l’Etat aux ménages pour faire évoluer le parc automobiles vers des véhicules moins polluants, cette mesure peine à trouver de la crédibilité devant les difficultés de mise en place de mesures plus anciennes telles que la prime à la casse. De plus, beaucoup y voient un prétexte à la consommation en faveur de l’automobile. Enfin, le mythe de la voiture électrique qui ne pollue pas s’ébranle. Nul n’ignore que leur production, beaucoup plus polluante qu’un véhicule classique, ainsi que le besoin accru d’électricité induit, contrebalancent totalement leur absence d’émission.

    https://fr.novopress.info/

  • Censure : Macron se soumet aux géants du Web pour instaurer une surveillance du Web

    Censure : Macron se soumet aux géants du Web pour instaurer une surveillance du Web

    Lu sur La Quadrature du Net :

    Il y a deux mois, la Commission européenne a publié sa proposition de règlement « censure antiterroriste ». Nous le dénoncions, expliquant que ce projet aura pour effet de détruire l’ensemble du Web décentralisé. Depuis, nous avons rencontré les ministères français en charge du dossier : nos craintes se sont amplifiées. La France, avec le soutien de l’Allemagne et du Parlement européen, va tout faire pour empêcher un débat démocratique sur ce texte : le gouvernement n’en parle pas dans la presse, veut forcer son adoption urgente et invoque le secret-défense pour empêcher tout débat factuel.

    Pourquoi tant de secret ? Probablement parce que ce texte, écrit en collaboration avec Google et Facebook, aura pour effet de soumettre l’ensemble du Web à ces derniers, à qui l’État abandonne tout son rôle de lutte contre les contenus terroristes. La collaboration annoncée lundi par Macron entre l’État et Facebook n’en est que le prémice, aussi sournois que révélateur.

    Pour rappel, le texte, poussé par la France et l’Allemagne, utilise le prétexte de la lutte contre le terrorisme pour soumettre l’ensemble des hébergeurs (et pas seulement les grandes plateformes) à des obligations extrêmement strictes :

    • retrait en une heure de contenus qualifiés de terroristes par une autorité nationale (en France, ce sera l’OCLCTIC, le service de la police chargé de la cybercriminalité) ;
    • la mise en place d’un « point de contact » disponible 24h/24 et 7j/7 ;
    • l’instauration de « mesures proactives » pour censurer les contenus avant même leur signalement ; si ces mesures sont jugées insatisfaisantes par les États, ces derniers peuvent imposer des mesures spécifiques telles que la surveillance généralisée de tous les contenus.

    D’un point de vue humain, technique et économique, seules les grandes plateformes qui appliquent déjà ces mesures depuis qu’elles collaborent avec les polices européennes seront capables de respecter ces obligations : Google, Facebook et Twitter en tête. Les autres acteurs n’auront d’autres choix que de cesser leur activité d’hébergement ou (moins probable, mais tout aussi grave) de sous-traiter aux géants l’exécution de leurs obligations.

    Ce texte consacre l’abandon de pouvoirs régaliens (surveillance et censure) à une poignée d’acteurs privés hégémoniques. Pourtant, la Commission et les États membres, en 146 pages d’analyse d’impact, ne parviennent même pas à expliquer en quoi ces obligations pourraient réellement être efficaces dans la lutte contre le terrorisme. […]

    Quand nous avons dit aux ministères que leur texte détruirait l’ensemble du Web décentralisé, ne laissant qu’une poignée de géants en maîtres, on nous a laissé comprendre que, oui, justement, c’était bien le but.

    Tranquillement, nos interlocuteurs nous ont expliqué que Google-Youtube et d’autres multinationales numériques avaient convaincu le gouvernement que la radicalisation terroriste était facilitée par les petites et moyennes plateformes, et qu’il fallait donc laisser la régulation du Web aux seuls géants prétendument capables de la gérer. Où sont les preuves de cette radicalisation plus facile en dehors de leurs plateformes ? Nulle part. Sans aucune honte, le gouvernement s’est même permis de sortir l’argument du secret défense, complètement hors sujet, pour masquer son manque de preuve et afficher son irrespect de toute idée de débat démocratique. C’est comme ça : Google l’a dit, ne discutez pas.

    Que ce soit clair : les arguments de Google et de Facebook visent simplement à détruire leurs concurrents. De fait, ce texte vise à faire disparaître les petites et moyennes plateformes, et à sous-traiter aux géants une censure massive et automatisée. […]

    Dans ce dossier, la menace terroriste est instrumentalisée pour transformer le Web en GAFAMinitel, pour acter la fusion de l’État et des géants du Net, et ainsi consacrer la surveillance généralisée et la censure automatisée de nos échanges en ligne. Tout ça pour quoi ? Pour lutter contre une auto-radicalisation fantasmée dont la preuve serait secret-défense (la bonne affaire !), et alors que les enquêtes sérieuses sur la question montrent que les terroristes ne se sont pas radicalisés sur Internet. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/censure-macron-se-soumet-aux-geants-du-web-pour-instaurer-une-surveillance-du-web/