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anti-national - Page 554

  • La censure érigée en principe marque le crépuscule du pouvoir

    La censure érigée en principe marque le crépuscule du pouvoir

    Le 4e Forum de la Dissidence se tiendra le samedi 17 novembre prochain à Paris sur le thème : « Face à la censure, tous dissidents ! »

    Charles de Meyer, patron d’émission sur Radio Courtoisie, répond à Polémia :

    Avez-vous récemment été confronté à la censure ?

    La censure touche toutes les activités du militant sincère. S’il échoue, on lui reprochera de n’avoir pas compris que ses maîtres le conduisaient inéluctablement à la catastrophe. S’il réussit, on lui reprochera de le faire au bénéfice du mal, de l’ignoble. S’il résiste à ces menées, on l’abandonne au silence. Dans mes diverses activités, je connais ces étapes.

    Selon vous, l’accélération de la restriction de la liberté d’expression est-elle un aveu de la panique des élites ? 

    Je crois que les Progressistes sont confrontés à une question : acceptent-ils de réintégrer les ostracisés au débat public pour lui conserver une apparence de crédibilité démocratique ou doivent-ils durcir la persécution médiatique de leurs opposants quitte à sacrifier leur légitimité ? Certains, comme The Economist récemment, admettent qu’ils vont vers la disparition de leurs propres idées s’ils ne consentent pas à ouvrir “la plateforme démocratique” à des pensées alternatives, d’autres, et c’est très sensible en France, pratiquent la politique de la terre brûlée. Je penche donc pour l’aveu de panique, un peu à l’image du journaliste de Quotidien qui termine son entretien avec Charlotte d’Ornellas en disant : “On a croisé Eric Zemmour, en sympa, on est mal barré”.

    Comment faire pour lutter contre cette censure ? 

    Le sujet est infiniment complexe, d’autant plus qu’il engage le courage et le devoir d’état de chacun, mais je souligne deux médecines systématiquement efficaces : la rectitude de la doctrine par son approfondissement et la précision dans ce que nous produisons. L’impertinence ne souffre pas l’approximation.

    Quel message adresser à ceux qui peuvent perdre espoir face à la toute-puissance apparente du système politico-médiatico-culturel ? 

    Que la censure érigée en principe organisateur du débat d’idées et de la vie politique d’un pays marque toujours le crépuscule d’un pouvoir. A nous d’être ceux qui le ramasseront, laissons le désespoir à ceux qui le quitteront.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-censure-erigee-en-principe-marque-le-crepuscule-du-pouvoir/

  • Un prof écarté de l’université de Toulouse : le système se protège bien !

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    George Orwell écrivait, dans 1984 : « Qui contrôle le passé contrôle l’avenir. Qui contrôle le présent contrôle le passé. »

    Nous avons appris, le 9 novembre, qu’un enseignant de philosophie qui devait intervenir en tant qu’intervenant extérieur avait finalement été écarté de l’université Jean-Jaurès de Toulouse. Les compétences de Philippe Soual ne semblent pourtant pas remises en question. Il est agrégé et titulaire d’un doctorat, il a publié des articles dans des revues à comité de lecture, des ouvrages, et dirigé de nombreuses thèses à l’Institut catholique de la faculté de Toulouse.

    Le tort de cet enseignant est à rechercher dans une de ses prises de position citoyennes. Il a, en effet, participé à l’université d’été de la Manif pour tous en 2015 et a critiqué « le sophisme de Judith Butler », pionnière de la théorie du genre. Dans sa grande sagesse, la présidence de l’université a jugé qu’il était plus prudent d’évincer cet enseignant « devant les risques potentiels de troubles entre lui et certains étudiants ».

    Voici donc où en est l’Université française. Cette anecdote traduit l’état d’idéologisation de l’enseignement supérieur. Renversons simplement un instant la situation. Imaginons un gouvernement de droite qui tenterait de faire main basse sur les médias et l’Éducation nationale en plaçant tel ou tel pion sur une chaîne de télévision ou sur un campus… Ce serait un tollé, on crierait au fascisme et à la dictature. Eh bien, la gauche n’a pas besoin de faire tant d’efforts. Nous connaissons les juges et leur « mur des cons », les médias et les journalistes, le Conseil supérieur des programmes qui transmet une vision bien orientée de l’Histoire de France à nos petites têtes blondes, et l’université, véritable bourrage de crâne pour transmettre la doxa aux étudiants. Tout ce système organisé fonctionne comme un appareil idéologique pour promouvoir cet « ULM » que je décris dans mon roman, à savoir l’axe ultralibéral, libertaire, multiculturaliste. Ajoutons à cela ces milices d’extrême gauche, ces mains armées que sont les antifas et nous nous retrouvons dans un système de quasi-propagande où celui qui ne pense pas comme il faut ne peut accéder aux secteurs clés du pouvoir.

    Le seul problème de ce système bien huilé semble qu’il n’est, finalement, pas majoritaire dans la population. On le voit, il craque de toutes parts dans le monde où « la lèpre populiste » s’exprime pour des candidats du peuple. Le peuple va-t-il encore accepter de se faire dicter un modèle dont il ne veut plus ? Ce peuple va-t-il laisser les « élites » continuer à décider de ce qui est bon pour lui ? Le « bon sens », qui pousse chacun à se rendre compte que la société est fracturée par plus de cinquante ans de déconstruction, va-t-il enfin s’exprimer ? Le peuple est finalement la variable inconnue, le « x » de l’équation instable de notre société. Sa faiblesse ou son courage s’exprimeront, et il n’aura que ce qu’il mérite…

    Axel Vontargier

    http://www.bvoltaire.fr/un-prof-ecarte-de-luniversite-de-toulouse-le-systeme-se-protege-bien/

  • Intransigeance européenne et Brexit sans concession

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    Europe. Que n’auront dit et prédit les eurocrates et les journaux français dans leur sillage ? C’était la fin de l’Angleterre, la City allait la fuir ! Elle viendrait à résipiscence. Michel Barnier lui ferait payer cher sa faute morale, politique, métaphysique ! Eh bien, Theresa May est toujours là et mène sa barque, certes à la godille, mais en gardant son cap.  

    Theresa May, la Première ministre britannique, a prévenu les Européens, lors du sommet de Salzbourg, le 19 septembre : « Que cela soit clair, il n’y aura pas de second référendum », assimilant ce dernier à une « trahison grave » de la décision du peuple britannique, qui, il y a deux ans, a choisi sa voie en toute lucidité, « les yeux ouverts ».

    Et d’ailleurs, il n’est plus temps pour cette prétendue solution. L’organisation d’un référendum demanderait neuf mois et, même en raccourcissant les délais autant que possible, le scrutin ne pourrait se dérouler avant le 28 mars, c’est-à-dire la veille du début de l’application effective du Brexit.

    La volonté et la mission de Mme May

    Mme May est depuis toujours une brexiter convaincue, même si, le 23 juin 2016, elle a voté en faveur du Remain, au nom de la solidarité et de la cohésion ministérielles. Devenue Première ministre à la suite du départ de David Cameron, elle se sent impérativement tenue de réaliser la sortie de son pays de l’Union européenne, conformément au vœu de son peuple, et ne conçoit pas de retournement possible, fût-ce par voie référendaire. Il faut d’ailleurs admettre que si cette éventualité se réalisait, la Grande-Bretagne paraîtrait passablement ridicule et un rien pitoyable. Les Britanniques, peuple fier et indomptable – on se souvient du « We’ll never surrender » de Churchill en 1940 –, en sont parfaitement conscients ; et, soit dit en passant, les Européens qui croient en une victoire assurée du Remain en cas de second référendum, feraient bien de s’aviser de ce sens anglais de la dignité.

    Ce que veulent les Européens : acculer la Première ministre à organiser ce second référendum, quitte à ajourner, pour cela les dates butoirs des négociations en cours. Lourde erreur de psychologie. Regrettable méconnaissance du peuple anglais et de l’histoire contemporaine. Les Britanniques ne se sont jamais sentis européens, et n’ont adhéré à la Communauté européenne – tardivement, en 1973 – qu’après l’échec de la solution alternative de l’AELE – Association européenne de libre-échange – qu’ils avaient conçue en 1960. Et encore, ils ont toujours eu soin de se faire accorder des dérogations les soustrayant à la règle commune, les délivrant des obligations des autres et ménageant leur souveraineté : ainsi ils refusèrent l’euro et l’espace Schengen. En clair, membre de l’UE, ils avaient un pied dedans, l’autre dehors.

    Le Brexit doux du plan de Chequers et la pertinence des objections des hard brexiters

    Au fond, c’est la pérennité de cette situation que visait le plan de Chequers de Theresa May. Son contenu le montre. Libre échange entre le Royaume-Uni et l’Europe pour les produits industriels et agricoles (avec des règles communes), arrangements ponctuels pour les services et les activités financières, fin de la libre circulation des personnes, cadre institutionnel commun pour garantir le bon fonctionnement des relations euro-britanniques avec mécanisme de résolution des conflits et instance d’arbitrage indépendante, droits de douane britanniques pour les produits destinés à la Grande-Bretagne et droits de douane européens pour ceux destinés aux pays européens. C’est le Brexit doux idéal, celui qui maintient le Royaume-Uni dans la même situation qu’auparavant avec encore plus d’indépendance. Oui, mais sans pouvoir de décision. Et c’est ce que redoutent les hards brexiters, avec Boris Johnson, Michael Gove et Jacob Rees-Mogg, en particulier. À leur esprit, Theresa May ne souhaite pas vraiment le Brexit et entend se contenter d’un contrat d’association avec l’Europe. Or, un tel contrat, s’il n’inclurait plus la Grande-Bretagne dans un ensemble supranational, la ligoterait par les obligations qu’il engendrerait tout en l’empêchant de participer à la confection de la politique européenne. Selon la formule métaphorique de Boris Johnson, « elle restera dans le taxi, mais enfermée dans le coffre, sans avoir son mot à dire sur la destination ». À cet égard, le Brexit, tel que l’envisage Theresa May ne libérerait pas le Royaume-Uni du carcan européen, mais, au contraire, l’y enserrerait davantage en le baillonnant, en le reléguant au rang d’un associé qui n’a pas voix au chapitre et doit, en revanche, exécuter les obligations découlant d’une politique arrêtée par les autres. Les négociations entre Londres et Bruxelles se concluraient ainsi par une caricature de Brexit qui aggraverait la dépendance de la première vis-à-vis de la seconde, tout en donnant l’impression d’une affirmation de souveraineté.

    L’intransigeance européenne engendrera le succès du Brexit dur

    Cette analyse n’est pas dénuée de pertinence, dans la mesure où, effectivement, suivant ce plan, le Royaume-Uni conserverait la même situation de membre à part de l’UE (un pied dedans, un pied dehors) sans toutefois participer aux prises de décisions, et pourrait, à tout moment – cela semblerait tout naturel et on ne peut plus logique – solliciter sa réadhésion à l’ensemble des traités. Les Européens et les remainers modérés devraient être relativement satisfaits de ce plan de Chequers. Or, ce plan, les uns et les autres le rejettent. Les Européens jouent l’intransigeance et demandent à la Grande-Bretagne d’accepter l’UE avec toutes ses obligations ou d’y être totalement extérieure, espérant mettre la Première ministre dans une situation impossible dont le référendum serait la seule issue.

    Leur calcul est d’autant plus aisé à deviner que, jusqu’en 2016, ils s’accommodaient du statut à part du Royaume-Uni au sein de l’UE. Toutefois, il n’entre pas que du calcul dans leur position ; il y entre aussi de la conviction. Ces Européens sont des doctrinaires. À la manière d’un Michel Barnier qui est chargé de traiter au nom de l’Union européenne et qui joue au grand-prêtre donneur de leçons et annonciateur de châtiments eschatologiques ! Il est le type même des eurocrates. L’Europe est leur credo ; et, si libéraux soient-ils en économie, ils ne veulent pas d’une Europe marchande qui laisserait subsister la souveraineté des États. À la jungle des nations qui se disputent des marchés, ils opposent l’idéal d’un monde unifié sans frontières politiques, réglementé et inspiré par une vision de l’homme et une éthique universalistes. Or, cette Europe « idéale » ne soutient pas l’épreuve du réel, lequel la transforme en un ensemble d’États qui, au sein des conseils européens et de la Commission de Bruxelles, défendent jalousement leurs intérêts propres, donnant ainsi le jour à une Europe à la mode anglo-saxonne. Cette Europe à la carte, qu’ils récusent et dont ils reprochent à Mme May de vouloir l’instituer, existe depuis déjà longtemps et est la réalité européenne actuelle. En effet, sur les 27 pays de l’Union, huit n’ont pas pu ou voulu adopter l’euro pour monnaie ; et c’était le cas de la Grande-Bretagne, et ce le resterait, même si elle réintégrait la communauté. Par ailleurs, certains pays de l’Est, comme la Pologne, la Hongrie et la Bulgarie ont opté en faveur d’un libéralisme général que l’on peut qualifier de sauvage sauf qu’il reste national, et en conséquence d’un dumping social contraires aux orientations bruxelloises ; et la Grande-Bretagne a fait de même, et continuerait à le faire si elle était demeurée membre de l’Union.

    D’autre part, ces mêmes pays se soucient comme d’une queue de cerise de la politique migratoire bruxelloise et, de la même façon, en matière de justice, des grands principes européens. Enfin, on l’a vu à maintes reprises, notamment lors de la guerre irakienne de 2003, il n’existe aucune politique étrangère commune aux pays européens : 22 de ces pays adhèrent à l’OTAN, dominée par les États-Unis, le pays qui impose au monde sa loi et celle du marché, de son marché.

    Bref, l’Europe est sans doute une réalité économique et, surtout, une réalité institutionnelle et administrative, mais elle n’est pas une réalité politique, à l’égal d’une nation. Elle n’est qu’une vaste zone de libre-échange réglementé et, en son sein, c’est le libéralisme anglo-saxon qui s’est imposé, certes tempéré par des règles et des exigences budgétaires communes. Et voilà l’autre raison pour laquelle les Européens institutionnels refusent le plan de Theresa May qui tend à permettre au Royaume-Uni d’être un partenaire conditionnel et variable, inspiré par ses seuls intérêts, prenant, de l’Europe ce qui l’arrange, refusant ce qui la contraint. Ce qu’ils appellent le cherry picking – soit la cueillette sélective des cerises ! Ce plan qui placerait la Grande-Bretagne dans une situation de partenaire privilégié – mais indépendant – de l’UE, analogue à celle de la Norvège, de l’Islande et du Liechtenstein…, trois pays membres de l’AELE, constituée autrefois par la Grande-Bretagne comme rivale de la Communauté européenne ! Ainsi s’explique leur intransigeance.

    La bascule nationale s’impose

    Or, à tenir la dragée haute à Mme May, les Européens ne vont parvenir à rien d’autre qu’à la conforter dans sa résolution brexitiste et à la jeter dans les bras des brexiters intransigeants. Il faut comprendre son discours énergique du 19 septembre, à Salzbourg(photo du sommet) . Elle déclare : « Il n’y aura pas d’adhésion partielle à l’UE, d’association avec l’UE, ni rien qui nous laisse un pied dedans et un pied dehors. Nous ne cherchons pas à adopter un modèle déjà utilisé par d’autres nations, nous ne cherchons pas à maintenir des morceaux d’adhésions ». C’est précisément ce que disent les Européens eux-mêmes. Mais eux considèrent ce type de propos comme un avertissement solennel, voire une menace à l’égard du Royaume-Uni. Mme May, elle, le considère comme à la fois l’expression de son vœu le plus cher d’antieuropéenne (ou d’eurosceptique) et le moyen de tenir de fortes paroles qui sont destinées à rasséréner les hard brexiters. Elle a joué habilement ce jeu lors du dernier congrès tory à Birmingham, début octobre, en esquissant des pas de danse chaloupée pour mieux faire comprendre son propos ! Son réalisme l’a menée à élaborer son plan de Chequers, comme il l’avait incitée, en juin 2016, à voter en faveur du Remain plutôt que pour le Brexit, c’est-à-dire à voter selon sa raison plutôt que selon son cœur.

    Mais l’intransigeance européenne dont elle attend tous les effets d’une rare stupidité, pourrait bien la conduire à, finalement, agir suivant ses convictions véritables, brexitiennes et dures, plutôt que selon sa prudence. D’autant plus que l’entrée en rébellion de Johnson et Gove la pousse déjà en ce sens.

    Et, en fin de compte, on s’achemine bien pratiquement vers un Brexit dur. Ce scénario ne serait pas l’idéal pour elle, mais aurait au moins le mérite de remettre les pendules à l’heure, de clarifier les positions, de mettre fin à la duplicité en la matière et de dissiper salutairement les équivoques et les faux-semblants. Ou une Europe simple partie du monde et zone de libre-échange à la mode anglo-saxonne, ou l’Europe technocratico-bureaucratico-libérale de Bruxelles, de Macron, des gauches européennes et des avatars centristes, bâtards de la démocratie chrétienne ! Mme May sera ainsi en plein accord avec sa conscience et ses convictions profondes, tout comme d’ailleurs le gros du peuple britannique. Et on peut tenir pour certain que, à terme, en cas d’absence d’accord, le Royaume-Uni ne paiera pas plus à l’UE le prix de sa sortie sans accord que l’Allemagne, à partir de 1931, n’a continué à payer sa dette de guerre aux Alliés !

    Une Europe sans avenir

    L’Europe n’a plus d’avenir. La Grande-Bretagne en sort, l’Allemagne en a tiré grand profit et chacun des pays membres cherche à y défendre ses seuls intérêts. Seuls s’efforcent d’y croire encore nos dirigeants français et nos « élites » hexagonales, qui ont puissamment contribué, au fil des décennies, à l’édifier comme un système jacobin à leur manière. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? En dehors des prébendes assurées et des contraintes insupportables qui empêchent toute politique d’intérêt national.     

    Docteur ès-lettres, écrivain, spécialiste de l'histoire de l'enseignement en France, collaborateur de la Nouvelle Revue universelle 
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/11/09/intransigeance-europeenne-et-brexit-sans-concession-6103482.html
  • Chaque “mineur étranger non accompagné” nous coûte 50.000 € par an, soit un coût total d’au moins 1,5 milliard d’euros

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    Le 88e congrès des Départements de France, réuni à Rennes, aborde la problématique des immigrés classés “Mineurs non accompagnés” (MNA) qui, au titre de l’aide sociale à l’enfance, bénéficient de l’aide des collectivités. Ce qui crée un appel d’air et fait exploser les budgets.

    Ces “Mineurs non accompagnés” se présentent comme âgés de 15 à 18 ans, avec la quantité d’abus que l’on sait de jeunes hommes qui ont en réalité largement dépassé cet âge. La plupart (95 %) sont des garçons et 70 % viennent d’Afrique, en particulier d’Afrique de l’Ouest francophone, où il n’y a pas de guerre. C’est donc bien une immigration économique et illégale massive.

    Jean-Luc Chenut, le président du conseil départemental d’Ille-et-Vilaine, a abordé le sujet, ce jeudi, à Rennes, en ouverture du 88e congrès des Départements : « Le Département est chaque jour sur tous les fronts de la solidarité, il faut redire l’urgence de la situation et l’impératif de réponses enfin à la hauteur de problèmes posés. »

    Car le coût de la prise en charge d’un “mineur étranger non accompagné” au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint au bas mot 50.000 € par an, ce qui, à l’échelle du territoire national, représentera une ardoise d’au moins 1,5 milliard d’euros d’ici la fin de l’année, chiffre sans cesse réévalué à la hausse.

    Et qui paye ? Vous et moi, les contribuables dindons de cette mauvaise farce.

  • Quand "Nord Littoral" se conduit en délateur contre la résistance patriotique...

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    Le "une" de Nord Littoral d'aujourd'hui

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    L'article digne du site gauchiste La Horde...

    Le journal Nord Littoral, sévissant dans la région de Calais, vient, dans son édition d'aujourd'hui ainsi que sur son site cliquez là, de prouver une fois de plus sa servilité à l'égard du Système en calomniant notre amie Marie-Jeanne Vincent, courageuse militante de la résistance nationale et identitaire locale, suite à sa brillante intervention lors de notre 12e Journée de Synthèse nationale du dimanche 14 octobre dernier à Rungis cliquez ici.

    En effet, dans son discours, Marie-Jeanne, se référant à une étude réalisée par le site "Nous sommes partout" cliquez là en collaboration avec le journal Présent, avait dénoncé avec brio les méthodes utilisées par les petits domestiques de la finance mondiale que sont les "antifascistes" pour insulter les forces patriotiques. Méthodes liberticides directement inspirées, soit dit en passant, de celles utilisées par les bolcheviques en URSS dans les années 1930. Ainsi, le site intitulé La Horde, créé selon cette étude par des gens proches du quotidien Le Monde, est devenu un étalon en matière de délation. En le lisant, on comprend mieux pourquoi des excités obsessionnels style Méric ont agressé en juin 1973 avec la violence que l'on sait (cf. le n° hors série de Présent consacré à cette affaire actuellement en kiosques cliquez là) des jeunes patriotes à Paris.

    Mais, revenons aux délires du jour de Nord Littoral. Toujours à l'affut du moindre prétexte pour déceler en chacun les germes de "la bête immonde", le journaliste, si l'on peut appeler cela un journaliste, s'est donné des frissons en disséquant le discours de Marie-Jeanne Vincent. Il suffit d'avoir écouté cette intervention pour faire la comparaison avec les divagations du plumitif. Comme le rappelait notre directeur, Roland Hélie, dans un entretien sur la chaine TV Libertés (cliquez là) il y a quelques semaines, si on dit "J'aime la France", ces gens là comprennent "Je suis nazi" (ou "Je suis fasciste")... Ils n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. Il leur suffit de retirer trois mots de n'importe quel texte (ou de n'importe quelle intervention), et ils ont vite fait d'envoyer n'importe qui, surtout s'il s'agit d'un de leurs opposants, devant un peloton d'exécution... 

    Rappelons que le 20 novembre prochain le directeur de Nord Littoral est convoqué devant le tribunal pour diffamations lors des dernières élections législatives (juin 2017) à l'encontre de Marie-Jeanne Vincent alors candidate (Civitas) de la Droite nationale à celle-ci. Il se pourrait bien que, dès lundi, l'article d'aujourd'hui soit ajouté au dossier.

    En attendant, les Calaisiennes et les Calaisiens qui subissent chaque jour les conséquences du "Grand remplacement" imposé par le Système sauront reconnaître ceux qui se battent à leurs côtés pour que la France redevienne française et l'Europe européenne...

    S.N.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les quartiers flambent, mais la police est envoyée contre les Gilets jaunes

    Les quartiers flambent, mais la police est envoyée contre les Gilets jaunes
  • Zuckerberg versus Trump, la prochaine affiche présidentielle aux États-Unis ?

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    Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.

    Le 6 novembre dernier, les élections nord-américaines de mi-mandat présidentiel ont laissé poindre un statu quo : la Chambres des représentants redevient démocrate, le Sénat reste républicain.

    La première leçon à tirer de ce scrutin est la suivante : le parti démocrate et le parti républicain ne sont définitivement plus de centre droit. Pour le citoyen américain lambda (tant celui des grandes villes que celui des zones rurales), le leader de chacun des deux partis n’était autrefois que blanc bonnet et bonnet blanc. Protestantisation des esprits oblige, la politique devait être irrémédiablement déterminée par l’économie. Seulement, le darwinisme social a contredit tout projet économiciste. Les capitaux sont partis des États-Unis pour mieux revenir dans la poche des financiers, des êtres aussi invisibles qu’insaisissables. Alcool, drogue et suicide constituent encore le lot quotidien des désintégrés de la mondialisation financière. Avec le soutien inédit de ces populations et celui du lobby industriel, Donald Trump avait gagné l’élection présidentielle de novembre 2016, et ce, contre les médias « mainstream » du monde entier. Ces élections de mi-mandat devaient ainsi sonner la revanche des propriétaires de data.

    Depuis le début des années 2000, la bourse de Wall Street mise tout dans les énergies fossiles des pétromonarchies ainsi que dans les data de la Silicon Valley dont Mark Zuckerberg (Facebook), Jeff Bezos (Amazon), Sergueï Brin et Larry Page (Google) sont les principaux maîtres à penser. Le seul lobby à payer les pots cassés de cette stratégie économico-numérique est celui de l’industrie. En conséquence, General Motors n’a pas eu d’autre choix que de se rebiffer.

    Par ailleurs, les White Anglo-Saxon Protestants des zones périurbaines et rurales ont été sciemment abandonnés dans la mesure où la finance internationale avait besoin de spéculer sur un océan infini de données, des fichiers définissant chacune des identités. La géographie électorale américaine manifeste les même tensions économico-sociales que partout ailleurs dans le monde occidental. Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.

    Comme les mêmes causes produisent les mêmes effets, le profil sociologique de ces contrées s’est reconstitué en quatre parties : un groupe socialiste, un groupe libéral, un groupe libertaire et un groupe nationaliste. Ces élections de mi-mandat ont logiquement manifesté ces nouveaux clans politiques. Les démocrates ont clairement implosé entre la mouvance de Bernie Sanders (indépendant, mais clairement socialiste) et celle de Barack Obama (l’ancien président mouillant la chemise pour défendre sa ligne libertaire) alors que les républicains en ont fait spontanément de même entre la mouvance de Donald Trump (assumant une politique à la fois nationaliste et protectionniste) et celle de Mitt Romney (le perdant de l’élection présidentielle de 2012 étant le principal opposant de l’intérieur à Trump et défendant une ligne ouvertement libérale, en économie comme dans les mœurs).

    Alors qu’Obama et Romney font encore semblant de s’opposer, les électorats de Sanders et de Trump ont en partage la même angoisse à l’endroit de la désappropriation intégrale, autant celle des emplois que celle des territoires. La spéculation et l’immigration imposent toujours la logique du nombre. Partout, la quantité tend à renverser la qualité. Pour éradiquer la fronde nationale et sociale, la Chambre des représentants s’est considérablement féminisée et singularisée. Conformément à la ligne libertaire, un maximum de candidats issus des minorités tant ethniques que culturelles ont été intronisés ; le fait le plus notable étant l’élection de deux femmes musulmanes dans le Minnesota et le Michigan. De cette manière, l’ordre islamo-libertaire ne pourra que se renforcer au pays de l’Oncle Sam.

    De toute évidence, la Silicon Valley enverra irrémédiablement un de ses représentants à l’élection présidentielle de 2020. « Zuckerberg vs. Trump » : voilà l’affiche de la guerre des data.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/zuckerberg-versus-trump-la-prochaine-affiche-presidentielle-aux-etats-unis/

  • 17 novembre … MANIPULATION ???

    Jamais depuis l’ affaire Charlie, les média n’auront fait autant de battage  autour du rassemblement du 17 novembre. Permettez moi d’abord d’étayer mon analyse à l’aide de quelques observations.

    1) Rappeler que ces mêmes média soutiennent Macron et ses complices est un euphémisme. En réalité ils sont simplement à sa botte.  Depuis son élection, on est même plus dans la courtisanerie, on a plongé dans des abîmes de servilité. On est plus dans la complaisance on a sombré dans la bassesse.

    Leur comportement habituel est abject !

    2) Comme je l’évoque dans mon titre, ce revirement à 180 degrés dans leur attitude m’apparaît plus que suspect !!! Ces média serviles, baveux  et larmoyants, se prendraient ils soudain de sympathie pour une population de jaune vêtue et très hostile à l’ imposteur de l’ Élysée ?

    3) On y perdrait presque son latin  … Sauf si l’on se souvient du cinéma médiatique de l’ affaire Charlie Hebdo, où en réalité tout fût minutieusement préparé, le slogan et les  T Shirt « je suis Charlie » auraient même été imprimés avant l’ attentat.

    4) L ‘ évidence est là, très simple. Grogne il y a, les français en on marre d’ être pressés comme des citrons et tondus comme des moutons. Le prix du carburant n’est qu’un prétexte. En réalité les Français ne supportent plus les atteintes à leur liberté, ils n’acceptent plus le « politiquement correct » ni la police de la pensée. Ils refusent de voir assassiner notre société  sous leurs yeux. Ils refusent l’invasion barbare orchestrée pour notre disparition. Même s’ils ne se l’avouent pas, ils en sont conscients au fond d’eux même. Ils ressentent au plus profond de leur âme, l’immense mépris que leur voue la caste dirigeante.

    5) Le fait est que le gouvernement est évidement particulièrement bien informé de l’ état d’esprit de la population. La DGSI ayant supplanté les bons vieux RG, la délation s’effectue maintenant avec des moyens modernes ! Sous Macron, le flicage est devenu universel. En plus, ce ne sont pas les collabos qui manquent en France. 

    6) Or, si l’état peut imposer pratiquement ce qu’il veut, l’immigration, les impôts, les taxes, les lois liberticides et mémorielles en revanche malgré les efforts de leurs complices des média, il ne peut pas empêcher les gens de penser par eux même… Du moins pas encore, Georges Orwell n’est plus très loin !

    7) C’est pour contrer cette lassitude, ce mécontentement, qu‘ ils ont décidé de prendre le contrôle de ce mouvement du 17 novembre.Spécialistes de longue date de la manipulation d’opinion ils tentent à présent de le canaliser. En voici quelques preuves :

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  • Antisémitisme : bobard par l’image du journal Le Monde

    Antisémitisme : bobard par l’image du journal Le Monde

    C’est abject : alors que l’antisémitisme se déploie impunément dans les banlieues de l’immigration musulmane, que fuient les personnes de confession ou d’origine juive, Le Monde illustre cette montée de l’antisémitisme par des symboles catholiques…

    Le Premier ministre Edouard Philippe, qui a annoncé ces chiffres ce matin (+69%), a repris la chansonnette du président sur la montée du péril des années 30, alors même que la similitude avec cette époque vient de l’aveuglement de nos dirigeants face à la montée du péril islamiste :

    « Chaque agression perpétrée contre un de nos concitoyens parce qu’il est juif résonne comme un nouveau bris de cristal ». « Pourquoi rappeler, en 2018, un aussi pénible souvenir ? Parce que nous sommes très loin d’en avoir fini avec l’antisémitisme ».

    Et plutôt que de dénoncer l’islamisation, le gouvernement prépare pour 2019 une modification de la loi afin de renforcer la lutte contre la cyberhaine, en mettant la pression sur les opérateurs du Net.

    https://www.lesalonbeige.fr/antisemitisme-bobard-par-limage-du-journal-le-monde/

  • Allemagne : la longue litanie des agressions sexuelles commises par les migrants

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    Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel en 2015, l’Allemagne est devenue un pays peu sûr pour la gent féminine.

    Si la presse régionale relate ces actes parmi les faits divers, les médias nationaux considèrent quasiment à chaque fois qu’il s’agit d’un cas unique d’importance médiatique purement locale et évitent, par conséquent, de traiter le problème.

    Ainsi, ce samedi 3 novembre 2018, un Ghanéen de 23 ans a violé, vers 17 h 30, une jeune femme de 17 ans à Stuttgart, dans les jardins du château.

    Vers 8 h, à Fürth, une dame a été tirée dans un buisson, menacée avec un couteau et violée par un homme de type méditerranéen parlant l’allemand avec un accent étranger.

    Toujours le même jour, un éleveur a trouvé, au matin, un individu d’environ 25 ans à la peau sombre et au visage mince, à Velden, près de Landshut, sodomisant un de ses moutons. L’animal a dû être abattu.

    Dans la nuit du 2 au 3 novembre, à Essen, un homme de type méditerranéen a agressé une dame de 27 ans et l’a touchée aux parties intimes avant de s’enfuir. Voyant que la victime le suivait ensuite à distance, l’agresseur lui a jeté des pierres.

    Le 2 novembre, un réfugié érythréen de 19 ans a comparu devant la Justice à Halle-sur-Saale pour le viol d’une dame, au sein d’un département psychiatrique, et pour le fait qu’il ait blessé au même endroit une autre femme.

    Le 1er novembre, vers 19 h 30, une dame de 40 ans a été agressée sexuellement à Fürstenfeldbruck et a pu éviter le pire en se barricadant. L’agresseur mesure 1,60 m, a les cheveux sombres, de grosses lèvres et un nez large et court.

    Le 31 octobre au soir, lors de la « Marche des zombies » à l’occasion de la fête d’Halloween à Essen, un migrant jordanien a touché sept femmes aux parties intimes.

    Fin octobre, une sombre affaire de viol de masse, commis au mois de septembre à Munich par six Afghans demandeurs d’asile non reconnus, sur une adolescente de quinze ans, a émergé.

    À Marsberg, le 30 octobre vers 1 h du matin, une dame de 19 ans a été agressée, tirée au sol et violée par un homme de type méditerranéen.

    Le 28 octobre, à Waghäusel, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile, un jeune garçon de 15 ans a été violé par deux hommes.

    À Brême, lors d’une fête populaire, le 27 et le 28 octobre, de nombreuses agressions sexuelles ont été commises par des Afghans, Pakistanais, Syriens, Turcs et « Allemands » de papiers.

    La police a arrêté, le 25 octobre, à Fribourg-en-Brisgau, un Érythréen de 28 ans. L’ADN de l’individu montre qu’il est impliqué dans plusieurs viols sur des femmes, mais aussi sur des moutons et des chèvres.

    Le 19 octobre, lors du procès portant sur le viol, à Höhenkirchen-Siegertsbrunn, par deux Afghans, d’une fille de 16 ans sur un parking situé derrière un supermarché, les accusés se sont endormis à plusieurs reprises.

    Un cas particulièrement sordide, qui s’est déroulé à Fribourg-en-Brisgau le 14 octobre, a cependant eu une répercussion au niveau national et même international. Majd H. a, dans une discothèque, vendu une tablette d’ecstasy à une étudiante de 18 ans qui ne le connaissait pas, puis lui a offert un verre. La jeune femme s’est retrouvée dans un état second. Elle a ensuite quitté, vers minuit, le lieu en compagnie de Majd H. Celui-ci l’a abusée sexuellement dans un buisson se trouvant à proximité. D’autres individus ont ensuite violé la jeune femme inconsciente. La police a arrêté huit auteurs, parmi lesquels figurent sept Syriens. Majd H. était connu de la police pour des faits de mœurs.

    Interrogée en septembre 2017 par une citoyenne lors d’une émission de télévision sur la chaîne publique ZDF sur l’augmentation des viols et agressions sexuelles due à l’arrivée de nombreux hommes migrants, Angela Merkel avait répondu que des délits sexuels horribles existaient déjà avant la migration, que les auteurs de ces faits doivent quitter le pays, mais qu’elle ne voyait pas de problème global en la matière.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/allemagne-la-longue-litanie-des-agressions-sexuelles-commises-par-les-migrants/